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Baiser deux jeunes dont mon filleul

Chapitre 1

Gay
Depuis quelques semaines, j’héberge ma sœur et son fils, cette dernière s’étant séparée de son conjoint. Comme j’ai une grande maison et que j’y vis seul, il était donc de mon devoir de lui offrir le gîte.
Son fils Samuel, étant mon filleul, j’y trouve donc plaisir à l’avoir près de moi au quotidien. Nous sommes proches depuis toujours, son père étant souvent absent pour le travail et, je dois malheureusement l’avouer, ce dernier ignorant son fils la plupart du temps.
Je l’installai donc dans une chambre au sous-sol. Âgé de dix-huit ans, je savais bien qu’il avait ce besoin des adolescents d’avoir son intimité. Comme j’utilise rarement le sous-sol, je lui crée donc un salon avec cinéma maison où il peut s’amuser avec ses jeux vidéo. Samuel n’est pas un adolescent difficile. Il est solitaire, ayant peu d’amis, préférant passer ses temps libres devant la télé ou plongé dans des romans historiques dont il raffole.
Tout se passait merveilleusement bien jusqu’à lundi soir passé. Alors que ma sœur travaillait tard, étant agente d’immeuble, je cuisinai le souper et descendis au sous-sol pour aviser Samuel qu’il pouvait monter pour manger. Lorsque j’arrivai au bas de l’escalier, je vis qu’il n’était pas au salon, alors je me dirigeai vers la chambre, tranquillement. Sa porte était entrouverte et je le vis, debout, une serviette autour des hanches. Il sortait de la douche et avait encore les cheveux mouillés. Je ne sais pourquoi, mais je ne pouvais m’empêcher de le regarder, placé derrière la porte pour ne pas être aperçu. Jamais encore je n’avais pensé que mon filleul pouvait m’exciter, mais là, à ce moment précis, je ne voyais qu’un jeune mec au corps splendide. Un ado de dix-huit ans dont les heures au gym sculptaient un corps sans poil, à la poitrine aux formes arrondies. Il n’était pas ce qu’on peut appeler un monsieur muscle, mais on pouvait facilement voir les traits qui sculptaient son corps.
Et c’est alors qu’il se débarrassa de sa serviette, la laissant tomber à ses pieds. Ces petites fesses blanches, à la peau lisse...
Il s’étendit sur le lit, face contre le matelas et écarta ses jambes, commençant de légers mouvements de va-et-vient. Je voyais bien qu’il était bandé et qu’il appréciait grandement le glissement de sa queue contre les draps, et moi, je l’observais toujours, ma bite bien dure sous mon short. Lentement, en fixant toujours ce petit cul en mouvement, je sortis ma queue de mon short et l’empoignai bien fermement dans ma main pour me masturber. J’étais tellement excité que j’en oubliais totalement que ce jeune mec était mon neveu. Il était devenu un corps aguichant, qui se trémoussait sur le lit. Je m’imaginais lui écarter les fesses pour lécher son anus, y glisser ma langue avec entrain. Et c’est en laissant entendre de petits cris qu’il jouit.
Je remis mon boudin sous mon short, toujours bandé bien entendu, et gravis les escaliers, décidé à redescendre dans quelques minutes pour aviser Samuel que le souper était prêt.

Le lendemain soir, vers la même heure, je descendis à nouveau pour le souper. La porte de la chambre de Samuel était entrouverte et je pouvais l’entendre gémir. Lentement, sans faire de bruit, je m’approchai de la porte et je le vis, étendu sur le dos, sa teub bien en main, se masturbant gaiement. De l’autre main, il se caressait la poitrine. Encore une fois, mon dard se pointa sous mon short et encore une fois, je ne pouvais faire autrement que de l’observer discrètement. Et il jouit, crachant son foutre dans sa main qu’il lécha avec appétit. Je montai immédiatement avant qu’il ne s’aperçoive de ma présence.
Nous soupâmes donc, comme un oncle et un filleul, discutant de choses et d’autres, mais de mon côté, je ne parvenais pas à chasser les images de ce jeune corps. Même son visage me semblait étranger, son sourire. Je ne parvenais plus à voir Samuel comme mon neveu, étant devenu un objet de plaisirs sensuels. Je savais que je devais me débarrasser de ces idées, mais c’était plus fort que moi.
En soirée, ma sœur n’étant toujours pas rentrée du travail, je m’installai dans le salon, devant le téléviseur tandis que Samuel était descendu jouer à un jeu vidéo, jusqu’à ce qu’il remonte, se dirigeant à la cuisine.
— Qu’est que tu regardes ? demanda-t-il en ouvrant la porte du réfrigérateur ?— Rien de vraiment intéressant, répondis-je, ne quittant pas l’écran des yeux.— Pourquoi tu le regardes alors ? dit-il en venant vers moi. C’est alors que je tournai la tête vers lui et l’aperçus. Il n’était vêtu que d’un short moulant, lui qui ne se pavanait jamais de la sorte. Je peux regarder ton émission inintéressante avec toi ?
Et il prit place près de moi sur le canapé. Je ne répondis rien, préférant garder les yeux sur l’écran, inquiet à savoir si mes pensées ne retourneraient pas dans cette chambre où je l’avais vu s’astiquer le poireau la journée d’avant. Il n’était pas question que mon asperge prenne de l’ampleur sous mon short. Qu’aurait-il pensé? Je devais m’en éloigner à tout pris.
— Je vais prendre une douche, dis-je en me levant pour prendre le pas de marche vers ma chambre.
Ouf...Je m’en étais sorti, car ces satanées pensées m’étaient bel et bien revenues en tête. Il fallait à tout prix que je trouve un moyen de m’en défaire, car, au bureau, dans l’après-midi, elles étaient revenues alors que j’étais en réunion. Ce jeune commençait à me hanter. Je me déshabillai donc et entrai sous la douche. Pendant que je me savonnais, je revoyais ces petites fesses blanches et ce gourdin et je me mis à me masturber sous les jets d’eau. Il fallait que je me débarrasse de cette excitation avant de retourner au salon. Et c’est alors que je le vis. Il se tenait contre le cadre de la porte de ma salle de bain et il me regardait, m’observait, m’examinait pendant que je me branlais l’aubergine. Il ne bougeait pas, ne faisait rien d’autre que de me fixer. Je me devais de faire en sorte qu’il ne sache pas que je l’avais remarqué et la seule façon était de continuer à me masturber comme si je me croyais seul dans la pièce.
De savoir par contre qu’il était là m’excitait au plus haut point. Mais que désirait-il ? Que recherchait-il ? Il ne se cachait même pas. Et il quitta les lieux, sans rien dire.

Le lendemain, j’avais décidé de travailler de la maison. Ma sœur, n’ayant aucun rendez-vous avant dix-sept heures, en avait profité pour concocter des petits plats, et Samuel, n’ayant cours, avait invité un ami (l’un des rares) à jouer à des jeux vidéo. J’étais donc dans mon bureau à examiner les chiffres du mois lorsque Pascal, l’ami de Samuel, entra, sans même frapper. Je levai la tête, le regardai avec un air interrogateur.
— Excuse-moi Etienne, mais je me demandais si tu ne pouvais pas m’éclairer sur quelque chose.— Sur quoi ? demandai-je ?— Samuel et moi ne nous entendons pas sur un point, dit-il en se rapprochant de moi. Il dit que c’est automatique pour un mec de ton âge d’être attiré par les jeunes comme nous et moi je dis que ce ne sont pas tous les mecs de ton âge qui sont attirés par les jeunes.
Je le fixai quelques instants, fronçant les sourcils, ne sachant trop où tout cela menait. Toi, es-tu attiré par les jeunes ?— Vous avez des discussions plutôt étranges pour des jeunes de dix-huit ans, dis-je, ne sachant trop si je devais répondre ou non. — Tu trouves ? Pourtant, je crois que c’est normal qu’à dix-huit ans, nous nous posions des questions sur la sexualité.— Je comprends ce que tu dis, mais toi, es-tu attiré par les femmes plus vieilles que toi ?
Il me regarda en souriant, se rapprochant encore de moi. Il glissa son index sur ma joue.
— Qui te dit que je suis attiré par les femmes ? Et pourquoi ne serais-je pas attiré par les mecs dans ton genre ?— A quoi joues-tu ? dis-je en le repoussant légèrement. Je crois que tu ferais mieux d’aller retrouver Samuel en bas.
Et c’est alors qu’il ouvrit son jeans et en sortit une belle queue bien dure.
— Tu sais que tu pourrais la sucer là, sur-le-champ. A moins que tu préfères que ce soit moi qui te suce ?
Mon regard posé sur ce boudin bien en chair, je gardais le silence, me disant qu’effectivement, je pourrais la prendre en bouche, juste quelques secondes, juste pour la goûter. Il faut dire que Pascal, pour un jeune de dix-huit ans, était plutôt bien bâti. On pouvait facilement lui en donner vingt.
— Ne te fais pas prier, je sais que tu en as envie.
Et que si j’en avais envie. Quel gay normal n’aurait pas envie d’une si belle queue bien dure et droite ? Je me levai et marchai jusqu’à la porte pour la fermer, revins vers Pascal et m’agenouillai. J’ouvris la bouche et engloutis sa perche pour la sucer avec entrain, glissant ma langue sur son gros gland. En moins d’une minute, il me cracha son foutre que j’avalai goulûment.
— En fin de compte, Samuel a raison, dit-il en refermant son jeans. Les mecs de ton âge sont automatiquement attirés par les jeunes.
Toujours agenouillé, je ne dis rien, le regardant quitter mon bureau. Lorsqu’il referma la porte derrière lui, je me levai, quelque peu confus. Je venais de sucer l’ami de Samuel, un jeune de quarante ans de moins que moi. Allait-il le dire à Samuel ? Et si oui, quelle serait sa réaction ? Et si ma sœur apprenait cela, elle qui cuisinait tranquillement pendant tout ce temps. Mais dieu que ce jeune était attirant et excitant. Si je m’étais écouté, je me serais empressé de lui retirer son jeans pour l’enculer, pour lui remplir son beau cul bombé par les muscles. Par chance, il avait joui presque immédiatement.
Je sortis de mon bureau et m’empressai d’emprunter l’escalier du sous-sol, avec discrétion. Je devais savoir si Pascal en parlait à Samuel, mais rien. Tous deux jouaient à un jeu vidéo sans rien dire. Je remontai donc pour poursuivre mon travail.
Vers dix-huit heures trente, Samuel monta pour me demander si Pascal pouvait souper avec nous. Que pouvais-je répondre ? Non, car j’étais mal à l’aise ? J’acceptai donc. Nous mangeâmes, sans de brouhaha de la part de Pascal qui, par contre, me lançait de petits regards coquins.
— Comme nous n’avons pas cours demain aussi, Pascal pourrait-il coucher ici ? me demanda Samuel. — Si son père est d’accord, je n’y vois pas d’objection.
Dieu que j’aurais dû refuser... ou j’avais bien fait d’accepter. Je passai donc la soirée à travailler alors que les jeunes étaient au sous-sol, ma sœur étant partie à ses rendez-vous. Vers vingt-deux heures, je fermai l’ordinateur et sortis du bureau. Fatigué, je pris une douche et sautai dans mon lit, m’endormant presque aussitôt.
Et puis soudain, je m’éveillai. Samuel était là, près de mon lit. Comme j’étais étendu sur le ventre, il avait glissé la couverture le long de mon corps et caressait mes fesses. Je ne bougeai point, le fixant, ne sachant trop quoi faire. Je sais que j’aurais dû l’empresser de quitter ma chambre, mais quelque part, je ne voulais pas qu’il s’éloigne de moi. Je le laissais glisser sa main sur mes fesses, car j’adorais ça. Toutes mes pensées pour ce jeune me revenaient en force et déjà, j’étais bandé au max. Il monta sur le lit, s’étendit de sorte à se rapprocher le visage de mon cul et, écartant mes fesses, y glissa sa langue. J’aimais la chaleur de sa salive sur mon trou de balle. Je me mis à balancer des hanches et il comprit aussitôt que c’était gagné. Il augmenta la cadence jusqu’à ce qu’il entreprit de me percer la chevalière de son index. Il venait de toucher le point sensible. J’étais prêt à ce qu’il m’encule et le souhaitais ardemment.
Au moment présent, le jeune qui se trouvait là n’était plus mon neveu, mais un mec baisable et j’avais bien l’intention de me faire baiser par lui. Et c’est alors que je sentis son corps se glisser sur le mien pour y placer son pieu au bon endroit. Je levai mon popotin pour lui offrir ce qu’il désirait ; ma boutonnière. Avec l’ardeur de sa jeunesse, il m’embrocha d’un grand coup, m’enfonçant sa queue dure au plus profond avant d’exécuter des mouvements de va-et-vient, accélérant à chaque petit cri que je laissais entendre.
— Et moi ? entendis-je.
C’était Pascal qui venait d’entrer dans la chambre. Sans attendre, il se dévêtit et je me retrouvai avec sa queue dans la bouche pendant que Samuel s’amusait grandement à ma labourer.
— Tu aimes que ton filleul te cartonne le cul ? disait Pascal pendant qu’il me poussait sa bite dans le fond de la gorge. Dis mon oncle, dis que tu aimes savoir que le fils de ta sœur te plante sa queue dans ton cul en chaleur.
Bien entendu, je ne disais rien, ayant, de toute façon, la bouche remplie par la queue de Pascal. Ce jeune n’en était pas à sa première fois avec un mec, c’était évident. Mais je me demandais si Samuel, lui, était un habitué. Jamais je n’aurais pensé que ce jeune pouvait être gay, mais bon, s’il ne l’était pas, il prenait plaisir à me défoncer l’arrière-train et il savait y faire.
C’était plutôt excitant de se faire baiser par deux jeunes adolescents, mais je dois avouer que de sentir la bite de mon neveu en moi me surexcitait, c’est sans doute un peu pervers, mais j’ai toujours eu un côté pervers développé alors... Et c’est en laissant entendre un grand cri qu’il me juta le cul de son yaourt alors que moi, j’étais presque peiné qu’il ait joui si vite.
— A mon tour, lança Pascal. Allez Etienne, prends la position du petit chien que je te laboure ce cul-là.
J’obéis, me plaçant à quatre pattes, le cul bien en vue pendant que Pascal se plaçait derrière moi.
— Ça c’est une belle entrée de service pour ma grosse queue dure, dit-il en me la fourrant bien à fond. Il faut dire que sa courge était plus large et longue que celle de Samuel et je la sentais très bien se trémousser en moi. Et c’est alors que je m’aperçus que Samuel nous regardait. Il observait son oncle se faire cartonner le cul par son ami et le petit sourire qu’il démontrait prouvait qu’il y prenait plaisir. Il était déjà à nouveau bandé et jouait avec sa queue et c’est alors que je lui fis signe de se rapprocher. Je désirais grandement le sucer, goûter sa bite en entier. Il s’approcha et me l’offrit, la prenant en entier, du foutre encore dessus que je léchai avec joie. — Je suis certain que Samuel apprécierait que son parrain lui bourre le pot à son tour, dit Pascal en se retirant de mon cul. Allez Etienne, je suis certain que tu as envie d’enculer ton filleul.
Bien entendu que j’avais envie de le fourrer, mais pourquoi Pascal s’entêtait-il toujours à user des noms comme filleul, neveu, oncle. Je crois que ça l’excitait encore plus que moi. Je m’étendis sur le dos et aussitôt, Samuel prit place sur ma queue, l’enfonçant tranquillement en lui. Il me regardait, sérieux comme un pape alors que moi, j’avais peine à me retenir de ne pas le remplir tout de suite de mon foutre. Ce petit cul que j’avais vu se dandiner il y avait deux jours glissait sur ma queue et cette seule pensée m’obligea à lâcher prise. C’est alors que je l’inondai de ma crème chaude et gluante pendant que lui se masturbait à une vitesse vertigineuse juste avant de se placer devant mon visage pour m’asperger de sa camelote, suivi de Pascal qui en fit de même. Tous deux se mirent à m’embrasser, léchant tout sur le passage de leurs langues. J’étais aux anges, je dois l’avouer.
Je ne voulais pas que ça se termine et je les invitai à passer la nuit dans mon lit, leur expliquant par contre qu’ils devaient quitter ma chambre avant que ma sœur se lève.
Ils se couchèrent, chacun d’un côté et moi, au milieu, recevais leurs caresses avec joie, les embrassant à tour de rôle. Je savais maintenant que nous avions franchi une barrière et que dorénavant, j’aurais un amant à la portée de la main et pourquoi pas deux ?
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