Alain, vingt quatre ans, et Marion, sa magnifique épouse, âgée de vingt ans, rentrent de vacances. Ce soir, ils invitent des amis à prendre un verre. Ils habitent un petit deux pièces sous les toits, et même si le salon est un peu exigu, l\’appartement est assez coquet. Alain invite Ambre et Joël à s\’asseoir sur le canapé à côté de lui, Dan est sur une chaise, avec sa copine Clarisse assise sur ses genoux. La chaise qu\’il reste est occupé par Morgan, âgé de trente ans, le seul célibataire de la soirée, homme à femmes s\’il en est. Marion qui s\’occupe du service, se retrouve debout.Depuis quelques temps, Alain a un phantasme. Celui de voir sa jeune épouse se faire prendre par un autre homme devant lui. Mais Marion est une femme un peu coincée. Elle a toujours refusé cette proposition, tout comme elle a toujours refusé de tailler une pipe à son époux. Même la sodomie.Devant cette situation, une idée germe dans l\’esprit d\’Alain.-Mince ma chérie, il n\’y a plus de place, dit-il. Assied toi sur les genoux de Morgan, ça te dérange pas Morgan?-Pas du tout, si Marion est d\’accord, pas de problème.Marion foudroie son mari du regard, se sent rougir. Surtout que de tous les invités, c\’est celui qu\’elle connait le moins, et ce n’est pas le moins séduisant.Marion est vêtue d\’une mini jupe, et d\’un chemisier assez moulant. Les bouts de ses seins tendent le mince tissu. Les boutons sont prêts à craquer.Un peu à contrecœur, et ne voulant pas faire de scandale, elle s\’installe sur les genoux de Morgan, essayant de cacher ses cuisses en tirant sur la mini jupe, en vain. Elle est vraiment gênée. Morgan le remarque.Quelques verres pus tard, l\’attitude de Marion change. Elle est plus détendue, allant même jusqu\’à passer un bras autour du cou de Morgan. Elle ne repousse pas non plus la main qui lui caresse le dos, lui donnant des frissons le long de l\’échine. Elle ne porte pas de soutien-gorge.Morgan sent le volcan qui sommeille dans le corps de Marion. Il suffit de le faire rentrer en irruption, car il sent la femelle insatisfaite.Soudain, elle sent quelque chose de dur qui se tend contre ses fesses. Elle devine de suite ce que c\’est.\"Le salaud, se dit-elle, mais il bande. Il a l\’air d\’avoir un joli calibre\".Elle prétexte une petite envie pour sortir de cette situation gênante. Alain la rejoint aux toilettes. Il glisse une main sous la min jupe de sa femme, et lui caresse la chatte. Elle est dotée d\’un clitoris assez proéminent.-Arrête ça, gronde-t-elle, ça va pas… voilà... je commence à mouiller…il faut que je me change maintenant.-Tu n\’as qu\’à rien mettre, sourit Alain, connaissant Morgan,ça le gênera pas.Décidément, toutes les occasions lui sont bonnes pour que sa femme se fasse prendre. Mais elle ne trouve pas l\’idée inintéressante. Quand ils reviennent au salon, chacun reprend sa place. Marion s\’aperçoit que la queue de Morgan est toujours en érection. Heureusement qu\’il y a la jupe. Mais tout ça commence à l\’exciter, elle sent une agréable chaleur envahir son ventre. Machinalement, elle frotte ses fesses contre le membre durci de Morgan. Dans son cou, elle sent son souffle qui s\’accélère.D\’un coup, un liquide chaud traverse la mini jupe. Il vient d\’éjaculer. La tuile. Il faut vite trouver une solution. Marion ne se démonte pas. Elle prend son verre sur la table basse, et, en se retournant, fait mine de perdre l\’équilibre, renversant volontairement sur le bermuda de Morgan.-Oh mon dieu, que je suis maladroite, dit-elle, excuse moi, qu\’elle idiote.-Hé bien, reprend Alain, passe lui un de mes caleçon, il peut pas rester comme ça.Pendant que Morgan se change, Marion met ses vêtements à sécher. D\’ici qu\’il parte, ils seront secs. Ils se croisent dans le vestibule, et se lancent un regard coquin, voire vicieux. Morgan la sent prête à craquer. Ils reprennent leur position sur la chaise, mais il n\’y a plus de string, ni de slip.Vers une heure du matin, Alain raccompagne les invités sur le pas de porte. Morgan attend ses habits. Marion n\’a pas bougé d\’un poil, comme si elle attendait un geste de la part de Morgan. Il va faire plus qu\’un geste. Il lui tourne la tête, la fixe droit dans les yeux, et l\’embrasse tendrement.-Vas-y, murmure-t-elle, baise-oi, j\’ai envie de toi.-Mais tu es folle, répond-il, si Alain nous surprend.-Tu serais peut être surpris de sa réaction, sourit-elle.
Elle enroule ses bras autour de son cou. C\’est elle maintenant qui force ses lèvres avec sa langue. Le baiser est sulfureux. Les boutons du chemisier volent en éclats. Les petits seins, très durs, sont provocants en diable. Les bouts, durcis par le désir, vibrent entre les doigts de Morgan. L\’autre main part entre les cuisses, remonte la jupette autour de la taille. Marion est totalement écartée, le clitoris entièrement décalotté, est dressé telle une petite quéquette. On entend le bruit des langues qui se fouillent. La main de Marion fait des mouvements de branle sur la queue en érection de Morgan. -Faut pas vous gêner, dit Alain, je vous dérange pas au moins? Salauds.-Oh mon chéri, te fâche pas, en fait j\’assouvis un de tes phantasmes. Tu voulais bien que ta femme se fasse niquer par un autre homme en ta présence? Regarde comme il a une belle queue, comme il la frotte contre mon gros clitoris.-Allez, poursuit Morgan, tu peux bien offrir un moment de plaisir à ta gentille épouse. C\’est pas pour ça qu\’elle ne t\’aime pas. Elle a juste besoin d\’un bon coup de queue.Regarde comme je la fais mouiller.-C\’est vrai que j\’ai toujours rêvé de ça, avoue Alain. Mais là, je suis un peu pris de court, mais si ça te fais plaisir, vas-y.-Oh mon chéri, tu es un amour. Je pourrai lui tailler une pipe aussi?La queue, d\’environ vingt centimètres, ouvre déjà les lèvres intimes de Marion. C\’est elle qui finit de l\’avaler en s\’y empalant dessus. Elle ondule du bassin pour finir de l\’a mettre en place.-Ah...regarde comme ta petite femme se fait bien niquer... oh putain...que c\’est bon...depuis que j\’avais envie de me le faire mettre par une grosse queue... tellement envie, que je vais pas tarder à jouir…Morgan prend du plaisir aussi. D\’une main, il joue avec le bout des seins, de l\’autre, il saisit le clitoris, qui a atteint deux bons centimètres, et le fait rouler entre ses doigts.-Hou...si tu savais comme il est doué ce salaud...regarde comme il s\’amuse avec moi…viens mon amour...allons au lit, j\’ai envie que tu me prennes...Alain accuse le coup. Il ne dit rien quand Morgan entraine sa femme à la chambre. Après tout, c\’est ce qu\’il voulait. Il colle son oreille à la porte, tant pis si ça fait mal. Et il va avoir mal, jusqu\’à en pleurer. Pour enfoncer le clou, les amants laissent la porte entrouverte, pour qu\’il puisse assister à leurs ébats amoureux. Les ébats vont être sulfureux, torrides.Morgan est allongé sur le dos, la bite en érection. Après l\’avoir bien excitée avec la langue, Marion l\’enjambe. Elle frotte le membre contre ses lèvres humides pour le couvrir de mouille, et le fait coulisser dans sa chatte, en poussant un cri de plaisir.-Oh putain...ça c\’est de la queue...tu vas voir comme je vais bien te la sucer après...comme je vais tout avaler...-Calme toi ma chérie, on a toute la nuit...je suis pas assez chaud encore.-Je vais t\’échauffer et t\’éteindre bandit...tu vas ressembler à une carpette..Pauvre Marion, elle ne sait pas sur qui elle est tombée. Un amant particulièrement vicieux, performant, dominateur. Alain ne perd rien des scènes extra conjugales de sa femme. Elle ne sait jamais donnée comme ça à lui, il ne l\’a jamais faite crier comme lui le fait. Abattu, il s\’effondre sur le canapé, et s\’assoupit. Les deux amants, ignorant sa souffrance, passent à la vitesse supérieure. Morgan est phénoménal. Marion ne peut pas suivre. Elle se fait prendre dans toutes les positions. Il ne manque que le petit trou, une lacune qui va être vite comblée. D\’autant que c\’est l\’endroit préféré de Morgan. Il dit qu\’une femme qui se fait prendre au petit, est une femme soumise.Marion est proche de l\’épuisement, mais elle ne veut pas abandonner, l\’orgueil féminin. Elle se met en place, et attend le mâle. Morgan promène deux doigts dans la chatte pleine de mouille de Marion, et humidifie le petit orifice. Elle est écartée au maximum. Alain, entendant les cris de sons épouse, reprend sa place de voyeur.-Ah…comme tu m\’encules…salaud...tu vas me déchirer…-Ton mari te fait pas ce que je te fais, hein? Il te nique pas comme ça...pourtant tu aimes te le faire mettre...petite pute...vas-y...bouge ton cul...Morgan fait dire ce qu\’il veut à sa maitresse, l\’oblige à humilier son mari sur ses performances. Elle est à la merci de cet homme qu\’elle connait à peine, mais qui la rend tellement heureuse.-Oh oui j\’aime ça...et puis, elle est plus grosse que la sienne...ha...dis salaud...tu te vides les couilles là…vas-y...fais toi plaisir...ha...moi aussi je viens...c\’est la quatrième fois que je joui...ha...oui…Il est six heures du matin quand Marion et Morgan vont prendre une douche. Alain entend les soupirs de son épouse, et les rires narquois de Morgan. Ils sortent de la salle de bain, entièrement nus. Morgan porte Marion en position assise. Elle a ses jambes largement écartées et est empalée sur sa queue. Alain aperçoit l\’énorme bite qui fait des va-et-vient dans la chatte de sa femme.-Mon chéri, gémit-elle, regarde dans quelle position il me prend...si tu savais comme il s\’est amusé avec moi cette nuit..tu m\’as entendue gueuler...c\’est un vrai mec tu sais… avec une grosse paire de couilles…Marion bouge tellement, que la queue de Morgan s\’échappe de sa chatte.-Oh non…pas ça...pourtant je te serrais...Alain mon chéri... tu peux la remettre s\’il te plait…maintenant que ça devenait intéressant…Alain, comme hypnotisé, saisit la queue, et la place contre le petit trou de son épouse, après l\’avoir trempée dans sa chatte.-Mais mon chéri...tu veux qu\’il m\’encule...enfin...j\’ai jamais voulu avec toi...mais bon...si tu y tiens...A force de grands coups de reins, la bite sort une deuxième fois. Mais cette fois, Morgan est en train de cracher. Les jets de sperme giclent en direction du canapé, éclaboussant le torse et le visage du mari trompé. Le couple éclate de rire, et retourne à la salle de bains.Il est huit heures quand Morgan quitte l\’appartement.Honteuse, Marion, vêtue d\’un peignoir, s\’approche de son mari écroulé sur le canapé. Elle lui prend tendrement la main.-Pourras-tu me pardonner mon amour, murmure-t-elle. C\’est pour toi que j\’ai fais tout ça.-C\’est vrai que c\’était mon phantasme, répond Alain. Mais tu t\’es offerte sans retenu, sans penser à moi. Il t\’a régalée au moins?-Oh oui mon chéri, c\’est un bon coup au lit. Mais si j\’ai pensé à toi. Je t\’imaginais à côté de nous en train de te taper une petite branlette. Il veut te demander si je peux me donner à lui une fois par semaine. Mais c\’est toi qui décides, tant pis si je suis déçue.-A bon…et toi, tu en crèves d\’envie de te faire niquer. Petite salope. Qu\’il te bouffe la chatte, qu\’il te suce le clitoris, qu\’il te fasse hurler de plaisir, et que je l\’entende. Tu sais bien que j\’ai toujours voulu que tu te fasses baiser par un autre devant moi. Tu as mon accord ma chérie.-Tu es un amour, jubile Marion. Il a dit que tu l\’appelles pour choisir le jour. On a pensé au samedi, comme ça, on pourra se reposer le dimanche, ou remettre ça. Allez, je t\’attends au lit mon amour. Tu as mérité que je m\’amuse un peu avec toi. Je vais te faire une petite gâterie. Mais tu me touches pas, j\’en ai assez pour aujourd\’hui. A oui, autre chose. Il faudrait faire installer des glaces sans tain aux toilettes. Une qui donne sur la chambre, et une qui donne sur la salle de bains. Comme ça, tu pourras mâter ta petite femme en train de bien se faire mettre des coups de queues.Depuis, Morgan passe tout les week-ends à niquer la jeune et belle épouse de son copain.Assis sur la cuvette des WC, Alain fait le voyeur. Au moins, il sait où se trouve son épouse.
