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Tu baiserais une vieille, mon chéri ?

Chapitre 3

Inceste
Suite et fin de cette histoire avec la meilleure mamie du monde...
Être l’amant de sa mamie c’est quand même une situation un peu étrange quand on a 18 ans. C’était pourtant bien ce qui se passait... Elle avait un âge que l’on peut qualifier "d’avancé", 70 ans, j’avais baisé avec elle et je devais avouer m’être bien régalé. A tel point que j’avais une envie monstre de recommencer.
Elle était repassée à la maison quelques jours après notre "première fois".
— Tu n’as pas parlé à tes parents de ce qui s’est passé, j’espère ?— Bien sûr que non mamie.— Tant mieux. Je ne pense pas qu’ils comprennent ce genre de choses. Ils sont un peu coincés parfois... Et avec ta petite copine, comment ça se passe ?— Léa ? On doit se voir la semaine prochaine.— C’est bien ça, mon chéri. J’espère que ça se passera bien. C’est important à ton âge d’avoir une petite amie.
Elle avait raison et en effet Léa me plaisait beaucoup.Mais pour l’instant c’était elle, ma mamie qui était en face de moi et je remarquai qu’elle portait ce jour là une chemisette très légère. Par transparence il me sembla distinguer la masse opulente de sa poitrine... Et pas de soutien-gorge.Elle l’avait fait exprès bien sûr. Elle savait que je le remarquerais, et que ça me plairait. J’aurais en effet volontiers enlevé sa chemise, pris dans mes mains ses gros seins mous, et je les aurais bien léchés. Après ça j’aurais volontiers léché son minou aussi.Mais j’entendis la voix de ma mère dans la cuisine.
— Mamie, Adrien, vous venez manger ?
Ma mamie enfila un gilet par dessus sa chemise, dissimulant ses seins, et descendit avec moi rejoindre mes parents. Pendant le repas, sous la table, je sentis un pied nu s’aventurer sur ma jambe, remonter vers ma cuisse. C’était elle, assise en face de moi. Elle posa ses orteils sur mon entre-jambe, appuya sur ma queue, et remua doucement. Avec habilité elle commença à m’exciter, et rapidement je me sentis bander assez dur. En même temps elle discutait avec mes parents, qui ne se doutaient évidemment de rien. Ce petit jeu dura un moment, une bonne partie du repas même. Ca avait un côté très embarrassant, mais très excitant.Au final je passai la demi heure que dura le repas quasiment tout le temps en érection entretenue par le pied de ma mamie...
Avant de partir, elle vint dans ma chambre me dire au revoir.— Tu veux que je te fasse un petit câlin, mon chéri ? Je t’ai senti bien excité, pendant le repas.
Elle posa sa main sur mon sexe à travers mon pantalon.
— Mamie, il y a mes parents dans le salon, c’est risqué.— Allez, ne t’en fais pas, tes parents ne se doutent de rien ! Allez montre moi ta queue.
Je lui obéis et sortis mon engin, une jolie queue déjà mi dure.Ma grand-mère, admirative, la mit directement dans sa bouche. Il n’y avait pas de temps à perdre. C’était vraiment délicieux, cette sensation d’une bouche chaude autour de mon sexe, quelle superbe invention ! Et ma grand-mère était trop forte à ce jeu.Avec douceur elle m’amena à une érection conséquente, puis accéléra ses mouvements. Très rapidement je sentis que j’allais jouir.
— Vas y, mon chéri, laisse-toi aller dans ma bouche. Je n’ai pas pris de dessert, ça me fera l’effet d’une bonne crème anglaise.
Comparer mon sperme à la consistance et à la saveur d’une crème anglaise était un compliment que j’estimai flatteur. Je connaissais la gourmandise légendaire de ma grand-mère en termes de pâtisseries.Mais parents pouvaient venir à n’importe moment, il fallait aller vite. Il n’était pas dans mon intérêt de résister plus longtemps, et je lâchais prise. Une vague de plaisir me parcourut et j’expulsai mon jus dans la bouche de ma coquine de grand-mère...
— Quel bonheur ! se félicita-t-elle. Tu jouis fort et beaucoup ! Allez viens demain à la maison, on passera aux choses sérieuses.

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Le lendemain j’allais donc voir ma mamie.Elle me reçut fort gentiment, avec du thé et des petits gâteaux. Mais bien sûr elle ne m’avait pas fait venir pour ça. Elle était habillée d’une robe beige à fleur assez quelconque. Après que nous ayons bu notre thé, elle se leva, déboutonna et ouvrit lentement chacun des pans de sa robe. Je restai bouche bée.Par dessous elle n’avait pour tout vêtements qu’un soutien-gorge sexy noir, des bas, noirs aussi, un porte jarretelle. Et pas de culotte. Sa fente, parfaitement épilée, était bien visible.C’était toujours assez impressionnant de voir ma mamie nue. Même si elle était encore très belle pour son âge, à poil elle perdait quand même de sa superbe, avec ses rides et sa peau flaque. Mais une fente reste une fente, et la sienne m’attirait au plus haut point.
— Ca te plait ? me demanda-t-elle— Heu oui mamie...— Tant mieux. Allez, viens.
Elle me prit la main et m’attira vers le canapé. Là elle s’installa confortablement et écarta les jambes, exhibant sa grosse vulve charnue. Elle écarta ses lèvres pour bien me faire voir l’objet du désir.
— Allez lèche ma chatte. C’était très bon la dernière fois. Pour un débutant j’ai pu voir que tu te débrouilles très bien.
Je n’avais bien sûr pas l’intention de refuser la proposition. Je me mis à genoux devant elle et plongeai le visage dans sa vulve. Aurais-je un jour pensé à prendre autant de plaisir à lécher la chatte d’une vieille femme, ma mamie qui plus est ?C’était fou. Elle aussi prenait un plaisir évident à l’opération, toute dégoulinante de jus féminin, d’une odeur sexuelle très forte. Suivant ses indications j’expérimentai les manœuvres les plus diverses, caressant son clitoris, introduisant des doigts dans son vagin, et les ressortant trempés de son jus.
— Tu aimes ça ? Tu aimes jouer avec ma chatte ?— J’aime beaucoup mamie.— Moi aussi j’adore. Mais tu ne feras sans doute pas tout ça avec ta petite copine Léa. Pas tout de suite en tous cas. Elle ne comprendrait pas.
Il était évident qu’avec Léa les choses ne seraient pas aussi simples. Alors qu’avec ma grande mère il me suffisait de venir au dessus d’elle, et la pénétrer. C’était si facile. Et si bon !Je suis alors venu m’installer sur elle, j’ai orienté ma queue vers sa vulve, et je l’introduis dans son vagin. Lentement j’allai au fond. Quel bonheur ! Je commençai alors de délicieux va et vient. J’étais fasciné par cette vision de mon sexe en train de coulisser dans sa vulve. Je pris ses chevilles dans les mains, je les levai très haut et envoyai ma bite plus profondément encore à l’intérieur de mamie.
— Ha c’est bon mon chéri, tu aimes ça, me baiser, hein ?— Oui mamie j’adore !— Alors vas y plus fort ! Je ne suis pas fragile, tu sais.
J’augmentai la cadence de mes va et vient. Le rythme devint endiablé, arrachant à ma grand-mère des cris de plaisir qui devaient sans doute s’entendre depuis la rue. Elle se permit même un peu d’être vulgaire.
— Ha tu aimes ça me baiser comme une grosse salope, hein ?— Ho oui tu es vraiment une belle cochonne mamie !
Après tout les mamies avaient bien le droit de s’envoyer en l’air aussi...
Rapidement je sentis le plaisir m’envahir. Je me retins encore un moment, le temps d’expérimenter plusieurs positions, ma mamie m’ayant interdit de venir trop tôt. Elle était exigeante, voulait de la quantité autant que de la qualité. Elle adorait être prise en levrette notamment, le plus fort, le plus bestialement possible. Quelle santé pour ses 70 ans !Mais peu à peu mes limites furent atteintes et je me laissai aller en elle, avec un indescriptible plaisir.
— Mon dieu, comme tu baises bien, mon chéri ! Ta Léa devrait adorer...
Léa adorerait-elle faire l’amour avec moi ? Nous étions assez loin d’en arriver là. J’étais retourné voir ma copine mais nous n’avions guère échangé plus d’un ou deux baisers. Elle semblait hésitante. Ma grand-mère m’avait prévenu. "Tu sais les jeunes filles c’est parfois compliqué. Surtout si elles sont vierges il faut être patient".
Je trouvais Léa très mignonne et gentille. Mais comment rêver mieux que le sexe avec ma grand-mère ? Lorsqu’elle venait à la maison je savais qu’elle ne mettait même plus de culotte. A quoi cela aurait il servi ? Elle voulait que je puisse avoir accès à sa douce et chaude intimité facilement, sans que mes parents ne se doutent de rien. Et en calculant bien, on connaissait les bons endroits de la maison ou du jardin où il était possible de nous isoler quelques minutes. C’était toujours un tel régal d’introduire ma bite en elle.Ma grand-mère était entièrement disponible, quand j’avais envie, toujours chaude et ouverte.
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Une semaine plus tard je revoyais Léa. Nous sommes allés manger sur une terrasse d’un petit snack à midi, puis nous sommes allés nous balader. En fin d’après-midi elle m’a invité à passer chez elle. Ses parents n’étaient pas là, et je sentais que ça l’arrangeait. Bien installés dans le confortable canapé du salon nous avons commencé à nous embrasser, nous caresser.Léa se leva alors et ce fut elle qui m’attira dans sa chambre. Elle ferma les rideaux, revint s’installer sur son lit et à nouveau nous nous lançâmes dans des étreintes et caresses passionnées.Je compris que je pouvais y aller, qu’elle avait envie de faire l’amour.
Elle se déshabilla, et pour la première fois je découvris son petit corps. Mais je constatai qu’elle était toute fluette, presque maigre. Ses seins étaient petits, ses fesses trop menues. Quelle différence avec le corps généreux de ma mamie !
Suivant ses conseils, j’avais pris des préservatifs. J’orientai alors ma queue vers la petite chatte étroite de Léa. J’eus un peu de mal à rentrer. Léa finit par se détendre un peu mais ce ne fut pas le pur bonheur que j’attendais. Elle s’avérait être très pudique.Pour la première fois je faisais l’amour avec une autre femme que ma mamie. Et hélas ce n’était pas l’extase...
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Quelques jours après ma grand-mère repassa à la maison.
— Coucou mon chéri. Alors, raconte moi, avec ta Léa. Ca y est, vous avez fait l’amour ?— Oui.— Bravo ! Je suis fière de toi. Elle a aimé ça ?— Oui, je crois.— Tu n’as pas l’air enthousiaste, mon chéri.— C’était pas génial en fait. Bien moins bon qu’avec toi, mamie.
Son visage s’empourpra.— Ha bon? Pourquoi ?— Je sais pas, mais je n’étais pas subjugué. J’étais un peu tout mou. Alors qu’avec toi je suis toujours tellement excité ! J’adore tellement tes seins, ta chatte, rien que d’en parler j’ai envie de les bouffer !— Merci du compliment, mon chéri... Mais je suis ta mamie. Tu ne peux pas baiser juste avec moi toute ta vie !— Je sais. Mais pour l’instant c’est de ça dont j’ai envie.— Tu es si gentil. Je suis désolée si ça ne s’est pas bien passé. Mais ce n’est pas grave. Ca ira mieux une autre fois. Ou alors tu trouveras une autre copine. Tu es encore jeune.
Elle s’avança vers moi, posa sa main sur ma queue.— En attendant, déshabille-toi...
Elle retira sa chemise, sa jupe, sa culotte. Et s’offrit à moi.
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Épilogue
Ma mamie et moi avons continué à baiser ensemble assez longtemps, plusieurs années. Elle m’engageait à multiplier mes connaissances féminines, mais tant que je n’avais pas connu le grand amour, elle continuait d’être là pour moi.
Elle m’avait même proposé dès l’été suivant d’aller en vacances avec elle, pour une destination que nous avions gardée secrète : le Cap d’Agde, et le centre naturiste en particulier. Ma grand-mère ne l’avait avoué à personne, mais elle aimait bien aller dans ce lieu livré au libertinage (loin des idéaux des premiers naturistes baba cool, mais tellement plus excitant). Elle savait que dans ce lieu il n’y aurait jamais de jugement sur son âge. Elle avait l’habitude de baiser avec plein d’hommes jeunes ou moins jeunes, qui voyaient en elle une maman ou une grand-mère, c’est selon... Et en retour, par la même occasion, elle me permettait de baiser plein de femmes, elles aussi plus ou moins jeunes.
Je me rappelle d’un après-midi où elle avait invité deux vieilles amies du village naturiste. Elles étaient là, à poil, à prendre le thé sur la terrasse de l’appartement que nous avions loué.Lorsque j’ai vu les regards concupiscents des deux amies, j’ai compris que j’allais y passer. Ma grand-mère leur avait vanté mes capacités et mon habilité avec les femmes, et elles avaient l’intention de vérifier si tout cela était vrai. Ce contre quoi je ne voyais aucune objection. La moyenne d’âge de ces dames était de 65 ans, mais elles avaient la forme physique et la libido de filles de 25 ans...Si je les avais rencontrées dans la rue, jamais je ne me serais imaginé qu’elles se seraient révélées êtres de telles tigresses enragées, avides de sexe trash. Conjuguant leurs efforts avec ceux de ma mamie, elles se montreraient au final incroyablement efficaces pour extirper de mes bourses la moindre goutte de mon sperme...Jamais je n’eus autant de plaisir, et jamais plus je ne douterai des capacités des grand-mères de cet âge lorsqu’il s’agissait d’apporter du plaisir à un homme.
Et puis un jour, quelques années après, ma mamie finit par fatiguer. Cela commença avec une méchante fracture de tibia et une immobilisation qui la laissa bien moins en forme pour nos parties de jambe en l’air. (Quoi que, même allongée, avec une jambe dans le plâtre, elle était bien partante pour se faire baiser de temps en temps) .Suivirent alors d’autres menus problèmes de santés. Ma mamie n’était plus toute jeune.
— Trouve toi une amie, me demanda-t-elle. Tu as l’âge de d’installer, avoir des enfants si tu veux...
Je n’avais pas l’intention d’aller si vite, je n’étais pas pressé. Mais même si cela arrivait, même si un jour je m’installais en couple, je savais une chose : même vieille, même immobilisée, ma mamie resterait la première femme de ma vie et la meilleure suceuse du monde...
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