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Baison baisons c'est le plaisir des dieux

Chapitre 1

Inceste
Voici les vacances de printemps. Notre père est en déplacement professionnel pour quelques jours.Maman nous propose:
« Il fait beau si nous allions pique niquer?
Nous? Il s’agit de notre mère, Claudine 39 ans, institutrice , de mon frère Julien 18 ans en terminale S, et moi même Sandrine 19 ans en 2ème année de fac de sciences.
L’idée nous paraît super et et après quelques préparations culinaires nous mettons une salade de pâtes, un saucisson, du pain, une excellente bouteille de vin du Sud Ouest et des fruits dans un panier, et hop! en voiture pour aller vers un lieu paradisiaque qui s’appelle « le paradis » (véridique). C’est une petite colline boisée qui domine le lit de la rivière locale.
Sous les branches majestueuses d’un arbre qui nous protègent du soleil, nous installons un plaid et nous déjeunons tout en discutant. Le vin aidant nous plaisantons en nous moquant gentiment de quelques unes de nos connaissances.
Lorsque le repas est terminé mon frère propose une promenade digestive. J’accepte, mais notre mère préfère une petite sieste. Lorsque nous sommes suffisamment éloigné, Julien m’attire derrière un bosquet et me roule un fantastique patin auquel je réponds en introduisant ma langue dans sa bouche. Nos mains partent à l’exploration de nos corps, que nous connaissons par cœur. Je passe ma main par la ceinture de son pantalon et lui caresse le chibre qui présente une érection conséquente ce qui ne m’étonne pas car durant tout le repas je me suis arrangé pour qu’il puisse mater sous ma jupe...et comme je n’ai pas de culotte!! Bien entendu ses mains sont allées à la rencontre de ma chatte velue et caresse ce triangle frisé et d’un noir de geais ( nous sommes d’origine méditerranéenne) .
Je défais le bouton de son futal, je sors sa queue et je commence à la sucer comme je sais qu’il aime, alternant des suçotement du gland et des abouchements de toute sa bite les lèvres venant affleurer les poils du pubis. Bien entendu mes mains ne sont pas inactives et je caresse avec beaucoup de plaisir ses couilles pleines. Je sort un instant son braquemard de ma bouche pour lui demander:
« Mets moi un doigt dans la chatte et un dans le cul et branle moi.Sitôt ses doigts en moi je mouille comme une fontaine et je sens ma cyprine couler le long de mes cuisses.
Enfin, Julien me retourne, soulève ma jupe et me pénètre en levrette. Lorsque la jouissance arrive nous faisons un effort fantastique pour ne pas hurler afin que maman ne se doute de rien.Puis nous nous relevons, nous nous essuyons avec des mouchoirs en papier, nous réajustons nos vêtements et nous sortons du bosquet comme si notre promenade venait de prendre fin.Sur le chemin qui nous ramène vers notre mère je fais remarquer à mon frère comme elle est encore magnifique et attirante.
« T’as raison elle m’a toujours plu elle aussi. Tu crois que nous pourrions l’inviter à nos jeux?
« On peut toujours essayer, discrètement.

« Alors les enfants cette promenade était agréable? Pas trop fatigués?
« Heu, non non, mais toi tu n’as pas peur de rester toute seule et de t’endormir?
« Qui pourrait m’ennuyer? « Un satyre peut être.
« Ma chérie, crois tu que les satyres s’intéressent à une femme comme moi? Ou alors il faudrait qu’ils soient très excités … Peut être d’avoir mater deux jeunes gens en train de faire l’amour!!
Cette remarque me déstabilise. Je regarde Julien qui ne sait pas où porter son regard,je réussi à répondre:
« D’abord tu es une femme très désirable, tu es magnifique.
« Merci ma chérie mais tu sais j’ai bientôt 40 ans.
« Mais c’est l’âge de la plénitude. Je suis sûre que Julien rêve d’une femme dans ton genre. N’est ce pas mon cher petit frère?
Julien est de plus en plus troublé il déshabille maman du regard. Je lui fais signe et nous nous asseyons de part et d’autre de maman, qui en rajoute une couche:
« Remarque, si j’avais assisté à ces ébats entre 2 jeunes gens magnifiques je serais prête à me laisser faire par n’importe quel satyre!
Je vois alors Julien qui, comme hypnotisé, avance sa main vers les jambes de notre mère et la pose juste au dessus du genou. A ce contact Claudine à une réaction épidermique mais se tourne vers mon frère avec un grand sourire. Elle plonge son regard dans celui de Julien qui semble attendre une autorisation. Je comprend que cette autorisation est donnée lorsque la main remonte sous la robe. Afin de ne pas être en reste, je commence à caresser sa poitrine par dessus sa robe, elle se tourne vers moi et me tend ses lèvres. Nous nous embrassons passionnément, puis elle se tourne vers mon frère et de la même façon lui roule un patin d’amour.
Je la vois écarter les jambes et je comprends que Julien est en train de lui caresser la chatte.
« Je suis tellement excitée que ma culotte est trempée. Mais je n’ai pas votre culot et je suis gênée que nos ébats aient lieu dehors. Je vous propose de rentrer et une fois à la maison nous pourrons nous livrer à toutes les turpitudes incestueuses qui nous passeront par la tête ou que nos corps réclameront.
Il fallut très peu de temps pour plier nos affaires et nous voilà en route pour la maison.
« Depuis quand tu sais pour Julien et moi?
« En fait je ne savais pas mais je m’en doutais. Et à votre façon de partir vous « promener » j’ai pensé que vous alliez vous donner du plaisir et je suis venue discrètement confirmer mes doutes. Depuis quand êtes vous amants?
« Ça fait un an environ, répond Julien. Je voulais aller chercher un bouquin dans la chambre de Sandrine pensant qu’elle était absente. Et je me suis trouver face à quelqu’un que je ne connaissais pas. Pour moi Sandrine était ma sœur de toute éternité et j’étais devant une femme magnifique, à poil sur son lit, en train de se caresser.
« Il était dans le même état que tout à l’heure quand il rêvait de ton corps. Je l’ai rappelé à la réalité en lui disant que maintenant qu’il me matait si nous voulions être à égalité, il devait à son tour se mettre à poil et se branler. Il a retiré son caleçon, inutile de te dire que sa bite était dressée comme un mat de drapeau. Il a commencé à s’astiquer, puis il s’est approché et pour la première fois nous avons fait l’amour ensemble. Depuis toutes les occasions sont bonnes pour nous caresser, nous sucer, baiser dans toutes les positions.
« Je crois avoir remarqué que tu ne portes pas de culotte?
« Oui et j’adore ça. Lorsque on a essayé il est difficile de revenir en arrière. Il n’y a qu’à la fac où j’en mets une de peur de mains baladeuses. Je t’assures maman, tu devrais essayer de rester à poil sous tes robes et tes jupes c’est agréable et même jouissif.
« Pourquoi pas, je vais essayer tout de suite,
Et maman retire sa culotte et la confie à son fils,
Pendant tout le voyage de retour, Julien ne sait pas ou donner de la main et de la langue entre ma chatte, celle de notre mère, mes nichons (sans soutien gorge bien entendu) et sa queue qu’il a sorti et qu’il caresse de temps en temps.
Heureusement le voyage est de courte durée, sinon je pense qu’il aurait éjaculé.
Arrivés à la maison, nous n’avons pas pris la peine de vider la voiture. Sitôt la porte fermée nous nous sommes déshabillés , ou plutôt nous avons arraché nos vêtements, et pour la première fois nous avons pu admirer notre mère entièrement nue.
Elle a des seins splendides, un peu plus gros que les miens. Les aréoles sont foncées et les tétons longs et durs. Sa chatte est magnifiquement poilue, mais ça je le savais car nous avions un jour discuté de cette fichue manie qu’ont les femmes (et les hommes) de s’épiler le sexe aujourd’hui et nous étions arrivé à l’idée que ces envies de sexes rasés viennent alimenter des fantasmes pré-pubères.
Elle s’est allongée sur le tapis du salon bras et jambes écartées nous laissant admirer ce corps dans lequel nous avons commencé à vivre il y a plusieurs années,
« Quelle splendeur maman dit Julien, ton corps offert appelle les caresses, viens Sandrine nous allons faire jouir notre mère rien qu’en la caressant.
Nous nous sommes installés de part et d’autre de ce corps livré aux plaisirs et nous avons commencé à le caresser simultanément. Sans nous donner le mot nous avons choisi de prodiguer les mêmes caresses sur « notre partie de corps ». C’est ainsi qu’après avoir caressé chacun un sein nous avons approché notre bouche de ces tétons qui nous avaient nourris et c’est comme si nous leur redonnions en plaisir ce que nous avions reçu en lait.
Maman commence à se tortiller et à émettre des soupirs de contentement. Nous délaissons ses mamelles pour lécher son corps par petits coups de langues en dirigeant notre bouche vers la source de tous les plaisirs. Arrivés à la limite de la toison il a fallu qu’un de nous de dévoue pour abandonner la fente maternelle aux bons soins de l’autre. Peut être par galanterie Julien me dit:« Je t’en prie sœurette à toi l’honneur.
Folle de bonheur j’ai approché ma bouche de cette caverne des délices et j’ai léché, sucé, mordillé le con maternel. Les soupirs sont devenus gémissements et ma bouche est inondée des sucs de la jouissance de maman. Julien est remonté avec les mêmes coups de langue qu’à l’aller, jusqu’à la bouche pulpeuse de notre génitrice et ils se roulent un patin prodigieux.Puis comme je ne suis pas égoïste je dis à Julien :
« Allez, à ton tour de te régaler de la chatte de maman.
Et il passe des lèvres du haut à celle du bas les yeux remplis d’une promesse de plaisir. Je sais que Maman va aimer, je connais les qualités de gamahucheur de mon coquin de frangin.
Et en effet ses cris redoublent d’intensité.
«Hooo! mes chéris pour me faire définitivement partir branlez moi la chatte et le cul en même temps, je vous en supplie
Je n’imaginais pas ma mère aussi chaude, aussi coquine et disons le, aussi salope.
Mon excitation est à son comble lorsque mes doigts réinvestissent sa chagatte et Julien doit être dans le même état en s’occupant du trou du cul. En quelques allers-retours maman explose littéralement, et après un hurlement s’écroule comme anéantie.
Julien bande comme un âne, j’ai la chatte trempée et je ne peux pas empêcher ma main (mais je n’ai pas vraiment envie de l’empêcher) de venir caresser mon entre jambe.Notre mère semble retrouver ses esprits et ses yeux passent de la queue de Julien encore fière et dressée, à ma main farfouillant dans ma toison. A nouveau son regard s’allume et je l’entends nous dire:
« Les enfants, voulez vous me faire encore plaisir? J’aimerai vous regarder faire l’amour sans avoir besoin cette fois de me cacher dans des buissons.
« S’il n’y a que cela dis Julien, nous sommes prêts à nous sacrifier pour le bonheur de notre maman!
J’approuve et propose:
« Allons dans la chambre des parents ça m’excitera encore plus une baise incestueuse dans le lit conjugal.
Nous allons dans cette chambre à la porte de laquelle j’ai souvent tendu l’oreille la nuit pour écouter les ébats parentaux.
Nous nous allongeons sur le lit et maman s’installe dans le fauteuil les jambes par dessus les accoudoirs exposant ainsi sa fourrure au milieu de laquelle on devine sa fente rosée,
Julien et moi commençons par nous caresser en lorgnant du côté du fauteuil, puis lorsque le plaisir deviens plus intense, nous nous mettons en 69 et j’avale cette tige adorée en caressant les couilles pleine. Bien entendu sa langue ne chôme pas et investit totalement mon con. Quand nous sommes au bord de l’explosion la queue de Julien me pénètre dans la position du missionnaire. J’aperçois du coin de l’œil maman qui se lève et s’approche de nous, puis ne la voyant plus je comprends qu’elle matte de très prés cette merveilleuse pénétration. Cette idée m’excite terriblement et je hurle à Julien de m’inonder, de m’arroser de son foutre. Après encore quelques va et vient, dans un rugissement quasi bestial ses couilles se vident dans mon vagin.
Dans ces derniers instants j’avais oublier ma mère et c’est en reprenant ma respiration que je l’entends geindre. Elle est bien sur en train de se branler et rapidement elle jouit une nouvelle fois.Puis elle nous rejoins sur le lit, nous nous embrassons tous les trois passionnément et rompus de fatigue nous nous assoupissons dans les bras les uns des autres.
C’est le téléphone qui nous sort de notre sommeil. Maman va répondre et nous comprenons que c’est notre père.:
« Oui mon chéri tout va bien et tout se passe merveilleusement bien avec les enfants. Nous avons beaucoup de plaisir à être ensemble et nous en aurons encore plus lorsque tu seras là. Ha bon mais c’est une excellente nouvelle! Alors à demain mon amour. Oui oui j’embrase les enfants pour toi ...et même pour moi. Non non tu comprendras demain. Bonne nuit à toi aussi.
« Les enfants, votre père rentre demain, son travail s’est terminé plus rapidement que prévu et il sera en vacances le reste de la semaine.
« Mais maman nous n’allons plus pouvoir faire l’amour tous les trois?
« Mais si, au contraire nous aurons un partenaire de plus, je n’aurai aucun mal à le convaincre. Votre père pense comme moi, qu’en amour il n’y a aucun tabou, aucun interdit, à partir du moment où ça se passe entre adultes consentants.
« C’est super maman, moi qui ai toujours rêvé de voir la bite de papa bandée! et nous éclatons de rire de bonheur.
« Bon si nous allions préparer quelque chose à manger.
Et c’est à poil que nous allons confectionner et déguster le repas, au cours duquel nous allons bien sur parler de cul.
Une fois la table débarrassée, il commence à se faire tard mais Maman propose « d’en prendre un dernier pour la route ». Proposition qui obtient notre plus total assentiment.
« Viens ma chérie me dit ma mère, bien que je n’ai pas une grande expérience en amours lesbiens je meurs d’envie de te bouffer la chatte.
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