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Bal masqué

Chapitre 4

Travesti / Trans
8-Marion retourna au lycée en jean, basket. Je mesurai la chance d’avoir eu un moment de pure intimité avec elle. Bien sûr, ni elle ni moi ne firent d’allusion à notre après-midi et je crois même qu’aucune de ses copines ne surent ce qu’on avait fait.
Le bac arriva enfin. Je me rendis aux épreuves, assez confiant et résolu à obtenir les meilleures notes possibles pour espérer faire sortir Sarah de son placard. Mais il n’en fut rien malgré ma mention « Très Bien ». Mes parents ne firent aucun cas allusion à la possibilité de me travestir de nouveau. Et j’évitai de la ramener pour ne pas ajouter une nouvelle condamnation à mon sursis.
A la demande de mes parents, je m’étais inscrit dans une agence d’intérim pur trouver un boulot pour l’été et financer mes prochaines études d’ingénieur informaticien. Très vite, on me contacta pour un poste de magasinier au supermarché local. Un métier physique, fait pour ma carrure d’athlète. En d’autres termes, je n’avais pas fini d’en baver.
L’équipe du matin comptait une petite dizaine de membres, de tous les sexes, de tous les âges et de toutes les origines.Martine, la doyenne du haut des quarante ans, faisait office de chef. Je travaillais en binôme avec Driss, une jeune marocain de trois ans mon ainé. Il m’expliqua le métier, me donna tous ses trucs et astuces. On discutait beaucoup ensemble. Parfois, Martine passait et nous rappelait gentiment à l’ordre. Il était venu en France pour finir ses études et travaillait pour les financer. Il était parfois du matin, parfois du soir, parfois les deux. Il avait quasiment terminé et il ne lui restait qu’un stage à faire, stage qui commencerait en septembre.
J’étais affecté au rayon frais. Pas le plus facile. Non pas à cause du poids des produits, mais plutôt de la température. Je naviguais entre chambre froide et les rayons réfrigérés. Fin de la première semaine sur les rotules et le soir, je ne faisais de vieux os allant me coucher avant le soleil. Puis la routine s’installa.
Je terminais ma troisième semaine et je rentrai enfin pour prendre une douche relaxante. — Tu ne veux pas accompagner ta sœur ce soir ? proposa Maman. Elle est d’accord. Tu n’arrêtes pas de travailler. Sors un peu pour te changer les idées. Je fus tenté un instant de refuser mais si Léa était d’accord pour que je me joigne à sa bande, alors pourquoi pas. D’autant plus que je n’étais sorti en boite qu’une seule fois. Et puis, Léa avait beaucoup de copines.
Il était vingt heures quand j’emboitais le pas de Léa. On se rendit dans Paris où nous attendaient déjà ses copines. Et Nadège. Les deux amoureuses s’embrassèrent passionnément. J’avais beau savoir qu’elles étaient en couple, les voir se rouler une pelle me mettait mal à l’aise. Et elles avaient fait des émules car Alicia et Elodie étaient aussi ensemble. Ce qui réduisit à néant mes espoirs de conclure avec une fille.
On s’installa dans une pizzéria. Mais très vite je me sentis à l’écart. Pas facile d’intégrer un groupe déjà formé. Un groupe de filles qui plus est. Et puis voir Léa galocher sa copine commençait à m’énerver. Lorsqu’on sortit du restaurant, je m’excusai et décidai de rentrer. Léa ne me retint pas, trop contente de ne plus jouer les baby-sitters.

Je repris le train pour Rueil. La maison était éclairée. Ce qui ne m’étonna pas outre mesure. Mais si la découverte de l’homosexualité de ma sœur m’avait remué, ce que je vis en entrant dans le salon fit l’effet d’un tsunami. Une femme que je ne connaissais pas, quasiment nue, était assise dans le canapé. Entre ses cuisses, une autre femme que je reconnus pour être ma mère. Et pas besoin d’ouvrir Wikipédia pour comprendre ce qu’elles faisaient.
La femme tapota sur l’épaule de Maman et comme elle ne réagissait pas, elle l’attrapa par les cheveux pour l’obliger à se redresser. — Mais qu’est-ce que tu fais là ? me demanda-t-elle. Tu n’étais pas avec ta sœur ?Je fis non de la tête. — Je m’ennuyais, dis-je d’une voix blanche. Je faillis ajouter « pas comme vous » mais je m’abstins. Maman, tout comme son amie, n’était vêtue que de leurs bas retenus par des jarretelles. — Je te présente Joëlle, une amie. Attirés par la discussion, mon père arriva dans le salon suivi par un autre homme. Surement le mari de Joëlle. Les deux hommes étaient nus, leurs sexes encore dressés. — Bon, pas la peine de te faire un dessin, continua Maman. — Non, pas la peine. Je vous laisse continuer. — Dommage, lâcha Joëlle. Je me serai bien tapé un petit jeune. — Jo ! Voyons. C’est mon fils quand même ! — Et alors ? Tu n’es pas obligé, toi. Tu n’auras qu’à regarder.
Je les laissai parler et entrai dans ma chambre. J’hallucinai. Mes parents partouzaient. Entre hommes et entre femmes. Et pire encore, la copine de maman voulait coucher avec moi. Ça ne me faisait même pas bander.
La porte s’ouvrit, laissant passer Joëlle, les seins fermes en avant. — Viens, me dit-elle en me prenant par la main. Je résistai, elle serra ma main plus fort et me tira jusque dans le salon.
Je regardai Maman. Elle souriait. Visiblement, elle était d’accord. Joëlle se mit à mes pieds, défit les boutons de mon jean et libéra mon sexe. Elle l’emboucha. Le souvenir de la fellation avec Marion remonta. Mais très vite, je me rendis compte que Joëlle savait bien mieux s’y prendre.
J’étais dans un état second, incapable de réagir. Une femme que je ne connaissais pas me suçait devant mes parents, complices, qui n’en perdaient pas une miette. Totalement surréaliste ! Comment avais-je pu en arriver là ? Frustration d’adolescent, soirée pourrie, sentiment de pas assez après l’aventure avec Marion. Et on m’offrait sur un plateau en or massif ce que je désirai. Alors, pourquoi m’en priver ? Tant pois pour les convenances et le politiquement correct.
Mon sexe grandit très vite et tout aussi vite, je me vidai sans prévenir dans sa bouche. Surprise, elle recracha ma semence. — Et bien alors mon chéri ! Finalement, ça t’excite, railla Maman.— Désolé, dis-je. — Pas grave mon chou, répliqua Joëlle, indulgente. On ne fait que commencer. Et comme si de rien n’était, elle recommença sa fellation. Cette fois, je résistais plus longtemps. Elle se releva et me regarda dans les yeux. — Tu as déjà fait l’amour ? me demanda-t-elle. Je devins rouge comme une pivoine. — Chérie, dit Joëlle en se tournant vers Maman, tu m’autorises à dépuceler ton fils ? — Je crois que si je t’autorise ou pas, tu vas le faire quand même. — C’est vrai ! Joëlle s’installa dans le canapé, chassant Maman vers le fauteuil après avoir échangé un baiser. Elle écarta les cuisses et de son index, m’invita à approcher. — Montre-moi ce que tu sais faire, dit-elle. 

9-J’étais parti avec ma sœur dans l’espoir de faire connaissance avec une de ses copines. Et final, c’était la copine de ma mère que je m’apprêtais à connaitre. Joëlle était là, offerte, son sexe luisant, obscène. Le mien était tendu, douloureux.
Je m’approchai et timidement, je m’allongeai sur cette femme qui avait l’âge de ma mère. Mon sexe heurta le sien, sensation étrange. Joëlle prit ma queue et la plaça devant l’entrée de sa grotte. Je poussai mon bassin, entrai en elle. Instinctivement, je commençai les va-et-vient. Joëlle me guidait, plus vite, plus doucement, plus profond. Mais je ne pus me retenir très longtemps. — Je vais … dis-je Elle croisa ses jambes autour de moi, empêchant toute fuite. Je jouis en elle. Longtemps. — Merci mon chéri, dit-elle. C’était délicieux. — Je … Merci à vous, surtout. — Maintenant, on n’a plus le droit de te traiter de puceau, dit-elle en riant.
Elle décroisa ses jambes et je me retirai. Maman vint entre ses cuisses et la lécha. — Mais quelle salope ! s’insurgea Joëlle. Il n’y a pas dix minutes, elle jouait les mères outrées et maintenant, elle vient bouffer le foutre de son gosse ! — Bravo fils, je suis fier de toi, dit papa qui nous avait rejoints. — Je suis jaloux, dit le mari de Joëlle. Moi c’est Patrick. Viens t’asseoir. Il tapota l’accoudoir. Je m’assis le plus confortablement possible. — Tu viens de faire l’amour avec une femme. C’est bien. Très bien même. Mais je pense qu’il serait bon aussi que tu découvres l’amour entre garçon. Il termina sa phrase en posant la main sur ma cuisse. Je tressaillis. — Tu sais, continua-t-il, si nous les hommes, on aime regarder deux femmes se faire des câlins, l’inverse est vrai. Enfin, du moins pour les nôtres. Et puis en tant qu’homme, les caresses entre nous peuvent être aussi excitantes que faites par une femme. C’est juste différent.
Patrick ponctuait son discours de caresses, s’approchant doucement de mon sexe, qui malgré moi, frémissait déjà. — Je laisserai ton père te raconter comment il est venu à aimer la sodomie, mais très vite, l’envie de gouter à une vraie queue de mâle s’est faite sentir. Sophie savait par ma femme que j’étais bisexuel et elles ont organisé une soirée pour qu’on se rencontre. J’ai donc initié ton père aux plaisirs entre hommes. Et ce soir, j’aimerai t’initier à ton tour. Si tu le veux bien, évidemment.
— En fait, dit Papa, un soir, ta mère et moi avions décidé de faire l’amour. Et comme d’habitude, elle a commencé par une fellation. Puis on s’est mis en soixante-neuf, elle au-dessus de moi. Tout en la léchant, elle a joué avec mon petit trou. Et étonnamment, mon anus a réagi. Ce qui donné des idées à ta mère. Elle a mis son index dans mon trou et plus elle me caressait et me doigtait, et plus j’en oubliais de m’occuper de son minou. Elle attrapa un vibro et l’introduisit. Les vibrations m’ont très vite fait jouir. La semaine suivante, elle me montra ce qu’elle avait acheté : un gode-ceinture. Et ce soir-là, elle me baisa pour la première fois. C’est devenu très vite une routine, jusqu’à ce que je désire une vraie queue en moi. Voilà, tu sais tout.
Je n’en revenais pas. Papa venait de me déballer en détail, ou presque, toute sa sexualité. Maintenant, je savais à quoi servait toute la collection de godes que j’avais découvert dans l’armoire parentale. Papa et Maman étaient bi et ils aimaient ça. Je venais de faire l’amour à une femme et je n’avais pas été déçu. Patrick continuait de me caresser la cuisse et sa main s’égarait parfois sur mon sexe. En y réfléchissant bien, ce n’était pas plus différent de lorsque je me masturbais. Maman et Joëlle nous regardaient en silence et en caresses. Papa s’approcha et vint sucer le sexe de Patrick. Qui en fit autant avec le mien. Après la fellation experte de Joëlle, je subissais celle de Patrick. Et il était au moins aussi doué que sa femme. Il s’arrêta quelques instants plus tard. — Tu es prêt à aller plus loin ? me demanda-t-il. Je me surpris à répondre un « oui » timide. Joëlle se leva et me prit la main.— Viens, il faut d’abord te préparer.
Elle m’emmena dans la salle de bains qu’elle avait l’air de bien connaitre. Elle me montra comment laver mon anus. La sensation était bizarre, gênante, humiliante presque. Mais mon initiatrice savait trouver les mots pour me mettre à l’aise. J’avais des milliers de questions à lui poser, sur elle, mes parents, elle avec ma mère, mais je les gardais pour moi. Pour le moment.
Nous retournâmes au salon. Papa et Patrick trompaient l’attente en se suçant mutuellement, Maman essayant de prendre sa part. — Toujours d’accord ? demanda Patrick. J’hésitai. Puis je me dis c’était l’occasion ou jamais. Avec ma punition, j’avais compris qu’il fallait profiter de l’instant présent et ne pas remettre à plus tard nos envies car on ne pouvait jamais dire si ce plus tard arriverait. Je n’avais pas plus envie que ça de me faire sodomiser. Mais on me le proposait maintenant. Demain serait un autre jour.— Toujours d’accord, dis-je, la bouche sèche et, tout d’un coup, beaucoup moins sûr de moi.
Papa me laissa sa place sur l’épais tapis installé pour leurs ébats. Patrick joua un long moment avec mon petit trou, le caressant, le léchant. Tout en caresse et tendresse. Et doucement, par étape, fit entrer un doigt, puis deux. Son sexe prit leur place et s’enfonça dans mes entrailles. J’étais incapable de dire si j’aimais ou pas, si c’était bon ou pas. Je me posai trop de questions. Mais au fur et à mesure que mon anus acceptait cette queue étrangère, je me dis que ce n’était pas si désagréable que ça. Plus encore, sentir ses mains sur mes hanches me donnait un côté féminin. Soudain, je m’imaginai habillée en fille, en porte-jarretelles et bas, comme Maman et Joëlle en ce moment. Me faire sodomiser serait la touche ultime de mon travestissement. — Oui, c’est bon, m’entendis-je dire. — Je savais que tu aimerais, répondis Patrick qui accéléra la cadence. Tel père, tel fils !— On peut changer de position ? osai-je demander— Mais bien sûr mon petit, mais bien sûr ! répondit Patrick en se retirant. J’avais déjà vu des vidéos de trans sur les sites pornos et l’idée de me faire baiser en missionnaire, les genoux contre ma poitrine, m’excita grandement. Comme si j’avais fait ça toute ma vie, je me mis sur le dos et ramenai mes genoux contre moi.Patrick revint en moi. Je fermai les yeux, autant pour m’imaginer en dessous sexys que pour savourer les sensations de la pénétration.Patrick continua de me ramoner le cul puis soudain je sentis un liquide chaud se répandre. Mon amant venait de jouir en moi. J’étais au comble du bonheur au point de laisser échapper quelques larmes. Il se retira doucement. — Ça t’a plu ? me demanda-t-il— Beaucoup ! Merci. — De rien mon chéri. — Je peux vous embrasser ? — Tu n’as pas à le demander, tu sais. J’attirai Patrick et posai mes lèvres sur les siennes. J’embrassai un homme et j’aimais ça.
On s’installa dans le fauteuil. Papa, Maman et Joëlle prirent notre place. Papa baisa Joëlle tandis que Maman posa sa chatte sur la bouche de son amie pour se faire lécher.
Papa ramona Joëlle en bonne et due forme. La chatte de maman étouffait les cris de Joëlle qui, selon ses dires, je lui avais donné du plaisir. Je n’avais pas hérité de mon père un sexe aux dimensions honorables. Je me sentais d’ailleurs ridicule à côté de lui et Patrick. Mais personne n’avait fait de réflexion. Papa se retira précipitamment et vint au-dessus de Joëlle. Maman se joignit à son amie pour lécher le membre palpitant jusqu’à ce qu’il inonde leur visage de sperme gluant. Elles finirent de le nettoyer consciencieusement avant de se lécher la figure mutuellement. Une scène digne des meilleurs films X.
Les deux femmes se lovèrent l’une contre l’autre, échangeant caresses et baisers. Papa s’affala dans le canapé, essoufflé. Quelque chose me disait que c’était à nous d’entrer en scène. Je m’enhardis et décidai de sucer Patrick. Il ne fit aucun commentaire, se contentant de me laisser faire. Je jouai avec son sexe, le gland lisse, son membre aux veines légèrement saillantes. Je tentai de l’avaler en entier, mais je ne réussis qu’à me faire tousser. — Va doucement, chaque chose en son temps, conseilla Patrick. On se mit en soixante-neuf à côté de Maman et Joëlle. Je me découvris des penchants bisexuels qui me plaisaient beaucoup. — Tu me refais l’amour ? demanda Joëlle. — Oui, avec plaisir.
Cette fois je la besognai en levrette pendant qu’elle gougnottait la chatte de Maman qui me regardait faire. Puis je sentis Patrick se coller dans mon dos, son sexe contre mes fesses. Je m’arrêtai, planté dans le vagin de Joëlle. Patrick me pénétra à nouveau. Puis se retira, s’arrêtant juste à l’orée de mon petit trou. Je repris mes va-et-vient, baisant Joëlle et m’auto-sodomisant sur la queue de Patrick. Divin ! Ensuite, ce fut Patrick qui mena la danse. Entre temps, Joëlle m’avait demandé de changer de porte. Les coups de rein de mon amant se répercutaient entre ceux de Joëlle. Elle cria, je l’imitai, couinant comme une gonzesse. De toutes façon, désormais, j’étais convaincu d’en être une. Même si j’avais un truc en plus entre les jambes.
J’éjaculai en premier, suivi de peu par Patrick.
On se sépara, épuisés. La soirée qui avait commencée par un fiasco, se terminait en feu d’artifices. Je venais de perdre mon pucelage. Mes pucelages. J’avais fait l’amour à une femme, un homme m’avait fait l’amour, j’avais léché, sucé. Une première expérience aux sensations multiples qui ne demandaient désormais d’être explorées plus profondément. Sans jeu de mots. Quoique … Papa ouvrit une bouteille de champagne pour trinquer à mon initiation plus que réussie. — Alors, ça fait quoi d’être sodomisé ? demanda Papa.— Que du bonheur ! — Ça se voyait, dit Maman. — Je me sentais femme, osai-je dire. Et tant pis pour la punition. Personne ne releva l’allusion. Je masquai ma déception. Patrick et Joëlle prirent une douche rapide et s’habillèrent. Ils nous embrassèrent à pleine bouche et quittèrent en nous souhaitant une bonne nuit.
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