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Bal masqué

Chapitre 5

Travesti / Trans
10-Je repris mon travail de magasinier, emmitouflé de la tête aux pieds. Un comble pour un mois de juillet presque caniculaire. Mais j’y étais désormais habitué.
Le samedi arriva très vite. Je me levai pour ma dernière journée de la semaine, en même temps que mes parents. Mais, si moi je partais travailler, eux partaient en vacances. D’abord chez mes grands-parents paternels avant de pousser jusqu’à la côte d’azur, pas loin d’Antibes. Je devais les rejoindre en train à la fin de mon contrat.
— J’ai demandé à un menuiser de passer cet après-midi quand tu seras rentré du travail pour qu’il regarde la porte du placard de notre chambre, dit Maman. Elle ne roule pas très bien. Ton père a jeté un œil mais il n’ rien vu. — Ah bon, d’accord, dis-je étonné. Mes parents partant pour presque un mois, cela aurait pu attendre leur retour. Je gardai ma réflexion pour moi.
Je me dépêchai de rentrer, espérant que le menuisier ne soit pas déjà passé puis reparti. J’attendis donc patiemment, sans prendre de douche que l’artisan arrive. Et comme un âne, je n’avais même pas pensé à prendre ses coordonnées, au cas où. La sonnette retentit enfin. — Joëlle ? demandai-je étonné en voyant l’amie de Maman, et aussi mon initiatrice. Qu’est-ce qui t’amène ? Maman est partie en vacances. — Je sais, dit-elle en entrant dans le salon. Tu m’offres quelque chose à boire ? — Oui bien sûr. Je la suivi, détaillant sa tenue : une robe légère fleurie légèrement transparente, des sandales compensées. — J’attends un menuisier, dis-je pour justifier ma tenue de travail. — Ah c’est l’excuse qu’elle a trouvé ? — Comment ça l’excuse ? — Va te doucher et te changer, je t’expliquerai après.Je la laissai dans le salon, de plus en plus perplexe. Je me douchai et me changeai pour passer enfin une tenue plus adaptée à supporter la chaleur étouffante, regrettant de ne pas mouvoir mettre une de ces robes estivales.
— Ah enfin ! dit Joëlle. Bon, le menuisier était un prétexte pour être sure que je te trouverai chez toi après ton taf. Est-ce que ça te dirais de venir passer le week-end à la maison ? — Comment ça ? demandai-je, cherchant le piège. — Simple : tu prends ta brosse à dent, un pyjama et tu viens dormir à la maison, histoire que tu ne restes pas tout seul. — Pourquoi pas, dis-je, mourant d’envie de poser la question qui me brûlait les lèvres : « est-ce qu’on n’allait faire que dormir ? »— Parfait. Allons-y.
Je récupérai en catastrophe mes affaires et suivis la copine de Maman.
Elle s’installa au volant, remontant sa robe à mi-cuisses. La soirée commençait bien.
On arriva chez elle. Le couple habitait un quatre pièces dans un immeuble récent. — C’est la chambre d’ami, dit-elle Je te laisse t’installer. Ce qui fut rapide. Elle me fit visiter : la salle de bains, les toilettes, la chambre conjugale occupée par un lit immense et enfin la dernière chambre transformée en dressing. Un coup d’œil me fit comprendre que Joëlle était une adepte du talon haut.
On revint dans sa chambre. Ce qui me surprit tout en laissant présager quelques possibles galipettes. Mais là, je rêvais éveillé. — Ta mère t’a dit ce que je faisais comme métier ? — Non, pas du tout, et j’avoue que je n’ai pas demandé. — Je suis esthéticienne.Elle fit le tour du lit, attrapa un grand sac à papier quelle vida sur le lit. Je reconnus mes vêtements de femme, mais aussi mes escarpins, ma perruque blonde et mes faux-seins. — Sophie m’a tout raconté pour toi et Sarah, comment tu avais commencé, ta punition. Même si elle m’avait déjà vu à poil, cette révélation me mit encore plus à nu. J’avais l’impression d’être totalement transparent. — Ça te dirait de redevenir Sarah ? Et comment que ça me disait. Cela faisait six mois que j’attendais ce moment. — T’inquiète, ta mère est au courant. C’est elle qui m’a demandé de m’occuper de toi. — Oui ! Je me sentis revivre. J’allais enfin redevenir Sarah, marcher sur des talons hauts, mettre des jupes légères. Mon corps se mit à frissonner mais pas de froid. Ce qui fit sourire Joëlle. — Ok ! Déshabille-toi. Complètement et rejoins-moi au salon.
Une odeur parfumée envahissait la pièce. Joëlle dépliait une table matelassée comme en trouvait chez les médecins. Elle déroula un film en papier protecteur et me demanda de m’allonger. La cire chaude me surprit mais ce ne fut rien lorsqu’elle arracha la première bande de papier. — Tu vois ce que c’est maintenant quand on dit il faut souffrir pour être belle ! Je ne répondis pas. Elle m’épila intégralement et j’eus du mal à contenir mon érection. D’autant plus que je soupçonnais Joëlle de tester ma résistance par des caresses qui ne disaient pas leur nom. Elle termina en me massant avec une lotion apaisante. — Je te laisse mettre tes faux-seins et enfiler tes dessous. Je retrouvai mon ensemble string soutien-gorge blanc. — Avec la chaleur qu’il fait, il te faut une tenue plus adaptée. Je pense que ça devrait t’aller. Sinon, on ira le changer. On encore le temps avant que ça ferme. Il y avait une petite jupe trapèze fleurie bleue et un haut en mousseline blanc. — Le top c’est pas top, trancha Joëlle. Pourtant, je le trouvais assez joli. — Bon, va falloir y aller, continua Joëlle.
Elle sortit son matériel et un tour de main me maquilla légèrement, concentrant les effets sur mes yeux. Je chaussai les escarpins, enfilait ma perruque et nous sortîmes dans la chaleur du début de soirée. On se rendit au centre commercial de Parly 2, près de Versailles. On resta un moment chez H&M d’où on ressortit avec plusieurs ensembles dont Joëlle en paya une partie. On s’arrêta ensuite dans les boutiques de chaussures. Je voulais essayer des compensées, comme celle de mon amie. Je repartis avec plus une paire de sandales à talons aiguille.
J’étais heureuse.
— Merci Joëlle. — Mais de rien ma chérie. Heureuse de te faire plaisir et encore plus de te voir si rayonnante. J’essuyai une larme d’émotion.
Nous rentrâmes. Patrick était arrivé. Il resta médusé en me voyant. — Joëlle m’avait bien dit que t’habillais en fille, mais je ne m’attendais pas voir une aussi jolie jeune femme. Tu es vraiment très belle et très sexy. — Oui, je trouve aussi, confirma Joëlle. Chéri, tu nous invite au restaurant ? — C’est le moins que je puisse faire pour deux déesses aussi magnifiques.

11-Avant de repartir, Joëlle me proposa plusieurs flacons de vernis. Je choisis un rouge foncé que j’appliquai sur mes petons. Puis je délaissai mes sandales compensées pour celles à talons aiguille.Patrick nous emmena dans un petit restaurant en bord de Seine. La soirée commençait très bien et j’espérai qu’elle se terminerait en apothéose. Je ne fus pas déçue.
A peine rentrés, Patrick proposa un digestif. Je m’installai dans le canapé et alors que j’attendais que Joëlle vienne près de moi, elle se lova dans le fauteuil, non sans me donner une vision sur son intimité couverte de dentelle blanche. Patrick fit le service et vint près de moi. — J’ai déjà croisé des travestis, dit-il. Mais aucun n’était aussi sexy que toi.
Il se pencha vers moi et posa ses lèvres sur les miennes. J’ouvris la bouche et accueillis sa langue. Mon cœur battait la chamade. Il s’écarta mais je ne comptai pas le laisser s’en tirer aussi facilement. Je le suivis et cherchai un autre baiser. Qu’il me donna sans réticence. Je vins me mettre à califourchon au-dessus de lui. Initiative qui le surprit. On s’embrassa longtemps, profondément, goulument. Je sentais son sexe grossir dans son pantalon. Je revins à côté de mon homme, me penchai et dégageai son sexe tendu. Je l’embouchai comme si ma vie en dépendait. — Eh bien, on dirait qu’il était temps ! commenta-t-il.Joëlle ne disait rien, se contentant de siroter son verre de Limoncello tout en se caressant doucement.— Tu t’es entrainée depuis la dernière fois ? me demanda Patrick— Non, pourquoi ? répondis-je en levant la tête. — J’ai l’impression que tu as fait ça toute ta vie. Tu es presque aussi douée que Jo.
Je replongeai sur son membre. Je le suçai un long moment, jusqu’à ce que, sans me prévenir, il éjacula dans ma bouche. Délicieux, même pour ma première fois. Je le suçai encore un peu. J’adorai ça et je me demandai si je n’étais pas en train de virer homosexuel. — A moi maintenant, dit Joëlle.
Je me retournai. Elle avait passé ses jambes sur les accoudoirs offrant sa chatte aux regards et à ma langue. Je me jetai dessus toujours aussi affamée. Je lapai son jus de plus en plus abondant au fur et à mesure que son plaisir montait. Mon sexe dur demandait d’entrer en scène. Je me relevai, fit tomber ma jupe et mon string et sans contrordre, la pénétrai. J’étais trop excitée pour me retenir et je jouis en elle après quelques allers et retours seulement. — Trop bon ! dit Joëlle — Pourtant … — Tu sais ma chérie, la jouissance n’est pas seulement physique.  Te voir sucer Patrick comme tu l’a fait, me bouffer la chatte, m’ont fait jouir trois ou quatre fois au moins. Je suppose que tu as envie d’être prise à ton tour ? Je fis oui de la tête. Nous partîmes toutes les deux préparer nos orifices.
Patrick me sodomisa longtemps. En levrette d’abord puis en missionnaire. J’avais gardé mes sandales. Dans ma tête, je n’étais pas un simple travesti mais une femme à part entière. — Tu me laisse la place ? demanda Joëlle. Patrick se retira et je vis Joëlle affublée d’un phallus en latex de bonne taille. Déjà préparée par Patrick, elle entra en moi comme dans du beurre malgré un diamètre plus large. Je caressai ses seins aux tétons durs, dressés au-dessus de larges aréoles.
Patrick m’offrit son sexe qu’il venait de nettoyer. On changea de position pour revenir en levrette. J’étais baisée et je suçai une queue en même temps. Je sentais les mains de Joëlle sur mes hanches, ses ongles longs s’enfonçant dans ma chair. J’étais de plus en plus excitée, cherchant les coups de butoirs en projetant mes fesses vers les hanches de Joëlle. Je gueulais mon plaisir en deux succions. Patrick bloqua ma tête et éjacula encore une fois dans ma bouche. Mais cette fois, je gardai une gorgée de sa semence, me dégageai de l’étreinte de Joëlle et me retournai pour l’embrasser et partager le sperme. — Je ne sais pas où tu as appris tout ça mais tu es une vraie salope ! me complimenta Joëlle.— Les chiens ne font pas des chats, répliqua Patrick. Sa mère en fait autant. On termina la bouteille de Limoncello que Patrick avait remis au frais. — Merci beaucoup, dis-je. Vous allez me prendre pour une tarée, mais je me suis senti pleinement femme. Je n’étais plus un jeune homme, ni même un travesti. Mais une vraie femme. — On a bien vu, dit Joëlle. Et on a bien sentit ce soir que tu étais vraiment heureuse, radieuse même.
Joëlle alla chercher sa mallette. Elle fouilla et ressortir du vernis, un flacon mystérieux puis ce que je reconnus être des faux-ongles. Une demi-heure plus tard, j’admirai mes mains ornées de magnifiques ongles à la french manucure parfaite. J’embrassai Joëlle tendrement pour la remercier. — Maintenant, il va te falloir apprendre à t’en servir. Et je compris très vite ce qu’elle voulut dire. J’avais déjà vécu cette expérience où le moindre geste anodin se transformait en aventure. Mais je m’en foutais. J’étais enfin moi. Sarah.
On alla se coucher et le couple m’invita à partager leur lit king size. Cette fois, ce fut Joëlle qui subit nos deux assauts simultanés, vidant ce qui restait de jus dans ses orifices qu’on lécha ensuite. — Faut pas gâcher ! pérora Patrick. Je m’endormis entre eux.
Je me réveillai seule. Joëlle entra quelques instants plus tard avec un grand plateau sur lequel était posé le petit déjeuner. — C’était réel ce qui s’est passé hier soir ? demandai-je. J’ai l’impression que j’ai rêvé. — Ah non, je t’assure, c’était très réel. Et très bon. Même Patrick ne s’est pas remis de ta prestation. — Il est où ? — Parti courir. Bon on va se doucher ? J’ai encore une surprise pour toi. — C’est trop ! dis-je sincèrement gênée. — Mais non, mais non. — Bon, bon. Qui passe en premier ? — Pourquoi ne pas y aller ensemble ? proposa Joëlle avec un sourire qui en disait long sur ses intentions
Je lui fis l’amour sous la douche, on s’habilla, on se maquilla et nous quittâmes la maison alors que Patrick arrivait, en nage. — Amusez-vous bien les filles ! dit-il— Oh mais on a déjà commencé, dit Joëlle. — Le contraire m’aurait déçu, dit-il en nous faisant un clin d’œil complice.
Ce qui me libéra de toute inquiétude d’avoir fait l’amour avec Joëlle sans sa présence. On se rendit en centre-ville. Elle se gara près de ce qui était son institut. Puis on marcha jusqu’à arriver devant un salon de coiffure. — Mais c’est fermé le dimanche, dis-je. — Oui, c’est vrai. Mais pas pour moi. Joëlle tapota sur son téléphone. — Laurence est coiffeuse et c’est une très bonne amie. Elle a accepté de s’occuper de toi. — Une amie comment ? osai-je demander. Comme Maman ?— Oh non, tout au contraire. Elle est très hétéro et très fidèle. Mais elle sait que je suis libertine. Avec toutes les avances que je lui ai faites, faudrait qu’elle soit aveugle. La porte s’ouvrit enfin et Laurence, une jolie femme de l’âge de Joëlle et Maman nous laissa entrer. — Donc c’est toi Sarah. Autant te le dire, je sais tout de toi. Donc ne sois pas gênée. Elle retira ma perruque et me tourna autour, regardant ma tignasse avec attention. — Tu me fais confiance ? me demanda-t-elleJe regardai Joëlle à la recherche de réconfort. Elle me fit un signe de tête qui signifiait « oui tu peux y aller les yeux fermés ». — Oui, dis-je.
Je passai plus de deux heures dans le salon et j’en sortis avec une coupe certes courte mais d’une féminité indéniable. Mais Laurence ne s’était pas contenter de modeler mes cheveux à coups de ciseaux et séchoir, elle avait aussi fait des mèches. En deux jours, j’étais passé du jeune homme à la jeune femme. J’étais au comble du bonheur.
Mais il y avait un ombre à ce tableau idyllique. — Comment je vais faire pour aller travailler mardi ? — Comment ça comment ? C’est pourtant simple non ? Tu vas y aller en Sarah ! — Mais mes collègues ? — Encore simple : tu leur expliques tout, que tu te sens mieux en femme, etc, etc, bla-bla-bla et le tour est joué. — Tu crois que ça va marcher ? — Sure et certaine !Je ne partageai pas son optimisme. Mais je profitai de ce dimanche après-midi et de ma nouvelle vie en fille.
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