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Balade à deux en Forêt

Chapitre 1

Erotique
Enfin un moment pour nous !
  Ça fait des semaines, voire des mois que ça n’est pas arrivé ! Pas d’enfants, pas d’obligations rien que toi et moi.
  Pour cette occasion, on fait un petit retour aux sources. Ce nous avions commencé à faire lorsque nous nous sommes rencontrés : une promenade en pleine nature. Je me souviens encore d’un horizon plein de lumière sur la pierre froide, ta main dans la mienne… Pour l’heure, la forêt juste à côté de chez nous, c’est plus pratique.
  Nous voilà donc main dans la main à marcher sur la terre battue. Il a plu la nuit dernière. On distingue quelques flaques çà et là. Les feuilles et les branches nues des arbres luisent de petites gouttes d’eau. On sent l’odeur de la terre et de la mousse humide. Le chant des oiseaux s’élève ainsi qu’une brise fraîche. Une petite discussion anodine sur notre vie, sur les enfants. On croise quelques promeneurs qui profitent comme nous du ciel bleu. Ils annoncent de la pluie pour le reste de la semaine… Nous nous enfonçons dans les bois. Les arbres se font plus nombreux. Les rochers sont couverts de mousses.
L’idée m’effleure soudain de te sauter dessus au détour d’un sentier. La mine mutine, je te demande:
— Ça te dirait que je te suce derrière un arbre. Comme on faisait avant ? — Mmm, mais quelle bonne idée !
  Je me tais. On reprend notre marche.
  J’ai le sourire aux lèvres. La tension sexuelle monte entre nous deux, elle devient palpable, tangible.
  Soudain, n’y tenant plus, je t’attrape par le devant de ta veste pour t’embrasser avidement pour sentir ton désir sur ma bouche, la saveur de ta langue autour de la mienne. Tes mains glissent sur mon pantalon et tu viens me saisir avidement les fesses.
— Ah ce cul ! T’as vraiment un beau cul ma chérie.
Ta main se glisse dans ma culotte entre les globe pour accéder à mon sexe en émois. Ma main trouve ton sexe chaud et tendu en ouvrant ta braguette. Je te caresse doucement appréciant la raideur de ta queue, le satin moite de ton gland.
— Mmm et tu mouilles petite catin !
— Hooo, soupirais-je contre tes lèvres. Oui touche moi encore c’est bon.
Puis une branche semble craquer au loin, nous nous séparons dans la recherche urgente d’un coin plus intime, nous nous éloignons du sentier. Ma main est restée sur ta queue, qui dépasse de ton pantalon dont tu as laissé la braguette ouverte, et la caresse encore. Incapable de rompre tout à fait le contact. Tu souris, coquin et nous recouvres avec ta veste. Plus loin, un rocher mousseux entre deux arbres. Nos bouches se retrouvent comme si elles ne s’étaient pas quittées. Nos caresses se précisent. Après avoir relevé ta veste, je glisse au sol avide devant le trésor que tu me dévoile. Ma bouche vient lécher ta bite sur toute sa longueur, puis s’oriente pour te prendre entièrement. Mon nez entre en contact avec le duvet de ton bas ventre. Quelle sensation !
Tu gémis.
Je commence un va et vient gourmand en t’aspirant fortement. Je salive de sentir le goût de ta peau sur ma langue. Par moments tu t’enfonces un peu plus ta main dans mes cheveux pour que je te prenne jusqu’à la limite du supportable. Ça t’excite ! Tes mains me caressent, me palpent sur mes vêtements, dessous… tes doigts trouvent ma chate et s’y glissent. Je te couvre de mes fluides.
Je me suis mise à quatre pattes pour plus de confort.
Tu effleures plus précisément mon interrupteur qui s’est déployé sous tes attouchements.
— Je suis dessus ?— Oui putains ! C’est bon ! Ne t’arrête pas. — Mmm c’est bien petite salope, prends ton pied et continue à me sucer c’est bien.
Soudain je sens une petite douleur dans ma main. — Aie ! Un truc m’a piqué ! — Ça va ?
Je regarde ma main, à part une légère rougeur, tout semble bien.
— Ça doit être une écharde ou un petit caillou… T’inquiète.
— Tu veux qu’on rentre ? — Ben ça me plaisait bien ce qu’on faisait…
  Je fais la moue un peu contrariée. Dans le même temps je scrute la mousse, incertaine que ce ne soit pas un insecte, j’avais vu un petit scorpion tout à l’heure… Tu me regardes en rajustant tes vêtements. Le dard que je convoite est désormais bien rangé dans ton caleçon.
— Allez viens on bouge.
  Je prends ta main et nous commençons à rebrousser chemin. Je ris en repensant à ce que nous faisions.
  Au détour d’un sentier, une bifurcation… Tu me tires par le bras. Un autre coin tranquille où l’herbe est haute dans un angle de clairière. Ta bouche fond sur moi. Ta langue trouve la mienne et la caresse avec avidité. On ne réfléchit plus. C’est même urgent maintenant. Je me remets à genoux. Je suis juste à la bonne hauteur et mes genoux ne sont plus meurtris par la pierre. Je te lèche brièvement avant de t’avaler tout entier. Ma main accompagne ma bouche sur ta bite, elle effleure ta peau, tes veines qui saillent sous l’engouement. Ma salive abondante coule jusque sur tes couilles. Tes doigts ont retrouvé mon interrupteur dressé. Je gémis la bouche pleine, je frémis sous tes mains. Tu insères un doigt puis deux dans mon antre chaude et humide. Tu fouilles, tu cherches le bon angle, celui qui me fera faire le plus de bruit, celui qui me fera crier. La tension, la peur latente de nous faire surprendre, nous tient malgré tout sans pour autant nous arrêter. Mes allers-retours sur ta verge s’accélèrent. Putain !   Tu durcis encore sous mes assauts. Je sens tes veines qui fourmillent sous ma langue. Puis la voilà venir… ta libération. Tu râles de plaisir quand gicle ton sperme dans ma gorge. Tu continues encore tes cajoleries sur mon clito tout en me remplissant de tes doigts habiles, jusqu’à ce que je me resserre sur tes doigts. Je mets ma main sur ma bouche pour étouffer mes gémissements. Ma mouille dégouline sur tes mains.
  Une fois le plaisir partagé. Nous nous nettoyons succinctement. On se rhabille pour reprendre la balade, nous sourions. Que c’est bon d’être tous les deux.
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