Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire zoo
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 11 J'aime
  • 0 Commentaire

La ballade en campagne

Chapitre 6

Zoophilie
Nous arrivons à l’étable, Bijou est déjà préparé. Marie va vers Eric.— J’aimerai bien avoir Bijou dans mon trou, tu crois que je peux le faire?— Certainement, il est plus gros que Tonnerre, mais le sexe féminin est très souple et accepte des engins de tailles impressionnantes. D’autant que tu as l’habitude de te mettre du très gros. Je te prépare?— Ok, mais si tu vois qu’il y a un problème, on arrête tout.— Ne t’en fais pas, il y a Jean qui sera là.Eric sangle Marie sur le plateau, je me présente entre ses cuisses et lui lèche le minou. Je passe ma langue sur ses lèvres, je lui dégage le clitoris et l’aspire. Marie se cambre, je lui caresse les seins en les pinçant avec mon pouce et mon index. L’odeur de la cyprine envahi mon nez, elle coule comme une fontaine. Elle est très sensible quand une bouche se pose sur son sexe. Voyant qu’elle est prête à recevoir quelque chose dans la chatte, je m’écarte et Eric présente un énorme gode devant sa vulve. Il fait bien huit centimètres de diamètre. Le gland du gode n’est pas proéminent, comme un sexe de cheval, mais le diamètre est assez semblable. Eric appuie sur le gode, celui ci avance doucement dans l’antre de marie. Elle ferme les yeux, soulève ses fesses pour faciliter l’introduction. Je vois cet énorme pieux entrer petit à petit dans ce con splendide qui s’élargie pour le recevoir. Le gode est maintenant à son diamètre maximum et Eric commence des aller-retours pour assouplir et dilater le sexe de Marie. Celle ci, les yeux toujours fermés, se concentre sur son plaisir, ses narines frémissent, c’est le signe qu’elle prend un immense plaisir à cette pénétration.— Je crois qu’elle est prête.Eric avance le plateau vers Bijou, retire le gode au dernier moment et positionne Marie sous le cheval. Le sexe de celui ci touche la vulve de Marie qui a un sursaut de plaisir. Etrangement, le cheval est calme, mais son gigantesque sexe est bien horizontal. Eric pousse le plateau vers le sexe de Bijou, la vulve de Marie se dilate, le sexe se fraye un passage dans l’antre de Marie, les lèvres s’écartent et le sexe disparaît doucement dans le con de marie. Tout à coup, le cheval s’énerve et donne des coup de rein. Heureusement que le système d’Eric est très efficace, l’amplitude du mouvement est réduite et Marie profite de ces aller-retours.— Oui, je le sent au fond, il touche mon col, je suis entièrement remplie, c’est bon, je vais jouir, Jean vient m’embrasser et me caresser les seins.Je m’approche de marie, me glisse sous Bijou et je l’embrasse en lui caressant les seins. Elle me bloque le cou est m’embrasse passionnément. Ma main droite descend vers son clitoris, je pose mon index dessus et Marie est comme électrocutée, son corps se cambre, ses jambes se tendent et se replient dans un mouvement saccadé. Je sent un liquide couler autour du sexe de Bijou, il se vide en elle. Elle lâche ma bouche.— Oui, ça y est, je joui, il me rempli de son foutre, quel pied, je joui, Jean, je joui mon amour, je joui je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.Elle est secouée de spasmes pendant un bon moment, elle redescend sur terre doucement, me regarde avec des yeux clairs et pétillants de bonheur.— Merci d’être là chéri.Je me penche sur elle pour déposer un baiser sur ses seins. Eric la libère, je suis obligé de la soutenir quand elle descend du plateau, ses jambes la soutiennent à peine.Brigitte se jette sur le plateau et se met en position. Son cul est brillant de graisse, elle s’est préparée pour une bonne bite de cheval dans le cul. Eric la sangle. Guy a libéré Bijou et attaché Tonnerre.— Il faudra que je prépare un autre box, ces changements continuels commencent à m’énerver. Il faudra que les deux chevaux soient prêt à honorer leurs hôtes en même temps nous dit Eric.Il pousse Brigitte vers le sexe de Tonnerre. Celle ci n’a pas mis ses pieds dans les étriers, elle replie ses jambes au maximum pour libérer au maximum son cul. Le sexe de Tonnerre entre en contact avec son fion. Eric arrête le plateau, Tonnerre donne des coups de rein et son sexe entre et sort du fion de Brigitte.— Putain quel bite, encore, vas y Tonnerre, met le moi et ressort le,,j’aime, encore.Eric immobilise le plateau, le sexe de Tonnerre continue d’entrer et de sortir du cul de Brigitte. Elle est au bord de l’hystérie, Elle avance son cul vers le sexe de Tonnerre.— Vas y Eric, Enfonces le moi.Eric pousse sur le plateau et le sexe de Tonnerre prend possession du fion de Brigitte.— C’est encore meilleur que je ne pensais, ce mandrin est gigantesque mais j’en veux un encore plus gros. Je joui, je joui, AAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHH, que c’est bon, soeurette, vient m’embrasser.Joëlle se penche sur sa soeur et l’embrasse, ses mains courent sur son corps, Brigitte se cambre, lance son cul sur le sexe de Tonnerre.— GGGGGGGGGGGGGGGGGGGRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRR.Elle gronde sous le baiser de sa soeur. Son sexe dégouline de sperme, Tonnerre s’est vidé.
Eric dégage délicatement Brigitte. Il la laisse sur le plateau car je suis sur le cheval d’arçon, un énorme gode dans le cul, je me suis fait préparé par Marie et Elodie pour Bijou. Je sent mon cul bien dilaté, il ne me fait pas mal du tout, le gode, du diamètre du sexe de Bijou, ne me gène pas, je le sent à peine maintenant que mon cul a bien prit la mesure de l’objet. J’avoue que j’appréhende quand même un peu vu la taille de l’engin, mais Valérie l’a bien prise dans le cul, alors pourquoi pas moi. Elles m’amène vers le box, Guy a changé les chevaux. Je sent Bijou assez nerveux, Il donne des coup de pieds par terre. Je regarde Eric d’un air interrogateur.— Ne t’en fait pas, il piaffe d’impatience, l’odeur qu’il a devant le nez lui plait et il veut saillir une jument.— Et bien, pas de chance, la jument c’est moi.Eric me positionne, enlève le gode que j’avais dans le cul. Valérie se met sous le cheval d’arçon pour être aux premières loges. Mon cul, grand ouvert, avance vers le sexe de Bijou. Celui ci ne bouge pas encore, mais quand il sent sur son sexe ma rondelle, il donne un grand coup de rein et m’empale d’un seul coup. Je prend dix centimètres dans le cul d’un seul coup. Je sent ce mandrin s’enfoncer en moi, une douleur me tétanise pendant quelques secondes, elle disparaît aussi vite qu’elle est apparue et mon cul commence à apprécier ce braquemart. Eric avance un peu le plateau et le sexe de Bijou entre encore plus. Je sent que je peux encore en prendre un peu plus.— Avance encore Eric, quelques centimètres de plus.Le plateau avance encore dans la direction de Bijou, mon cul est maintenant plein, les coups de rein de Bijou me secouent, mon corps est comme un pantin secoué par une force bestiale. Je sent des frissons me parcourir le corps, mes pieds s’électrisent, c’est le signal d’un orgasme terrible. je vais jouir comme jamais, je le sent, je m(y prépare. Le courant électrique monte dans mes jambes, envahie mon ventre, accélère mon coeur et liquéfie mon cerveau. Mon cul est tout ce qui reste de mon corps, il commande, il s’empare de mon être, exige l’obéissance. Le sexe de Bijou se gonfle d’un seul coup et un jet puissant m’envahi le cul, la quantité est telle que ça déborde et que le liquide coule le long des mes jambes. Je suis tétanisé, ma respiration s’accélère, je joui comme je n’ais jamais joui. Je ne sent plus mon corps, je suis dans la stratosphère, je plane, mon esprit n’a plus de repères, je suis parcouru de soubresauts, de tremblements, mais je suis au septième ciel, je ne veux pas redescendre sur terre, je veux rester dans cet état toute ma vie, je joui, je joui, je me liquéfie de plaisir. D’un seul coup, je ne sent plus le sexe de Bijou dans mon cul. Le liquide s’écoule encore plus vite, des langues viennent le recueillir. C’est Joëlle et Brigitte. Je suis écroulé sur le cheval d’arçon, des langues me nettoient les jambes et le cul, deux mains me caressent les fesses, l’une d’entre elle se glisse entre elles et s’introduit dans mon cul qui n’est pas encore refermé, je la sent à peine. Elle ressort, l’autre main se joint à elle et ensemble, elles se présentent à mon fion. Les deux mains jointes s’enfoncent sans problèmes dans mon cul, je les sent écarter un peu ma rondelle. Elles s’immobilisent, attendent que mon cul se referme lentement. Je sent la pression de mon sphincter augmenter. Les mains commencent à bouger, je n’en peux plus, je veux qu’elles m’éclatent le cul, qu’elles me défoncent. Le mouvement accélère, et je part dans une jouissance violente, intense, mais très brève. Mon corps est fatigué. Marie vient m’embrasser, il faut qu’elle se contorsionne car je suis sur le ventre la tête vers le bas.— Ca va mon chéri?— Très bien, très bien, je viens de vivre un très grand moment, je ne savais pas que l’on puisse vivre de telles sensations. je ne sais pas si je recommencerais car j’ai peur de ne pas vivre la même chose la prochaine fois.Une fois calmé, je descend du cheval d’arçon aidé par Marie et je vois Elodie sur le plateau avec Tonnerre dans son cul. Décidément, c’est l’après midi des culs défoncés.Tonnerre donne de grands coup de rein et Elodie crie sa jouissance dans des termes crus.— Putain le salaud il me défonce, il m’encule, vas y met moi ta bite dans le fion, je la veux bien profond, vas y, je te sent sur mon col, défonce moi, encule moi, encule moi, c’est bon, je joui.Elle se crispe, soulève ses fesses vers le ventre de Tonnerre puis s’écroule. Elle penche la tête vers moi, ses yeux sont clos, et son visage resplendi de bonheur.Eric dégage Elodie, la porte sur la couverture sur le foin. Brice la rejoint et ils s’enlacent tendrement.Joëlle a sauté sur le plateau et Marie s’est mise sur le cheval d’arçon. Je regarde Eric.— Marie veux se faire enculer par Tonnerre pendant que Joëlle se fait baiser par bijou, tu crois qu’on peut faire ça en même temps?— Oui ça ne devrait pas poser de problèmes si on les met dans deux box différents. Eric amène Joëlle vers Bijou que Guy a mis en place. Elle s’agrippe au ventre du cheval, tire et s’empale elle même sur le sexe divin. Le cheval donne des coups de rein, juste ce qu’il faut pour faire partir Joëlle au septième ciel.Pendant ce temps, je prépare Marie, je l’enduit de graisse spéciale annal, lui introduit un gode assez important pour bien préparer son fion à la pénétration future. J’amène Marie vers Tonnerre que Guy a positionné dans un autre box. Il l’a immobilisé avec des cordes et l’ensemble me semble fiable. J’amène Marie sous Tonnerre, prend la queue du cheval et la présente sur le cul de Marie.— Oui chéri, vas y laisse le me prendre.Le cheval donne un coup de rein et s’enfonce dans le fion de Marie. Elle se donne en envoyant son cul vers la bite du cheval, je la recule encore un peu jusqu’à ce que je juge que la pénétration est à son maximum supportable pour Marie. — Oui, c’est bon, ça y est il se vide en moi, je suis remplie, je part, je part, je joui, je t’aime.Elle se cambre, se redresse sur ses bras, je me saisi d’un sein et lui pince doucement le téton.— AAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHH oui, oui, oui.Son corps ne la soutient plus et elle s’écroule sur le cheval d’arçon. Je la dégage, la redresse et l’embrasse fougueusement en la soutenant.Joëlle se fait toujours défoncer la chatte par Bijou.— Quelque chose dans le cul s’il vous plait, je veux être défoncée de partout, vite quelque chose dans le cul.Guy prend un gros gode, l’enduit de graisse et le plante dans le cul de Joëlle.— AAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHH oui, que c’est bon, oui, ouiElle joui dans de grands cris, se cambre, se jette sur le sexe de Bijou et sur le gode que Guy tient fermement. Elle retombe sur le plateau. attire son mari et l’embrasse.— Merci chéri, merci.Tout le monde est calme, je me retourne vers Valérie.— Tu ne veux pas quelque chose quelque part? je ne sais pas une bite dans le cul, ou dans la chatte?— Non, ce que j’ai vécu ce matin m’a pleinement satisfaite pour la journée. De plus le spectacle que tu m’a offert était superbe. Cet engin dans ton cul, c’était le pied.
Tout le monde retourne à la bâtisse. Nous prenons tous une douche et nous allons nous reposer un peu.Marie se blotti contre moi.— Nous sommes bien tous les deux, tu ne penses pas mon chéri?— Oui mais je ne peux m’empêcher de penser à notre différence d’age.— On s’en fou, je t’aime, je sais que tu m’aime, c’est le principal.Je le sert contre moi et l’embrasse tendrement. Je ne veux plus penser à rien, je veux vivre le moment présent. Elle se met sur le ventre, et me présente son dos et ses fesses. Je l’embrasse sur le haut des épaules, descend vers ses omoplates, son dos, sa chute de rein, ses fesses. Là elle se cambre un peu, je comprend qu’il faut que je m’attarde. Je lui embrasse chaque fesse, je lèche entre elles, insiste et je fini par atteindre sa rondelle. Elle se saisie de ses fesses, les écartes, je lui lèche le fion.— Oui, j’aime quand tu me fait ça, j’aime, ça m’électrise, ça me calme l’irritation.C’est vrai qu’elle vient de se le faire défoncer. Je la lèche tendrement, je la sent se détendre doucement et au bout d’un moment je m’aperçois qu’elle s’est endormie. Je la regarde dormir avec un sentiment de grand bonheur. En fait je l’aime il faut bien que je l’admette.Nous sommes rentrés le soir. Nous avons passé la nuit chez Elodie et Brice.
La vie a continué, mais ceci est une autre histoire
zoop@gmail.com
Diffuse en direct !
Regarder son live