-Tu n’es pas choqué ?-De quoi ?-De ce que je viens de faire.-Ton chien t’a nettoyé, je ne vois pas ce qu’il y a de mal.-Tu plaisante, mon chien m’a lécher le sexe jusqu’à me faire jouir, et tu trouves ça normal ?-Je dois te dire que j’aurais bien aimé être à ta place, avoir un chien qui me fasse jouir. Tu sais je suis divorcé depuis 5 ans et tu es la première femme avec qui je fais l’amour depuis. Or je ne suis pas resté seul dans mon coin. J’ai une autre sexualité, je suis devenu bi. J’aime faire l’amour à une femme, mais j’aime aussi sentir un sexe d’homme dans mon cul.Elle se redresse, me regarde d’un drôle d’air. Je suis sur le dos, elle m’écarte les jambes et les replies pour dégager mon anus. Elle sort de son sac de l’huile solaire et m’en enduit la rondelle. Elle pose un doigt dessus pour me titiller l’anus. La réaction est immédiate, mon ventre bouge tout seul. Elle introduit un doigt, fait quelques va et vient, un deuxième, un troisième.-Je vois que tu es bien entrainé.-Oui, quand ce n’est pas une bite, c’est un gode qui occupe la place.-Tu as déjà essayé avec un chien ?-Non, mais c’est un de mes grands fantasmes.-Ok, mets-toi à quatre pattes.Je m’exécute, Josette m’enduit la rondelle d’huile solaire, elle entre deux doigts et me pistonne, elle ajoute un doigt puis deux. Elle me pistonne pendant quelques secondes.-Ok, il s’est assoupli. Elle passe sa main sur son sexe pour récupérer son odeur et frotte mon anus.-Flic !Le chien se lève et vient vers elle, il s’approche de mon cul et pose sa truffe sur mon cul. Je sursaute en recevant comme une décharge électrique. Le chien me renifle, il sort sa langue et passe un grand coup des couilles à l’anus. Je sens une onde de plaisir parcourir mon corps. Josette met ma chemisette sur mon dos et tire sur le collier du chien qui, d’un bond, me saute dessus. Je sens son sexe battre entre mes cuisses en laissant échappé des goutes, il donne de grands coups de rein mais ne parvient pas à trouver ma rondelle. Josette le calme, se saisie de son sexe et le présente dans mon cul. D’un coup de rein, Flic me transperce le fion et s’enfonce en moi jusqu’au fond, du moins je le crois. Il donne de violents et profonds coups de reins, son sexe va et vient dans mon antre, je sens mon sphincter être de plus en plus tolérant et faciliter le mouvement. Contrairement à ce que je pensais, je n’ai ressenti aucune douleur lors de la pénétration. Josette se saisie de ma verge et fait de lents mouvements de va et vient. Elle finit par se mettre sur le dos, sous moi.-J’ai toujours regretté de ne jamais te l’avoir fait, mais aujourd’hui, je vais enfin connaitre le goût de ton sperme.Sur ces mots, elle avance la tête et je sens sa bouche m’envelopper le sexe. Flic continue de me besogner quand quelque chose de plus gros vient buter plusieurs fois contre mon cul. Le plaisir monte, je suis dans un état second, mon cerveau est aux abonnés absents, mon corps me réagit qu’aux sensations qu’éprouve mon cul. Je ne réalise pas tout à fait les conséquences de mon geste, mais en sentant le sexe de Flic s’enfoncer en moi, j’ai un violent mouvement de recul, ce qui fait que son sexe va plus loin et sa boule me défonce le sphincter. Une violente douleur me fait crier. J’ai envie de me dégager de ce monstre dans mon cul, mais en même temps de le garder en moi tellement il me remplit. Une fois sa boule enfoncée, Flic se calme, me serre de plus en plus fort avec ses pattes avants, ralenti ses va et vient et se vide en moi. Je sens des jets me remplir le fion, cela ne s’arrête pas, mon cerveau explose dans un grand feu d’artifice et je fini par me vider dans la bouche de Josette. Flic, imperturbable, continue de se vider en moi. Je sens du liquide couler le long de mes cuisses. Je m’immobilise, espérant que Flic en fasse autant, mais il met deux à trois minutes à en faire autant. Il reste sur moi sans vouloir se dégager, ce qui m’étonne. Josette est toujours sous moi, sur le dos.-J’aime ton goût, je regrette d’avoir été aussi conne quand j’étais jeune à me pas vouloir te sucer, pourtant j’aimais bien quand tu me léchais le minou.-Il va rester longtemps comme ça ?-Ne t’en fait pas, il sait qu’il doit attendre que sa boule diminue pour se dégager, je l’ai dressé pour ça. Ça va durer une dizaine de minutes, ça nous laisse le temps de bavarder.-Tu pratique depuis longtemps ?-Depuis que mon mari s’est tiré avec ma sœur, tu sais celle qui sortait avec ton frère.
-Et ça fait combien de temps ?-Douze ans, Flic est le deuxième chien que j’ai dressé pour ça.Josette reste allongée sur le dos les jambes légèrement écartées, moi à quatre pattes au-dessus d’elle une bite de chien dans le fion. J’ai une vue imprenable sur son pubis lisse et bombé d’où émerge à peine son clitoris.-J’ai envie de te lécher ton petit clitoris, le voir là, impudiquement offert devant moi me donne des envies.-Moi aussi, j’ai encore envie de jouir.Elle se redresse et vient devant moi agenouillée. Quand elle arrive à me toucher, elle écarte les cuisses, se cambre en arrière et m’offre sa vulve juste au niveau de ma bouche. J’avance la tête, pose mes lèvres sur son sexe et aspire son jus. Son clitoris vient toucher ma langue, je donne de rapides coups pour l’exciter et je le sens gonfler doucement sous ma langue.-Oui, je vais partir, oui continu j’aime ce que tu me fais.Je continu, ma langue va de la vulve au clitoris en passant par les petites lèvres. Elle se cambre de plus en plus, en écartant les jambes, à tel point que ma langue peut atteindre son anus. Josette a un sursaut au contact de ma langue avec son anus mais ne fait rien pour se soustraire à la caresse. J’insiste un peu et je la sens se détendre en écartant de plus en plus ses jambes.Soudain je sens la bite de Flic glisser et se retirer. Il en profite pour me lécher les jambes maculées par son sperme. Plus libre de mes mouvements, j’agrippe les fesses de Josette et y plonge ma tête. Je lui titille l’anus avec ma langue, l’enfonce le plus possible sans que Josette ne s’oppose à mes gestes.-Oui, j’aime, c’est la première fois, mais continue, j’aime.Elle est maintenant sur le dos, ses jambes écartées au-dessus de sa poitrine, ma tête entre ses fesses. Elle a une forte secousse de tout son corps, elle jouit. Je suis étonné de la voir jouir rien qu’en lui léchant le cul.-C’est la première fois qu’on me lèche le cul, mais que c’est bon, j’ai joui rien qu’en me pinçant les seins.Je comprends mieux, je repose ses jambes sur l’herbe et viens m’étendre à côté d’elle. Flic s’éloigne. Elle se tourne vers moi et m’enlace en posant sa tête sur mon épaule.-Tu as déjà fait l’amour à une femme par-là ?-Que veux-tu dire ?-As-tu déjà sodomisé une femme ?-Oui.-Tu veux bien m’initier ?-Tu ne crois pas que tu vas un peu vite ?-Je suis là avec toi, ça fait plus de trente-cinq ans qu’on ne s’était pas vu, on se rencontre par hasard, on se reconnait, tu es nu au milieu d’une clairière, je me mets nue pour être comme toi, on fait l’amour ensemble, je me fais lécher par mon chien qui te sodomise, tu me lèche le cul, je te demande de me sodomiser et tu demandes si je ne vais pas un peu vite ? Bien sûr je vais vite, mais je ne sais pas si un jour je pourrais de nouveau ressentir toutes ces émotions et j’ai envie d’aller jusqu’au bout aujourd’hui, là, maintenant.-Ok Josie, mais après ce que je viens de ressentir, il va falloir attendre un peu avant de me mettre en forme.-Ne t’en fais pas.Elle se penche sur moi pour déposer un baiser sur ma bouche. Son baiser est léger, virevoltant. Sa bouche quitte mes lèvres pour descendre le long de mon corps. Elle me fait vibrer à chaque bisou sur ma peau. En descendant, Josette se positionne au-dessus de moi. Sa bouche arrive sur mon sexe qui commence doucement à se redresser. Elle le gobe, le suce, l’aspire jusqu’à ce qu’il soit raide. Pendant ce temps, je lui enduis le fion d’huile solaire et lui enfonce deux doigts dans l’anus tout en lui aspirant le clitoris. Josette se redresse.-Je crois qu’il est prêt.Je me dégage et vient me positionner derrière elle qui est resté à quatre pattes. Je présente ma bite sur son fion et m’immobilise.-Oui, tu peux y aller.Je l’agrippe par les hanches et pousse. Son sphincter se dilate doucement et me laisse entrer. Je surveille les réactions de Josette, mais elle se laisse faire sans avoir de sensations douloureuses.-Ça va ?-Oui, continue, continue.Je pousse jusqu’à ce que mon pubis touche ses fesses. Je reste un court instant sans bouger avant d’entamer des va et vient lents et profonds.-Oui, continue, j’aime.Mes mouvements restent lents et amples jusqu’à ce qu’elle donne des mouvements en arrière pour se planter le plus possible sur mon vit. Comprenant son désir, j’accélère la cadence, je sens son cul se dilater au maximum, la résistance est de plus en plus faible. Je sens des doigts sur sa vulve, elle se masturbe en même temps qu’elle se fait sodomiser. Le résultat arrive vite, elle explose dans une violente et sonore jouissance entrainant ma propre jouissance. Son corps vibre de tous ses membres, elle sursaute, elle se crispe et se détend tellement vite qu’elle finit par se laisser tomber par terre en se retournant sur le dos. Flic est venu voir ce qui se passait, il avance sa tête vers l’entre jambe de Josette et sort sa langue pour la nettoyer. Elle se cambre en écartant les jambes pour bien dégager sa vulve et son cul. Sa langue s’enfonce entre ses lèvres, va de l’anus au clitoris. Flic semble prendre un énorme plaisir, son sexe sort petit à petit de son fourreau. Josette se retourne pour se mettre à quatre pattes, Flic comprend et lui monte dessus. En une seconde il s’est glissé sur elle et lui a enfoncé son sexe dans sa chatte. Il a trouvé l’orifice instantanément. Il la pistonne violement pendant qu’elle crie sa jouissance, et son bonheur de se faire baiser par son chien. Flic fini par s’immobiliser au bout de trois à quatre minutes pour se vider en elle. Elle reste sans dire un mot, la tête sur ses bras croisés, le dos rond sous le poids de Flic. Ils restent quelques minutes ainsi, jusqu’à ce que Flic se libère et redescende. Il lui lèche l’entre jambe pour la nettoyer pendant quelques secondes et va se coucher à côté pour se lécher le sexe.Josette reste à quatre pattes sans rien dire. Je suis resté à côté en silence sans bouger, mais le spectacle ne m’a pas laissé indifférent, je bande comme un cerf. Pourtant, je n’ai plus envie de jouir et je fini par m’allonger à côté de Josette toujours la même position. En la regardant, je vois qu’elle a les yeux fermés et qu’un sourire illumine son visage. Elle est heureuse et je ne vais pas intervenir. Nous restons ainsi un bon quart d’heure, à tel point que je commence à m’endormir lorsque Josette se redresse et vient se coucher à côté de moi.-Tout va bien ?-Oui, parfaitement, je viens de passer des moments inoubliables.-Il est peut-être temps de rentrer, tu ne penses pas ?-Oui.Nous nous rhabillons et quittons la clairière. Arrivés à nos voitures, Josette me prend la main.-Tu ne voudrais pas venir chez moi un de ces jours, j’habite dans la ferme de mes parents je peux te faire connaitre d’autres formes de plaisir.-Ok, quand es-tu libre ?-Si toi tu l’es, je le suis maintenant.-Je te suis.A suivrezooph34@gmail.com
