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Ballade sur le toboggan

Chapitre 1

Divers
Après que Glacyanne Sheiffer sentit une forte dépression, elle eut besoin de marcher seule sur le trottoir sans destin...maintenant elle était à l?hôtel à Rome avec son ami Pierre. Elle s?approcha du carreau, et vit au loin une tente immense. Elle approuva de la tête les propositions professionnelles que Pierre lui proposait mais son elle n’était pas très attentive sur ses propos car ses pensées s?orientaient sur le mystère caché dans la tente qu?elle continuait à observait au loin. Elle sortit alors de l’hôtel et elle marcha en direction du chapiteau du cirque. L’air était sinistre et le climat sombre comme un lundi sans soleil. Glacyanne arpentait les trottoirs comme une fille dans un mauvais jour que l’on prête habituellement aux indigents. Depuis longtemps, elle s’appliquait à forcer une de ces fameuses rencontres inconnus qui bouleverse la vie en la rendant meilleure, plus appréciable mais elle ne la trouvait pour sustenter ses envies... il lui fallait au moins un peu de sexe pour tenir en éveil ses ardeurs et ce jour là, elle s’était mise en quête d’un endroit où sa solitude trouverait à s’acclimater de son désespoir et ses désirs de leurs feulements intimes.Durant le trajet, la jeune fille ne cessa de se jeter des regards de tout côtes, telle une enfant bien décidée à ne pas perdre une miette de l?aventure. Bientôt des bruits de fête lui parvint aux oreilles. Elle se remit en route vers l?entrée du cirque. Soudainement, une bouffée de liberté grandit en elle. Le top-model se sentait libre en ce lieu de plaisir et de joie populaire. Elle était parmi les rires et les cris des gens. Le chapiteau était entouré de baraques de foire autour desquelles se pressait une foule joyeuse. Mêlée aux curieux, elle s?intéressait un instant à une attraction de loterie.Depuis quand n?était-elle pas allée au cirque ou à la fête foraine ? Quand elle était enfant, son père l?emmenait au célèbre cirque de Moscou, le plus grand de tout le monde. Ces souvenirs la comptaient pour elle parmi les plus merveilleux de sa jeunesse. Elle était très attirée par la musique des Rollings Stone et les cris d?allégresse de la foule.Un peu plus tard, elle se mêla aux badauds. A en juger par la taille du chapiteau, c?était un cirque assez important. Il y avait aussi un grand ’Toboggan Tournant’ dressé parmi les baraques foraines, autour duquel se pressaient des jeunes gens mais surtout des couples.Elle s?arrêta au pied de la piste et regarda les gens s?amuser en jetant de temps en temps des coups d?oil aux alentours, et en observant le chapiteau.Ce n?était pas un cirque d?amateur, ce toboggan, en particulier, était construit avec beaucoup de soin et fort bien entretenu Glacyanne se souvint alors d?avoir lu dans les journaux du passage dans la ville du cirque. Il y avait des jeunes gens en train de s?amuser sur la glissade du toboggan, les filles, après s?êtres aventurées au bord avec prudence, s?élançaient en poussant des cris où la peur disparaissait pour laisser place à l?excitation. Alors elle regarda un inconnu... il était grand, beau, des cheveux noirs parcourus de fil blanc, des yeux vert émeraude et un teint bronzé, d’un beau doré cuivré. Il s?apprêtait à continuer sa promenade quand lui parvint une voix inconnue et charmant :
— S?il vous plait, monsieur ! Auriez-vous la gentillesse de m?emmener sur le toboggan ? Je suis sortie sans mon porte-monnaie, et j?en ais tellement envie !L?homme montra une telle surprise et s?empressa d?ajouter en balbutiant :
— Ce sera avec plaisir. Allons-y ! Il suffit de faire le tour, de prendre la queue et de monter.Tout en parlant, il l?entraîna auprès de l?homme qui vendait les billets. Il paya les places et attendait sa monnaie en jetant un coup d?oil sur la jeune fille et il la trouva encore plus jolie que quand elle s?était adressé à lui sans cérémonie. En réalité pensa-t-il, elle est absolument adorable. Ce superbe regard sombre et encore juvénile...manifestement c?est une aristocrate, bien qu?il soit assez étrange de rencontrer une jeune femme distinguée à l?entrée d?un cirque, seule et sans argent...
— Qu?était-elle donc venue faire ici ? Se demanda t-il intrigué.Et tout en s?efforçant de refréner son imagination, il empocha les billets et la conduisit à l?intérieur où ils marchèrent en direction de l?escalier qui permettait d?accéder au sommet de la piste. Quand ils furent tout en haut, un employé leur remit un tapis sur lequel ils devaient s?asseoir pour entreprendre la glissade et leur montra comment ils devaient se tenir.
— Monsieur, dit le serveur, il faut que vous mettiez les bras autour des épaules de la demoiselle. Voilà, Oui, comme ça, autrement elle risquerait de tomber, la descente, ça les excite beaucoup, vous allez voir...Il les poussa soudainement et ils furent emportés à toute allure sur la piste tournante. Glacyanne ne put s?empêcher de se serrer contre son compagnon, à cinq reprises, ils remontèrent sur le toboggan, la descente ne durait que quelques secondes d?intense émotion.Aussitôt ils retournaient acheter des billets, pressés de s?élancer dans le vide à nouveau. Glacyanne ne criait pas pendant la descente, mais un réflexe lui commandait de se cramponner solidement au vêtement de son compagnon, ce qui ne manquait pas d?ajouter encore plus de plaisir à leur expérience.Cependant, quand ils arrivaient en bas, il y avait comme un choc, et la jeune fille ne pouvait retenir un petit cri, mais ce cri, on l?entendait à peine, car il allait se perdre dans les bruits de la fête. Après leur cinquième glissage, comme ils se relevaient, Glacyanne lui dit alors :
— Merci, Merci... c?était très agréable. Je ne l?oublierais jamais !— Tant mieux si vous avez aimé, répondit le jeune homme.
Et il ajouta presque tout de suite :
— Et maintenant, qu?allons-nous faire ? Quelqu?un vous attend ?— Personne ne m?attend, répondit Glacyanne.Le jeune homme la regardait, un peu intrigué de cette réponse.
— J?aimerais bien aller voir les autres attractions.Reprit-elle. C?est la première fois, vous comprenez.Elle avait eu, en disant cela, un air de petite fille émerveillée.
— Eh bien ! Enchaîna t-il, si c?est la première fois, pas question d?en perdre une miette.Allons voir ce que l?on nous propose par ici.Sur quoi, il lui donna le bras, et tous deux se mirent à marcher dans allée qui séparait les baraques foraines. Les yeux de la jeune femme brillèrent avec plus d?intensité encore. Celui-ci demanda d?une voix prudente :
— Puis-je au moins savoir votre prénom ?— Je m?appelle Glacyanne— Moi Robert Rivadale !La journée passa comme dans un rêve ensoleillé. Il faisait chaud. Il comprit qu?elle n?avait pas l?intention d?en dire plus.Après avoir fini de faire le tour de la fête foraine, elle lui demanda s’il ne voulait pas la ramener chez elle et il lui répondit :
— Oui, sans problème. Mais venez prendre un verre ou un café si vous avez 5 minutes, je vous ferai visiter mon appartement.Son regard était doux, alors ayant un peu de temps devant elle et sans se douter une seconde de ce qui allait lui arriver, elle accepta sa proposition. Glacyanne l’accompagna et il voulait lui faire visiter en règle son appartement et les travaux qu’il avait réalisés.Il était heureux qu?elle ait acceptée l?invitation, et il brûlait de curiosité. Elle lui parlait d?une voix chaleureuse. Son pouls s?accéléra et il se demande ce qu’ il pouvait encore lui dire pour maintenir son intérêt.Ils quittèrent alors le cirque pour se diriger vers la rue toute proche. Il était heureux de cheminer à ses côtés, voir cette nymphe marcher sur le trottoir le mit encore plus sous tensions sexuelles, agréable sensation renforcée par la beauté sexuelle de ses chevilles...Il lui ouvrit donc la porte. Il était assez jeune, pas extraordinaire, mais elle ne savait pas pourquoi mais elle avait la sensation qu’il était très bien monté, et rien que cette intuition lui réchauffa le bas-ventre. Ils entrèrent dans le salon, et elle sentit qu’il ne perdait pas une miette de mater les mouvements de ses fesses... ça la fit sourire.Le tout était fait avec beaucoup de goût, sans rien d’ostentatoire. Bref, elle se sentait en confiance dans une ambiance assez cosy et chaude. Il la fit asseoir dans son canapé et pendant qu?elle acceptait un petit Whisky, il se servit un peu de Porto.Ils discutaient de tout et de rien pendant quelques minutes puis l’alcool et la confiance aidant, ils dérivaient petit à petit vers les détails de leur vie amoureuse. En fait, elle comprit plus tard qu’elle ne lui disait pratiquement rien de la sienne, et qu’en une demi-heure, en totale confiance, il lui avait pratiquement résumé la sienne ! Elle était déjà bien excitée à l’idée de ce qu’ils allaient faire tout à l’heure ! Sa petite chatte entièrement épilée frétillait déjà d’impatience.Maintenant Glacyanne c’était dit qu?elle avait besoin d?une douche...Quelques minutes plus tard, elle alla dans la salle de bain et laissa la porte ouverte et elle se déshabilla complètement. Elle savait qu?il pouvait l?apercevoir du salon, mais cela ne l?intimida guère... Robert était étonné et ravi en même temps pour son impudeur et il ne pouvait s?empêcher de la regarder. Elle était à poil et cette situation ne faisait que l?exciter d?avantage. Glacyanne se retrouva enfin entièrement nue devant lui. Offerte à ses yeux, il la dévora du regard. Qu’elle femme somptueuse à l’aspect à la fois craintives et sauvage ! Elle devait camoufler mille et un mystère au plus profond d’elle. Il pouvait enfin découvrir à son aise l’intimité que Glacyanne lui offrait.Pour la première fois, il pouvait contempler cette vénus dans toute sa beauté intégrale. Ses magnifiques seins semblaient bondir d’un coup en sa direction, son cour palpitait à un rythme endiablé. Il se mit à fantasmer sur elle. C’était très sexuel et il aimait y penser.Penser qu?elle le prenait dans ses bras, qu’elle l’embrassait, puis elle lui ferait l’amour comme jamais personne ne lui avait fait. Ses pensées interdites ne le dérangeaient pas. Il les prenait comme son jardin secret que personne ne connaîtrait.Après s’être lavée, elle s?enroula la serviette autour de sa taille et se démêla les cheveux. Elle sortit de la salle de bain au bout de quelques minutes. Elle fouilla dans son sac à dos et en sortie un petit sac en cuir de fabrication artisanale, elle l’ouvrit et tira un livret de papier à cigarettes et une sorte de tabac de couleur verdâtre, lui-même contenu dans un petit sac en plastique. Avec des gestes habitués, elle se roula un joint, l?alluma et lui proposa. Il comprit que ce qu’elle lui offrait n?était pas du tabac ordinaire. Ils échangèrent la cigarette de canabis. A ce moment, il commença à découvrir les réels motifs d?harcèlement.Au diable les problèmes, il attrapa le joint et tira une longue bouffée bienfaisante.Elle émergea tout doucement. Les bruits n’était plus les mêmes qu’à la maison. Chez elle, elle savait avant même d’ouvrir les yeux s’il faisait beau ou s’il pleuvait, rien qu’à l’atmosphère de la pièce, aux bruits qui provenaient de la rue, à la qualité de l’éclairage.Mais là, rien de tel.Elle était trop bien pour le moment, pas envie d’en savoir plus, pas envie de se connecter avec le monde réel.Tous les deux le savaient, pour jouer le jeu, comme pour respecter les procédures, ils parlèrent de tout et de rien. Robert possédait un radiocassette.
— Tu peux mettre de la musique si tu le veux.L?invita-t-il.Elle se mit à danser et lui, il se lança dans une démonstration danse. Il aurait pu donner des leçons à Travolta... Elle se mit à danser en calquant ses mouvements sur ceux de Robert. Elle était bonne, elle aussi. Ils commençaient à s?amuser et avec une partenaire qui était complètement nue avec lui, c?était vraiment éclatant. Ils s?arrêtèrent quand ils eurent leur content. La sueur coulait à petits ruisseaux sur les bras et la poitrine du top-model.
— Hummm. commenta-t-elle. Tu es bon !— Toi aussi !— Je peux, dit-elle tandis qu?ils regagnaient la table, je suis professionnelle.— Professionnelle de quoi ?Glacyanne le considéra froidement.
— De la danse !Il plissa le front, la musique criarde devait lui taper sur le crâne. Les yeux fuyants de l?intéressés étaient toujours en train de le détailler. Il déambulait mal à l?aise, dans la petite maison mal tenue. Maintenant elle prit un peu de poudre blanche étalée dans un billet plié en deux...
— Moi aussi, j?en prenais, dit-il. Mais à la longue, c?est devenu un véritable boulet.— Un boulet ? Répéta Glacyanne en souriant. Dis plutôt que tu t?es retrouvé dans la dèche et que tu n?as pas pu continuer.Il ouvrit un dossier de photos et les feuilleta, l?air absent. Glacyanne aspira avidement une dose de cocaïne.
— Tu sais que tu es complètement folle !Le top-model s?étira paresseusement sur le tapis......Son cour battait la chamade, il voulait à tout prix l’honorer et la gratifier d’une expérience de passion pour la remercier des premières attentions qu’elle lui avait déjà apportées...
— J’ai envie de toi ! Dit Robert.Il parlait d?une voix tranquille et sûre, mais elle voyait bien qu?elle le regardait de son étrange regard sombre et inquiet, les doigts noués les uns aux autres comme pour se retenir de crier les pensées qui s?agitaient dans son esprit. Elle réfléchit un moment, puis laissa un sourire éclairer son visage...... Sa voix était douce et ferme à la fois, et au bout de plusieurs minutes de conversation, ils prirent conscience d’un plaisir réciproque, chacun demandant à l’autre de s’exciter, caresses-toi, oui j’ai envie de toi, etc...Tout son corps se liquéfia, en deux secondes, elle succomba et leurs bouches se cherchèrent, se trouvèrent et elle sentit sa langue l’envahir. La sienne se fit d’abord accueillante puis s’enhardit, lui léchant les lèvres et s’abandonnant à ses assauts. Hummm ! Quel délicieux bruit que ces langues qui s’enchevêtrent l’une avec l’autre ! Il n’aurait jamais cru qu’un simple baiser pouvait avoir autant d’effet. Le beau top-model l’enlaça tendrement tout en continuant à avaler goulûment sa salive.Rouvrant ses yeux, il se mit à contempler son corps.Elle le rendait vraiment dingue. Ses doigts plongèrent dans sa chevelure afin de poursuivre ce baiser sulfureux plus en profondeur. Glacyanne sentait déjà une franche sensation d’excitation provenant de son entre-jambe.C’était délicieux. Elle était subjuguée par son corps, son odeur, le contact de sa peau. D’ailleurs, il s’allongea à ses côtés, se colla contre elle et l’embrassa de nouveau à pleine bouche tout en lui caressant les seins. Ils étaient durs et sensibles. Il joua avec ses tétons dressés, les pinçant très doucement puis, il les avala avec sa bouche. La jeune femme gémit de plaisir et se cambra. Il les malaxait. Puis ses mains descendirent vers ses hanches.Elle était enfin nue et Robert n’avait qu’une intention, se donner corps et âme à elle. Il en mourait d’envie. Robert voulait absolument tout découvrir d’elle. Les moindres recoins de son corps.Entraîné par son souffle rapide, il continua son exploration au plus profond de son intimité. Il la caressait longuement mais surtout les seins. De même, sa langue s’attardait lentement sur sa chatte ruisselante. Sa langue cherchait désespérément à atteindre le fond de cette grotte d’amour laissant entrouvrir davantage ses parois vaginales à chacun de ses coups de langue.Elle commença à onduler du bassin pour manifester le bien qu?il lui procurait, et glissa une main dans ses cheveux pour l’inciter à augmenter la cadence. Il ne se fit pas prier, sa langue s’insinua de plus en plus vite entre ses parois, Robert léchait avec avidité toute la saveur qu’elle lui envoyait dans la bouche. En manque de respiration, il se dirigea astucieusement vers son clitoris afin de ne pas provoquer de temps mort. Il le trouva facilement et le sortit de sa cachette. Il était gonflé par l’excitation, et il n’était pas difficile de le suçoter entre ses lèvres. Il l’aspira avec envie et le mordillait de temps en temps. Ses coups de langues le balançaient d’un coté à l’autre et ses soupirs se transformèrent en petit gémissement. Elle commença à mouiller abondamment.L’ondulation de son bassin indiquait qu’elle était en manque de consistance. Il inséra alors un doigt dans son intimité qui n’eu pas de peine à glisser de toute sa longueur et mit un deuxième. Le quatrième suivit le troisième et il commença un mouvement d’aller retour. Sa main revenait vers lui accompagné de sa liqueur si savoureuse qu?il goûtait de temps à autre par de petites lèches.Robert la dévorait littéralement des yeux. Elle était sublime. Son regard et son sourire avaient tout pour l’envoûter. Ils étaient face à face, installés chacun sur le coté de leur corps. Il l’attira contre lui. Leurs corps ne semblaient former plus qu’un seul élément. Ses mains contournaient le corps de Glacyanne pour glisser le long de son dos. Elle fit de même en le griffant légèrement. Leur sexe se retrouvèrent accolés l’un contre l’autre et ils commencèrent tous deux un mouvement du bassin.L’excitation revenait au galop sous cet échauffement. Tout sembla normal à cet instant précis. Son corps était en contact avec le sien :
— C’est le destin qui nous a mis ensemble. Je sens ton désir, je vais te combler. Murmure Robert. Je n’en peux plus, je vais te prendre. Pousse lorsque tu sens mon sexe rentrer, n’hésite pas !Après quelques minutes d’échauffements de la sorte, son sexe plongea sans effort dans le sien. Il n’avait rien fait pour provoquer cela. Il s’inséra naturellement. Il était en elle, dans son corps si gracieux et si velouté.
— Oh ! que c’est bon...Son odeur se confina davantage dans une ambiance de sexe et de désir. L’idée folle de vouloir être uni pour la vie avec cette déesse lui vint subitement à l’esprit. Pendant ce temps, son sexe chercha à aller au plus loin d?elle.Ses halètements se transformaient maintenant en soupirs saccadés de mots d’encouragements. Robert sentit maintenant le contact de son vagin sur l’entièreté de son membre. Il put l’enfoncer plus loin en elle.Elle l’aida en poussant son bassin vers lui. Elle put maintenant le chevaucher avec plus de facilité et maîtriser complètement ses allées et venues. Elle s’empala sur son membre gonflé de plaisir. Ses seins ballottaient au rythme de sa chevauchée. Ses ongles rentrèrent dans son torse imberbe. Ses cheveux noirs voltigeaient dans tous les sens et s’entremêlèrent avec poésie. Ses yeux le fixaient amoureusement et un sourire se dessina sur sa figure. Robert s’enfonça avec vigueur dans ce corps sculpté de la main des dieux, ses seins dansaient sur le rythme qu?il composait pour elle, Robert agrippa ses deux seins en contournant son corps, il allait jouir. Non il voulait se retenir. La jeune fille, elle, s’affairait toujours. Elle continuait son va-et-vient, lentement puis plus rapidement et s’arrêtait parfois pour mieux accélérer.De l’autre main, elle lui caressa le torse. Rapidement, il allait éjaculer.Diable ! Que de réalisme ! On s’y croirait. Jamais un rêve ne pouvait être aussi réel ! Elle cria. Elle venait de jouir. Une abondante quantité de mouille se déversa sur sa verge. Il ne pouvait plus lutter et il éjacula longuement et puissamment au fond d’elle. Elle retomba remplit sur le sol. Elle se relève le visage et l’embrasse amoureusement en le remerciant...Robert ne rêvait plus, il était en compagnie de Glacyanne. La déesse du sexe. Mais, jusqu’a quand...Suivre...Auteur: Ivan Ribeiro Lagosécrivez-moi sur, site_fabuleuse@yahoo.fr en donnant votre avis
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