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La banquette arrière

Chapitre 1

Erotique
La banquette arrière
À l`âge de 18 ans, j’étais accepté au collège pour étudier en agriculture. Un milieu qui me passionnait ayant travaillé à la ferme laitière de mes grands-parents pendant les vacances d’été durant quelques années.
Malgré les études qui m’apparaissaient longues et ardues, je réussis à m’en sortir tant bien que mal en traversant les sessions les unes après les autres avec succès. Les cours généraux étaient complétés et je m’apprêtais à entrer dans la spécialisation de production animale également choisie par une vingtaine d’autres étudiants, garçons et filles au collège. Je fus ravi de voir que l’une des filles de ma classe, qui était considérée par plusieurs comme la plus belle de l’école, avait également fixé son choix sur la même spécialisation que moi. Elle s’appelait Guylaine.
Guylaine me semblait un peu timide et réservée et s’assoyait souvent derrière les autres au fond de la classe pendant les cours. Je voulais me rapprocher d’elle et je faisais de même. Au fil des jours et des semaines j’en étais arrivé à partager le même bureau double qu’elle et nous suivions dorénavant les cours ensemble. Guylaine portait toujours des vêtements qui lui allaient comme un gant et qui la rendaient sexy sans pour autant la rendre prétentieuse mais plutôt fière de sa personne. Nous avions développé une certaine complicité et étions très à l’aise avec l’idée de se retrouver souvent ensemble devant les autres étudiants de l’école. Nous nous quittions les week-ends pour aller chacun dans notre patelin respectif. Je savais que Guylaine fréquentait un autre garçon habitant dans son village natal. Mais l’idée de caresser ce corps, qui se transformait de plus en plus en femme devant mes yeux, ne cessait de me trotter dans la tête. Je la désirais au plus haut point.
À la dernière année de formation, notre groupe effectuait régulièrement des sorties en autobus pour aller visiter des fermes vers diverses régions du Québec, parfois à plus de 3 heures de route pour y arriver. Assis à l’arrière comme dans la classe, Guylaine et moi discutions de choses et d’autres durant le trajet. Un jour, lors d’un retour plus tardif, elle s’endormait de plus en plus et s’étendit la tête sur mes cuisses. Elle semblait avoir froid et je lui recouvrai le haut du corps avec un léger manteau que j’avais apporté. Elle faisait dos au-devant de l’autobus et était face à moi recroquevillée un peu sur elle-même.
Pour être plus à l’aise, elle détacha son pantalon et remonta le bas de sa blouse qui laissait entrevoir alors son bas ventre, de son nombril jusqu’à sa petite culotte. Le dossier de la banquette, devant nous, cachait quand même bien la scène car je m’étais assis complètement dans le coin du siège de la rangée arrière.
Je sentais le désir monter en moi et mon pénis ne pouvait rester insensible à la situation. Ma main gauche se glissa sous mon manteau qui la recouvrait jusqu’à sa hanche dénudée. Je caressais sa peau doucement et ma queue prenait de l’ampleur sous mon pantalon. Elle se retourna sur le dos, les jambes repliées pour me donner maintenant libre cours à son ventre jusqu’à sa petite culotte où le début de son pubis qui semblait légèrement velu se dévoilait à moi.
Je la sentais de plus en plus sensuelle et chaude à l’idée de vivre un moment très spécial et inusité. Je commençai à déboutonner sa blouse pour atteindre son soutien-gorge et le remontai plus haut pour libérer ses seins enfermés sous le tissu. Ma main droite ne mît pas beaucoup de temps à empoigner ses seins bien fermes et les mamelons surexcités et pointus sous mes doigts. Guylaine gémissait le plus discrètement possible pendant que je caressais sa poitrine à pleine main. Elle prit ma tête pour descendre ma bouche vers la sienne et échanger un baiser langoureux et passionné. Mon autre main descendit sur son pubis et elle se cambra pour descendre quelque peu la taille de son pantalon vers le milieu de ses hanches pour donner plus d’espace à ma main gauche entre ses cuisses désormais plus ouvertes. Je sentis la chaleur de sa chatte par-dessus sa culotte qui était détrempée de liquide vaginal lubrifiant.
En moins de temps pour le dire ma main s’était glissée sous sa culotte et mes doigts écartaient les lèvres de son vagin pour remonter jusqu’à son clitoris que je massai délicatement. Son nectar féminin jaillit sur mes doigts d’emblée et à foison. Elle serrait les dents pour ne pas crier de plaisir et éveiller tout soupçon des autres qui nous accompagnaient dans l’autobus. Je sortis ma main de sa culotte pour la porter à sa bouche et lui faire goûter au fluide de jouissance qu’elle avait laissé échapper pendant l’orgasme qu’elle venait d’atteindre.
Guylaine reprit ma main et l’enfouit dans sa culotte pour que je recommence à la masturber et mettre mes doigts à l’intérieur de son vagin bouillant de désir charnel. Ella avait tourné sa tête et empoigné ma ceinture pour la détacher. Elle caressa ma verge qui se découpait le long de mon pantalon sur ma cuisse et le mordillait tout du long jusqu’à mon gland bien gonflé. Elle dégrafa ma boutonnière et descendit ma fermeture éclair. Le liquide pré séminal avait traversé mes boxers et elle ne fit ni un, ni deux pour le lécher à la hauteur du gland de mon pénis bandé comme jamais. J’étais à fleur de peau.
Elle libéra mon pénis, en baissant l’élastique de mon sous-vêtement, et l’enfouit dans sa bouche avec toute l’avidité d’une femme en désir de plaisir sexuel démesuré. Sa langue allait dans tous les sens pour exciter cette queue dont l’éjaculation était imminente et généreuse. Guylaine serra fort la base de ma verge, tel un anneau d’érection, comme pour prolonger et décupler l’orgasme qui parcourut tout mon être avant que mon foutre ne remplisse sa bouche jusqu’au fond de sa gorge. J’avais fermé les yeux et me crispai si fort, faisant en sorte que la pression plus intense de mon doigt sur son clitoris engendra un nouvel orgasme encore plus fort chez elle. Nous éjaculions en même temps. Guylaine avala chaque goutte de mon sperme pour ne laisser aucun signe de ce que nous venions de vivre dans cet autobus, elle et moi. Heureusement elle avait toujours des papiers mouchoirs dans son sac à main qui servirent à assécher sa chatte toute mouillée de son émulsion vaginale.
Les vêtements replacés, Guylaine se recoucha sur moi pour s’endormir rapidement jusqu’au retour devant l’institution d’enseignement d’où nous étions partis pour la journée. À la sortie de l’autobus elle m’embrassa sur la joue comme elle le faisait souvent. Les autres étaient habitués à ce comportement de sa part et n’y portaient plus attention. Elle me fit un signe de la main pour me souhaiter une bonne nuit. Je lui souris. Je lui avais laissé mon manteau pour son retour à la maison. Je la regardais s’éloigner mais elle marchait plus lentement que les autres. Encore à la portée de mon regard, elle se retourna à nouveau vers moi et glissa sa langue sur ses lèvres et fit un mouvement de tête et un clin d’oeil pour m’inviter à la suivre et l’accompagner pour la nuit….!
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