Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 297 J'aime
  • 7 Commentaires

La banquière

Chapitre 1

Erotique
Cela fait plus de dix ans que je suis client de la même banque, lorsqu’elle décide la fermeture de l’agence. L’agence la plus proche se trouve à plus de quinze kilomètres, je décide donc de me rendre dans une banque concurrente pour ouvrir un compte. La réceptionniste me donne un rendez-vous deux jours plus tard avec une dénommée Melane. Je suis reçu par une jeune femme blonde, cheveux courts. Elle porte des escarpins noirs avec de beaux talons fins, une robe noire serrée à la taille par une ceinture et relativement courte. Souriante, elle me demande différents documents, à chaque fois, elle se lève pour récupérer les copies sur un bureau derrière elle. Au début, je pense que par la vitesse à laquelle elle se lève et se rassoit, j’aperçois sa chair au-dessus de ses bas. Mon regard est fortement attiré par cette vue et elle s’en rend compte, imperceptiblement elle écarte ses jambes, ce qui fait remonter sa robe.
Ce qui me permet de voir sa chatte qui n’est pas couverte par un sous-vêtement.
— Je vais vous chercher une pochette pour vos documents.
Lorsqu’elle revient, elle ferme le bureau à clef et s’assoit en croisant une jambe sur l’autre, sa robe remonte et me permet d’admirer sa chatte lisse et brillante de cyprine. Mes yeux sont rivés sur son entrejambe et ma queue est à l’étroit dans mon boxer.
— Ma tenue et le spectacle que je vous offre doivent vous paraître déplacés. C’est la première fois que je me conduis comme cela.— Ne vous excusez pas, j’apprécie beaucoup votre conduite.— Pour la deuxième fois, j’ai trouvé mon ami avec ma meilleure copine au lit, et j’ai décidé de prendre ma vengeance, vous êtes un bel homme, de plus célibataire, voilà le pourquoi de ma conduite.
Je me lève pour faire le tour du bureau, elle ne bouge pas, gardant la même position. Je pose ma main sur sa cuisse au contact du bas et la remonte en douceur pour trouver sa chair, j’ai même l’impression qu’elle écarte davantage ses cuisses, ma main entre en contact avec les lèvres de sa chatte dégoulinante. Ce qui déclenche une série de petits gémissements qui fusent entre ses lèvres, j’introduis deux doigts en elle.
Elle décroise ses jambes et rapproche ses fesses au bord de son fauteuil en écartant ses jambes au maximum. Je joins un troisième doigt aux deux premiers, comme ses gémissements augmentent, je pose ma bouche sur la sienne. Elle ouvre la sienne pour mêler sa langue à la mienne, son bassin est pris de convulsions par la violence de sa jouissance courte, mais très intense. Je la laisse se calmer avant de me mettre à genoux devant elle pour fouiller sa chatte avec ma langue qui ressort couverte de sa cyprine, comme elle recommence à gémir assez fort, je cesse mon léchage et me relève.
Elle me surprend de plus en plus, car elle pose ses mains sur ma protubérance et ouvre ma braguette pour extraire ma queue qu’elle avale et suce assez activement, bien excité par la scène d’avant, je ne résiste pas longtemps avant de jouir à mon tour. Sentant les soubresauts de ma queue, Melane serre davantage ses lèvres pour recueillir mon sperme qu’elle avale.
— Vous savez y faire avec les femmes, heureusement que vous m’avez embrassée sinon je crois que mes cris de jouissance auraient résonné dans toute l’agence.— Je vous retourne le compliment, vous êtes très perfectible à mes caresses, c’est dommage, le lieu ne nous a pas permis d’exprimer vraiment notre plaisir et j’aimerais vous rencontrer dans un endroit plus discret.— C’est mon idée aussi, j’ai envie d’une autre rencontre.— Je suis à ta disposition, quand tu es libre, préviens-moi la veille pour que je sois présent.
Melane se presse contre moi et m’embrasse fougueusement avant de me raccompagner à la porte de l’agence. Trois jours plus tard, je reçois le texto suivant.
— Vendredi après-midi, je suis normalement en clientèle extérieure, je veux passer l’après-midi avec toi ?— Avec un grand plaisir.— Tu veux que je m’habille comment ?— Je te laisse me faire la surprise, sache que j’adore la lingerie.
Vendredi quatorze heures, la sonnette de la porte retentit, je vais ouvrir la porte, Melane se tient devant moi avec des talons vertigineux, elle est vêtue d’un tailleur gris clair porté sur un chemisier blanc. Elle laisse tomber sa serviette et se colle contre moi pour me dévorer la bouche.
— Je suis folle, je ne pense qu’à cette rencontre depuis l’autre jour, et ce matin, un calvaire d’attendre la fin de la matinée, je me suis touchée plusieurs fois et je me suis rendue trois fois aux toilettes pour me masturber en prétextant un petit problème intestinal. Je sens ma chatte qui coule, ma mouille colle mes bas le long de mes cuisses.— Tu es comme une petite chienne en chaleur.— Oui, baise-moi tout de suite, je suis ta chienne.
Melane retire son tailleur et son chemisier, elle porte un corset lacé sur le devant qui expose ses seins de bonnes tailles. Elle se met à genoux, la tête posée sur le canapé, tournée vers moi avec un regard lubrique de salope. Je retire prestement mes vêtements et tout en restant debout au-dessus d’elle, je plonge ma queue dans sa chatte gluante de mouille, une vraie fournaise. Je m’enfonce jusqu’aux couilles et commence à la prendre sans ménagement, aussitôt, sa jouissance commence, ponctuée de cris stridents. Je me retire entièrement et plonge avec plus de puissance en elle, véritablement en manque de sexe, elle soulève ses fesses à la rencontre de ma queue, mon gland heurte violemment son utérus sous ses hurlements de plaisir. Je sens ma jouissance arriver, et reste planté au fond de sa chatte pour lui tapisser le vagin de foutre.
Après quelques instants de récupération, je me retire de sa chatte, Melane se retourne aussitôt vers moi pour prendre ma queue en bouche et récupérer toutes les traces de foutre et de mouille.
— Je n’ai jamais connu une jouissance pareille, tu m’as littéralement défoncé la chatte, j’ai l’impression de m’ouvrir en deux sous tes coups de boutoir et j’ai trouvé cela tellement bon et fort. Tu es content de ta petite chienne ? — Tu t’es habillée comme une petite salope en manque et tu as joui comme une vraie salope.— Avec toi, je suis une salope, une chienne, un trou pour te vider les couilles, fais-moi tout ce que tu veux.— Je veux simplement te donner du plaisir, te conduire vers la découverte de tes envies, de tes attentes et faire de toi une amante parfaite. As-tu déjà pratiqué la sodomie ?— Non pas vraiment, une fois j’ai essayé avec mon copain et c’est trop douloureux.— Il a pris le temps de te préparer à cette sodomie ? — Non, il a simplement tenté d’introduire sa queue dans mon cul.— Je n’en doute pas, je vais te faire découvrir la jouissance de la sodomie, et c’est toi qui me redemanderas de te le faire, ne bouge pas, je reviens.
Je vais chercher un plug anal dans ma réserve de jouets sexuels, je rapporte aussi une bouteille de champagne et deux coupes que je remplis et qui sont immédiatement vidées, ainsi qu’une deuxième. Le plaisir sexuel donne soif, je lui fais voir le plug que je trempe de mouille et de foutre coulant de sa chatte avant de l’introduire dans son cul, Melane a juste un petit sursaut lorsque je l’enfonce.
— Voilà ce plug va te dilater un peu l’anus, garde-le jour et nuit, dans trois jours, je t’en poserai un plus gros pour t’ouvrir davantage. De temps en temps, tu le bouges avec ta main ou en frottant tes fesses sur ton fauteuil de bureau et en voiture n’évite pas les petits trous, qu’il s’enfonce plus en toi. Tu me raconteras.— J’ai envie de te sucer pour goûter ton sperme.— Suce-moi autant que tu veux ma petite salope et quand tu seras prête, tu vas t’asseoir sur ma queue.
Melane se révèle une bonne suceuse, léchant et aspirant comme une habituée. Sa langue monte et descend sur ma queue sans oublier mes couilles et mon gland. Lorsqu’elle juge ma queue assez raide, elle place les lèvres de sa chatte sur mon gland et se laisse tomber d’un seul coup en poussant un HO lorsque mon gland percute son utérus. Melane reste un moment sans bouger, surprise par l’impact au fond de son vagin, puis posant ses mains sur mon torse, elle entame des montées et descentes de plus en plus rapides en se laissant tomber à chaque fois sur ma queue. Elle ne tarde pas à jouir avec des cris puissants, quand elle sent les contractions de ma queue qui expulse mon sperme, elle reste plantée sur ma queue dans un grand cri final et s’écroule sur mon torse le souffle court.
— Que c’est bon, je n’imagine pas que la jouissance puisse être aussi forte.— Tu t’es défoncé la chatte toute seule en te laissant retomber sur ma queue.— Je découvre vraiment le plaisir, avec mon copain, c’est plus rapide et moins puissant.
Pause récupération, entrecoupée de câlins, de champagne et d’échanges sur le sexe, j’en profite pour lui introduire un plug plus gros qui entre assez facilement à ma grande surprise et en profite pour le retirer et l’introduire à nouveau. Melane semble apprécier car de petits soupirs fusent entre ses lèvres.
— C’est agréable, je redoute d’avoir mal, mais non c’est bon. Je suis folle, tu m’as dit qu’en voiture, le plaisir est surprenant et je veux faire une promenade si tu le veux.
Melane porte juste son tailleur et ses chaussures, j’en profite pour sortir mon vieux 4/4 Lada où les secousses sont plus fortes que dans une berline. Dès les premiers chaot sur le chemin forestier, le véhicule fait des sauts accompagnés par des gémissements de plus en plus forts de la part de Melane.
— Ouvre ton chemisier et pince-toi les tétons.
Sous l’action du plug et du pincement de ses tétons, Melane jouit, je stoppe un instant avant de repartir et lui offrir une deuxième jouissance, puis une troisième. Après un long moment de récupération, Melane me regarde.
— Je veux que tu m’encules, j’ai trop de plaisir avec le plug. Je ne me reconnais pas d’aimer autant jouir et de le demander comme une salope en chaleur.
Quelques instants plus tard sur mes ordres, Melane nue a le buste posé sur le capot du 4/4, les mains tendues le long de son corps pour ouvrir ses fesses. Je commence par jouer avec le plug qui coulisse parfaitement, je le remplace par deux doigts qui entrent facilement avec sa mouille qui a coulé lors de ses jouissances, un troisième entre sans difficulté. Je trempe ma queue dans sa chatte dégoulinante et présente mon gland à l’entrée de son cul. Son sphincter résiste et d’une seule poussée plus forte, ma queue rentre progressivement dans son fondement jusqu’au moment où mes couilles se collent contre ses fesses.
— Tu es vraiment faite pour la sodomie, ma queue est entrée sans difficulté.— Je suis surprise, pas de douleurs, tout en douceur.— Maintenant, tu vas jouir de ton cul, ma petite salope.
Il faut très peu de temps avant que Melane ne commence à jouir et plus je la possède fort plus sa jouissance augmente et continue jusqu’au moment où je tapisse son conduit anal de mon foutre.
— Moi qui ai peur de la sodomie, je n’ai jamais connu une jouissance comme celle-là. Tu me fais découvrir le sexe d’une nouvelle manière. Il est plus tard que prévu, il faut que je rentre.
Melane remet juste son tailleur sur elle, son corset et ses bas dans son sac pour repartir après un rapide échange de baisers. Le lendemain matin, je suis réveillé par mon téléphone, c’est une infirmière de l’hôpital voisin qui me téléphone de la part de Melane hospitalisée et qui réclame ma présence.
Diffuse en direct !
Regarder son live