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La banquière libertine

Chapitre 2

Première fois en club

Avec plusieurs hommes
Après cette aventure à la plage, Jeanne me bien fait comprendre qu’elle est prête à découvrir le libertinage, et qu’elle me donne carte blanche pour le faire.Je lui propose donc quelques jours plus tard de m’accompagner dans un petit club libertin de la région en soirée et en semaine. Ce club se trouve à Ollioules et propose une soirée mixte le mercredi soir avec l’avantage de commencer tôt, avec buffet, ce qui est pratique pour ceux qui travaillent le lendemain comme nous !
Je passe donc chercher Jeanne à la sortie de son travail et nous partons ensemble. Elle porte un tailleur assez strict avec chemisier, très BCBG.Voyant mon regard, elle me devance en m’expliquant qu’elle n’a pas pu s’habiller comme elle aurait voulu à cause de sa journée de travail, mais qu’elle a mis des bas et de la lingerie très sexy, et entreprend de me montrer cela en relevant sa jupe dans la voiture, le spectacle est en effet attirant, et plusieurs routiers en ont profité, sans qu’elle ne s’en rende compte d’ailleurs.
Je lui demande de me montrer le haut, la voilà donc jupe retroussée et buste à l’air dans ma voiture, toujours sans se rendre compte que les routiers la matent, ce n’est qu’après un coup de klaxon qu’elle se rend compte de la situation, d’abord étonnée, puis amusée, elle ne réfléchit pas longtemps pour décider de continuer à jouer et de s’exhiber de plus belle, elle prend donc des poses sexy sur mon siège avant, pieds sur le tableau de bord, cuisses largement écartées, en se tenant les seins, tout en me regardant en passant sa langue sur ses lèvres, inutile de vous dire le succès que nous avons dans les embouteillages à l’arrivée sur Toulon.
Elle ne se contente pas de s’exhiber, mais entreprend de sortir ma queue pour commencer à me branler alors que je conduis.
C’est donc la queue sortie de mon pantalon que je gare la voiture près du club. Avant de descendre de la voiture, je vois Jeanne retirer sa culotte et la mettre dans ma boîte à gant, un petit sourire aux lèvres en me disant :
— Comme ça, je ne la perdrai pas !
Nous voilà donc devant l’entrée du club, où patientent déjà deux jeunes mecs, genre étalons musclés. Comme beaucoup de clubs à l’époque, les hommes seuls sont admis en fonction du nombre et du désir des couples. Cela n’est hélas plus d’actualité, car j’ai pu constater que depuis plusieurs années que la plupart des clubs font rentrer des hommes en surnombre, à près de 100 euros l’entrée, et que donc pour un tel montant, les mecs en veulent pour leur argent et sautent sur la moindre femme, qui n’a pas constaté ces cohortes de mâles la queue à la main dès qu’un couple se dirige vers les coins câlins !
Dès l’entrée, le patron me demande si ma partenaire souhaite d’autres hommes, question à laquelle je ne peux pas répondre, ne connaissant pas encore assez Jeanne, et sa libido insatiable...Nous voici donc tous les deux attablés sur des tabourets de bar, en train de boire un verre et de grignoter l’apéritif. Plusieurs couples entrent, à deux, à trois, à quatre, puis quelques hommes seuls. J’ai depuis un moment commencé à caresser discrètement l’entrecuisse de Jeanne, qui ne se cache plus pour écarter les cuisses, et laisser ma main jouer avec son sexe et son clitoris. Je le sens mouiller et s’ouvrir de plus en plus, elle me dit, sous l’effet de l’alcool un peu fort :
— Ma jupe est bonne pour le pressing ! Ce qui fait rire nos voisins...
L’ambiance devient de plus en plus chaude, les couples se caressent, s’embrassent, des trios se forment entre les couples et certains hommes seuls habitués. Je sens que Jeanne ne reste pas insensible à ce qu’elle voit, et qu’elle commence à repérer les mecs qui lui plaisent.Son petit manège semble efficace, car lorsqu’elle va aux toilettes, elle est suivie par un mec assez costaud, genre rugbyman, qui me fait un clin d’œil en passant devant moi. Ce n’est que 10 minutes plus tard qu’elle revient, les yeux brillants et les joues rouges, suivie par le rugbyman, lequel prend un malin plaisir à se rebraguetter devant tout le monde d’un air entendu...
Jeanne remonte sur son tabouret et me regarde en me disant :

— Tu ne croiras pas ce qui vient de m’arriver !— Eh bien, dis-le-moi alors, je lui réponds en la provoquant un peu.
Elle me raconte qu’elle est entrée dans les toilettes partie Dames, et qu’en sortant pour se laver les mains, le mec était déjà là en se séchant les mains, prétextant que le séchoir Hommes ne fonctionnait pas ! Après lui avoir posé les classiques questions du genre : Vous venez souvent dans ce club ? Vous recherchez des couples ou des hommes seuls ? Vous êtes avec votre mari ? Il s’était rapproché d’elle en lui disant qu’elle était séduisante. Et discrètement l’avait plaquée contre le lavabo, en lui faisant sentir qu’il bandait comme un âne. Surprise, elle n’avait pas su quoi faire, d’autant plus qu’il avait mis sa main entre ses cuisses pour la masturber et la doigter virilement ! Elle m’avoue qu’elle n’avait pas pu l’empêcher de la faire jouir en deux minutes, car je l’avais trop excitée avant !!! Le mec avait apparemment essayé de se faire sucer, mais ma belle Jeanne était partie, à la fois ravie et honteuse...
C’est donc une Jeanne se sentant coupable et hyper-excitée qui se blottit contre moi.Son « doigteur » était revenu à sa table avec deux autres mecs du même genre, qui ne se privent pas de regarder avec insistance la belle Jeanne, qui ne sait plus où se mettre !Le bruit de la musique sur la piste de danse siffle la fin de l’apéritif et tout le monde se retrouve vite sur la piste.
Je sens que Jeanne est un peu surprise du spectacle. Plusieurs femmes sont sur la piste en tenues plus que légères, entourées de femmes ou de mecs qui les caressent sans gêne aucune. La plupart des maris, ou accompagnants sont encore au bar en train de regarder les ébats de ces dames. Jeanne ne perd rien de ce qui se passe et je sens qu’elle meurt d’envie d’aller danser elle aussi. N’étant pas moi-même un grand danseur, je lui propose d’aller danser pour que je la regarde. Sitôt dit, sitôt fait, la voilà en train de danser. Elle s’est mise un peu en retrait et se regarde dans un miroir, je remarque rapidement que son arrivée n’est pas passée inaperçue et que plusieurs mecs commencent à tourner autour d’elle. Elle semble ne pas s’en rendre compte et danse toujours en se regardant dans le miroir.
De mon côté, j’en profite pour descendre dans les coins câlins et repérer les lieux afin de préparer notre descente un peu plus tard. J’aime bien reconnaître les lieux !Il y a déjà de l’animation, et notamment un petit gang bang a déjà commencé, un couple d’une cinquantaine d’années entouré de trois mecs, dont le « doigteur « de J, et la parade a commencé. Les trois hommes entourent la belle blonde plantureuse qui se laisse déshabiller et peloter. Elle est vite à genoux, et se met à sucer les trois queues, pendant que son homme prend soin des vêtements de sa femme en les pliant au bord du lit, avant de commencer à se masturber devant sa femme. Celle-ci en libertine assumée et expérimentée, a vite pris le contrôle de la situation et est maintenant en levrette pour une longue chevauchée...
Après avoir repéré les lieux et notamment le Glory Hole et le carcan, je remonte sur la piste de danse pour constater que Jeanne n’a pas perdu son temps !Elle est maintenant presque nue, sans jupe ni chemisier, juste les bas et le soutien-gorge, en train de danser entre plusieurs hommes et une femme, qui me semblent très jeunes.Elle semble complètement partie dans son monde, et je vois qu’elle est très excitée, s’offrant sans pudeur à toutes les mains et à toutes les bouches.
A la fin d’un morceau, la jeune fille l’entraîne par la main hors de la piste de danse pour la faire asseoir dans un fauteuil, et commence à la sucer sans la prévenir. Jeanne ferme les yeux et je vois ses mains se crisper sur le bord du fauteuil, la petite doit être douée, car Jeanne ne met pas plus de cinq minutes à jouir et arroser la petite qui se régale devant plusieurs voyeurs, après avoir embrassé Jeanne et lui avoir fait partager son goût, la petite part et retourne sur la piste de danse.Jeanne semble reprendre conscience et me cherche du regard. Elle me rejoint en titubant un peu au bar, et me dit :
— Tu n’aurais pas dû me laisser seule !— Pourquoi tu regrettes ?— Ben oui et non, toi tu n’as rien fait ?— Ne t’inquiète pas, je me rattraperai !
Après avoir bu un verre pour se remettre de ses premières émotions, je lui propose de descendre dans les coins câlins.Toujours presque nue, notre arrivée est remarquée, mais je sens que Jeanne souhaite rester près de moi, comme pour si elle avait besoin de protection.Je la promène dans les coins câlins, dans lesquels règne une grande activité !Plusieurs femmes sont en plein gang bang ou trios, il y a foule aux Glory Hole où les deux trous sont bien remplis.Je sens que ce spectacle ne laisse pas Jeanne indifférente, et mes caresses sur ses seins et son clitoris accentuent son excitation.
C’est elle qui me dit :
— J’ai envie de baiser, baise-moi vite là !
Ayant repéré les lieux, je l’emmène discrètement dans la pièce où il y a un carcan.Un peu surprise au début, je lui propose d’essayer pour jouer et que si elle ne se sent pas bien, on arrêtera.Je l’installe, et après avoir fermé le carcan, je commence à la caresser, la doigter sexe et anus, son excitation facilite les pénétrations manuelles et je l’entends grogner en disant ; je veux ta queue, baise-moi !
J’attends encore un peu, et je décide de la baiser sans ménagement, même brutalement sans préparation, je rentre dans son sexe qui était déjà très dilaté et trempé, surprise, elle pousse un petit cri, qui est suivi de véritables râles de plaisir, elle coule de plus belle et commence à jouir, je me retiens et je sors de son sexe pour tenter de la sodomiser, elle arrive à articuler en me disant "doucement s’il te plaît", ce que je fais, et son anus déjà lubrifié s’ouvre sans résistance, je la lime de plus belle, et sa jouissance reprend sans arrêt, et attire un public nombreux. Plusieurs mains commencent à la caresser, des queues frôlent son visage, elle ne semble pas réaliser qu’elle devient le centre d’intérêt de tout le groupe.
L’arrivée de la petite qui se place devant elle et applique son clitoris sur la bouche de Jeanne, m’excite tant que je décharge dans les intestins de Jeanne, qui elle-même m’inonde d’un jet de cyprine, en se découvrant femme fontaine...
Je sors de son anus, pendant que Jeanne continue de sucer le clitoris de la petite. Je remarque que le mec de la petite a aussi mis sa queue entre les cuisses de la petite et qu’il se fait aussi sucer par Jeanne.
Je sens que Jeanne a encore envie et besoin d’être prise, et repère deux mecs pas mal et respectueux et les invite à se couvrir pour baiser Jeanne.Sitôt capoté, le premier s’enfonce dans sa chatte et commence un ramonage en bonne et due forme. Jeanne commence à gémir et a du mal à respirer entre le clitoris et la queue à sucer, et se met à couler en continu, ce qui excite encore plus le mec qui va décharger rapidement dans sa capote.
Sitôt sorti, le suivant la pénètre immédiatement, et je constate que la taille de sa queue est gigantesque par les plaintes de Jeanne qui commence à gémir
— Putain c’est bon, il est énorme, je n’ai jamais senti ça, n’arrête pas, encore, vas-y...
C’est donc le visage arrosé de la cyprine de la petite et du sperme de son copain que Jeanne va jouir pendant 20 minutes, devant presque tous les participants. Le second est particulièrement endurant, mais je sens que Jeanne fatigue, je lui demande donc de jouir rapidement, il essaye de la sodomiser, ce que je refuse et c’est sur ses reins qu’il décharge une grosse dose de foutre.
Jeanne a les jambes qui tremblent après ces 45 minutes d’orgasmes non-stop.
Je l’aide à s’allonger sur une banquette pour qu’elle retrouve ses esprits, tout en vérifiant l’état de sa chatte, complètement dilatée, trempée et animée de tremblements elle aussi, continuant de couler...Après un bon quart d’heure de récupération, une douche, on remonte au bar pour boire un dernier verre...Jeanne semble anéantie, les yeux brillants, les joues rouges, mais heureuse et épanouie...Nous décidons de rentrer et après avoir reçu les salutations des patrons et de tous ceux qui l’ont baisée, avec l’invitation de revenir quand on voulait, nous reprenons la route vers Marseille. Silencieuse dans la voiture, Jeanne me regarde et me dit :
— Tu as honte de moi ?— Pourquoi j’aurais honte de toi ?— Pour ce que j’ai fait, je me suis conduit comme une pute, une salope ! Devant toi et devant tout le monde !— Et alors j’en suis ravi, j’ai aussi pris mon plaisir, et toi !— Putain je n’ai jamais joui autant, aussi fort, c’était dingue, je pense que j’ai perdu connaissance un moment...— J’adore, alors prête à recommencer ?— Attends un peu que je me remette, mais je pense que je ne pourrai plus m’en passer !
Jeanne a dormi pendant les 80 kilomètres...
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