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Banquière perverse

Chapitre 1

Mon découvert

Divers
Bonjour, chères lectrices et chers lecteurs 

J’ai écrit cette histoire à la demande d’un membre qui fantasme sur sa banquière et sa fille. Il m’a demandé si je voulais bien écrire une histoire en me donnant quelques éléments. J’ai accepté car j’estime que de temps en temps, nous pouvons faire plaisir à nos lecteurs qui par difficultés à l’écriture ou pour toute autre raison ne peuvent pas écrire d’histoire. Je me suis déjà livré à ce genre d’exercice il y a quelques temps avec l’histoire « Spermatozoïde en détresse » où notre ami Lioubov avait lancé le défi d’écrire une histoire sur un thème complètement décalé.
Voici donc les aventures d’Issam et de sa banquière.
Je m’appelle Issam, j’ai la trentaine et je suis né à Alger mais j’habite en France depuis plus de vingt-cinq ans. Nous sommes en juin et en ce moment, tout va mal et je n’ai pas de travail car je n’ai pas de diplômes et mon compte est à découvert. Alors je tue le temps comme je peux. Je me balade sur les bords de la Seine car j’habite à Paris dans un petit studio du côté de la porte de Bagnolet.
Alors que je lézarde sur un banc public, mon téléphone vibre et sonne; je l’extirpe de ma poche. Un appel masqué ! Espérant avoir une réponse pour un emploi auquel j’ai postulé, je décroche rapidement ; au bout du fil, une voix féminine avec un fort accent, que j’identifie pour être marocain, m’interpelle.
— Monsieur Issam Dilachaudqueue ?— Oui Madame, lui réponds-je poliment.— Je suis Madame Shirine, la directrice de votre banque, et il faut que je vous rencontre très rapidement.— Oui, Madame.— Alors en fin d’après-midi, disons à seize heures quarante-cinq, me dit-elle sur un ton autoritaire.— Oui, Madame.— Parfait, je vous attends, et soyez ponctuel ; j’ai horreur des gens qui ne se présentent pas à l’heure ! me dit-elle sur un ton sec, puis elle raccrocha.
Je regarde l’écran de mon téléphone s’éteindre ; l’angoisse m’envahit. Dès cet instant, je sais ce qu’il va se passer : elle va me parler de mon découvert et sans doute me prendre ma carte bleue. Je sais que je suis dans le rouge depuis un bon moment et je n’ai pas répondu aux lettres de relance que la banque m’a envoyées ; en gros, j’ai fait l’autruche.
L’heure du rendez-vous approche à grand-pas et, malgré le fait que pendant toute la journée, j’ai retourné dans ma tête toutes les explications possibles et plus farfelues les unes que les autres que je pourrais lui raconter, me voici dans le hall d’accueil de la banque. Fébrilement, je me dirige vers l’hôtesse d’accueil. Pour tenter d’amadouer la banquière ; je vais prendre un fort accent et faire celui qui ne parle et ne comprend pas bien le français. Des fois ça marche auprès de la caisse d’alloc.
— Bijour, mam’zelle, j’y rendez-vous avec Madame Shirine.— Bonjour Monsieur, installez-vous là ; je vais la prévenir.

Je m’installe dans cet endroit servant de salle d’attente où sont disposés sur une table basse tout un tas de prospectus ventant mérites des placements, prêts et services proposés par cette banque mondialement connue et que moi j’appelle « le crédit patate ». Les yeux rivés sur la pendule accrochée au mur, je regarde les secondes s’égrainer. L’aiguilles indiquent seize heures cinquante : comme la banque ferme à dix-sept heures ; je me dis que le rendez-vous va être rapide. Soulagé par ce constat ; je me redresse sur mon siège, quand une magnifique femme se dirige vers moi et me tend la main.
— Monsieur Issam ?— Oui, Madame.— Je suis Madame Shirine, suivez-moi, je vous prie.
Je lui emboîte le pas et n’ai d’yeux que pour sa silhouette. Cette femme typiquement marocaine au teint mat, a la peau de toute beauté. Dans son tailleur parfaitement ajusté, le galbe de son corps me donne l’envie de la toucher et de la caresser ; mais je pense que ce serait une très mauvaise idée. Mon regard s’arrête un instant sur ses fesses qui roulent sous sa démarche : « Oh, putain ; quel cul ! »
Mais très rapidement, elle me ramène à la réalité :
— Asseyez-vous là ! Monsieur Issam Dilachaudequeue ; c’est votre vrai nom ?— Oui, Madame.— Eh bien, avec un nom pareil, vous n’avez vraiment pas eu de chance. Bref, passons. Si je vous ai convoqué, c’est pour parler de l’état de votre compte bancaire ; et là, ça ne va pas du tout.— Ah ?— Vous êtes débiteur de deux mille trois cents euros et quatre-vingt-huit centimes ; je ne vois aucune rentrée et vous n’avez pas répondu aux…trois lettres de relance que je vous ai fait parvenir. Que se passe-t-il ; vous ne travaillez donc pas ?— Pas en ce moment, Madame, et pis j’y pas de diplômes et c’est très compliqui. Vous comprenez, ma mère et malade, et mon frère n’a pas d’y travail ; chez nous, c’y la misère. Faut me comprendre, Madame.— Certes, mais vous savez, les banques ne sont pas les restos du cœur ; alors il va falloir trouver une solution.— Oui, Madame, je vais cherchi d’y travail.
C’est à ce moment qu’une jeune femme entre dans le bureau. À sa vue, ma gorge se serre et une bouffée de chaleur m’envahit et pour cause. J’ai en face de moi une véritable poupée, la ressemblance avec ma banquière est frappante avec en plus la jeunesse, sans doute ado de quatorze ou quinze ans. Grande, un corps élancé, un visage fin à la chevelure noire. Mon regard monte de ses pieds chaussés d’escarpins à talons hauts vers ses jambes fines et élancées. Puis je m’arrête sur une minijupe extrêmement courte. Je suis certain que si elle s’assoit, sa jupe remontra suffisamment pour que ses fesses soient nues sur le siège et je verrai sa culotte ; à moins qu’elle n’en porte pas. Mes yeux sont maintenant rivés sur sa poitrine généreuse soutenue par un soutien-gorge noir que je devine par la transparence de son chemisier blanc.
Je suis totalement subjugué par la beauté de cette jeune femme, quand ma banquière me sort de ma torpeur.
— Monsieur Issam, je vous présente Lacksimy, ma fille et collaboratrice.— Bonjour Mademoiselle, vous êtes ravissante.— Monsieur Issam ! C’est étrange, le fait de voir ma fille et vous parlez parfaitement le français !
Je reste sans réponse, ma tentative de jouer le benêt et le malheureux vient de tomber à l’eau ; je suis démasqué.
— Pardon Madame, je…— Vous avez tenté de m’attendrir en jouant cette comédie ridicule, cela va vous coûter cher, Monsieur !
Les deux femmes se chuchotent quelque chose à l’oreille et je vois leur visage s’illuminer tout à coup ; je ne sais pas ce qu’elles complotent et je suis un peu inquiet.
— Bien, qu’avez-vous à me proposer pour remettre votre compte à flot ?— Je ne sais pas ; pour le moment, je n’ai pas de solution. J’ai beau chercher du travail mais je n’en trouve pas et puis je ne vous ai pas menti ; je n’ai pas de diplômes et c’est alors très compliqué pour se faire embaucher.— Je comprends, mais vous auriez dû venir me voir depuis longtemps afin de ne pas vous enfoncer de plus en plus.— Je sais, Madame, mais c’est difficile à faire.— Bon… Je pense pouvoir vous aider malgré tout, ainsi vous pourrez constater que tous les banquiers ne sont pas des sauvages et je pense même vous trouver un travail.— Oh, merci Madame, je suis prêt à tout faire pour m’en sortir.— Parfait ! Lacksimy, prépare le contrat de Monsieur ; voici son nom et ses coordonnées. Dès qu’il est imprimé apporte le afin qu’il le signe. Va, ma chérie.
Je ne sais même pas de quoi il s’agit mais, de toutes les façons, je n’ai guère le choix ; alors j’attends.
— Bien, Monsieur Issam, je vois que ma fille vous plait.— Elle est magnifique, et si jeune.— Ah ! Et vous lui donnez quel âge ?— Je ne sais pas entre quatorze et quinze ans tout au plus ; je suppose qu’elle fait un stage.— Hum…vous supposez très mal, mon cher. Elle est ma secrétaire et elle a vingt-et-un ans.
Je reste bouche bée à l’annonce de cette nouvelle mais ne réponds rien. Cette jeune femme a un visage de gamine sur un corps de belle femme ; que la nature est étrange parfois. Toujours est-il que je m’imagine déjà avec cette petite gazelle dans mon lit et lui faire découvrir de belles choses.
— Alors, surpris ; vous ne vous attendiez pas à ça ?— Non, mais elle est vraiment magnifique, félicitations, Madame. Mais expliquez-moi ce que je dois faire pour me remettre à flot ?— Elle est partie vous préparer votre contrat et je vous conseille de le lire attentivement avant de signer. En gros, vous allez être embauché ici à la banque pour y faire le ménage le soir après la fermeture, cela vous convient-il ?— Merci, Madame ; mais cela suffira-t-il pour que je puisse vivre, payer mon loyer et rembourser mon découvert ?— Non, mais je peux aussi vous proposer un complément ; j’ai besoin d’un homme de maison et j’ai également des amis qui en recherchent un et vous serez nourri et logé. Si cela vous convient, je fais rajouter cela au contrat?— Merci, Madame, je suis prêt à tout faire pour m’en sortir.
Elle appuya sur un bouton d’un interphone et dit :
— Rajoute les clauses d’homme de maison pour chez nous et chez les Belleville, s’il te plait, ma chérie.— Bien Maman, il sera prêt dans cinq minutes.— Alors Monsieur Issam, satisfait ?— Oh, c’est formidable et je vais même pouvoir quitter mon appartement ?— Certainement, nous avons ce qu’il faut et nos amis aussi.— Vous pouvez m’expliquer comment cela va se passer ?— C’est simple : le soir vous aurez trois heures de ménage pour la totalité de l’agence et ensuite, on viendra vous chercher pour aller chez les Belleville et le weekend, ce sera chez moi.— Et pour les tenues de travail ?— Ne vous souciez pas de cela ; nous avons la solution.
Sa magnifique fille fait son apparition avec une liasse de feuilles à la main et les pose sur le bureau de sa mère. Elle parcourt rapidement et marquant des poses de temps en temps, puis :
— Tenez, lisez et signez.
Je regarde le document, mais mon regard est plus attiré par le cul de sa fille qui se dévoile petit à petit. Elle est en train d’essayer d’atteindre un dossier perché sur la dernière étagère d’une armoire. Je vois la moitié de ses fesses, elle n’a pas de culotte !« Oh, putain ; quel cul ! » mon esprit divague et ma bite durcit.
— Alors, Issam ! C’est lu ?— Euh, oui, Madame.— Si vous êtes d’accord, signez en bas avec la mention : « lu et approuvé ».
J’écris : « lu et approuvé » et je signe puis, je tends le document ; sauf que trop occupé à mater le cul de la belle Lacksimy, je ne l’ai pas lu.
— Voici Madame, je commence quand ?— Comme c’est inscrit dans le contrat : maintenant !— Et je fais quoi ?— Ma fille va vous montrer où se trouve le matériel de nettoyage. En attendant déshabillez-vous.— Mais…— Vous êtes certain d’avoir lu le contrat ?— C’est-à-dire que…— Ah, je comprends ; vous étiez plus attiré par les fesses de ma fille que par le texte.— Oui, Madame.— Dommage pour vous car vous avez signé.— Je sais que j’aurai dû le lire ; j’ai signé, je vais assumer.— Vous n’avez plus vraiment le choix, mon cher. Je vais donc vous résumer ce que vous avez signé, vous devrez :
— Faire le ménage dans l’agence, le soir.— La semaine, en journée, vous ferez tout ce que les Belleville vous demanderont.— Le weekend et les jours de fermeture de la banque, vous serez chez moi et vous devrez vous soumettre à tous nos caprices.— Pour votre tenue de travail : vous serez nu et le port des vêtements à l’exception des sous-vêtements ne sera autorisé que pour vous déplacer à l’extérieur et seulement qu’avec notre accord.
— C’est à prendre ou à laisser, me dit-elle d’une voix autoritaire.— J’accepte, Madame.— Alors à poil !— Oui, Madame…et pour mon compte ?— J’ai bloqué les agios. Ainsi, vous n’aurez plus de frais ; pour le reste, il faudra attendre de percevoir votre salaire d’homme de maison.
Je me sens soulagé mais à la fois anxieux et excité. J’entends encore la phrase où elle dit que je devrai assouvir tous leurs caprices. Je m’imagine en train de baiser ces deux femelles car je bande comme un turc et au moment où j’enlève mon caleçon :
— Waouh, Maman ! Tu as vu cette bite !— Oui, ma chérie, mais ne lui donnons pas de fausses joies ; il va falloir qu’il fasse ses preuves.
[À suivre]
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