Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 113 J'aime
  • 5 Commentaires

Banquière perverse

Chapitre 2

Gladice la servante.

SM / Fétichisme
Gladice la servante.
— Dis, maman, on pourrait le tester ce soir ?— Bonne idée, je termine un dossier ; pendant ce temps mets-le dans la voiture.— Ok.
Lacksimy sort du bureau et revient avec un sac plastique à la main et me le tend.
— Issam, mets tes fringues là-dedans et tu peux leur dire adieu.— Mais Mademoiselle, je ne vais pas …— Rester à poil ? Si bien sûr ; tu as signé un contrat où tu acceptais de faire tout ce que ma mère et moi te demanderons. Maintenant, tu peux encore revenir en arrière ; mais sache qu’avant de partir d’ici tu devras te débrouiller pour que ton compte soit clair. Alors ?
Je suis nu devant ces deux femmes, avec cette sensation d’humiliation. Je tente de cacher mon sexe mais la belle demoiselle aux jambes magnifiques hausse le ton :
— Laisse tes mains dans le dos, nous voulons te voir, tu ne pourras mettre la main à tes parties que quand nous te le demanderons ; par exemple pour te caresser ou te masturber. Montre-nous comment tu t’y prends !

Là, c’est le comble ! Elle veut que je me branle devant elles ! Je m’exécute et la honte m’envahit, je sens le rouge me monter au visage. Je passe ma main sur mes testicules, m’emmêle les doigts dans mes poils et commence à me masturber et accélère rapidement le mouvement.
— Ça suffit ! Tu ne crois pas dégueulasser la moquette avec ton sperme puant !
Je stoppe immédiatement car je suis au bord de l’éjaculation. J’ai terriblement honte mais je ressens un plaisir étrange.
Je voudrais demander à lire mon contrat pour savoir ce que je vais devoir faire, mais je me ravise car mon fantasme de faire l’amour avec ma banquière refait surface. Alors je prends le sac, y fourre toutes mes fringues et le tends à la jeune femme. Elle le saisit avec rudesse, le ferme d’un double nœud et le jette négligemment d’un coup de pied au fond d’un placard dont elle referme la porte. C’est alors que sa mère lui tend deux pièces de tissus noir.
— Tiens, ma chérie. Arrange-toi pour qu’il ne voie rien et ne nous échappe pas.
La belle me bande les yeux et m’attache les mains dans le dos à l’aide des morceaux de tissu et tout à coup, je me remets à bander comme un beau diable.
— Maman, tu as vu comme il bande, ce cochon ?— Oui, ma chérie, tu sais les hommes adorent être dominés par des femmes ; je pense que nous avons un beau sujet. Tiens, mets-lui ça.
Elles ont raison, j’adore cette situation mais je suis assez inquiet pour la suite car j’ai le sentiment que je vais rester dans cette tenue un bon moment. Que vont-elles faire maintenant et comment vais-je être transporté ?
Je sens alors comme une sangle faire le tour de la base de mes testicules et de mon pénis puis, se serrer si fort que mon sexe gonfle encore plus. La coquine en profite pour m’enfoncer ses ongles longs dans mes testicules et aussi dans mon gland. Je m’entends gémir de plaisir.
— Tu as raison, maman : nous avons un beau sujet.
Elle me tire par cette sorte de sangle qui doit être une laisse spéciale pour homme, j’en avais vue sur les sites spécialisés ; elle ressemble à une laisse pour chien avec un petit collier pour pouvoir entourer les testicules. Yeux bandés, les mains attachées dans le dos et guidé par la laisse ; je n’ai guère d’autres choix que d’aller là où l’on m’emmène.
De l’air chaud s’engouffre dans le bureau climatisé, nous sommes sûrement dans un couloir.
— Avance, suis-moi et ne crains rien ; il n’y a plus personne dans la banque. Nous allons au garage.
Effectivement, une porte s’ouvre en grinçant et je sens l’odeur si caractéristique des parkings souterrains. Au loin, le crissement des pneus d’une voiture ; mon cœur s’emballe, m’a-t-on vu ? Mais le bruit de l’ouverture d’un hayon électrique me ramène à ma situation.
— Monte et allonge-toi, tu es tout juste bon à faire le voyage dans le coffre, me dit ma belle accompagnatrice.
Je réussis à m’installer tant bien que mal dans le coffre qui se referme sur moi. Elles vont m’emmener, mais vers où ? Peut-être chez elles, je ne sais pas. Un bruit de portière, des voix étouffées et des rires, puis la voiture démarre et roule un long moment. Et moi, couché en chien de fusil dans le fond du coffre, je compte le temps. Nous roulons un bon moment, le temps me parait une éternité, je sens la voiture rouler sur du gravillon, puis s’arrêter. Le coffre s’ouvre, de l’air frais entre dans le coffre ; je respire. Pas un bruit et cet air qui sent le frais ; juste le chant des oiseaux pour rompre le silence.
— Issam, tu peux sortir. Gladice ! Viens récupérer un colis ; j’ai du travail pour toi.— Oui, Madame, j’arrive.
Hors du coffre, la fraîcheur du soir me fait frissonner ; on m’ôte le bandeau et une fois que mes yeux sont à nouveau habitués à la lumière du jour, je peux découvrir la fameuse Gladice. En face de moi, une charmante jeune femme habillée en soubrette avec une mini jupe extrêmement courte et un chemisier presque transparent. Elle fait une petite révérence à Madame et m’envoie un sourire moqueur.
— Gladice, as-tu respecté la consigne ? demanda Madame Shirine.— Oui, Madame, je suis entièrement nue dessous, vous voulez vérifier ?— Non, je te fais confiance.— Et lui, c’est qui ?— Un très mauvais client pour ma banque, je vais le garder comme homme à tout faire le temps qu’il comble sa dette.— Mais pourquoi est-il nu ? Il est horriblement poilu.— Justement, tu vas te régaler ; épile-le entièrement.— Tout ?— Oui, tout, de la tête aux pieds ; je ne veux pas voir un seul poil dépasser.— Merci Madame, alors on y va.— Mais, Madame…ose-je.— Issam ! Si vous aviez lu votre contrat, vous le sauriez ; alors exécution.
Je commence à regretter amèrement de ne pas avoir lu ce maudit contrat. Gladice prend la laisse et tire dessus ; mon érection est retombée et je sens mes bourses s’allonger sous la traction. Les graviers de la cour de cette belle demeure bourgeoise me rentrent dans la plante des pieds. Je peux admirer le beau jardin dessiné comme celui du château de Versailles, mais après avoir évité le perron de la maison, nous entrons par une porte donnant sur un escalier descendant.
— Allez Issam, suis-moi que je te tonde.
Je la suis dans cet escalier en pierre, il fait sombre et frais. En bas, il débouche sur une salle avec un grand évier et sa paillasse et aussi un tuyau d’arrosage ; j’ai l’impression d’être dans les oubliettes d’un château féodal.
Elle me détache les mains et enlève la laisse.
— Donne-moi tes poignets que je t’attache.— C’n’est pas la peine, je ne vais pas m’évader.— J’en suis certaine, mais si Madame ou sa fille viennent ; je ne tiens pas à être punie pour ne pas avoir respecté les règles.— Elles te punissent ? Comment ?— Oui, elles peuvent être très sévères, surtout Mademoiselle Lacksimy ; c’est la pire des deux surtout au fouet. Et puis on l’a cherché un peu, non ?— Pourquoi, qu’est-ce que tu as fait ?— Normalement nous n’avons pas le droit de nous parler sauf sur ordre, alors il faut faire attention. Moi, c’est un crédit que je n’arrivais pas à rembourser ; alors Madame m’ proposé un contrat, sauf que moi, je l’ai lu et je sais à quoi m’en tenir. Mais parfois, j’enfreins volontairement les règles pour être punie ; j’aime être traitée en esclave. Allez, assez parlé ; il y a du boulot, donne-moi tes mains.
Docilement, je lui tends mes poignets qu’elle enserre dans des bracelets en cuir et les attache à des anneaux suspendus au plafond. Puis elle tire sur une corde faisant aussi monter mes bras. Mes chevilles sont également emprisonnées et fixées au sol à des anneaux ; je suis à la merci de mon esthéticienne qui, contrairement à moi, n’a pas besoin de s’épiler. En effet, elle vient de se baisser, sa micro jupe est remontée et j’ai pu voir sa vulve vierge de tout poil. Elle me jeta un regard coquin.
— Tu aimes me voir aussi ?— Oui, tu es très belle ; vas-y, fais ce que tu as à faire.
Elle se saisit d’une tondeuse de coiffeur et commence par mon crâne, petit à petit, elle descend le long de mon corps, faisant tomber mes poils par touffes entières. C’est la première fois que je subis ce genre d’épreuve et je me rends vite compte que j’y prends un immense plaisir ; je bande très fort. Elle me regarde avec un œil coquin et un sourire qui montre toute sa satisfaction.
— À en voir l’état de ta bite, j’ai l’impression que tu aimes cela, me dit-elle en m’envoyant une énorme claque sur ma queue.
Elle devient encore plus raide et une énorme envie de me masturber monte en moi. Malheureusement pour moi, cela m’est impossible. Elle continue, imperturbable, à me raser le torse, le sexe, testicules compris ; elle me tond entièrement, mais mon supplice ne s’arrête pas là. Elle attrape une bombe, la secoue énergiquement et en vaporise tout le contenu sur moi ; elle en met partout. Une mousse blanche recouvre la totalité de mon corps, parties intimes et raie des fesses comprises ; elle m’a même écarté les fesses pour m’en recouvrir l’anus. J’ai honte, la mousse est froide et me pique par endroits, puis elle sort de la pièce sans rien dire.
J’ai froid, la mousse commence à me piquer de partout, mais malgré tout, je suis excité de me découvrir imberbe ; je compte le temps. Enfin elle revient.
— Ça va ?— Ça pique de partout…— C’est normal, je vais arranger cela.
Elle se dirige vers le tuyau d’arrosage, ouvre la vanne au mur, se saisit de la poignée et appuie sur la gâchette. Un jet plat et fin en sort ; il a l’air puissant.
— Ferme les yeux et accroche-toi, me dit-elle.
Je sens un jet puissant me frapper la peau, les gouttes fines me piquent ; je serre les dents et je m’accroche. Avec minutie, elle passe le jet, insiste à certains endroits. Quand elle arrive à mes testicules et mon sexe, c’est un véritable supplice ; j’ai l’impression que les gouttes d’eau rentrent sous ma peau. Enfin le supplice s’arrête ; elle me regarde sous toutes les coutures, fait descendre mes bras et me détache.
— Bien ! Quelques retouches et ce sera parfait. Mets-toi à quatre pattes et fesses bien écartées ; Madame exige que les gens soient toujours parfaitement propre à cet endroit. Je vais te montrer comment faire.
Elle reprend le jet et le règle pour qu’il soit plein et puissant puis elle le dirige vers mon anus. Montrer cette partie de mon corps à cette inconnue me mets un peu en colère car je ne montre jamais cette partie. Moi, je préfère regarder et toucher celle des femmes alors, avec beaucoup de réticence, je lui expose mon anatomie.
— Ne sois pas timide car au vu de ce que je sais, tu n’as pas fini de le montrer ton petit trou.— Comment cela…que sais-tu ?— Je ne devrais pas te le dire, mais d’après ce que j’ai pu entendre, je crois qu’elles ont envie de réaliser un de leur fantasme.— Et c’est quoi ?— T’exploser le trou du cul !— Mais elles sont folles !— Non, très perverses ; mais tu devras faire avec, voilà tout. Et puis la remise en ordre de ton compte vaut bien quelques petits sacrifices, non ?
Pendant ce temps le jet plein faisait le grand nettoyage de mon intérieur. Cette opération terminée, nous passons à une partie plus agréable. Séché, elle m’étale généreusement de la crème apaisante ; le feu de l’épilation s’estompe et elle me remet la laisse. Gladice ouvre une porte qui donne sur un escalier montant, il est carrelé, clair et une odeur de café semble venir du haut. Nous montons, elle devant, à chaque marche elle me dévoile sa croupe nue ; elle a un joli petit cul ! Elle ouvre la porte qui débouche dans un grand hall dont les murs sont tapissés d’immenses miroirs. Je peux apercevoir le mec imberbe que je suis, tiré par les couilles par cette magnifique servante qui m’a exposé sa croupe durant la montée de l’escalier. Je suis complètement ridicule dans cette tenue et cette situation ; je ne sais pas où je vais avec cette histoire de contrat, mais je suis certain que tout ne va pas être que plaisir.
Nous entrons maintenant dans un vaste salon où Madame et sa fille nous attendent en buvant un café.
— Ah, vous voilà enfin ! Gladice, montre-nous ton travail.— Voici, Madame ; j’ai fais de mon mieux.— Issam ! Approche, que je te vois un peu mieux.
Gladice lâche la laisse. Je me dirige vers ma banquière, très légèrement vêtue, affalée dans un énorme fauteuil qu’elle remplit presque. J’adore ces femmes un peu fortes. Sous son peignoir en soie, je devine aisément sa lourde poitrine ; je la devine nue, épilée. Comme j’aimerais qu’elle me domine, qu’elle me fouette. Et sa fille assise à côté d’elle avec son kimono ultra court ; je viens d’apercevoir sa chatte juvénile et épilée.
— Issam, tourne, encore…parfait. Gladice, tu as fait du très bon travail et je vais t’accorder en récompense une faveur. Demande-moi ce que tu souhaiterais obtenir.— Madame, pourrai-je l’essayer ?— Qui, lui ?— Oui, Madame.— En voilà une belle idée, mais tu vas le faire devant nous. Ainsi nous pourrons juger de ses capacités.— Avec plaisir, Madame.— Parfait. Monsieur Issam Dilachaudqueue, tu as de la chance ; Gladice a envie de toi. Tu peux considérer ceci comme une grande faveur de notre part. Alors, ne la et ne nous déçois pas. Je veux que tu la fasses gémir de bonheur, je veux que tu la fasses crier de plaisir. Tu vas me baiser cette salope avec force, si tu n’y arrives pas, gare à toi ; tu seras puni.
— Bien, Madame, vos désirs sont des ordres.
Pendant ce temps, Gladice enlève le peu de vêtements qu’elle porte et s’allonge sur la peau de bête qui orne le sol et éclata de rire à la prononciation de mon nom.
— Allez, viens me baiser, mais uniquement avec ta bite ; tu ne me touche pas ! Pas de baisers, pas de caresses. Pour moi, tu n’es qu’un gode vivant.
Conscient de mon état de queutard de première, je m’allonge sur la belle servante et la pénètre d’un coup sec. Elle a les yeux fixés au plafond, elle ne bouge pas d’un cil ; mes coups de boutoir n’éveillent aucune réaction, pas l’ombre d’un soupir ne sort de sa bouche…
[À suivre]
Diffuse en direct !
Regarder son live