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Banquière perverse

Chapitre 3

Esclave de ces dames.

SM / Fétichisme
Esclave de ces dames.
— Alors Gladice, notre étalon ne te fait pas d’effet ?— Non Mademoiselle, Monsieur Dilaqueue, ch’sais pas quoi n’est pas à la hauteur.— Très bien, je vais arranger cela.
Un sifflement puissant et un choc cuisant sur mes fesses viennent de m’arracher un cri de douleur :
— ARGH !... Putain d’salope !— Ah, Ouiii… ! répondit Gladice.— Et bien voilà, c’est nettement mieux ainsi, reprit la demoiselle.
Un second coup vient de s’abattre sur mon cul :
— AH… ! Ça fait malll… !— Ah, Ouiii… ! répondit Gladice.— Encore ? demanda Lacksimy— Oh, oui, Mademoiselle, encore…s’il vous plait.
Et les coups reprennent de plus belle, moi, je hurle de douleur et Gladice est en train de jouir comme une folle.
— Oh, ouiii…Encore Mademoiselle, je jouiiis…! Oh, ouiii… !
Elle est envahie par les convulsions de la jouissance et moi je lui éjacule tout ce que je peux dans le vagin. J’ai mal au cul, je suis exténué, mais alors quel pied !
— Maintenant, ça suffit ! hurla presque Madame Shirine.— Oui, tu as raison Maman ; nous n’allons pas les laisser prendre du plaisir ainsi devant nous. Relevez-vous !— Merci Mademoiselle de m’avoir fait jouir ainsi. Que puis-je faire pour vous remercier ?— Commence par aller te laver ; regarde ce sperme puant couler le long de tes cuisses. Ensuite revient et tu vas nous faire jouir à notre tour.— Bien Mademoiselle Lacksimy, je fais vite.— Quant à toi Issam, tourne-toi et à genoux, qu’on puisse admirer ton cul rougi ; mains sur la tête ! m’ordonna Lacksimy.
Je m’exécute, dans cette posture je me sens ridicule et humilié. J’ai les fesses en feu, je voudrais voir dans quel état elles sont ; pas de glace ni de miroir. J’attends les mains sur la tête avec la bite pendante et baveuse. Peu de temps s’est écoulé ; Gladice revient, cette fois elle est entièrement nue. Elle est belle comme un cœur, ses seins tout ronds sur lesquels pointent de jolis tétons et son pubis imberbe me font bander à nouveau.
— Issam, tourne-toi, qu’on te voit de profil, ordonne Madame Shirine.
Je m’exécute en pivotant sur mes genoux. En face de moi, je me vois dans un miroir posé au sol. Je suis ridicule dans cette posture, à genoux, mains sur la tête et la bite en l’air ; d’autant qu’elle monte encore plus. Dans le miroir, juste à côté de moi et un peu en arrière je vois Gladice à genoux, la tête entre les cuisses de la belle Lacksimy. Elle se tortille de plaisir quand Gladice plonge sa langue dans le sexe que j’imagine inondé de ce jus que je voudrais tant gouter.
— Vas-y, ma belle, suce-moi le clito…encore…un peu plus…Mordille moi…Oh, oui…tu es bonne. Vas-y ma salope…aspire mon jus…
J’entends les « slups » de la succion qu’administre la belle servante et la non moins belle demoiselle. Et moi je me languis de pouvoir participer à ce jeu.
— Issam ! Tourne-toi et regarde bien ce qu’elle me fait car si tu es docile, un jour je te ferais l’honneur de me sucer.
Autant demander à un âne s’il veut du son. Je fais immédiatement volte-face pour admirer le spectacle. Devant moi, se déroule un spectacle hors du commun ; Gladice à quatre pattes, les cuisses grande ouvertes, m’expose sans pudeur la totalité de son intimité. Sa vulve toute rose encore ouverte par ma pénétration dégouline de son jus brillant, j’ai envie de me précipiter pour le boire. Et son trou du cul qui vu sa forme, n’est certainement plus vierge depuis longtemps ; je bouge un peu.
— Issam ! Ne bouge pas, si c’est le cul de Gladice que tu veux ; il est pour moi.
Cette phrase, c’est Madame qui vient de la dire. Elle a ouvert son peignoir et se caresse la chatte avec frénésie. Mon fantasme me revient et je tente alors le tout pour le tout.
— Madame, je vous en prie ; laissez-moi vous lécher et boire votre jus.— Espèce d’impertinent personnage, tu crois m’amadouer avec ce genre de demande ?— S’il vous plait, Madame ; en échange, demandez moi ce que vous voulez, je le ferai avec plaisir.— Ah, oui ! Et bien soit, viens me lécher ; mais sans les mains uniquement avec ta langue. J’espère pour toi qu’elle est assez longue pour me faire jouir, car autrement il t’en cuira.— Merci, Madame.— Ne me remercie pas trop vite car je ne suis pas certaine que ce que tu vas subir après te plaise tant que cela.
« Je m’en fous ; je vais sucer ma banquière ! »
Je me traine sur les genoux jusqu’à elle ; elle ouvre ses cuisses et sans m’attarder, j’y plonge ma tête. Je titille son clitoris, pénètre entre ses lèvres et rentre la totalité de ma langue dans son vagin. Ça marche ! Elle gémit. Je redouble d’ardeur, entre et ressort de sa caverne, lèche, suce, mordille son clito et rentre à nouveau ; c’est sûr qu’elle va jouir. Quant à moi, je suis terriblement excité, j’ai envie de me branler.
« Allez, branle-toi, mon ami ; elle va apprécier »
Je n’écoute que ma raison, j’empoigne mon dard et tout en léchant ma plantureuse banquière ; je me branle.
Elle ne dit rien et pourtant elle doit sentir mes mouvements.
— Plus fort, plus fort…je jouiis… !
Et moi plus fort, je jouis aussi, lâchant les jets puissants de mon sperme sur la moquette.
— Espèce de porc ! Tu as sali ma moquette, nettoie-la avec ta langue, ordonne ma banquière dégoulinante de sueur.
Emporté par l’euphorie de cet acte, je lèche le sol sans rechigner et j’avale mon propre sperme ; mon liquide gluant au goût infâme qui me donne envie de vomir. Je prends sur moi pour ne pas en arriver là et je regrette presque d’avoir demandé de la sucer.
— Gladice, tu vas lui montrer sa chambre ; vous vous coucherez car demain sera une dure journée. Tu lui expliqueras aussi les règles dans cette maison. Je vous souhaite une bonne nuit.— Bonne nuit, Madame Shirine, bonne nuit Mademoiselle Lacksimy, dit Gladice.— Bonne nuit, Madame Shirine ; bonne nuit Mademoiselle Lacksimy, poursuis-je.
Je suis ma guide qui en déambulant a un cul encore plus joli ; son déhanché et ses fesses qui rebondissent à chaque pas me font presque bander à nouveau. Nous montons des escaliers et arrivons sous les toits, elle ouvre une porte et m’invite à entrer.
— Issam, voici ta chambre ; la mienne est juste à côté.
La pièce ne dépasse pas les dix mètres carrés avec une fenêtre « chien assis » qui donne une belle clarté à la pièce. Contre un mur un lit une place, dessus des draps et une couverture qui me semble de bien mauvaise qualité, puis, en faisant le tour de la pièce, je découvre une table et une chaise ; sur la table un bloc de papier et un crayon et un pot en verre avec couvercle. Intrigué, je demande.
— Dis-moi Gladice, c’est pour quoi faire le bloc de papier et ce pot ?— Tu devras noter tous les jours ce que tu as fait et surtout le nombre de fois ou tu t’es branlé tu dois le faire au moins deux fois par jour, au réveil et au coucher. Tu devras éjaculer dans le pot, quand il sera plein, tu devras le donner à Madame.— Et qu’est ce qu’elle en fait ?— Te le faire boire tout simplement.— Mais c’est dégueulasse ! Je ne pourrai jamais faire cela.— À toi de voir, mais à ta place je le ferais. Viens dans ma chambre, j’ai deux chaises ; ce sera plus facile pour parler.
Elle m’entraine dans sa chambre et là, c’est la stupeur. La pièce ressemble plus à une chambre de princesse qu’à une chambre de bonne. Un grand lit avec un édredon roulé au pied. Elle me fait visiter : je découvre de jolis meubles dont une commode remplie de vêtements et de sous-vêtement de marque. Un dressing avec des robes plus belles les unes que les autres et aussi des tenues de soubrette; je ne comprends pas et demande à nouveau.
— Que faut-il faire pour être logé comme toi ?— Être une fille, tout simplement. Tu n’as pas remarqué qu’elle n’a pas voulu que tu la touches ?— Si, mais je pensais que c’était comme pour toi où je ne devais faire qu’avec l’organe désigné au départ.— Tu n’y es pas du tout, elles sont lesbiennes et ne supporte pas les hommes sauf les homos car eux ne les toucheront pas.— Et toi aussi ?— Moi, c’est différent ; je suis bi et je dois leur faire plaisir. Elles adorent me voir me faire baiser pendant qu’elles fouettent le mec. Alors je dois jouer le jeu, mais parfois je jouis avant et là c’est moi qui suis fouettée ; je te l’ai déjà dit : j’aime ça.— C’est pour cela que tu t’es retenue alors ?— Oui, mais quand le mec se fait fouetter je jouis encore plus fort.— Bon, je change de sujet : je vois qu’il y a un radiateur ; je n’en ai pas vu dans ma « chambre », c’est normal ?— Oui, pour le moment tu n’as pas le droit au chauffage, l’automne est là et il fait frais la nuit ; par contre en hiver il fait froid la nuit.— J’ai droit aux couvertures ?— C’est celle que tu as vu sur ton lit et là je ne peux rien faire pour toi car si elles découvrent que je te fais des faveurs, je serai sévèrement punie. Je te garantis que là, ça peut faire très mal ; alors c’est chacun pour soi.— Et c’est quoi les règles ?— J’allais y venir, voilà :​– Tant que tu seras ici il t’est interdit de porter des vêtements tu devras être entièrement nu et dans toutes circonstances.​- Le matin c’est moi qui te lave, comme je te l’ai déjà fait, au jet, intestins compris ; c’est la règle.— Et toi comment fais-tu ?— Moi ? J’ai ma salle de bain et je m’occupe de moi toute seule. Madame exige que nous soyons parfaitement propres en permanence. À ce propos, si tu dois faire tes besoins en journée, tu devras me prévenir pour que je te lave, au jet bien sûr. Bon je continue :​- Tu dois toujours être de bonne humeur et souriant, même si tu as mal dormi.​- Tu ne dois jamais dire non ou refuser de faire quelque chose.​- Quand elles te font quelque chose, à la fin, tu dois les remercier et dire que tu as pris beaucoup de plaisir.​- Ton vocabulaire se limitera à : Oui ; merci ; je suis prêt à recommencer (ça c’est quand tu auras le fouet) ; sauf si elle te pose des questions précises, là tu réponds par des phrases courtes et précises.​-Tu ne dois jamais demander mais attendre qu’elles te donnent un ordre, que tu exécutes avec complaisance.​- Quand elles organisent des soirées, tu deviens un esclave et tu dois te plier à toutes les exigences venant d’elles ou de leurs invités ; ne soit pas inquiet, pour moi c’est la même chose.— C’est tout ?— Non :​- Après ta formation que tu vas effectuer chez les Belleville, tu auras des tâches de jardinage à effectuer, j’espère que tu as une santé solide car jardiner à poil en plein hiver c’n’est pas drôle. Mais en compensation, le soir, tu seras largement réchauffé.​- Tous les soirs vers dix-sept heures je t’emmènerai à la banque pour y faire le ménage, tu te souviens ?
— Oui, c’est vrai ; elle m’en a parlé. Et là aussi je dois être …— À poil ? Bien évidemment et plus que jamais ; tu finiras par aimer ça, mais je ne t’en dis pas plus.— Et ça va durer combien de temps ?— Je ne sais pas, tout dépend du montant de ta dette.— En gros on fait la pute, non ?— Alors là, tu te trompes totalement. Moi je suis employée comme femme de chambre et assistante, je suis déclarée et maintenant que j’ai remboursé ma dette j’ai signé un CDI et je gagne très bien ma vie. Un jour, elles vont te demander si tu veux rester à leur service. Cela voudra dire que tu ne dois plus rien et te proposeront un autre contrat et là tu auras une vraie chambre.— Ce sont de belles salopes en tout cas.— Fait gaffe à ce que tu dis ; je dois tout leur rapporter, alors on dit que je n’ai rien entendu ; c’est cadeau.— Pardon, merci.
La conversation s’arrête là et nous allons nous coucher.
Mon lit est extrêmement dur, j’ai l’impression de m’allonger sur le sol. La couverture est si fine que j’angoisse déjà pour l’avenir. J’ai terriblement mal aux fesses mais la fatigue aidant, je m’endors.
[À suivre]
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