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Banquière perverse

Chapitre 4

La révélation

Hétéro
Voici déjà longtemps que je suis réveillé car cette nuit a été un véritable calvaire, j’ai eu froid toute la nuit et ce lit m’a mis le dos en compote. Je ne sais pas si ce petit jeu va durer car je ne pense pas pouvoir résister encore longtemps. Rien ne correspond à mon fantasme, même si je suis un peu maso et le fait qu’elles soient lesbiennes me contrarie beaucoup. Si j’ai accepté ce deal un peu débile c’est uniquement pour me permettre de combler mon découvert, mais surtout de sauter ma banquière. Alors dans ma tête j’échafaude un plan d’évasion afin de me sortir de ce mauvais pas. Adieu le fantasme de baiser ma banquière et sa fille… alors j’abandonne.
La porte de ma chambre s’ouvre et me sort de mes pensées ; la belle Gladice apparait, entièrement nue, un plateau visiblement garni d’un royal petit déjeuner dans les mains.
— Bonjour Issam, je ne te demande pas si tu as bien dormi ; voici un bon petit déjeuner. J’espère qu’il va te plaire et dépêche-toi car il faut faire ta toilette et ensuite nous devons servir les petits déjeuners à ces Dames.— Merci Gladice, tu es charmante mais je ne pense pas continuer ainsi ; je vais m’évader.— Tu n’y penses pas sérieusement…et tu peux me dire comment tu vas faire et pour aller où ? Et à poil par-dessus le marché. La première patrouille de flic c’est pour toi avec un attentat à la pudeur aux fesses ; je ne pense pas que ce soit une bonne idée. Sois patient et laisse-toi faire et je suis certaine que les choses vont s’arranger.— J’ai le sentiment que tu en sais plus que tu ne veux m’en dire, dis-moi ce qu’il va se passer.— Je ne peux pas, déjeune ; que je te fasse ta toilette.
Je m’exécute et je la suis vers ce lieu qui fait office de salle de douche ; je vais devoir me mettre à quatre pattes et lui montrer mon trou. C’est une position que j’affectionne particulièrement, ainsi je ressens le bonheur d’exposer la partie la plus intime de moi. Nul besoin de vous dire que je suis un exhibitionniste de première.
Fut un temps ceci était une de mes activités préférer : conduire entièrement nu était très excitant, ou encore me déshabiller dans des endroits insolites en prenant de plus en plus de risques. Jusqu’au jour où je me suis fait piquer par une patrouille de police, comme c’était le 31 décembre, j’ai trouvé une excuse bidon et racontant que j’avais fait un pari avec de potes. Ils ont bien rigolé en disant que ça, on ne leur avait jamais fait et m’ont dressé un PV pour avoir traversé en dehors des clous pour justifier auprès de mes imaginaires potes que je m’étais fait gauler.
Arrivé dans la pièce, je prends immédiatement la position ; fesses largement écartées…mon sexe grandit doucement. Un bonheur, je bande devant la jolie servante nue en face de moi. Je n’ai qu’une envie, qu’elle dirige le jet vers mon anus dilaté.
Elle s’empare du tuyau d’arrosage ouvre l’eau à fond, le jet me frappe les fesses et vient malicieusement me caresser les testicules. Mais l’extase est lorsqu’il entre en trombe dans mon trou et descend vers mes baloches pendantes, et là ça fait mal mais j’aime.
— Branle-toi ! s’écrie Gladice en dirigeant le jet vers mon gland.
Je n’y tiens plus et me masturbe avec frénésie comme quand plus jeune, je le faisais devant des revues porno ou des films de cul. Elle vient de rapprocher le jet de mon entrée anale, l’eau s’engouffre et ressort aussitôt ; j’adore les lavements de cette façon. Mes boyaux vibrent et je ressens comme un orgasme interne.
— Stop ! Lève-toi.
Le jet frappe avec vigueur mon gland qui se met à cracher mon précieux liquide blanc puis il nettoie les alentours de mon sexe et tout mon corps velu.

— Bien, te voila prêt pour servir Madame ; sèche-toi et suis-moi.
Sitôt dit, sitôt fait ; je lui emboite le pas et je profite du joli spectacle de son postérieur ferme qui donne la cadence à chaque pas. Une deux, une deux ; la cuisine s’ouvre devant nous, belle, grande, rutilante. Elle est sublime avec tout ce matériel dernier cri, moi qui adore cuisiner ; je m’y vois déjà, couteau à la main en train de préparer un tajine magnifique ou un couscous. Peut-être qu’un jour … mon idée de m’évader s’évanouit doucement ; il serait dommage de rater les séances de lavement et la cuisine (sans savoir si je pourrais un jour cuisiner) me donnent envie de rester.
Nous préparons les petits déjeuners de ces Dames. Ils sont particulièrement copieux, c’est Dimanche ! Et le dimanche : c’est croissants, miel, confiture, café, jus d’oranges et j’en passe. Chacun son plateau et nous partons, Gladice servira Mademoiselle et moi Madame. Je frappe…
— Oui entrez !— Bonjour Madame, bien dormi ?— Et vous ?— Bien, Madame. « Menteur, tu n’as pas fermé l’œil de la nuit ; mais c’est la consigne. Toujours être ravi de ce qui arrive ; il faut que Madame soit contente ! »— À la bonne heure, mais le lit est un peu dur, non ?— Oui Madame, mais je m’y ferais.— Bien posez le plateau sur la table et venez.
Je pose le plateau sur ladite table et m’approche du lit où est Madame, mi-assise.
— Plus près, je ne vais pas vous manger.
Je m’approche, les genoux en appuis sur le bord du lit. Elle avance sa main et me saisit les testicules, les soupèse, les malaxe, tire dessus comme si elle choisissait un melon. Puis s’empare de mon sexe qui est déjà au garde-à-vous. Elle le palpe, le prend à pleine main qui en fait juste le tour, me regarde et sourit. Elle fait glisser la peau très bas et découvre mon gland violacé de désir ; il n’attend qu’une chose…la sauter. Oui sauter cette mégère qui a tendance à m’énerver car j’ai compris qu’elle veut tout posséder et profiter de la détresse des gens.
— Hum, hum, bel engin ; mais j’ai un problème.— À bon, vous n’aimez pas les hommes ?— Si Monsieur, je n’aime pas les hommes…poilus !
L’espoir que je viens de fonder, s’écroule d’un coup ; je ne pourrais pas la baiser. Elle fait vraiment chier : « Mais s’il n’y a que ça, je vais me tondre ; je t’aurais un jour, je l’aurais cette grosse ! »
— Votre bite (c’est ainsi que cela s’appelle, non ?) me plait beaucoup, mais pas vos poils. Alors je vais vous faire épiler.
« Ouf, l’espoir revient »
— Bien Madame, avec plaisir.— Parfait, je n’en attendais pas moins de vous ; mais aujourd’hui mon esthéticienne est fermée…Nous verrons cela demain. En attendant je veux vous voir à l’œuvre avant de prendre une décision. Et savoir si vous êtes capable de me donner du plaisir.— Bien Madame, je réponds ne sachant pas quoi dire d’autre.— Vous allez commencer par baiser ma fille, car elle aime les hommes poilus ; c’est plus viril soit disant ! Alors nous verrons bien, de toute façon elle aime le cul cette salope !
« Comment elle parle de sa fille ! Je n’y comprends rien avec ces deux là. Hier elles se sont gouinées comme deux lesbiennes en furie, et là, elle veut que je saute sa fille ! » L’idée me plait beaucoup, l’épilation beaucoup moins, ça fait mal, mais bon. Je sens que je vais arriver à assouvir mon fantasme : « Baiser ma banquière, elle qui n’arrête pas de me foutre des agios, cette salope ! Et j’ai la fille en prime, allez, vas-y mon gars ! »
Elle est toujours la main sur ma queue et me branle doucement.
« Waouh ! Elle me suce, oh putain ! Si je pouvais lui en foutre plein la bouche en guise de petit déj minceur, en plus ! »
Hélas elle me lâche.
— Apporte-moi mon plateau, je te prie.— Bien Madame.
« Elle me tutoie maintenant ! »
La queue à la verticale, j’apporte le plateau, écarte ses pieds et le pose au-dessus des jambes de ma dodue de banquière.
— Tâche de t’arranger pour qu’il reste dans cette position, que je profite du spectacle, dit-elle en désignant mon bâton.
Franchement, je dois avoir l’air un peu con, à poil en train de me branler pour garder la queue raide pendant que Madame petit-déjeune. En vérité je suis un peu mal à l’aise, mais peu importe ; pourvu que j’arrive à mes fins.
Elle : un œil sur moi et un sur sa tasse, m’observe, sourit, bave aussi… puis elle appuie sur un bouton en avalant bruyamment la dernière gorgée de son café. Dans la seconde qui suit, Gladice avec juste un petit tablier de soubrette qui ne lui cache que sa minette. Qu’est-ce qu’elle est bandante, cette petite ; dommage qu’il faille se faire fouetter pour la faire jouir, car je lui mettrais bien un petit coup !
— Oui Madame, bonjour Madame, bien dormi ? Vous désirez ?— J’ai très bien dormi et le réveil est excellent avec cet étalon à côté de moi, on ne peut demander mieux, tu ne trouves pas ?— Certainement Madame.— En premier, tu vas dire à ma fille de se préparer ; Issam va la baiser. Ensuite, tu vas laisser un message à mon esthéticienne pour un rendez-vous demain pour une épilation totale de Monsieur.— Mais elle est fermée le lundi, épilé…entièrement ?— Oui je sais qu’elle est fermée, ainsi elle aura tout son temps pour faire le travail, et oui tout je ne veux plus voir un seul poil sur cet homme.— Et pour les cheveux, vous voulez quoi ?— Gladice, qu’est-ce que tu n’as pas compris dans le mot TOUT ?— Pardon Madame, dis-t-elle en baissant la tête.— Je n’aime pas répéter les choses, tu le sais.— Oui Madame, pardon.— Issam installe-toi sur la chaise ; Gladice, sur le ventre sur ses genoux. Allez !
J’ai compris, je vais fesser Gladice, je m’assieds sur la chaise ; elle me jette un clin d’œil de défi et pose son ventre sur mes cuisses, je bande toujours. Mon gland frotte contre elle ; que c’est bon, son petit cul est là, à portée de main.
— Fesse-la ! ordonne la mégère.
Je lève la main, mais elle retombe avec douceur sur les deux sphères ; elle gémit.
— Issam ! Je n’ai pas dit de la caresser, tu sais ce que c’est une fessée ?— Oui Madame, excusez-moi.
Cette fois je frappe, Gladice gémit ; on dirait qu’elle aime ça. Entre deux claques, elle me chuchote :
— Plus fort, vas-y j’aime ça.
Alors je frappe, ces fesses passent rapidement du blanc au rose puis au rouge jusqu’au moment où je sens, contre mon sexe, son ventre se contracter. Alors je frappe fort ; je rêve, elle vient d’avoir un orgasme.
— Assez, hurle enfin la banquière.
Gladice se relève, elle a les larmes aux yeux ; j’ai honte, je suis mal à l’aise. C’n’est pas moi je n’ai jamais fait pleurer une femme. Elle me fixe du regard.
— Merci me dit-elle, c’était super.— Tu as compris ? Et tu feras attention maintenant ? reprend la banquière.— Oui Madame, je ferai attention désormais et je vous remercie de m’avoir corrigée.— Va faire ce que je t’ai demandé.
La jolie servante, les fesses en feu sort de la chambre et moi, j’attends.
— Tu as aimé la fesser, j’espère ?— Oui Madame.— Parfait, vous êtes aussi sado-maso l’un comme l’autre ; cela promet de belles parties à l’avenir.
Quelle révélation ! Du coup, je n’ai plus envie de partir, du cul, du cul ; quel bonheur !
— File en cuisine avec Gladice en attendant que ma fille soit prête ; je vous sonnerai.

[À suivre]
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