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Banquière perverse

Chapitre 6

Gladice

Hétéro
Dans le couloir qui mène à la cuisine :
— Qu’est-ce que tu lui as mis à la blondasse, t’es un vrai champion ; j’en étais presque jalouse, me dit Gladice.— C’est vrai, tu as aimé ?— Oh que oui ! Surtout quand tu l’as enculée et qu’après tu lui as fait bouffer ta bite ; c’était trop bien. J’aimerai bien que tu me remettes ça ; je suis super excité. Je ne sais pas si tu t’en es aperçu, je me suis masturbée pendant tout le temps où tu lui faisais sa fête ; j’ai même eu un orgasme.— Tu es bien mignonne mais je commence à être au bout du rouleau ; j’ai plus envie d’aller me coucher et j’espère arriver à dormir sur ce lit pourri.— Écoute-moi, si je te propose un bon lit tu me le ferras ? — Tu sais, je suis vraiment crevé ; mais pour un bon lit je peux me surpasser et avec l’aide de ta potion magique pour me remette sur pied, au fait c’est quoi ce truc ?— Super ! Je t’en donne mais tu n’auras pas la recette. C’est un pote qui me l’a rapporté d’Afrique, et ça marche aussi sur les femmes. J’ai essayé, c’est top.— Ok, je vais te faire un gros câlin ; je ne sais pas ce que je donnerai pour un bon lit, mais avant on mange ? J’ai faim !
Sans même dire un mot, elle dresse le couvert et sort du frigo tout ce qu’elle peut trouver de bon, voire de très bon. Elle dépose sur la table un plat de charcuterie, pas de la « charcut » bon marché de grande surface ! Madame se sert chez les grands charcutiers ! Tout comme la bouteille de vin « Haut Médoc » de chez le caviste et conseiller de Madame. Pain, beurre, saucisson, cornichons et un bon coup de pinard ; rien de tel pour rendre un homme heureux !
Nous mangeons, moi avec un appétit d’ogre et elle de moineau ; mademoiselle Gladice tient à sa ligne ! Nous discutons joyeusement, la bonne bouffe et le vin aidant ; je lui redemande comment elle est arrivée là et elle se livre.
— Ça fait plus d’un an que je suis ici. Je m’en souviens comme si c’était hier ; j’étais dans une merde noire. Mon mec s’était barré me laissant en plan avec l’appart à payer et pas un rond ; j’étais au chômage et aucun revenu, j’étais complètement d’espérée. Un jour, alors que j’errais sans but dans les rues, j’ai eu tout un coup un flash. Je ne sais pas pourquoi mais j’ai eu envie d’en finir, la seule solution : mourir ! Je n’en pouvais plus et pour moi c’était la seule solution.— Mais tu…— Tais-toi, laisse moi parler ça me fait du bien, demande-t-elle.
Elle continue.
— Alors que j’étais au feu du carrefour qu’il y a au coin de l’agence bancaire de Madame ; tu le vois ? — Hum !— Dans ma tête tout a été très vite ; un camion arrivait, le feu était vert. Au moment où il était à deux ou trois mètre du feu, j’ai fait un pas en avant. Malheureusement pour moi je me suis retrouvée sur le cul sur le trottoir ; une grosse dame venait de me tirer par le col. Alors j’ai éclaté en sanglots, enfin je crois que je pleurais déjà avant. Elle me prit par le bras et m’entraina dans la banque ; j’étais mal, j’avais peur, j’étais très en colère d’avoir raté mon coup. Je hurlais, j’insultait tout le monde et aussi la dame. Elle me demanda de me calmer et de lui raconter ce qu’il m’arrivait. Alors je ne sais même pas pourquoi, je mes suis confiée. Une fois que j’eus terminé elle me dit pouvoir m’aider ; je croyais rêver. Alors elle m’a demandé un truc bizarre. Elle m’a regardé de haut puis, froidement elle m’a demandé si j’aimais le sexe. Je l’ai envoyée balader en lui disant que je n’étais pas une pute et qu’elle n’avait qu’à aller se faire foutre.
Je l’écoute sans rien dire, je n’en crois pas mes oreilles, elle m’émeut, une larme coule sur sa joue. Elle fait une pose, boit un peu de vin, s’essuie les yeux et reprend :
— Après, elle s’est excusée et m’a alors proposé d’aller prendre un café, ou autre chose dans un bar juste à côté. Comme ma colère était retombée et je ne savais plus où j’en étais, j’ai accepté et je l’ai suivi. C’était le café/brasserie juste à côté, tu le vois ?— Oui très bien.— Il était midi, elle me proposa de manger un morceau ; j’avais faim. Elle m’a expliqué qu’elle cherchait une femme de chambre mais aussi femme à tout faire, dame de compagnie. Du coup je me suis dit que je pourrais m’en sortir et devant l’intérêt que je portais à sa proposition elle m’invita à aller visiter chez elle ; j’ai accepté. Arrivé ici elle m’a expliqué ce qu’elle cherchait : une femme à tout faire mais surtout libérée voire très libérée. À demi-mots, elle m’a fait comprendre qu’elle aimait le sexe et qu’elle voulait une sorte de dame de compagnie qui n’aurait pas de complexe. Une femme qui resterait nue ou très peu habillée, capable de faire des choses un peu sexuelles genre câlins. Je lui répondis sèchement que je n’étais pas un gouine ni une salope ; elle a éclaté de rire en me disant que je préférais les mecs qui laisse tomber les nanas. Elle rajouta que si elle n’avait pas été là, je serais certainement, à l’heure actuelle sur un lit d’hôpital, fracassée dans la souffrance ou peut-être morte. Alors je lui ai dit que cela aurait sans doute mieux. Mais elle insista en me disant qu’il aurait été dommage de massacrer un si joli minois qu’était le mien. Du coup, elle m’avait désarmée et je ne savais plus quoi dire. Alors, elle m’a proposé de rester avec elle ce soir là, pour faire connaissance et si je ne voulais pas de sa proposition ; je serai libre de partir. Je me suis dit qu’après tout j’étais un peu conne de refuser car je n’avais plus rien à perdre. J’allais avoir le logis et le couvert et aussi un salaire ; comme j’aime le cul, je mes suis dit « pourquoi pas essayer ». Et côté cul, je ne suis pas trop mauvaise ; c’n’est pas toi qui va me dire le contraire ?
— T’as raison, sur ce point de vue là, je confirme : t’es une championne.
— Ah, tu vois ! Alors j’ai dit oui et voilà, au fil du temps, j’ai pris gout à cette vie. Bon après c’est vrai qu’elle à des gouts un peu bizarre mais je m’en fous.
J’ai la gorge serrée, mais content de la voir ici ; elle me plait de plus en plus avec son air coquin.
— Et ton copain et ton appart ?— Mon copain ? Jamais revu. Mon appart ? Rendu ; comme le tiens d’ailleurs. Demain nous sortons toute la journée, c’est cool, non ? Je t’expliquerai ça demain.— J’n’ai pas une fringue à me mettre.— T’inquiète, mange.
Cette charcuterie est un pur délice, le corps nu de Gladice ne fait qu’amplifier mon bonheur. Plus je la regarde et plus je la trouve désirable, elle me touche beaucoup et m’envoute aussi.
Je pense qu’un jour je lui ferai l’amour, mais cette fois ce sera avec délicatesse et beaucoup de tendresse comme elle me l’a suggéré l’autre jour.
Nous mangeons, le vin aidant, nous plaisantons et rions de bon cœur en caricaturant notre patronne et sa fille. Petit à petit je me dévoile aussi ; elle m’écoute avec un regard tendre et affectueux. Je lui raconte ma vie, le bled, la guerre, ma venue en France, le boulot que je n’ai plus, les problèmes d’argent, la convocation de Madame et aussi les fringues qu’elle m’a piqué.
— Tu sais, toi à poil en permanence, j’aime bien.
Madame sonne, Gladice va voir ce que Madame veut ; puis elle revient :
— Madame n’a plus besoin de nous ! …Tu veux une tisane avant d’aller se coucher ? Me propose-t-elle.
Ces yeux brillent sournoisement, elle prépare la tisane que nous sirotons doucement tout en parlant encore de nous.
La chaleur de la tisane m’envahit, quelques bouts de feuilles tournent au fond de ma tasse. Je me sens bien, calme et en pleine forme ; sans un mot, elle me regarde, elle m’intimide. Les feuilles ne tournent plus, j’ai bu toute ma tisane ; Gladice aussi. Elle déploie sont corps, sa minette, curieuse, provocante, arrive juste au ras de la table dévoilant son "thigh gap" si parfait. Et quelle taille fine ! Elle est en X, comme le disent si bien les spécialistes. La lumière électrique passe entre ses jambes et le contre-jour me laisse deviner un petit bouton, là, bien placé au milieu de son entrejambe. Quel joli spectacle ! Et je ne suis pas le seul à apprécier ; mon copain de toujours aussi. Une douce érection se fait sentir et un espoir de me voir caresser ce corps parfait se profile à l’horizon, mais hélas mon statut de domestique me réduit à coucher sur ce lit dur et inconfortable.
— Tu viens, je vais me coucher, me dit-elle.
Elle me tend la main et je la suis vers les chambres ; sa croupe, son déhanché, quel merveille ! Comment dit-on déjà : « Elle a un cul à faire bander tout un régiment…c’est ça n’est-ce pas ? »
Nous sommes arrivés devant la porte de ma chambre.
— Je vais prendre une douche et je vais dormir ; cette journée m’a épuisée. Tu vois je n’ai même pas le courage de te faire ta douche habituelle ; allez, bonne nuit.— Bonne nuit, à demain.
Pas un bisou, rien ; déçu je pénètre dans ma chambre où une belle surprise m’attend. Il y a un matelas sur mon lit ! Madame aurait-elle eu pitié de moi ? Je fais mon lit et je me couche ; je suis bien mais je bande comme un beau diable. Pour m’endormir, je vais me masturber en rêvant à Gladice. Ça y est je la vois, nue sous la douche, elle se lave avec soin ; elle se touche l’entrejambe. Elle se masturbe, respire fort et puis…
Toc ! Toc ! On frappe.
Je sors de mes pensées et m’assois sur le bord de mon lit, la porte s’ouvre ; Gladice apparait. Dans la lumière du couloir, elle est nue sous une nuisette transparente.
— Viens…
Surpris par cette apparition, je suis cette véritable déesse.
— Vas pendre une douche dans ma salle de bain, je t’attends, ordonne-t-elle.
Je n’en crois pas mes oreilles ; elle veut que je prenne une douche dans SA salle de bain ! Mais c’est royal ! J’y courre, j’y fonce, je me douche. L’eau chaude est excellente et coule sur mon corps, je me savonne, me shampooine, me frotte tout partout, me rince et me sèche ; je ne perds pas de temps. Du parfum ? Il y a là, sur le bord du lavabo, un verre avec une brosse à dent et du dentifrice ; juste à côté une bouteille de parfum « Dior Homme » il sent bon. Je vaporise l’air et m’immerge dans le brouillard.
Elle est là, étendue sur le lit, recouverte de sa nuisette qui lui arrive à peine à mis cuisse et laisse deviner la pointe de ses seins, le creux de son ventre. Le voile épouse parfaitement la courbe de sont pubis et se glisse entre ses cuisses ; ma gorge me serre, mon membre monte, j’ai les mains moites. Elle tapote sur le lit.
— Viens, j’ai envie de toi.
Je ne discute pas, il n’y a rien à dire, juste lui donner ce qu’elle attend ; lui faire du bien, lui faire l’amour. Adieu la brute, l’homme des cavernes, la bête en rut ; je vais tout simplement la câliner et lui faire l’amour comme un vrai amant.
Il y a dans le noir impénétrable de ses yeux du mystère et de la malice. La peau de ses joues si douce au toucher glisse sous mes doigts, tout comme ses lèvres humides et chaudes. C’est avec un immense plaisir que je bois sa salive, goûte sa langue qu’elle m’offre avec générosité ; nous nous embrassons à pleine bouche presque à en perdre halène. Ce premier baiser est un baiser passionné, mon cœur tape dans ma poitrine, en glissant ma main sous son sein ; je constate que le sien tape aussi fort. J’ai trop envie d’elle, envie de l’aimer tout simplement. Elle sent bon le parfum, ses seins sont doux et fermes, son ventre plat me donne accès directement à son pubis lisse. Enfin je peux gouter son liquide qui s’échappe doucement de son ventre ; je vais en chercher encore et encore tout au fond d’elle, son goût doux et suave me remplis de bonheur. Elle se laisse faire, je n’en attendais pas moins ; immobile, les bras le long du corps elle ondule doucement. Son souffle calme me ferait presque croire qu’elle dort, mais non, elle gémit ; un léger son sort de sa bouche. Sa main se pose sur moi… je la repousse délicatement, je veux maîtriser son plaisir ; elle n’insiste pas et se laisse complètement aller sous mes caresses.
Aux mouvements de son corps, je sais qu’il est temps d’agir ; quand le moment arrive, il ne faut pas le rater et emmener ma belle vers l’extase. Mon vit force à peine l’entrée de sa grotte, elle se cambre, geint, ondule encore et pose ses mains sur mes fesses. C’est elle qui donne la cadence, ses doigts s’enfoncent dans mes fesses ; à chaque coup de boutoir mon membre touche le fond de son vagin. Il faut accélérer, aller de plus en plus vite jusqu’à se qu’elle me bloque la taille avec ses jambes ; les contractions de son ventre sont la preuve de l’intensité de son plaisir. Elle jouit et moi je suis aux anges ; je viens de la satisfaire, du moins c’est ce que j’espère mais je n’aurais pas l’audace du mâle conquérant de lui demander si c’était bien.
Sa tête posée dans le creux de mon épaule, je la laisse savourer son plaisir tranquilement, le doux baiser qu’elle vient de me faire est la preuve qu’elle a aimé. Sa main masse doucement mon sexe, mes boules ; ses doigts s’emmêlent dans mes poils pubiens. J’aime ce genre de caresse, douce et lente ; le plaisir sublime arrivera au moment venu. Elle est douée, attentionnée ; moi aussi je suis bien, moi aussi j’ondule sous les petites morsures que ses dents infligent à mes tétons. Elle ne lâche pas mon membre et continue se mouvement lent de va et vient, le plaisir arrive ; que c’est bon !
Je me retiens pour que mon plaisir son maximum ; ses yeux tendre et malicieux semble dire : « Alors, c’est vrai c’est bon ça ! » Je ne peux plus tenir et lâche tout d’un coup ; une longue trainée de sperme inonde mon torse, puis un seconde qui remplit mon nombril ; la coquine à bloqué mon sexe contre mon ventre. Elle me presse le sexe comme pour en faire sortir les dernières gouttes, le regard malicieux elle s’allonge sur moi, fait rouler mon sexe prisonnier de nos ventres, ses seins étalent mon jus sur nos poitrines ; elle roule son corps sur le mien. Le baiser que nous échangeons est encore plus fort que tout à l’heure, elle me le donne avec passion ; je ne sais pas ce qu’il m’arrive je n’ai encore jamais connu une telle émotion. Elle n’a pas terminé ; son sexe vient d’avaler le mien et, dressée au dessus de moi elle se lance dans une chevauchée fantastique. Mon sexe butte encore tout au fond d’elle ; je la sens vibrer de tout son corps, elle jouit à nouveau. Pas un son ne sort de sa bouche, seules les ondulations de son corps et les contractions de son ventre montrent qu’elle est aux anges. Elle se couche à nouveau sur moi, moi toujours en elle ; elle m’embrasse sensuellement dans un long et brûlant baiser, puis.
— Viens, on va prendre une douche.
Je la suis, nous nous lavons mutuellement, simplement, sans caresses ni baiser, puis nous nous séchons. De retour dans la chambre, alors que je lui souhaite une bonne nuit.
— Merci pour cette soirée Gladice, je…— Reste, viens dormir avec moi.
Il m’est impossible de résister à une telle proposition, je me couche et après un dernier baiser, enlacés comme deux amoureux ; nous nous endormons dans les bras l’un de l’autre. La nuit va être excellente…
[À suivre]
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