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Banquière perverse

Chapitre 10

Ménage à la banque

Histoire médaillée
Voyeur / Exhibition
Comme prévu, Madame et sa fille sont absentes. Seuls dans la grande maison, Gladice et moi allons passer une soirée et une nuit extraordinaire. Je vais la combler et l’aimer comme il se doit, nous ferons l’amour comme des dieux avec tendresse et délicatesse, et nous atteindrons tous les deux le sommet du plaisir. Il y a en moi quelque chose de plus, et d’encore plus fort que la fois où elle m’avait invité à dormir avec elle ; j’en suis maintenant persuadé. Je suis amoureux de Gladice ! Frappé par l’éclair du coup de foudre, je ne vois plus que pour elle ; et je ne manque pas de lui dire :
— Gladice… je t’aime mon amour, et je voudrais vivre avec toi.— Moi aussi je t’aime, mon amour.— Ma chérie, je voudrais qu’on sorte d’ici le plus vite possible. On pourrait mettre au point un spectacle avec Sophie, et nous installer ailleurs ; qu’en penses-tu ?— Oui tu as raison, mais pas toute suite, je n’ai pas encore remboursé ma dette ; tout comme toi d’ailleurs. Alors une fois que nous serons à jour avec elle, nous partirons ; mais pas avant. En attendant, nous pouvons voir pour cette idée, cela me pourrait être cool ; et toi, ça te branche ce genre de truc ?— Assez, oui : Sophie est trop mignonne et en terme de cul ; elle est très douée.— Plus que moi ?— Non, bien sûr ; mais elle se défend très bien. Et toi, comment la trouves-tu ? Car, à te regarder jouer avec elle ; il y a de quoi se poser des questions.— Tu n’es pas jaloux au moins ? Parce qu’à moi aussi, elle me fait de l’effet, et tu le sais ; je suis bi, et j’aime faire l’amour autant avec des femmes qu’avec des hommes.— Et les deux à la fois ?— Franchement, ce serait le top ; tu as raison, il faudra qu’on organise un truc ave Sophie.
Je ne sais pas exactement où cela nous mènera, mais j’ai envie de tout essayer avec elle ; je pense que j’irais décrocher la lune, rien que pour elle. J’ai l’impression que nous allons faire de belles choses ensembles, mais pour le moment nous devons faire ce que Madame veut tout en faisant attention de ne pas la fâcher. Le fait qu’elle nous ait surpris au lit me fait un peu peur et je crains qu’elle nous en tienne rigueur, alors nous allons accomplir la mission qu’elle nous impose.
Notre mission du jour est d’aller faire le ménage dans la banque de Madame, c’est marqué dans mon contrat. Je pense qu’elle doit avoir une équipe pour faire ce travail tous les jours, et j’ai du mal à comprendre le pourquoi de la chose ; mais bon ? Depuis quelques temps, je ne fais plus cas des exigences de Madame ; du moment que j’arrive à faire ma vie avec Gladice, le reste, je m’en contrefous. Dans mon contrat, il y est effectivement marqué que je dois le faire entièrement nu ; pourquoi ? Je n’en sais absolument rien et je questionne Gladice pour savoir si elle a une idée sur la question :
— Tu as déjà fait le ménage à sa banque ?— Jamais !— Alors pourquoi nous y envoie-t-elle tous les deux ?— Je ne sais pas.— Bon, nous verrons bien ma chérie.— Écoute-moi, il ne faut pas que tu m’appelles ainsi quand nous sommes ici ; ça ne va pas lui plaire. Et je crains les représailles.— Ah… Ok ! Alors, c’est d’accord je vais faire gaffe.— Fais attention à ce que tu fais, n’oublie pas que nous sommes à SON service. Tu vois cette fois je te préviens, et fais gaffe à sa fille ; perso je ne la sens pas.

Le métro nous à conduit jusqu’à l’agence de Madame, elle est fermée ; nous sonnons. Par l’interphone une voix rude questionne :
— C’est quoi ? …C’est qui ? …C’est pourquoi ? nous braille une voix masculine et peu aimable.— Gladice et Issam, nous venons pour le ménage, annonce Gladice.— J’arriveee… ! maugrée la même voix.
Le rideau métallique se lève. Derrière la porte vitrée, un colosse en tenue de combat, et armé d’un énorme trousseau de clefs ouvre la porte. Il nous déshabille du regard, sans un bonjour et d’une voix sèche ; il nous ordonne un « Entrez !» glacial. Après avoir refermé la porte et actionné la commande du rideau métallique, un tout aussi glacial « Suivez-moi ! » me perfore les tympans.
Le colosse nous conduit au poste de vidéo surveillance où un second colosse à la gueule patibulaire est assis dans un fauteuil et scrute les écrans.
— Bonjour, lâchons-nous en cœur.— Vous venez-pour le ménage ? Alors vous déposez : sac, téléphone, clefs, ici dans le panier et vos fringues là. Allez, magniez-vous ! ordonne le colosse.— Mais Monsieur, je ne vais pas me…— Te foutre à poil devant nous, si ! C’est la consigne, par mesure de sécurité ; les ordres de Madame ! Ne t’inquiète pas, la fille, tu ne risques rien ; on n’aime pas les gonzesses. Tu vas faire les bureaux et toi, les chiottes ; et que ça brille ! J’irai vérifier. Tu feras aussi le couloir et le bureau ici pour terminer, allez au boulot ! nous explique le colosse avec toute la douceur qui lui est propre.
Nous voici tous les deux - à poil - et rejoignons nos postes de travail armés du matériel nécessaire. Au bout de quelques temps d’astiquage, je croise Gladice.
— Et bien dis-donc, bonjour l’ambiance ; c’est quoi ce truc ? je m’inquiète.— Je ne sais pas, mais moi je n’aime pas ça du tout, elle ne m’a jamais demandé de venir ici et pourquoi doit-on faire le ménage et à poil en plus.— Tu as raison, je vais demander de comptes à la grosse !— Alors !...Ça avance ? Je vais vérifier les chiottes dans cinq minutes, interroge le colosse
Je m’active au nettoyage, une chance pour moi, les toilettes ne sont pas trop sales. Je termine le dernier WC quand une paire de paluches se posent sur mes fesses.
— Tu sais que tu as un joli cul pour un mec et tu es épilé de partout ! … Tu me donnes envie de t’enculer, mec !— Ah, mais je ne mange pas de se pain là, moi, Monsieur !— J’en ai rien à branler de ce que tu bouffes, mec ; moi je parle de ton cul ! Tu vas venir avec moi que je montre ça à mon pote !
Non seulement il parle comme un porc, mais en plus, il se conduit comme un porc ; il est en train de me peloter le cul et la bite.
— Mouais… ! T’es vraiment pas mal, aller amène tes fesses.
Nous sommes dans le bureau de la vidéosurveillance.
— Oh ! Tu as vu Franck, il n’est pas mal comme mec ; ça te tente ? propose le colosse.— Ouais…On va ce le faire, allez mec ; amène ton cul !— Mais qu’allez-vous faire ? je questionne.— Il est con ou quoi ? On va t’enculer tout simplement, quel con alors !— Mais vous n’avez pas le droit, c’est du viol !— Du viol ? Y plaisante ; la patronne a dit que te devais faire le ménage partout avec la gonzesse et que vous deviez obéir à tout !— Non mais pas ça ! je proteste.— Si, c’est marqué sur le pa’plard ! Frank, passe-moi le pa’plard de la patronne ; que j’y montre à ce con !
L’autre attrape une feuille de papier et me la met sous le nez, et je lis :
Consignes pour le ménage de lundi :
 Vous recevrez mes domestiques pour qu’ils fassent le ménage dans la banque,
— Vous devrez mettre toutes les caméras en enregistrement.— Ils devront être entièrement nus : question de sécurité.— Gladice (la fille) s’occupera des bureaux et du mien.— Issam les couloirs, les toilettes, et votre poste de surveillance.— Vous jouerez avec le cul d’Issam ; faites-en ce qu’il vous plaira, il doit obéir ; c’est marqué dans son contrat.— Vous direz à Gladice de sucer Issam devant vous et d’avaler, profitez-en pour vous branler.— Une fois tout cela fait vous les renverrez.
IMPORTANT :
— Gardez les vidéos sur un CD que vous déposerez sur mon bureau.— Je vous interdis de toucher à Gladice, de toute façon ; vous ne saurez pas quoi en faire ! — Faites ce que je vous dis sans réfléchir et sans poser de questions ; n’oubliez pas votre devise : « Penser, Fatigue !»
À demain, mes gros Pédés.
Signé : Madame Shirine.

Je n’en crois pas mes yeux ; que cherche-t-elle à faire ? Je suis de plus en plus persuadé qu’elle est à moitié barrée. Une rapide réflexion me traverse l’esprit : si je ne veux pas me laisser faire, et vu la taille de ces deux monstres ; je vais m’en prendre plein la tronche, donc je n’ai plus le choix... Il ne me reste plus qu’à me faire sodomiser, après l’épilation, c’est la fête en ce moment ! Bon…il parait que ça ne fait mal que la première fois, à voir ?
Pas la peine de réfléchir plus longtemps, car les deux gorilles ont déjà sorti leur queue et ce branlent pour tenter de faire grandir leur bidule.
— Amène ton cul mec ! m’ordonne Franck.
Bon je suis rassuré ; à voir leur monstre, je suis certain de ne pas avoir mal au trou de balle ! Et c’est parti ! Ils m’astiquent le trou l’un après l’autre ; je ne sens rien, même pas mal ! Ah, il semblerait qu’ils aient terminé ils remballent leur matos…Bon, j’n’ai pas tout compris ; si ça leur suffit tant mieux, ce le fut bref !
— Franck, appelle la fille ! braille le colosse.— Eh ! La fille, amène tes fesses ! — Oh les mecs ! La fille, comme vous dites : s’appelle Gladice ! OK ! cria de loin ma chérie.— Et alors ? On s’en fout, nous on veut juste te voir te sucer sa bite ; le reste…on s’en bat les couilles…Ok ! rugit le colosse.
Gladice entre dans la pièce.
— C’est qui, qui me gueule comme ça dessus ?— C’est quoi ton problème, si t’es pas contente ; je peux te foutre ma main dans la gueule ! Alors tu la fermes, tu suces ton mec, et t’as intérêt d’avaler ; nous, on va te mater. Allez ! À genoux et suce !— Je peux ouvrir la bouche au moins… alors ?— Non ! Ta gueule, tu vas la fermer ta grande gueule !— Issam ! Ça va pas être facile… ? déplore-t-elle.
Je suis obligé de me retenir pour ne pas éclater de rire, je suis au bord du fou rire.Gladice s’agenouille attrape mon sexe, et commence à me faire une belle fellation ; comme elle sait si bien faire.
Elle embouche mon gland, le suce avec douceur ; une main tient ma tige fermement, tandis que l’autre me malaxe les testicules. À chaque mouvement, j’entre de plus en plus profond dans sa gorge ; je touche le fond. Elle gémit de plaisir comme si elle tournait une scène de film porno. Elle roule des yeux avec un regard, oh combien provocateur vers les deux vigiles ; elle simule et continue. Mon gland ressort presque de sa bouche et ses dents me mordillent le bout, sa langue me lèche le frein ; ce qui est extrêmement jouissif, puis elle enfourne à nouveau jusqu’au fond.
Les deux autre ont ressorti leur limace et se l’astiquent tout en nous regardant avec des yeux exorbités ; à en croire qu’ils n’ont jamais vu ça.
Je croise le regard de Gladice qui a visiblement envie que cela ce termine rapidement, alors je me concentre. Je la sens forcer et essayer de faire entrer mon gland dans sa gorge. Elle suffoque, tousse, bave et me masturbe le gland ; ses mains s’affairent sur ma queue et mes couilles, mais je ne suis pas très motivé. Alors, je pense très fort à elle et à la petite Sophie, et ça marche ; et en deux temps et trois mouvements je lui rempli la bouche à grandes giclées. Je me retire, elle se lève et se dirige vers les deux colosses qui s’astiquent toujours. Elle ouvre la bouche en grand pour qu’ils voient bien, elle fait tourner sa langue dans le mélange salive / sperme ; il en coule un peu sur son menton et goutte sur son sein droit. Dans une position de défiance et un regard aussi provocateur que celui d’une salope en chasse ; elle avale tout, d’un trait. Avec ses doigts, elle récupère les dégoulinures, et les lèches unes à unes avec gourmandise, puis son visage change. Elle devient tigresse, des plis se forment sous son nez, ses yeux foudroient les deus colosses, et elle retrousse ses lèvres comme le ferait une chienne prête à mordre ; c’est sur, elle va bondir, les étriper. Non, elle leur parle sur le ton de l’ironie :
— Ça vous va, les mecs ? Alors on a du mal…ça veut pas sortir…c’est ballot ! Bon, on n’va pas y passer la nuit…un coup de main ?— Ta gueule, on n’aime pas les gonzesses on t’a dit ! On va s’démerder !— Comme tu voudras ! Bon, c’n’est pas le tout, mais nous, on n’a pas que ça à foutre ! Tu viens Issam, on se casse d’ici !
Le temps de se rhabiller et de récupérer nos affaires, et enfin, ils nous offrent une éjaculation…lamentable ! Gladice éclate de rire et en rajoute :
— Tout ça pour ça ! Et bien les mecs vous n’êtes pas prêt à repeupler la France !— Allez cassez-vous ! Franck, va leur ouvrir ! rugit le gros.
C’est sans un au revoir, ni merde, ni rien, que nous quittons la banque et ses deux abrutis. Nous prenons le chemin du retour, je suis en colère et j’en fais part à Gladice :
— Elle va m’entendre, la vieille, avec son plan à la con !— Issam, je t’en pris, ne fais rien et ne dis rien ; s’il te plait, sinon…— Sinon, quoi… ?— Sinon…je te quitte… !— Oké… ! C’est bien pour toi. Donc on lui dira que : c’était bien, qu’on a aimé et c’est quand qu’on recommence ; c’est ce qu’il faudra dire ? C’est cela ?— Tu es parfait… Mais tu as eu la trouille que je te quitte…Hein ? Avoue me taquine-t-elle avec un grand sourire.

[À suivre]
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