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Banquière perverse

Chapitre 12

Ma banquière et moi.

Trash
              Après avoir écouté les ordres de Madame, Gladice et moi partons en cuisine sans demander notre reste. Gladice a l’air d’être contente de ce revirement de situation, et moi je vois l’avenir sous un autre angle.
— Tu vois Issam, les choses s’arrangent ; j’ai gagné une semaine de vacances, c’est cool non ?— Je pense qu’il va falloir que tu bosses très fort ; pendant que je me tape la patronne…— Après tout c’est ton boulot, et puis tu ne vas pas me dire que tu n’aimes pas ça ?— Non mais maintenant c’est différent, les choses ont changées ; il y a toi.— Ah…mais attends, ne vas pas trop vite. ! Ok… on est tombés amoureux… ! Mais nous ne sommes pas mariés que je sache, et de toute façon je ne veux pas me marier ; je tiens trop à ma liberté !
Cette phrase vient de me glacer le sang, un violent frisson électrique parcoure mon échine, le monde vacille autour de moi ; mais je tente de reprendre la situation en main :
— Mais, on projetait de partir ?— Bien sur, mais pas tout de suite ; pour le moment on profite. T’inquiète, si en stage je me trouve un plan cul ou deux ; je ne vais pas m’en priver. Alors toi, tu peux baiser la terre entière ; je m’en contrefous. Moi aussi ça m’ennuie de te quitter, mais ne soit pas triste ; une semaine c’est vite passé, et puis nous trouverons bien le moyen de nous rattraper.
Convaincu par son discours, j’ajoute :
— Tu as raison, mais que veux-tu… c’est ma nature, je suis un peu à fleur de peau ; excuse-moi d’avoir fait un peu trop vite des plans sur la comète.
Nous reprenons notre service et nous apportons les plats à Madame et à sa fille, entre elles, il règne un lourd silence pesant ; l’ambiance est électrique. En cuisine, Gladice et moi nous nous régalons dans la bonne humeur. L’interphone grésille, ces dames ont terminé, nous débarrassons ; elles me couvrent d’éloges sur la qualité de mon plat. Nous terminons de faire la vaisselle et de ranger la cuisine, puis nous nous embrassons tendrement en nous caressant tout le corps ; c’et le dernier câlin avant une semaine. Après un dernier long et langoureux baiser chargé d’émotion et aussi de larmes ; je dois abandonner mon amoureuse et rejoindre la patronne. Cette séparation me parait beaucoup plus lourde à porter que ce que je ne que je pouvais imaginer. C’est avec le cœur gros que je rejoins Madame ; il ne me reste plus qu’à l’honorer.
Lorsque je pénètre dans sa chambre, elle est déjà allongée entièrement nue sur son lit. Bien qu’il soit de taille XXL, sa forte corpulence en envahi la moitié. La vue de ce corps disgracieux ne m’excite plus vraiment, et pourtant ; il y a quelques temps- baiser ma banquière - était le plus grand de mes fantasmes.
— Issam, vas te doucher et ensuite je veux que tu m’honores, m’ordonne-t-elle.— Oui, Madame, je suis à vous tout de suite.— Prends ton temps, soigne ta toilette ; je veux que tu sois beau, que tu sois parfaitement rasé et que tu sentes bon ; tu trouveras tout ce qu’il te faudra sur la tablette du second lavabo.
Tout en l’écoutant je jette un coup d’œil circulaire dans la chambre. Elle est magnifiquement décorée : au sol, le parquet brillant comme un miroir grince sous mes pas. Des tentures et des tableaux ornent les murs. Face au lit gigantesque où se trouve Madame, et posé au bout de la tablette de la cheminée sans feu ; un humidificateur crachote une fine vapeur à l’odeur enivrante.
Je me dirige vers une porte - j’ai le choix, il y en a deux - je bascule la poignée d’une et ouvre la porte ; la lumière s’allume automatiquement. Mon erreur me conduit dans une pièce que Madame me désigne comme être Son dressing. Au premier coup d’œil je ne vois que des étagères remplies de chaussures de tous les genres et de tous les modèles. Des portants supportent une foultitude de robes, manteaux, pantalons et chemisiers. Il y a aussi des chapeaux, et une petite porte fermée.
— Issam ! Je pense que tu auras du mal à prendre une douche dans cette pièce, tu avais une chance sur deux, et tu as perdu ; alors tu me feras exactement ce que je vais te demander.— Bien Madame.
J’ouvre la seconde porte, et là effectivement ; c’est la salle de bain, de luxe ! Je ne suis pas expert en décoration mais je pense qu’elle est recouverte du sol au plafond de marbre blanc. Il y a tout : une immense baignoire / jacuzzi, une douche à l’italienne avec un seul pare-douche en verre. On y entre par une extrémité et on pourrait y tenir au moins à trois ; le ciel de douche m’invite. Face à moi un lavabo - double vasque - où m’attend sur la tablette le fameux «tout ce qu’il me faut ». Ce qu’il y a de bien dans cette maison c’est qu’au moins on ne passe pas trop de temps à se dessaper ; t’es toujours à poil et sans poils ! Sous la douche, je me motive afin d’être à la hauteur des attentes de Madame, et rien qu’à l’idée de baiser cette grosse perverse, j’y arrive. C’est donc propre, rasé de près, parfumé, et sabre au clair que je me présente à elle.
— Waouh… Issam… quel membre ! Tu me donnes une terrible envie ; viens et prends moi comme un sauvage ! dit-elle avec un regard rempli de gourmandise.— Vous en êtes certaine ? Très bien, dans ce cas je fais ce que je veux !— Tu as carte blanche : fesse-moi, insulte-moi, baise-moi comme une salope que je suis ; fais moi crier de bonheur, je veux un orgasme mémorable.— Vous êtes sûr de ne pas le regretter ?— Oui…et tutoie-moi, s’il te plait.— Alors, tu l’auras voulu ! Amène-toi salope que je te baise !
C’est plus que je ne l’espérais, elle est demandeuse, alors au diable les préjugés.
« Putain ! Tu vas voir ce que je vais te mettre, Madame va être servie ! » jubilé-je intérieurement.
 L’idée de secouer cette grosse baderne, histoire de… de me venger de ce qu’elle nous a fait faire à sa banque, ceci ne me déplait pas du tout. Je saute sur le lit et m’assois à califourchon sur ses cuisses, puis j’attrape ses seins par les tétons, et je tire, et je tire.
— C’est ce que tu veux espèce de grosse salope !— Oh, ouiiii… !— Alors, si cela te plait ; prends ça !
Entre pouce et index, je prends en étau le téton de son sein gauche et je tire dessus vers le haut, il s’allonge à la verticale ; de l’autre main je le claque avec force, et l’énorme masse graisseuse s’écrase sur son côté. L’autre sein subit le même sort, et c’est à tour de rôle que je transforme les deux mamelles en un véritable punching-ball. Elle crie et rugit des :
— Ah…ouiii…encore… plus fort…encore ! Oh, putain que c’est bon ! Vas-y encoreee… !
Je m’assois sur son ventre mou comme un coussin et je la prends par les cheveux.
— Suce-moi salope… ! Allez…Suce… ! Tu as compris … ! Suce-moi !
Alors j’enfourne ma bite dans sa bouche, et c’est moi qui donne le mouvement de va-et-vient ; je la baise par la bouche, c’est jubilatoire ! En réalité, leur séance sado-maso de tout à l’heure m’a plutôt excité, alors je lime dans sa bouche. Je tape le fond de sa gorge, je lui bloque la tête avec les mains et je force ; mon vit doit entrer au plus profond de sa gorge ! Elle suffoque, s’étouffe, bave, crache et expulse je ne sais quel liquide visqueux qui dégouline entre ses seins. Elle fait une pose, me jette un regard de défi, m’agrippe les fesses et plonge sur ma bite qu’elle avale d’un coup. Mon gland passe le fond de sa gorge et elle me mord la base de ma teub ; elle veut me la bouffer entièrement ou quoi ? Putain que c’est bon !
Mon sexe gonfle, je sens que…Il faut stopper ça tout de suite, sinon je vais arriver au bout trop tôt, alors je la repousse sans ménagement et la force à se retourner.
— À quatre pattes, grosse vache ! Je vais t’enculer ! Tu aimes ça, dis-moi que tu aimes ça !— Oui j’aime ça… ! Oui, vas-y… ! Explose-moi le cul ! Oh, ouiii… ! rugit-elle.— T’as raison, je vais baiser ta grosse moule baveuse, ensuite, je vais t’enculer, et pour finir tu vas me sucer ; j’espère pour toi que tu t’es lavée en profondeur !— Oh oui … ! Oh oui … ! Je te sucerai, vas-y, encule-moi… !
Elle est en position : à quatre pattes, bras tendus et jambes grandes ouvertes, ses lourds nibards pendent et descendent si bas qu’ils touchent presque le drap. Et son cul ! Putain quel cul ! Sa grosse moule aux lèvres épaisses dégouline de son jus. Et son trou du cul ! À le regarder il ne sert pas qu’à aller aux toilettes, le sphincter est boursoufflé. Elle et sa fille doivent s’engoder avec du gros calibre ou peut-être même se fister, je sais que certains se mettent la main entière dans le cul et même deux. Alors, jempoigne ses énormes miches ; mes doigts s’enfoncent dans le gras de ses fesses, et ainsi je peux la maintenir. Excité par la situation, je lui envoie une énorme claque sur le cul. Et Pan !
— Et ça, tu aimes aussi ?— Oh ouiii… ! Encoreee… ! Plus fooort… !
Et, Pan ! Et, Pan ! Je claque, une fois, deux fois, trois fois…dix fois, vingt fois chaque fesse ; la marque rougeâtre de mes mains reste imprimée. Je bande comme un Turc, je saisis mon mandrin d’une main et l’enfonce dans son con d’un coup sec jusqu’à la garde ; je touche le fond de sa caverne. Je la pistonne, mes cuisses battent le haut des ses cuisses et mes mains claquent ses fesses ; à chaque coup de boutoir elle crie des :
— Ah, ouiii… ! Encore… ! Plus vite… ! Vite… ! » interminables.
J’ai envie de jouer, alors, je lui attrape les tétons que je tords et tire dans tous les sens, plus je tords et tire, et plus elle crie. Je l’encourage :
— Ah, ouiii… ! Encore… ! — Allez, dis que t’es une grosse salope perverse !— Oui, je suis une salope perverse et aussi une grosse cochonne ; vas-y encule-moi… !
Sans attendre je saisi mon bâton gluant de son jus et vise son trou du cul, je l’enfonce sans ménagement et je lime à nouveau, mes couilles battent sa chatte dégoulinante, et je tape, et je bats, et je lime, et je râle, et je rugis des :
— Tiens, prends ça, salope ! Ah, tu aimes te faire baiser ton gros cul ! — Oh, ouiii… ! Vite… ! Plus vite… ! J’arriveee… ! Oh, ouiii… ! Je jouieee… !
Je sens son antre vibrer et son anus se resserrer ; elle est parcourue par les spasmes de l’orgasme que je qualifierai de puissants. Elle convulse à moitié, mais ce n’est pas terminé, je sors de son cul ma queue qui a changée de couleur ; elle est marron.
— Suce-moi, allez… tourne-toi et nettoie ma bite ! Suce, salope … !
Elle se retourne et se jette sur mon sexe comme une chienne affamée sur un morceau de viande. Elle embouche mon phallus enrobé, et après un léger haut-le-cœur ; elle me fait une fellation d’enfer. Elle me lèche à grand coups de langue comme une chienne qu’elle est.
Ça aussi c’était un de mes fantasmes : me faire sucer par une nana après l’avoir sodomisée. Je lui offre un bonus : je viens de me vider dans sa bouche en lui envoyant une rafale de jets de sperme. Elle lève les yeux vers moi et m’envoie un regard jubilatoire, elle ouvre la bouche en grand et m’offre le spectacle de sa langue brassant une crème couleur chocolat. Après avoir bien mélangé le tout, elle l’avale avec délectation.
— Ah… ! Que c’est bon ! T’es un champion, Issam !
À moitié dégouté par le spectacle qu’elle vient de me donner, je file dans la salle de bain et y prendre une douche salvatrice. Me voici tout propre et re-parfumé grâce au parfum - Chrome - trouvé sur la tablette du lavabo. De retour dans la chambre :
— Issam, je vais me doucher ; tu m’attends, couche-toi ; tu dormiras avec moi !
[À suivre]
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