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Banquière perverse

Chapitre 14

Réception dans le Grand Monde.

Hétéro
Ouf ! Madame a bu un coup et son fou rire s’est arrêté. Nous pouvons reprendre le fil de notre conversation, et elle m’explique :

— Et bien voilà : en réalité j’ai voulu me jouer des deux vigiles et tester leur concentration au travail, j’avoue que ma méthode n’était pas très orthodoxe ; et là j’ai bien rigolé. Vois-tu, depuis toujours, j’ai été habituée à tout obtenir, à être respectée dans le travail et à faire ce que je veux avec mes employés, et ça ; c’est valable pour tout le monde ! Si tu vois ce que je veux dire.— Donc tu te joues aussi de moi, et comme tu m’as sortie de ma - merde -, tu estimes que je dois faire tout ce que tu veux ? En quelque sorte, je ne suis qu’un pion. — Non, pour toi et Gladice, c’est différent ; vous m’avez émue.— D’accord, mais cela n’explique pas ce qui t’a fait rire.— Pour cette histoire de ménage, je voulais savoir jusqu’où Gladice et toi iriez, et si vous seriez capable de faire ce que je vous demandais sans poser de question. Mais passons car pour vous deux je prévois un certain nombre de choses, et je vous en parlerai plus tard. Maintenant pour répondre à ta question j’ai voulu vérifier si mes deux vigiles étaient vraiment fiables.— Comment cela ?— En montant ce scénario, je voulais vérifier s’ils réfléchissaient un peu avant d’exécuter un ordre. Physiquement, ce sont de véritables Pitbull mais ils n’ont rien dans la tête. Pour preuve : je leur ai donné un faux ordre car lorsque je rédige une note de service, je ne signe jamais par mon nom mais toujours par : Madame la directrice. Ensuite ils n’ont pas été surpris que je leur dise que vous alliez faire le ménage, d’autant plus que j’ai un contrat avec une société de nettoyage. Qu’en plus vous seriez entièrement nus, et qu’ils pourraient jouer avec ton cul ; bon s’est vrai qu’ils sont homos. J’espère qu’au moins tu y as pris du plaisir ?— Rien du tout, je n’ai rien senti.— C’est en regardant les vidéos et c’est quand j’ai vu la taille de leur moineau qui comparé à ton engin m’a fait rire et j’en ris encore. Mieux encore, les regarder se branler pour tenter de faire sortir trois gouttes de sperme ; fut le meilleur moment de la vidéo. Par contre je pense que tu as pris ton pied quand Gladice t’a pompé ? Tu aimes bien jouer avec elle, n’est-ce pas ?— Oui c’est vrai…— Vous n’êtes pas amoureux au moins ?— NON !
Cette fois ma réponse est ferme car je sens qu’elle est en train d’essayer de me piéger.
— Parfait ! Donc je continue mon histoire de test. Pendant que vous les amusiez, j’ai fait vider mon bureau sans qu’ils s’en aperçoivent. Quand ils ont découvert que mon bureau avait disparu, je les ai vus courir partout complètement affolés. Et je ne te raconte pas leur tronche quand je leur ai demandé où était passé mon matériel.— Et donc tu les as virés ?— Même pas, une bonne remontée de bretelles à suffit, et vous n’êtes pas prêts d’y retourner.
Je suis surpris par le récit de ce - test - un peu bizarre, mais venant de sa part plus rien ne m’étonne !
Nous avons terminé notre repas. Nous rentrons nous préparer car ce soir nous assisterons à une réception avec des clients huppés. Cette fois, je devrai me comporter en amoureux, et pas question de passer inaperçu !

Après une bonne douche au calme, je prépare mes vêtements. Lors de nos emplettes, comme elle dit, elle m’avait acheté des strings. J’en enfile un, il me fait un énorme paquet et encore plus dans mon pantalon de costar serré ; je pense que toutes les nanas vont me mater le matos, et peut-être que...
Elle veut être remarquée pour faire plaisir aux clients, où plutôt les attirer dans ses filets ? Je ne sais pas.
Pendant qu’elle se prépare, installée dans son dressing de la taille d’une chambre à coucher, mais remplie d’étagères et de tout le nécessaire pour être parfaitement apprêtée.
Outre la coiffeuse avec son miroir et son éclairage digne d’une loge d’artiste est recouverte de pots, dans lesquels peignes, brosses et autres ustensiles de formes bizarres se dressent bien rangés côte à côte. Sur des étagères sont rangés au garde-à-vous des tubes de rouges à lèvres et de fond de teint et autre Gloss.
Elle s’affaire, nue, choisit ses sous-vêtements et m’informe :
— Ce soir il faut être sexy, toi tu seras bien avec ce pantalon un peu serré.— Justement, il n’est pas un peu serré ; il est Très serré !— Mais non, il est parfait ; on voit bien que tu es bien équipé ! À ce propos si une femme te fait des propositions, tu n’hésites pas. Tu y vas, car cela peut aussi avoir des conséquences sur certaines décisions, tu me comprends ?— Donc tu me demandes de faire la pute ?— Tu n’y es pas du tout, je te parle de relations commerciales pas de chose illégale ; vois-tu, nous sommes dans le grand monde ! Et de toutes façon tu ne vas pas me faire croire que si une belle nana et bien gaulée te demande de la fourrager…— La quoi ?— La fourrager, la sauter si tu préfères ; tu ne refuseras certainement pas !— Et toi, tu t’en fous ?— Complètement, je ne t’interdis pas de te faire plaisir si tu en as envie.— Pourtant avec Gladice…— C’est différent… Bon dépêchons-nous. Nous allons être en retard.
Elle vient d’enfiler un string dont la ceinture a disparu instantanément dans ses bourrelets et la ficelle dans son cul. Il ne reste plus que le minuscule triangle de tissus noir qui tente de cacher comme il peut son pubis fraichement épilé. La voici aux prises avec un soutif aussi noir que le triangle de tissus qui se barre discrètement dans un pli de son haine. Elle le remet en place en maugréant.
Après avoir retourné la presque totalité de son impressionnante garde-robe, elle finit par jeter son dévolu sur une robe rouge qui me parait bien courte. Elle l’enfile à la façon d’un ver de terre entrant dans son trou, et l’ajuste ; ma prédiction s’avère exacte : la robe est très courte ! Si courte qu’en se baissant en avant, elle vient de me montrer son gros cul. Je termine de me préparer et me rends à la cuisine car j’ai un peu soif ; sans doute que la langue de bœuf du resto préféré de Madame était un peu trop salée.
Enfin Madame est prête, et au moment de partir elle me dit :
— Issam ! Comme je n’aime pas trop conduire, je vais t’inscrire à un cours accéléré pour que tu puisses obtenir rapidement ton permis de conduire mais français, et tu me serviras de chauffeur.— Si tu m’indiques le chemin, pas de problème, je conduis. — Mais es-tu certain de pouvoir conduire ce genre de voiture ? — je ne pense pas que ta voiture soit plus difficile à conduire ici que les camions de trente tonnes dans le désert. Et puis dans tes relations tu n’aurais pas un flic ou un préfet qui pourrait me le valider mon permis ?— Tu sais que tu es intelligent quand tu veux !— Merci du compliment !— Je pense que je vais pourvoir arranger cela, ton permis, tu l’as sur toi ?— Certainement, car c’est la chose la plus précieuse que je possède.— Alors je suis d’accord, donc c’est toi qui conduis, mais tu fais attention ; nous sommes à Paris et pas sur les pistes du désert.— Merci pour ta confiance, Jelila !
Je m’installe au volant et elle à la place du passager. Je jubile, quelle voiture ! Une Mercedes classe S gris foncé avec son intérieure à l’allure de navette spatiale est un véritable bijou de technologie. Sauf que je suis incapable de la démarrer, Jelila me tend une carte noire avec le sigle de la marque gravé dessus.
— Tiens démarre !— Et j’en fais quoi ?— Tu la mets dans la fente là, commande de vitesse sur N et tu appuies sur le bouton ici.
Je prends la carte, mets le levier sur N, enfile la carte dans la fente ; le tableau de bord s’illumine comme un sapin de Noël. J’appuie sur le bouton. Un léger ronronnement se fait entendre, l’aiguille du compte tour fait un bond jusqu’à 1500 t/mn puis redescend à 800 t/mn.
— Waouh… ça marche !— Oui et vas-y doucement sur l’accélérateur, il y a 350 ch sous le capot ! Ici c’est la marche avant ville / route et la marche arrière là. Tu es sûr que ça va aller ?— Oui, oui ! Au Bled, je conduisais des camions de 500 ch.— Oui, justement ; au Bled ! Je te le redis, on est en ville, et…— À Paris… je sais !
Tout au fond de moi, j’ai un trac fou ; je sens l’adrénaline monter, j’ai chaud ! OK, va pour les 350 ch ! Je démarre et passe la marcha avant - ville -. Au premier coup d’accélérateur les roues avant font au moins vingt-cinq tours sur les gravillons de la cour avant que la voiture ne bouge d’un centimètre.
— Je t’ai dit doucement, c’n’est pas un camion !
Cette fois j’effleure la pédale et la bête s’ébranle doucement, nous avons passé le portail, sur les indications de ma copilote je m’engage à droite sur l’avenue, et je roule pépère à trente à l’heure car les 350 bourrins me font vraiment flipper.
— Allez accélère, car autrement nous allons être en retard !
Alors j’appuie sur le champignon. Le compte tours monte en flèche, les pneus hurlent sur le bitume, la bête se cabre et décolle comme une fusée, et nous colle au siège. L’aiguille de compteur grimpe jusqu’à 100. Je prends peur je lève le pied et freine, et la bête ralentit. Bon ! Il y avait du mou car ce compteur est gradué jusqu’à 300 Km/h.
— Holà ! Doucement…c’est 50 km/h en ville !— …
Après plusieurs kilomètres et quelques frayeurs, je maitrise enfin la bête et nous arrivons à l’hôtel.
— Je pense que je vais t’inscrire à des cours de conduite, car je n’ai pas envie que tu me casses ma voiture.— Tu as eu peur ?— Un peu, mais ce n’est pas grave.— Un jour, il faudra que nous allions chez moi au Bled faire un safari dans le désert, tu vas t’éclater.— Et pourquoi pas, avec un 4x4 ?— Oui…— Cool, comme on dit.
Nous arrivons devant l’entrée d’un grand hôtel parisien, et nous sommes accueillis par un voiturier (c’est brodé sur sa chemise), il ouvre la portière à Madame, puis la mienne et me dit :
— Si Monsieur veut bien me laisser ses clés, je vais garer votre voiture ?— Je vous en prie, réponde-je aussi majestueusement.
Un garçon d’étage prend le bagage de Madame - elle m’avait dit de ne rien prévoir- et après être passés par l’accueil ; il nous conduit à notre chambre, et je m’adresse à Madame :
— On dort ici ? Mais je n’ai rien pris !— Oui, car ce genre de réceptions se terminent en général très tard le soir ou même très tôt le matin, alors c’est mieux de rester dormir ; surtout si nous buvons un peu. Ne t’inquiète pas, je t’ai pris ce qu’il faut : un string et un teeshirt, ça ira bien.
La chambre luxueuse qui, avec ses fauteuils, son lit où l’on pourrait y dormir à trois ou quatre (c’est peut-être prévu dans le programme) est beaucoup trop somptueuse pour moi ; ce milieu ne me correspond pas du tout, mais bon ; je ne vais pas me plaindre. Notre valise déposée, nous devons redescendre pour la réception qui va commencer ; à moi de jouer mon rôle d’amoureux.
Pour nous rendre vers la salle de réception nous passons par le hall d’entrée, et là, je repère déjà quelques belles petites créatures que je pourrai bien …Comment disent ça les jeunes ici ? Choper, non, Pécho ? Oui, c’est c’la pécho ; alors je vais aller : pécho les nanas !
Dans la salle de réception je reconnais quelques personnes arrivées juste avant nous en BMW de moyenne gamme. Alors là je prends une posture altière, comme m’a dit Madame ; je me la pète quoi !
Je pense : « Oh ! T’as vu mec, je roule en Mercedes 300 E, Moi ! »
Je dois suivre ma banquière, elle me présente, discute, rit avec ces interlocuteurs, parle de tout et de rien, de la santé de Madame ou du petit chienchien à sa mémère ; un maitre d’hôtel nous propose du champagne, pour moi ce sera coca, non… Champagne ! Ce cocktail est long et je commence à m’emmerder sérieusement ; quand enfin nous passons à table !
Pour respecter le protocole nous sommes placés alternativement un homme une femme, et ainsi de suite ; j’ai donc une nana de chaque côté de moi. Celle de droite, ma banquière avec son décolleté plongeant et sa robe qui lui remonte jusqu’à la moule ; ce n’est pas son voisin de gauche qui s’en plaindra. De mon côté gauche, j’ai une jolie brunette d’à peine vingt-cinq ans je pense, avec son joli buste bien ferme dont les seins n’ont pas besoin de soutif. J’ai aussi vue sur ses cuisses presque complètement découvertes à cause de la minijupe qu’elle porte à merveille et qui remonte très haut. En homme galant, je lui avance sa chaise au moment de s’assoir. Nous engageons la conversation et échangeons quelques banalités. Après avoir parlé de la pluie et du beau temps il me pose une question assez déroutante.
— Dis-moi, la grosse à côté, c’est ta copine ?— …Euh, à vrai dire c’est plus ma…— Ouais ! T’es un gigolo, quoi !— Bah…oui…— Regarde le vieux à côté de moi, c’est pareil ; il m’entretient et il me baise, enfin quand il y arrive. C’est cool de se faire entretenir, c’est la vie rêvée, non ?
Tout en parlant, elle pose sa main sur ma cuisse et me caresse.
— Vas-y, te gènes pas tu peux toucher aussi, c’est gratis ! m’invite-t-elle.
« Quelle belle surprise, elle est cash celle-là ! » je me dis.
Cette invitation des plus surprenantes vient de me redonner la pêche. Et vu que c’est gratis ! Je pose ma main sur sa cuisse, car je commençais à me faire sérieusement chier dans cette ambiance morose où tout le monde parle fric ; et affaires et encore de fric.
Ma petite brunette de voisine qui répond au prénom d’Émilie a la peau douce, un peu comme celle de Gladice ; j’en profite et caresse doucement et discrètement cette cuisse, si gentiment offerte.
Elle est plutôt du genre rapide la bougresse car elle me malaxe déjà le paquet, et me parle à voix basse pour ne pas déranger et ne pas nous faire remarquer :
— Eh, dis donc ! C’est à toi tout ça ? Allez caresse-moi, et en plus, je n’ai pas de culotte !
Quelle aubaine ! Je déplace ma main vers l’endroit sans culotte, elle écarte un peu les cuisses, et je touche directement sa fente nue ; elle est si douce et si attirante que je continue mon exploration. Elle ouvre ses jambes encore un peu et me laisse accéder à son petit bijou. Pendant ce temps elle me tripote l’endroit qui l’attire, je commence à espérer que les choses s’accélèrent, car mon pantalon est devenu trop serré tout à coup.
— J’ai envie de fumer, pas toi ? m’annonce-t-elle.— Désolé, je ne fume pas, mais vas-y si tu veux.— Tu m’accompagnes ? Dis à ta patronne que tu as besoin de prendre l’air.
Elle retire sa main, se lève et se dirige vers une porte donnant sur l’extérieur.
— Jelila, je vais prendre l’air ; j’étouffe ici, informé-je.— Tu étouffes ou tu as envie de t’occuper de la petite d’à côté de toi ?— …
Sans répondre, je pars rejoindre Émilie. Je franchis la porte donnant vers l’extérieure ; une vague d’air frais me balaye le visage et me fait un bien fou. Je retrouve Émilie courbée en avant, appuyée sur les coudes et les poings sous le menton à une balustrade qui borde l’immense terrasse complètement vide. Sa jupe plissée se soulève au gré du vent et laisse voir la naissance de ses fesses par intermittences, je dois avouer que c’est très sexy.
— Tu me parais bien songeuse ?— Mouais ! J’ai envie de fumer, et j’n’ai pas d’clopes !— Tu veux que j’aille t’en chercher au bar ?— Ah…mais je ne veux pas de tabac, je veux ça !
Elle se redresse et me colle la main au paquet, m’embrasse avec fougue, et défait la ceinture de mon pantalon qu’elle me descend jusqu’aux chevilles.
— Ah mais tu portes des strings ! Alors ça ! J’Adore ! Un mec en string c’est sexe. Putain ! Tu me fais mouiller.
Dans la foulée, le string suit le même chemin que mon pantalon puis, elle se jette sur ma queue bandée à la verticale.
— Oh, putain ! Ça c’est d’la bite, dit-elle en enfournant mon braquemart dans son bec.
Elle me suce comme une folle, d’une main elle tient mon bâton et de l’autre mon sac de couilles, mais la sucette s’arrête d’un coup, elle se relève.
— Viens ! Baise-moi !— Mais comment, là, ici ?— Oui, ici, à la hussarde, et n’ai pas peur d’y aller ; je ne suis pas en sucre.
Elle relève sa jupe, se penche en avant sur le balustre en pierre et prends appui sur ses avant-bras ; jambes écartées et le cul juste à bonne hauteur, et la moule grande ouverte.
— Allez, vas-y je suis prête ; fonce !
Je fonce, j’arme mon arbalète, la présente face au but et je tire. J’attrape la belle gourmande par les hanches et l’enfourne d’un coup sec.
— Aïe !...Ah… ! Putain ! …Oh, que c’est bon… ! Vas-y… !
Elle est trempée de son jus, son vagin un peu serré, mais j’entre de force et ça coulisse comme dans du beurre. Je la tringle, vite, fort …très fort ; elle en veut, elle veut savoir ce que c’est qui vrai mec !
— Arghh… ! Ah…oui… ! Encore …, plus foreee…Ah ouieueee… !
Et j’y vais encore et encore, tout va trop vite ; merde ! Je vais venir !
— Je vais arriver, je sors !— Nonnonnonnnnn… ! Reste, je veux te sentir… ! Oh oui, oui, oui, ouieee… !
J’accélère encore, elle se cambre, son dos se creuse, elle empoigne la pierre des deux mains, et j’arrive. Je lui envoie toute la purée d’un coup long et saccadé. Elle convulse, secoue la tête dans tous les sens et crie aussi.
— Arghhh… ! Ah oui… ! Ouieee……. ! Putain que ça fait du bien… !
Je sors ma bite baveuse et ruisselante d’un mélange de sperme et de son jus, et je lui colle une grande claque sur le cul
— Alors bébé ! Ça t’a plu ?
Elle se retourne, tombe à genoux, m’attrape le manche et l’embouche, elle lèche tout ce qu’il se trouve dessus et pompe. Tout est propre, elle se relève et me complimente.
— Putain ! Toi t’es un mec, un vrai pas comme ce gros tas de graisse qu’arrive à peine à m’baiser ! Viens on va fêter ça, champagne !— Avec plaisir !
Nous retournons dans la salle et là, surprise ! Je découvre Madame, assise à côté du mec de mon affamée de sexe ; je vois qu’elle ne s’ennuie pas, vu la position de son bras.
Émilie et moi nous regardons, étonnés. J’approche de Madame qui d’un signe de la tête me fait m’indique de nous installer à côté ; quelle aubaine !

[À suivre]
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