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Banquière perverse

Chapitre 15

Spectacle porno !

Voyeur / Exhibition
Rappel du chapitre précédent :
Avec ma patronne, nous nous sommes allés dans un grand hôtel parisien pour assister à une réception mondaine qui semble-t-il doit durer assez longtemps pour qu’une chambre nous y soit réservée. J’ai eu l’honneur de conduire la Mercedes de Madame, ce monstre de 300 CV nous avait fait quelques frayeurs ; mais je réussis à maîtriser la bête. Pendant le repas, j’ai aussi fait la connaissance d’Émilie ; la gigolette d’un client de ma patronne, une véritable affamée de sexe que j’ai tirée sans aucune forme de procès.
Dans la salle de restaurant.
Après notre escapade hygiénique, Émilie et moi revenons à table pour la suite du repas. Ma chère patronne étant visiblement très occupée avec son voisin, nous pouvons bavarder tranquillement, ou plutôt nous peloter allègrement. Ma nouvelle copine a vraiment le feu aux fesses, elle n’arrête pas de toucher et de me parler de cul. Elle me dit que pour m’exciter encore plus, elle s’est assise fesses nues sur sa chaise et a aussi remonté sa minijupe, laissant ainsi voir le côté de sa fesse ; je regarde le spectacle, constate la réalité de la chose. Effectivement je me régale de ce joli spectacle au côté assez excitant, et je la complimente :
— Tu sais que tu as de très jolies fesses, et assise de cette façon c’est super érotique !— Merci, tu sais que tu n’es pas mal du tout non plus. Au fait, tu danses ?— Mal, les slows à la rigueur ; pourquoi ?— Il y a un club au sous-sol, ça te tente d’y faire un tour ?— Pourquoi pas ! Ça nous changera de cette ambiance un peu morose. Je pense qu’ils doivent tous parler affaires !— Y a des chances, et puis je commence à me faire un peu chier. Alors, ce n’est pas grave si tu ne sais pas danser ; on fera autre chose, tu vas voir !— Ah oui ? Et quoi ?— Il y a une scène et on peut faire un spectacle de baise, j’adore faire ça en public ; alors ?— C’est quoi ? Une boite de cul ! Attends, je préviens ma patronne !
J’interpelle Jelila et lui chuchote :
— Jelila ! Je descends avec Émilie dans la boite de nuit au sous-sol.— Oui, attends !
Elle se retourne vers le mec d’Émilie, ils se parlent à l’oreille, et s’adresse à moi de nouveau:
— Allez-y, nous vous rejoignons dans un instant !
Je rejoins Émilie.
— Alors ?— Ils viennent !
Je la suis vers ce lieu assez mystérieux pour moi, sur la porte d’entrée une pancarte indique « Club Privé ». Elle sonne, on nous ouvre, un vigile deux fois plus large que moi nous accueille et reconnait Émilie :
— Bonjour Émilie, comment vas-tu ? Ton nouveau copain ? lui demande le vigile en me désignant du doigt.— Ouais ça va ! Non ! Ce n’est pas mon copain, juste un bon coup pour ce soir!— Alors toi ! Tu ne changeras jamais.
Elle lui claque la bise, et le vigile me serre la pogne ; putain ! Quand il serre celui-là, il serre !
— Dis Émilie, tu nous mets le feu ce soir ?— Évidemment, on fait comme dab ?— Oui, et ce soir c’est strictement privé ; alors vous faites tout ce que vous voulez, tout est permis !— Cool, tu viens Issam !
Puis nous sommes dans la place. C’est effectivement une boite de nuit avec tout ce qu’il faut : le dance floor, les tables, les banquettes, une estrade et la barre de pool dance, et bien évidemment le bar et la musique à fond. Coup de chance, c’est un slow qui tourne sur la platine.
— Tu veux boire un coup ? me demande ma cavalière.— Oui, mais pas d’alcool !— T’as raison, si on veut rester en forme, il faut faire comme les sportifs avant le match, pas d’alcool !
Après s’être enfilé un jus de fruits nous sommes au milieu de la piste quasiment déserte, presque tous les convives du banquet, le verre à la main, sont plus ou moins affalés sur les fauteuils et les banquettes. Ne sachant pas en quoi consiste son - comme dab - de tout à l’heure, je questionne Émilie :
— Dis-moi, c’est quoi ton - comme dab - ? — On fait comme si on était amoureux avec le cul en plus. Tu les vois tous affalés sur leur siège ; ils viennent mater, c’est tout. Alors, tous ces gros porcs, on va les faire baver d’envie à en faire péter leur braguette.— Pour les porcs ! T’es pas un peu vache ?— Non réaliste, tu n’auras qu’à les observer du coin de l’œil quand ça va chauffer ; tu vas te régaler. Je te préviens t’as intérêt de mettre le paquet et me faire gueuler de plaisir. Allez, montre-moi comment tu roules une galoche !
« - Alors là ma cocotte, tu vas voir ce que je vais te mettre ! »
Nous sommes au milieu de la piste, je l’enlace comme des amants de toujours ; j’ai l’impression de tenir Gladice dans mes bras. Cette fille si pétillante lui ressemble énormément et en plus elle sent bon le parfum ; je n’arrive pas à l’identifier, mais il est enivrant. Si nous sommes là pour baiser ! Je vais lui faire l’amour comme je le fais à Gladice, je ne penserai qu’à elle. Je commence à trouver le temps long sans elle, elle me manque ; mais elle rentre après demain ; j’ai hâte de la serrer dans mes bras.
Émilie, suspendue à mon cou et moi les mains sur ses fesses, je la berce collé-serré, au rythme de « Still Loving You » de Scorpions, je l’embrasse à lui faire perdre le souffle. Elle se plaque contre moi comme une sangsue et ondule, ce qui a pour effet de faire rouler ma queue trop à l’étroit dans mon pantalon. Si le mouvement ainsi appliqué est très agréable, il a tendance à me faire bander de plus en plus.
— Dis donc toi ! Tu embrasses aussi bien que tu baises ! Alors n’hésite pas à me peloter le cul, à lever ma jupe ; il faut les faire bander c’est mecs ! J’aime montrer mes fesses, ça m’excite terriblement ; je commence même à mouiller !
Je suis son conseil, alors je ne me gêne pas pour redessiner la courbe de ses seins, le creux de ses reins, le galbe de son dos, et la rondeur de ses fesses. Je m’arrête un instant à cet endroit pour la caresser avec la plus grande délicatesse, mes mains glissent sur le tissu comme si j’effleurais sa peau ; ma chérie adore que je lui fasse ça. De temps en temps, je plaque mes mains sur le tissu de sa jupe et je tire vers le haut pour dévoiler le début de son joli derrière qui se découvre petit à petit. À un moment je dénude la totalité de son postérieur, et j’observe l’assemblée.
Et elle avait raison, les mecs et les femmes ne perdent pas une miette de nos ébats, comme ma patronne et son invité qui nous fixent bouche bée. Alors je caresse Émilie partout, j’emmêle mes doigts dans sa chevelure, puis je lui passe la main dans le dos, pour terminer à chaque fois sur ses fesses et je remonte sa jupe de plus e plus haut. Dans la pénombre, j’aperçois les convives aux yeux exorbités qui ne bougent pas d’un cil ; ils sont comme momifiés.
— Tu vas continuer ce que te fais et tu vas coincer ma jupe dans ma ceinture, et puis …tu te débrouilles …!— Ok ! Alors prépare ton cul !
Me débrouiller ? Pas de souci, je lève la jupe comme demandé, je la coince dans la ceinture comme désiré, et je lui caresse les fesses en lui passant mon doigt entre les fesses, jusqu’à lui toucher et lui titiller l’anus.
— Mmm… ! C’est bon ça ! me souffle-t-elle.
Les fesses à l’air c’est bien, mais torse nu c’est mieux ! Alors sans lui demander son avis, je passe mes mains sous son haut et lève, lève. Elle se laisse faire sans rien dire, mais ses yeux pétillent d’excitation ; elle se retrouve le dos à l’air. Je passe mes mains devant, lui attrape les seins, et fais rouler ses tétons entre mes doigts ; elle couine de plaisir, son souffle devient plus rapide. Puis je descends une main vers sa fente, écarte les lèvres et lui masturbe l’abricot trempé de sa mouille ; je jubile : elle crève d’envie !
Certains mecs se sont bien calés dans leur fauteuil, les femmes observent ; j’espère qu’ils mouillent déjà tous leur culotte. J’imagine ma patronne la moule dégoulinante de mouille ; elle mouille tellement que des gouttes tombent sur le sol et brillent quand le faisceau d’un projecteur laser passe dessus. Émilie me regarde avec ses yeux de défiance qui me disent :
« -T’es pas Cap ! D’aller plus loin ! »
— Que vas-tu faire ? interroge-t-elle.— Qu’est-ce que crois, te foutre à poil, te peloter, te branler le con et te foutre ma bitte dans le cul, et tu vas voir s’ils ne bandent pas tous !— Houaieee… ! C’est cool, tu sais que tu m’as foutu une envie à tout péter !

Tout en dansant ce slow interminable, je la retourne. Elle plaque ses fesses contre ma bite qui commence à être de plus en plus enfermée, elle se tortille et frotte. Je bande, mon sexe trop à l’étroit commence à me faire mal !
— Tu le fais exprès, je suis déjà à l’étroit.— T’inquiète, je vais arranger cela tout à l’heure.— Oui, mais fais vite !
Je continue à la tripoter, cette fois avec sa jupe retroussée jusqu’à la ceinture et ses seins à l’air ; je lui masse la fente toujours aussi trempée, elle glousse doucement. Les convives sont toujours hypnotisés par notre prestation. D’un geste rapide, je lui fais passer son haut par-dessus la tête et descends sa jupe dans la foulée ; elle se retrouve nue en escarpins, qu’elle fait voler à leur tour. Elle est maintenant entièrement nue devant tous ces mâles ventripotents, aux grosses bagnoles et à la bite trop courte pour baiser correctement ; je souffle ma réflexion à Émilie qui pouffe de rire.
— Occupe-toi plutôt de moi au lieu de dire des conneries. Et caresse-moi partout, fais ça doucement ; je veux que tu m’excites comme jamais je ne l’ai été.
Enfin elle a pitié de moi, elle se retourne et dégrafe mon pantalon qu’elle descend au sol. Je suis en string et teeshirt ; les femmes s’agitent, ouvrent la bouche, mais impossible d’entendre ce qu’elles disent à cause de la musique.
— Tu as vu comment elles sont ? Tu les excites avec ton petit cul en string, tu vas voir, on va même faire bander les femmes ; je vais les rendre jalouses.
Elle me retire mon teeshirt et fait glisser mon string avec sensualité et érotisme. Elle me caresse les fesses, les cuisses, le dos, le torse et revient sur mon sexe et mes testicules qu’elle masse avec soin et application ; c’est bon et je bande terriblement. Puis elle m’enlace avec tendresse comme deux amoureux qui dans ce moment de préliminaires ; où chacun fait tout ce qu’il peut pour amener l’autre vers un point de désir très fort. Elle se frotte à moi, ses tétons durcis par le désir grandissant frottent mes petits mamelons ; c’est le calme avant la tempête.
Mon chibre est tendu, elle le prend en main presque en cachette en se collant à moi, et elle me le masturbe doucement. Moi, les doigts entre ses fesses, je lui titille l’anus ; elle tombe à genoux et embouche mon dard et le suce. Brusquement, elle se relève, m’entraine vers la scène et nous nous lançons dans un 69 effréné.
Elle mouille terriblement, mais ce 69 est court, trop court ; elle me retourne et vient s’empaler sur mon phallus d’un coup sec. Elle se lance dans une chevauchée fantastique, elle se tord dans tous les sens comme si un charmeur de serpent jouait cette musique envoutante à faire se dresser et onduler un cobra. Tout à coup, elle se tire les cheveux, secoue la tête, s’attrape les seins, les malaxes, les broie, les étirent et se tire sur les tétons. Elle gémit, glousse et crie ; je viens de sentir son vagin se contracter et son ventre vibrer ; l’orgasme l’a mise en sueur.
Elle s’arrête, se place à quatre et me dit :
— Encule-moi, vite !
Je sais ce qu’elle veut exactement, c’est de la puissance qu’il faut et dans ce cas je n’hésite pas. Je l’empale directement, je la pistonne ; mes couilles se balances entre ses cuisses, elle cri :
— Ah…Oui ! Ah…Oui ! C’est ça bon … ! Encore… ! Encore… ! Encoreee… ! Oui… ! Oui… ! Oui… ! Oui ! Oui ! OuiOui…Ouiiiiii… ! Je jouieeee… !
Puis elle se redresse et me dit :
— Je vais te sucer, et après tu vas te branler sur ma tronche et dans ma bouche ; j’adore ça ces cochons aussi !
Elle me suce comme une folle, comme c’est bon ! Puis elle me suçote le gland, me le lèche à grands coups de langue, en fait le tour puis le masturbe. Elle le recrache ! C’est à moi d’agir, je me branle au-dessus de son visage et en peu de temps j’éjacule, et lui étale mon sperme avec ma bite sur le visage. Puis je la renfourne dans sa bouche, elle me suce. Elle se délecte de mon jus, se tripote encore les seins et se fourre les doigts dans le vagin. Un coup d’œil à l’assemblée et je constate que ma patronne semble très occupée avec son voisin.
Nous sommes exténués ! La fête est finie, nous récupérons nos fringues, puis elle m’entraine vers le bar. Un des serveurs me regarde de la tête aux pieds avec une certaine insistance, il me dévisage et observe avec envie ma bite encore de demi-érection. Je comprends que ce mec est sans doute homo, mais pas moi ; je ne sais pas ce qu’il a en tête, mais cela ne me dit rien qui vaille. Heureusement Émilie est là pour me sauver.
— Tu as envie de te faire tripoter par les femmes, moi je vais me faire toucher par les mecs ! m’informe Émilie.— Pourquoi pas, et comment on fait ça ?— On va faire le service à poil, tu vas voir…— T’as raison, je préfère me faire tripoter par les femmes que par le serveur.— Ça t’dirait pas de te faire un mec ?— Pas vraiment, non !— Allez…essaye au moins une fois, moi j’aime bien faire ça avec les filles aussi !
Après avoir confié nos fringues au barman, nous faisons le service entièrement nu ou presque, car il nous avait donné une petite cravate tenue autour du coup par un élastique, pour nous rendre plus élégants ou pour nous transformer en « gogo dancer ».
Je crois que c’est la première fois que je me suis fait autant peloter les fesses et tripoter les couilles, mais aussi les cuisses et le torse ; un vrai plaisir ! J’ai même eu des propositions pour un soir ou un cinq à sept. La soirée se termine, exténués par cette journée de folie, nous allons nous coucher.

[ À suivre]
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