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Banquière perverse

Chapitre 22

Une belle soirée.

Hétéro
Rappel du chapitre précédent.

Après nous avoir décrit en détail ses mésaventures, Gladice se reposa, puis nous avons fait l’amour ou presque, car nous ne sommes pas arrivés à l’orgasme. Ma Chérie préférait attendre un peu pour que nous puissions le lui faire dans l’intimité, pour fêter nos retrouvailles en quelque sorte.
Jelila fit venir un ami médecin pour ausculter et parler avec Gladice afin de la soigner et l’aider à supporter l’épreuve qu’elle venait de subir. Jelila invita le médecin à manger avec nous un couscous si apprécié, et dont je suis particulièrement fier ; c’est une recette de ma mère que je reproduis avec amour.
J’avais aussi assisté - au travers de la fenêtre de la cuisine - au départ de Lacksimy qui m’avait plongé dans une profonde tristesse.
— ooOoo —
Pendant que la viande et les légumes cuisent, je décide d’aller prendre une douche pour me calmer et me remettre les idées en places ; je ne veux pas qu’on, et surtout pas Gladice, ne me voit larmoyant. Je me dirige vers la chambre de Jelila pour y utiliser sa salle de bain, et une fois rafraîchi et habillé je découvre en sortant de la pièce Jelila assise sur son lit. Prostrée, la tête entre ses mains elle pleure, je m’approche d’elle et pose ma main sur son épaule ; surprise, elle sursaute et je lui dis.
— Jelila, je comprends et partage ta peine.
Elle se redresse et m’offre un visage dévasté par les larmes de chagrin, elles coulent sur ses joues ; c’est la première fois que je la vois dans cet état, elle me touche beaucoup.
— Issam, je suis vraiment désolée pour ce qu’il s’est passé, me dit-elle entre deux sanglots ; je ne sais pas comment me faire pardonner.— Écoute-moi, oublions cela car tu n’y es pour rien et reprenons la vie ; il faut aider Gladice à guérir, c’est tout. Lève-toi, prends une douche, fais-toi belle et viens nous rejoindre car je pense qu’ils ont terminé. Moi aussi j’ai de la peine pour Gladice mais aussi pour ta fille, mais nous devons leur montrer le meilleur de nous-mêmes ; nous devons être forts ! Je lui ordonne.
Je suis surpris d’être aussi ferme avec ma patronne, mais le résultat est là ; elle se lève d’un bond.
— Tu as raison, acquiesce Jelila. Allez, secouons-nous ; je vais me doucher et toi tu as du boulot en cuisine !
Je suis content de la voir retrouver son énergie, ravi ; je retourne en cuisine. En passant devant la porte de la chambre de Gladice, je constate que la porte est toujours fermée et en conclus que le toubib n’en a pas fini.

Mon plat est presque prêt, il ne me reste plus que la semoule à rouler et à faire cuire quand Jelila entre dans mon domaine, elle m’informe que le médecin a terminé et que nous mangerions dans la chambre de Gladice. Nous nous mettons au travail pour transformer provisoirement la pièce en salle à manger. Gladice en peignoir de soie et bien calée dans les oreillers ressemble à une reine dominant ses sujets.— Alors Philippe, comment va notre malade ? Interroge Jelila.— Pas trop mal, je lui ai fait une ordonnance pour des antidouleurs et de la pommade ; dans quelques jours il n’y paraîtra plus rien. Pour le reste je suis certain que toi, Issam, tu vas lui apporter ; elle à besoin de toi.— Ne soyez pas inquiet, Docteur, je vais prendre soin d’elle.— Je n’en doute pas, et cessez les protocoles ; appelle-moi Philippe !— Je vais les chercher, interrompt Jelila. Pendant que vous finissez de préparer la table, j’en ai pour deux minutes.
Le toubib profite de l’absence de la patronne pour nous parler :
— Bien maintenant que je suis au courant de tout, je voudrais savoir ce que vous comptez faire ?— Comment cela ? Je demande.— Allez-vous porter plainte, partir...— Il n’en est pas question, reprend Gladice. Pour moi c’est un malheureux accident, j’aurais dû être plus vigilante ; j’ai trop tendance à faire confiance aux gens. Je pense que Madame et surtout Lacksimy sont plus à plaindre que moi ; il est vrai qu’elle m’a fait très peur. Pour moi c’est du passé maintenant.— C’est tout à ton honneur de réagir ainsi, reprend le toubib.— Dites-moi docteur, que va-t-il se passer pour Lacksimy, s’inquiète ma chérie.— Sois tranquille, je connais très bien son père je suis certain qu’il prendra les bonnes décisions, car il connaît du monde dans le milieu des psys. Je vais l’appeler dès demain et je vous tiendrai au courant. Je pense qu’il va la placer dans un hôpital spécialisé.— Chez les fous ? J’interviens.— Pas vraiment, mais il est vrai que son cas est très compliqué, je ne sais pas si vous le savez ; mais elle pourrait, par remords, se faire violence et même allez jusqu’à la TS.— La quoi ? Interrompt ma chérie.— Une tentative de suicide. Alors, je pense que quand elle ira un peu mieux, que toi Gladice, tu lui écrives une lettre pour lui dire que tu lui pardonnes et que tu souhaiterais la revoir un jour. C’est peut-être beaucoup te demander mais je pense que ça l’aidera à s’en sortir.— Je le ferai docteur, c’est promis !— À la bonne heure, je savais que tu dirais oui et j’en suis ravi. Mais il y a aussi Jelila, ne la laissez pas tomber, je connais ses mœurs un peu étranges parfois, mais c’est une très brave femme.— Nous ne la laisserons pas tomber non plus, j’interviens. Elle vient de faire un énorme sacrifice en approuvant notre union et en s’interdisant toute relation avec moi...— Je sais tout ceci et cela prouve qu’elle vous aime tous les deux.— N’allons pas jusque-là, Docteur !— Si, je peux vous garantir que son amour pour vous deux va bien au-delà de l’estime ; c’est à vous de voir.— De toute façon, nous avions déjà décidé de rester auprès d’elle car nous l’aimons bien aussi.— Alors tout va pour le mieux...! Approuve le toubib.— Pas tout à fait, coupe Gladice, car elle n’a plus de mec... Mais docteur, j’y pense, vous pourriez vous occuper d’elle ! Vous êtes du même milieu...— Oh grand dieu, non ! Elle n’est pas à proprement parler ce que je recherche, je suis un loup solitaire ; je chasse la jeune poulette toute fraîche. Je suis un...— Poulette comme moi ? Interroge Gladice.— Exactement !— Alors servez-vous, et vous ne m’avez pas ausculté, là, avec votre outil ! Dit-elle en repoussant les draps d’un coup de pied et en ouvrant sa robe de chambre en satin.— Ah, non ! Pas comme cela, il me faut du romantisme avec des fleurs, un repas au resto, et surtout une tenue sexy ; et puis il y a ton homme !— Hum... ! Peut-être que mon homme, comme vous dites, aimerait bien voir sa chérie se faire sauter par un autre homme ; qu’en penses-tu mon Amour ?
La réponse sera pour plus tard, car Jelila vient d’entrer dans la chambre avec un sachet à la main.
— Voilà, il y a tout ; je n’ai pas été trop longue ? Bon, de quoi parliez-vous car votre conversation semble s’être arrêtée brusquement ?— Ma chère, je pense que notre patiente va beaucoup mieux...— Eh bien, m’en voilà réjouie et... ?— Nous parlions de cul ! — Une partie à quatre pour ce soir ?— Non Madame ! Je demandais si toi et Philippe ne feriez pas un beau couple ?— Vous plaisantez ! Moi et le toubib ! Mais là, je suis cocu dix fois par jour ! C’est un coureur de jupons invétéré ! Et en plus, il n’est pas mon type d’homme sauf pour un plan cul ! Bon, on mange, j’ai faim !
Le repas, apprécié par tous, se déroule dans le calme sauf quand après un long silence, Jelila prend la parole :
— Gladice, Issam, j’ai réfléchi et je voulais vous dire que demain ne vous occupez pas de moi. Je vais préparer les affaires de ma fille et aller aux États-Unis, je pense qu’elle a besoin de moi ; alors j’y resterai une semaine.— Si tu veux, Jelila ; je veux bien t’aider à préparer ces affaires, intervient Gladice.— Pourquoi ?— Je connais les vêtements qu’elle préfère et je voudrais y ajouter un petit quelque chose.— Que veux-tu ajouter ?— Une lettre !— Ah, je vois !... Alors c’est d’accord ?
Pendant la suite du repas, Philippe nous raconte des histoires grivoises ce qui pour effet de détendre l’atmosphère. Une fois que nous avons desservi la table, et prétextant un besoin de parler. Jelila et Philippe nous ont abandonnés. Nous voici tous les deux seuls, je prends une bonne douche histoire de faire disparaître l’odeur de mouton et de merguez que je traîne derrière moi.
Au sortir de la douche, je découvre ma douce, réfugiée sous le drap en satin qui épouse admirablement bien les formes de son corps. Ses yeux clos me font croire qu’elle dort. Ses tétons exacerbés pointent fortement et m’offrent la vue de deux pics si attirants ; je me glisse sous le drap. Elle ouvre les yeux, me sourit et attrape mon membre qu’elle serre très fort, elle tire dessus comme pour l’allonger ; je suis obligé de m’approcher au plus près d’elle. Je glisse mon bras sous sa nuque, elle vient se blottir dans le creux de mon épaule et en chien de fusil elle pose sa cuisse sur les miennes.
— Humm... Comme tu sens bon ! Un cadeau de... Madame ?— Tu aimes ? Oui c’est elle que me l’a offert.— Elle te draguait à fond !— Oui, je crois que j’aurais pu lui demander n’importe quoi ; elle me l’aurait offert.— Dis-moi, elle était vraiment amoureuse de toi ?— Oui, elle me l’a dit ; elle voulait qu’on se marie.— Pauvre femme, elle me fait de la peine ; je pense qu’il faut qu’on fasse quelque chose pour elle.— Oui, mais quoi ?— T’inquiète, j’ai mon idée ; mais avant je dois lui parler, demain.— Tant que nous sommes dans les confidences, cela voulait dire quoi le : « On fait comme ça » que vous vous êtes dit quand je suis entré dans la chambre ce matin ?— Ah, ah... ! Monsieur veut tout savoir ! Monsieur se pose des questions ! Monsieur serait-il jaloux ?— Pas du tout ! Piqué au vif, j’interromps. Je voulais juste savoir, alors ?— Désolé... Secret de femme ! Je te le dirai un jour... Peut-être. Bon assez discuté ! Caresse-moi ; j’ai envie de toi, j’ai envie d’Amour, j’ai envie que tu me fasses vibrer, que tu me fasses grimper au septième ciel !— À vos ordres... Ma Chérie !
Elle veut de la douceur, de la sensualité, elle veut vibrer - comme elle dit - alors je vais lui faire :
Seules ses épaules et sa tête au teint hâlé émergent de dessous le drap en satin gris argenté de la parure de lit. Son visage ressemble à un bijou posé sur un écrin, ses cheveux dorés illuminent le tableau, souligné par ses fines épaules nues. Tout son corps semble moulé par le tissu et chaque détail apporte encore plus d’érotisme à cette scène. Le drap épouse ses seins et ses tétons, je peux voir la forme de son nombril et aussi son entrejambe légèrement ouverte.
Doucement, je glisse mon bras pour que sa nuque repose dans le creux de mon coude, elle roule un peu, se laisse faire me regarde et me sourit. Les doigts de ma main libre suivent les contours de son visage, se perdent dans ses cheveux pour revenir effleurer ses lèvres qui s’entrouvrent ; sa langue lèche délicatement mes doigts. Elle ferme les yeux, je vais chercher un doux baiser pour ensuite aller bousculer sa langue et gouter sa salive. Pendant le baiser ma main a quitté son visage pour caresser le tissu soyeux, je la sens respirer avec calme ; mes doigts cherchent ses tétons qui au contact se dressent encore plus. Je sais que les caresses à travers la soie ou le satin amplifier la sensation de douceur et augmentent considérablement la montée du plaisir ; alors je m’applique.
Je libère mon bras de dessous sa nuque sans la découvrir, et je fais glisser le drap qui me recouvre. Assis en tailleur juste à côté d’elle ; j’œuvre maintenant avec passion afin de l’amener doucement à l’orgasme. Pendant que ma main droite découvre sa poitrine, ses bras et son ventre ; mon autre main glisse sur ses cuisses, son pubis, ses reins, et creuse le drap à son entrejambe. Elle soupire doucement, son visage change d’expression à chaque caresse ; parfois elle ondule légèrement, et je vois aussi (malgré le drap) ses doigts agripper le matelas et se relâcher doucement.
Pendant que ma main droite insiste de plus en plus sur ses seins et ses mamelons, l’autre s’active sur son minou ; je sens son bouton au travers du tissu. Il pointe comme pic et semble aussi dur qu’un roc, parfois son ventre se crispe ; et a de petits soubresauts. Je continue encore et encore à aller et venir afin de la voir onduler du plaisir qu’elle savoure. J’insiste longuement en recommençant plusieurs fois les mêmes caresses, puis je la dénude complètement
Je constate alors que ce que j’ai senti du bout des doigts n’est pas un leurre mais bien la réalité ; alors je vérifie à nouveau que chaque partie de son corps est bien en conditions. Je vais chercher un nouveau baiser, plus long, plus fort et plus profond ; elle bouge sa main et attrape mes bourses qu’elle malaxe. Ma langue quitte sa bouche et en laissant un léger filet de salive dans son coup puis sur chaque sein, sans oublier ses mamelons tendus comme jamais. Je les mordille un peu tandis que ma main gauche explore l’entrée de son ventre qui s’ouvre doucement et s’humidifie inexorablement.
Ma langue quitte sa poitrine et descend vers son nombril, elle tente de le pénétrer, mais sans succès. Alors déçue elle jette son dévolu sur le pubis presque totalement lisse, quelques nouveaux poils ont repoussé ; peu importe ! Je me délecte de sa fente et plonge mon visage entre ses cuisses pour retrouver cet endroit si délicieux et si mystérieux à la fois. Un doigt et ma langue le font vibrer, je sens et je sais qu’elle va bientôt arriver à l’orgasme une première fois car je compte lui en offrir plusieurs.
Je change de position et je m’allonge sur elle, je vais chercher ses lèvres et l’embrasse à nouveau ; mon sexe tendu roule contre son pubis et engage aussi un léger mouvement de va-et-vient. Je descends embrasser ses seins et quand je remonte vers sa bouche, mon vit entre en elle ; elle soupire, gémit tendrement et m’agrippe les fesses.
Le mouvement que je donne à mon bassin est pour le moment calme et lent ; je dois, autant qu’elle, apprécier cet instant ; l’instant du plaisir partagé. Mais c’est elle qui me donne la cadence avec ces doigts plantés dans mon fessier. Je suis le mouvement jusqu’au moment où elle me lâche et me laisse faire. J’applique le même rythme mais en prenant soin de me retirer presque entièrement et en faisant de tous petits va-et-vient juste à l’entrée de son antre et j’entre en elle doucement, au plus loin que je peux ; et je recommence. Cette façon de faire l’amène rapidement à l’orgasme qu’elle vit pleinement sans un mot avec juste un soupir de temps à autre ; l’expression de son visage me suffit pour savoir si elle aime, ou pas. Dans ces moments-là, il n’y a pas besoin de grands cris, ni de mots salaces et vulgaires comme des : « Vas-y ! Baise-moi, je suis une salope ! Je suis ta pute ! Oh ! Je jouisss... ! »
Non, juste un soupir, une contraction des muscles et surtout ceux de son vagin pour m’informer que le plaisir l’envahit ; alors, pour la laisser savourer son plaisir, je me retire et m’allonge à côté d’elle.
Mon bras à nouveau sous sa nuque et sa tête dans le creux de mon épaule ; nous restons ainsi en silence, les yeux fermés avec de temps en temps de petits spasmes d’un plaisir résiduel encore présent. Nous restons ainsi un long moment, puis je la sens bouger. Elle enroule ses jambes autour des miennes, se redresse et me dépose un baiser rempli d’Amour ; puis une main court sur moi, elle va vite, très vite ; elle attrape presque à la volée un de mes tétons, le tord puis descend vers mon sexe. Elle l’empoigne, le serre, fort et le tord, puis elle presse mes testicules comme des citrons ; elle me fait mal mais je suis aux anges. Elle vient chercher un nouveau baiser qui se transforme rapidement en une joute linguale. Nos langues se mélangent, se cherchent, se poussent et se repoussent.
Sans doute rassasiée, elle roule sur moi, et comme je lui ai fait tout à l’heure, sa langue descend jusqu’à mes tétons. Mais elle ne fait pas que les lécher et les sucer, elle les mordille puis les mord vraiment ; j’ondule de bonheur. Maintenant elle remonte un peu sur moi et s’empale sur mon vit ; c’est elle et elle seule qui gère le mouvement. Il est fort, cette fois elle gémit vraiment ; elle bouge comme si elle était sur un cheval sauvage, puis elle crie. Son cri est bref et ses convulsions longues, elle se cramponne à moi ; j’essaie d’imaginer quelle force peut avoir cet orgasme, ses muscles vaginaux se resserrent et elle s’écroule sur mon torse.
La pose est courte, car elle se laisse déjà glisser jusqu’à mon bas-ventre et embouche mon sexe ; le plaisir est immense. La douceur de sa langue et de sa salive qui, lorsqu’ils entourent mon gland produit chez moi une quantité incroyable de picotements qui partent de mon membre pour finir à la racine de mes cheveux. Mon plaisir monte de plus en plus. Elle m’aspire, me pompe, me malaxe les couilles et me masturbe. Puis elle force mon vit à entrer au plus profond de sa gorge, elle suffoque un peu, s’agrippe à mes poignets, force ; et je sens mon gland passer l’étroit passage. Mon plaisir devient de plus en plus grand, à cause de l’exigüité du passage ; un peu comme la sodomie mais bien supérieure, à cause de la douceur de la cavité et aussi l’effet un peu pervers de l’acte. Elle applique maintenant un mouvement de va-et-vient que j’adore, puis elle ressort pour revenir encore et encore ; jusqu’à ce que mon gland pénètre presque de lui-même. Alors là, elle reprend le mouvement d’aller et de venue comme si mon sexe se transformait en un piston pour, comme le disent certains :
« La baiser par la bouche ! » Chacun appréciera !
Puis du bout des lèvres, elle masturbe mon gland tout en prenant ma tige d’une main et mes valseuses de l’autre, et elle me branle avec force ; en peu de temps, je sens monter en moi les premières pulsions éjaculatoires. De ses mains, elle enserre mon gland et presse mes testicules tout en m’astiquant la tige avec force. D’un coup, mon sperme sort par jets longs et puissants, inondant sa bouche et provoquant en moi un immense plaisir.
Elle se redresse et me regarde avec des yeux pétillants de malice, elle ouvre grand la bouche pour me montrer le résultat de son œuvre ; qu’elle avale d’un seul coup. Comme une furie, elle fonce sur mes lèvres et me roule une galoche d’enfer, bien que j’ai horreur du gout infâme de mon jus, je me sens obligé de partager les restes du produit de mon corps. Après ce moment merveilleux, et entre deux baisers ; elle se déclare :
— Je t’aime, mon Amour !— Moi aussi je t’aime, ma Chérie !— Et merci, merci pour ce beau moment et merci aussi de m’avoir sortie de cette situation.— Je n’ai fait que ce que je devais faire, rien de plus ; tu sais ! Je t’aime très fort, je lui réponds en la serrant très fort contre moi.— Aïe... Tus me fais mal !— Pardon mon Amour !— Pour la peine, tu vas me passer la pommade qu’a prescrite le toubib ?— Bien-sûr... ! Allez tourne-toi que je vois tes jolies fesses !
Elle se positionne sur le ventre et me présente son dos et ses fesses. Je ne les ai pas vraiment vus depuis que je l’ai sortie de la cave, et le spectacle qu’elle m’offre m’horrifie ; son dos et ses fesses sont zébrés de traces rougeâtres et violacées. Mon cœur se serre et sur le coup je regrette que Lacksimy soit partie, car une terrible envie de vengeance m’envahit ; alors, pour oublier, je pommade le corps de ma douce avec la plus grande délicatesse.
J’ai à peine terminé qu’elle dort déjà, alors je termine de la crémer et la recouvre du drap puis, je m’allonge à ses côtés. Elle a dû sentir que je venais de m’allonger car elle vient de s’enrouler sur ma jambe et la tête posée comme à l’habitude dans le creux de mon épaule ; un baiser furtif et la main posée sur mes pectoraux, elle s’endort.
Elle est là, endormie tout contre moi, sous doux souffle caresse mon mamelon ; je n’ai pas envie de dormir, alors je pense. Je pense à cette journée, à Lacksimy, à ce qu’il aurait pu se passer si je n’avais pas été là. Cette idée me glace le sang, alors je recherche dans mon esprit le souvenir de cet instant que nous venons de vivre ; je le retrouve intact. Je le revis minute par minute en détail, je bande à nouveau, j’ai encore envie d’elle ; je la secoue un peu pour voir si... Si rien, elle dort. Mais mon action à du réveiller son subconscient car elle me titille le téton, je suis aux anges ; alors je me caresse en pensant toujours à elle.
[À suivre]
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