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Banquière perverse

Chapitre 24

La venue de Sophie :

Divers
Rappel du chapitre précédent.

Les sévices que Gladice avait subis ne sont plus qu’un mauvais souvenir. Lacksimy partit aux USA pour se faire soigner, et sa mère la suivit le lendemain. Son but était de rencontrer son ex-mari qui avait la possibilité de faire soigner sa fille, de soutenir sa fille dans ces moments difficiles, et lui apporter le maximum d’affaires. Gladice et Issam se retrouvèrent seuls et décidèrent d’inviter la petite Sophie pour se livrer à des jeux d’adultes, dans le genre plan cul !

— ooOoo —

La nuit fut excellente, et comme me l’a demandé ma chérie, je la réveille avec une rapide caresse et une douce pénétration vaginale. L’effet escompté est là, elle ouvre les yeux ; ils pétillent de bonheur. Elle me saisit la tête, l’attire vers elle et m’embrasse avec fougue tout en laissant échapper de doux gémissements de bonheur. Elle se tortille sous mes coups de boutoir puis, dans un geste rapide, elle me repousse en m’obligeant à sortir d’elle.

— Je t’adore mon chéri, et je viens d’avoir une magnifique idée.— Ah !— Oui, je viens de penser qu’au lieu que ce soit toi qui me prennes tous les matins ; il serait bien que le premier réveillé s’occupe de l’autre de la façon qu’il veut ; qu’en penses-tu monAmour ?— Ah, oui … ! J’approuve à cent pour cent !— Alors laisse-moi faire ! me dit-elle et rajoute en chuchotant, comme si les murs allaient répéter …Ce matin j’ai envie que tu m’encules !

Elle n’a fini sa phrase qu’elle s’empalée sur mon dard, et s’agite dans un mouvement de va-et-vient rapide. Ce qui en peu de temps fait monter en moi la pression, sans doute à cause de l’étroitesse de son conduit, et m’emmène vers une éjaculation puissante et extrêmement jouissive.

Je termine tout juste de prendre une douche, qu’on sonne déjà au portail de la maison. Je me précipite vers la fenêtre et après avoir reconnu Sophie, trépignant d’impatience sous une pluie battante ; j’appuie sur le bouton de l’interphone et sur celui de la gâche électrique en lui criant :

— Entre et viens vite te mettre à l’abri !

Elle se précipite, je la fais entrer et découvre avec Gladice, qui vient de me rejoindre, une Sophie trempée jusqu’aux os.

Elle est là devant nous, essoufflée et dégoulinante d’eau, tout comme le sachet de croissants qu’elle tient à la main qu’elle tend avec un air de désolation. Mais le plus beau est qu’à cause de cette pluie orageuse, sa robe blanche est devenue totalement transparente et que dessous …elle est entièrement nue !
— Bonjour, Sophie ; ça va ? demande Gladice. — Bonjour ! Ouh là là …! Quelle histoire !— Bah…Que t’arrive-t-il ? Tu es toute trempée ! Tu t’es fait agresser, peloter … ? questionne en riant Gladice. — Ah… ! J’aurais bien aimé, mais non, c’est à cause de vous !— Ah bon ! Et pourquoi, je te prie ?— Bah ! Il n’y a qu’ici qu’il pleut comme ça ! Quand je suis partie de chez moi il faisait beau. Et puis depuis que vous m’avez appelée hier je ne vis plus. Je ne m’y attendais pas, j’suis sensible, moi. D’autant plus que je m’étais faite à l’idée de jamais faire de trucs avec vous ; on m’a posé tellement de lapins, que je m’étais dite : « Ma pauvre fille, encore deux qui se sont foutus de ta tronche ! »
— Et pourtant, ce que vous m’avez fait au salon l’autre fois, c’était vraiment trop top ! Alors je m’étais fait tout un monde de vous revoir et de jouer avec vous. Je n’en peux plus de me caresser toute seule !— Mais tu n’as pas encore trouvé un mec ?— Bah non…enfin si ! J’en avais bien trouvé, sympa et tout, mais il était comme les autres et m’a prise pour son gadget. Un jour je l’ai entendu parler au téléphone avec je ne sais qui, et lui dire :

— Tu verrais mec, elle est super : juste à la bonne hauteur pour tailler des pipes ! Alors, j’ai piqué une crise et je me suis tirée. De toute façon, c’est toujours comme ça ; et même qu’aujourd’hui c’est une catastrophe ! Depuis que je suis partie de chez moi ce matin, il ne m’arrive que des galères !— Tu veux prendre une douche et te sécher car là…tu ressembles à une chatte tombée dans la rivière. Et puis on voit bien que tu n’as rien sous ta robe.— C’est vrai ?
répond-elle en regardant sa robe… Mais je vous ai réveillés car je vois que vous n’avez pas eu le temps de vous habiller ! Vous aussi vous êtes tout nus !— C’est normal ! Ici nous vivons ainsi ; donc tu sais ce qu’il te reste à faire.— Pas de problème, mais je veux bien prendre une bonne douche pour me réchauffer ; et désolée pour les croissants, je crois qu’ils sont trempés.— Pas grave ! je reprends… Je vais aller en chercher le temps que tu te douches.— Tu as raison mon Chéri, je vais lui frotter le dos et m’occuper d’elle pendant ce temps.

Équipé comme pour aller à la pêche en mer par gros temps, je laisse les deux filles et cours vers la boulangerie ; j’ai hâte de les retrouver car je sens que l’on va passer de très bons moments tous les trois. Je crois n’avoir jamais été aussi rapide pour faire l’aller-retour de la maison à la boulangerie ; par chance il n’y avait personne. Tout au fond de moi je suis aux anges. Je suis amoureux de ma chérie enfin retrouvée, et que toutes les traces sur son corps ont disparu. Pour moi l’avenir s’annonce radieux ; et cerise sur le gâteau il y a Sophie.

Elle est vraiment craquante avec sa frimousse et la taille de guêpe qui lui va si bien. Je sens aussi chez elle un tempérament de feu ; elle semble avoir du caractère et j’aime les filles qui savent ce qu’elles veulent. Je suis à peu près certain que si cette fille a la chance de tomber amoureuse de quelqu’un un jour, leur relation sera fusionnelle et passionnelle mais pour le moment. Personne ne sait qui sera l’heureux élu.

De retour à la maison, et après avoir déposé mes courses dans la cuisine, je pars à la recherche des filles. Je ne mets pas longtemps à les trouver, je me doutais bien qu’elles étaient dans la salle de bains. Effectivement, elles sont là toutes les deux sous la douche, en train de s’embrasser goulûment et de se peloter copieusement.

Les voir se « gouiner » me met dans un état d’excitation incroyable. Comme Sophie est petite, elle s’est accrochée au cou de ma Chérie ; enroulée comme un singe autour de la taille belle de ma belle. Elles s’embrassent à bouche-que-veux-tu, elles se caressent, se malaxent les seins ; et mon chibre grossit de plus en plus.

— Oh les filles ! Quand vous aurez fini de vous bouffer le museau ; peut-être que nous pourrions déjeuner !— Bon OK ! On arrive ! s’exclame ma Gladice.

Le temps de tout préparer et enfin elles arrivent, j’ai le plaisir de découvrir deux naïades au corps parfait ; elles ont pris le temps de se sécher les cheveux. Le désordre volontaire de leur « coiffé décoiffé » comme elles disent augmente cette sensation de femme fatale sans compter sur l’air fripon qu’elles arborent ouvertement avec un petit côté provocateur. Je suis en train de craquer pour le physique si fin de Sophie. Gladice la dépasse d’une bonne tête, mais est aussi charmante... Bref ! Elles sont belles et radieuses.

Sophie ressemble vraiment à une gamine de quinze ou seize ans avec ses petits seins et son pubis parfaitement lisse. Imaginez-vous en présence de deux filles, nues, les cheveux hirsutes et le regard provocateur ; que feriez-vous ? Vous seriez tout comme moi en ce moment : avec une puissante érection, et l’envie de croquer ces deux coquines en même temps.

— Ah, enfin ! je m’exclame... Je pensais vous attendre jusqu’à midi !— Nous nous faisions belles, juste pour toi ; ça te va comme réponse ?— Vous êtes parfaites, allez ! On déjeune ?— Oui, j’ai faim ! reprend Sophie. — Alors à table !

Par galanterie, je fais le service car je dois les chouchouter. Maintenant nous pouvons manger, et notre hôte rompt le silence :

— Il faut que je vous raconte ce qu’il m’est arrivé en venant ici, et vous allez voir que quand j’ai la guigne, et c’n’est pas de la rigolade.— À ce point ! dit Gladice. — Oui ! Écoutez-moi : tout d’abord, quand vous m’avez appelée je vous avais dit savoir où habitait Madame, enfin votre patronne !— Oui, et ?— Bah, en fait, comme je ne suis venue ici qu’une fois, en réalité ; je ne me rappelais plus où c’était. Alors pour ne pas passer pour une cruche, j’ai appelé Anne qui m’a tout expliqué ; j’ai tout bien marqué sur un papier…— Et tu l’as paumé ?— Mais non ! Attendez, vous allez voir !— OK ! On t’écoute…— Alors voilà : en me préparant ce matin, j’étais tellement excitée que j’en ai oublié de mettre un soutif et une culotte. Je ne m’en suis aperçu que quand j’étais dans le RER, et il était bien entendu trop tard ! Alors j’ai pensé : qu’il ne faudrait pas qu’il y ait de coup de vent et tout ira bien ; c’est tout ! ».

Elle fait une pose, le temps de boire un peu de café et reprend.

— À l’aide de mes notes, le plus facile était de prendre le RER puis le métro. Mais alors que j’arrivais devant la gare, je me suis aperçu que j’avais oublié mon porte-monnaie et je n’avais pas de sous avec moi ; alors je suis allée au salon pour demander à Anne de l’argent. Elle m’en a donné en riant de mon étourderie, du coup j’étais énervée, car je savais que je serais en retard. Mais bon jusque-là ça va, mais c’est après que tout est devenu compliqué : dans le RER je me suis trompé de direction, je suis partie dans le mauvais sens, quand je m’en suis aperçu c’était trop tard ; le train roulait déjà depuis un moment.

Son histoire commence à ressembler à un véritable dessin animé, elle poursuit son récit à une vitesse folle.

— Alors, j’ai dû descendre pour repartir dans l’autre sens, j’ai couru pour rattraper mon retard. Pour une fois qu’il m’arrive un truc bien, j’étais folle de rage. Dans le souterrain, j’entendis le bon train arriver, alors j’ai accéléré mais en tournant pour prendre l’escalier, j’ai glissé sur un truc et je me suis retrouvée dans les bras d’un vieux monsieur. Nous avons bien failli nous retrouver par terre, mais le temps de m’excuser, le train repartait déjà. L’heure tournait et le train suivant n’arrivait pas, quand enfin il entra en gare ; il était bondé. Heureusement que je suis petite, comme ça, j’ai réussi à me faufiler in extrémis à l’intérieur.

— Alors ! Tu vois bien que le fait d’être petite n’a pas que des inconvénients ! interrompt Gladice.— C’est vrai, mais c’n’est pas fini : quand j’ai voulu changer de correspondance, mon billet ne voulait plus passer et il y avait la queue au guichet.— Alors ?— Bah, alors, j’ai …j’ai resquillé ; j’ai sauté par-dessus le tourniquet ; j’ai senti un courant d’air entre mes jambes. C’est là que j’ai compris que je n’avais pas de culotte. Sauf que de l’autre côté de la barrière il y avait un contrôleur qui m’a attrapée et il m’a dit : « Hé ! Gamine ! Viens un peu par ici ! » Il était baraqué, alors j’ai eu la trouille et je me suis mise à chialer ; des fois je le fais exprès et ça marche, sauf que là, il ne voulait rien savoir. Je lui ai raconté une salade comme quoi j’étais en retard à un rendez-vous important ; et ça c’est vrai, hein c’est vrai ?— Complètement vrai, et alors ?
demande Gladice. — Hé bien, j’en ai eu marre et je me suis barrée, j’ai couru à toutes jambes et j’ai fini par le semer dans les couloirs et j’ai enfin pu attraper mon métro in extremis. Et attendez ! Ce n’est pas fini ! Quand je suis sortie du métro, je ne trouvais pas la rue, alors j’ai demandé ; mais personne ne savait sauf une vieille dame qui m’a gentiment indiqué le chemin. Je me suis remise à courir, et c’est là qu’il s’est mis à pleuvoir ; et voilà le travail, je suis trempée. Mais je suis super-contente d’être avec vous, franchement j’y croyais plus ; vous ne pouvez pas savoir comme je suis contente.— Eh ben dis-donc ! Quelle histoire ! Mais tu es là et c’est l’essentiel ! se félicite Gladice. — Oui, alors on va faire quoi ?

J’explique :

— Tu te souviens de la fois où nous sommes venus pour m’épiler ?— Si je me rappelle ? Je n’ai rien oublié, c’était…— Alors, tu te souviens de ce que ta patronne avait dit ?— Euh… oui … C’était au sujet de faire un truc, genre « théâtre de cul » ?— Oui, c’est c’la ! reprend Gladice. — Vous pensez bien que ça me branche ! Alors on va le faire ?— Oui, c’est l’idée ; et Jelila va nous coacher.— Qui ?— Bah, Jelila ; notre patronne !— Pourquoi, elle aime ça ?— Si elle aime ; c’est une gourmande, tu veux dire !— Mais vous vivez ici et comme ça ?— Comment, comme ça ? À poil tu veux dire ?— Oui…— Tu as tout compris, ici c’est la règle ; dès qu’on rentre on se met tout nu.— C’est cool ça, et vous n’auriez pas une petite place pour moi ? Je paierai mon loyer et tout !— Si on fait des spectacles, et si madame est d’accord, pourquoi pas, il faudra le lui demander, précise Gladice. — Ce serait super-cool ! Bon et cette pièce, c’est quoi l’idée ?

Cette fois c’est ma chérie qui explique :

— Comme tu avais dit aimer la fessée, on pourrait faire une petite pièce de théâtre sur l’inceste.— Sur le quoi ? L’inceste … c’est quand les parents couchent avec le gosse, mais c’est dégueu !— Oui, sauf que les mecs adorent ça !— Ah bon ?— Bien sûr, tu verras que si on le fait, on ne comptera plus les rappels avec des : « Encore, une autre », où des « La suite, c’est quand…Vite… ! » …Et on va se faire un max de fric !— Mais qui va organiser ça ? Et puis c’est du black !— Ne t’inquiète pas pour cela, notre banquière va gérer ça de main de maître !— Si tu le dis !— Alors voilà mon idée : toi tu t’habilleras en écolière, avec la jupe plissée à carreaux, le chemisier blanc, les chaussettes, la culotte et le soutif en coton blanc, sans oublier les chaussures vernies, les couettes et le sac d’école et tout le toutime.— Alors ça ne va pas être compliqué à trouver, un tour au rayon ado d’un grand magasin, et « l’affaire est faite » ! Ensuite, je suppose qu’on va faire une histoire de carnet de notes et la fessée cul nu sur les genoux de mon papa Issam !— Toi alors !... Pas besoin de t’expliquer longtemps ! constate Gladice. Tu pourrais faire l’effrontée provocatrice et ça finira avec une pipe.— Oui et puis il me saute comme ça, pour m’humilier, votre idée est trop top ! On va acheter des fringues et on répète aujourd’hui ? J’ai trop envie.— Déjeunons, et ensuite nous allons faire des courses et on répète ; ça vous va, les filles ?— Bonne idée mon Chéri, tu pourrais aller récupérer la voiture de Lacksimy pendant que je sèche la robe de notre petite fille sans cervelle ! Ah, ah ! poursuit Gladice en riant. — Merci Maman ! Tu es trop gentille ; je t’aime, je vous adore tous les deux !

Le temps de m’habiller et d’aller chercher discrètement la voiture que je récupère sans encombre, car le propriétaire de la grosse allemande semble absent. J’embarque les filles visiblement déjà très complices et nous roulons vers les Galeries Lafayette. Dans le magasin tout va très vite.

— Venez et suivez-moi, je sais où se trouve le rayon (ado) dans ce magasin !

Devant le rayon, les filles cherchent et trouvent ce qui convient le mieux.

— Quelle taille ? demande Gladice.— 14/16 ans, suivant la marque.— Tiens va essayer ça ! Tu viens Issam voir ce que cela donne.

Je me précipite, car connaissant ma chérie, je pense que la petite Sophie va se retrouver à poil dans la cabine d’essayage.

— Allez entre là-dedans et enfile tout ça !— Tu fermes le rideau.— Non !— Mais tu es folle, on va me voir !— Justement ! Et on ne peut pas entrer à trois dans la cabine ! Allez, ne fais pas ta mijaurée et cela va te faire un petit entraînement pour les spectacles ; non ?— Tu as raison…

La raison l’emporte et la belle, d’un geste vif, passe sa robe par-dessus sa tête et se retrouve entièrement nue dans la cabine, au risque d’être vue par tous à cause du rideau resté grand ouvert.

— Caresse-toi ! lui souffle ma Chérie.

Sophie reste sans voix, et malgré le rouge qui lui monte jusqu’aux oreilles, elle se caresse les seins et le pubis jusqu’au moment où, cramponnée au portemanteau de la cabine ; elle subit les assauts d’un orgasme qui vu son comportement semble violent.

— Bon, tu as fini ? Alors essaye ça au lieu de t’envoyer en l’air, et devant tout le monde, lui chuchote Gladice. — Oui, oh la vache ! C’est terrible ça !

Tous les vêtements lui vont à merveille et après avoir choisi quelques accessoires comme un cartable d’école, un cahier que fera office de carnet de notes ; nous passons en caisse sans oublier quelques babioles au passage. La caissière s’adresse à Gladice :

— Très jolie pour son âge, Madame ; votre fille est très belle. Ça vous fera quatre-vingt-cinq euros et quatre-vingt-dix-neuf centimes.— Madame, c’est moi qui paie, Madame !— Mais vous avez une carte bleue !...— Oui et vingt-deux ans aussi, Madame !

Bien évidemment nous éclatons de rire devant le désarroi de la caissière. Nous ne repartons pas immédiatement car je propose de manger au snack du magasin. C’est dans un petit coin tranquille de la salle que nous nous installons et mangeons, tout en discutant de notre projet de pièce de théâtre. Alors que nous sommes en plein débat, Sophie nous lance :

— Vous savez, je voudrais connaître et vivre plein de trucs !— Des trucs de quoi ? interroge Gladice. — Bah ! Des trucs de cul, pardi ! Vous en faites sûrement, et ça m’étonnerait que vous fassiez l’amour comme des vieux, à la missionnaire !— Mais tu as envie de quoi au juste ?— Je ne sais pas, de l’imprévu comme tout à l’heure dans la cabine ; j’ai eu un orgasme terrible.— Ah ! …On n’avait pas remarqué ! N’est-ce pas chéri ?— Moi je ne me suis aperçu de rien, je n’ai d’ailleurs rien vu non plus !— Menteur ! rétorque Sophie. Bon, vous allez m’en faire, même si ça fait un peu mal…— D’accord, on va t’attacher, te bâillonner, te menotter, te fouetter, t’exploser le trou du cul, te pincer les tétés, te fesser…— Oh oui, oh oui ! Vite on rentre alors !— D’accord…

Nous récupérons la voiture, les filles montent à l’arrière, et je nous conduis vers la maison ; mais dans le rétroviseur j’aperçois d’étranges mouvements. Il semblerait que les deux filles passent du bon temps.
[À suivre]
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