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Banquière perverse

Chapitre 25

La venue de Sophie II :

Avec plusieurs femmes
Rappel du chapitre précédent.

Nous avions invité Sophie à passer deux ou trois jours avec nous, avec la ferme intention de jouer avec elle ; mais surtout pour écrire le projet de la fameuse pièce de théâtre porno que nous espérons pouvoir jouer. Elle arriva trempée jusqu’aux os et nous raconta les mésaventures qui lui arrivèrent pendant son trajet. À l’idée de jouer en public, elle accepta avec enthousiasme et nous partîmes acheter son costume de scène qui se résumait en une simple tenue d’écolière. Gladice l’obligea à se caresser alors que le rideau était resté ouvert ; elle eut d’ailleurs un terrible orgasme. Après avoir mangé et beaucoup parlé du projet, nous sommes rentrés ; moi tout seul à conduire et les filles derrière.

— ooOoo—

— Allez chauffeur, à la maison ! m’ordonne Gladice en riant. — Bien Madame !

Je démarre et me voilà englué dans les embouteillages, mais cela ne perturbe pas les filles qui semblent très occupées. À un moment, dans le rétroviseur, je vois disparaître la tête de Sophie et j’entends les soupirs de Gladice qui passent rapidement au stade de gémissement puis aux : ut « Ah ! Ouiii… ! Continue ! Encore ! Plus fort ! Humm ! C’est bon… ! »

Je suis troublé par les gémissements de ma belle au point que j’ai failli emboutir la voiture devant moi qui venait de freiner. Après une heure de circulation en accordéon et autant de temps de gémissements de la part Gladice et de Sophie, nous arrivons enfin à bon port.

Sitôt entrée dans la maison, Sophie s’éclipse prétextant une envie pressante ; nous profitons de ce moment d’intimité pour nous embrasser avec passion. Pour respecter la règle nous nous déshabillons entièrement et Gladice me chuchote :

— Nous allons nous amuser un peu avec elle, d’accord ?— Si tu veux et on fait quoi ?— Laisse-moi faire, et obéis !


Gladice a à peine terminé sa phrase que Sophie fait son apparition, et est toujours habillée.

— Dis donc, petite effrontée ! Tu ne respectes pas la consigne !— Mais…— Il n’y a pas de mais ! Issam ! Emmène-moi ça dans la chambre !
Sans attendre, je saisis la coupable par la taille et la charge sur mon épaule comme un vulgaire sac de sable. Elle gesticule dans tous les sens, bat des pieds au risque de glisser et de tomber. Pour éviter qu’elle ne m’échappe, je passe ma main sous sa robe et lui agrippe les fesses que je tiens fermement pour la bloquer.

— Mais ça n’va pas ! Vous êtes fous !— Silence ! crie Gladice. On va t’apprendre à respecter les règles !— Mais j’allais me déshabiller !— Trop tard ! Jette-moi ça sur le lit !

Elle laisse échapper un « Ah ! » de surprise au moment où je fais presque voler mon sac de sable sur le lit, et un autre quand elle rebondit sur le matelas. Gladice se jette sur elle et lui arrache sa robe qui se déchire en deux.

— Mais tu es folle, tu m’as déchiré ma robe ! Et comme je vais rentrer chez moi ?— À poil, pardi !— T’es malade ! Je ne vais pas me balader à poil dans la rue, je ne tiens pas à me retrouver au poste de police pour exhibitionnisme !— Ou te faire sauter ! Issam tiens-là, le temps que je m’occupe d’elle.— Me faire sauter, je veux bien…— Alors prépare-toi, Issam ! Tiens-la fermement.

Je l’immobilise instantanément en posant une main sur sa poitrine et l’autre sur son pubis et deux doigts contre sa fente.

— Gladice ! Elle mouille comme une fontaine !— Tu m’étonnes ! Donne-moi tes mains, petite peste !— Non ! Je ne veux pas, mais qu’est-ce que tu fais ? Lâche ma main !

Malheureusement Gladice a été plus rapide et la gamine se retrouve attachée par une corde reliée à chaque pied du lit, bras et jambes en croix. Elle gesticule dans tous les sens, rouspète et demande :

— Mais qu’allez vous me faire ?— Je te l’ai dit ! reprend Gladice. On va te faire souffrir, je suis certaine que tu vas aimer.— C’est évident qu’elle va aimer ; elle mouille déjà comme une folle ! je confirme. — Tu vois bien que ça ne sert à rien de te débattre ainsi !

Ma Chérie n’a pas terminé sa phrase qu’elle lui tord les tétons.

— Aïe, aïeee ! Mais ça fait ma...leuee… !— Mais non tu te fais des idées… !— Mais ça ne va pas non, pas ça… !— Bon , maintenant ça suffit ! Issam, bâillonne-la !— Non…Mmmm….Mmmm !— Merci Chéri, un peu de calme nous fera du bien ! Alors ma belle, tu as dit vouloir des surprises, et bien en voici…Hein ?

Tout en parlant Gladice s’est assise sur l’abdomen de notre petit jouet, elle attrape les tétons de Sophie et tire dessus comme pour les allonger.

— Mmm, mmm !

Son cri est inaudible mais sous l’effet de la douleur je pense, elle s’arc-boute sur ses jambes ; elle arrive même à soulever Gladice. Vu de derrière, je peux profiter du joli spectacle des fesses de ma belle, qui sautent sous les soulèvements rapides du corps de Sophie ; mais aussi une magnifique vue sur la chatte de Sophie dégoulinante de cyprine.

— À ton avis, mon Chéri, elle est prête ?— Vu d’ici …Oui !— Alors baise-la !— Si c’est un ordre …— C’en est un… !

Gladice libère la place et je peux m’allonger sur elle qui ouvre de grands yeux chargés d’envie.

— Je vais te baiser, ma petite ; tu vas voir comment tu vas aimer…— Mmmm, mmmm ! me répond-elle avec de grands yeux remplis de gourmandise et un hochement de tête affirmatif.— Je vais t’éclater la chatte !

Sa réponse est un nouvel hochement rapide de la tête. Alors je commence à rentrer mon vit en elle. Elle est un peu étroite, mais il glisse tout seul et je l’enfourne jusqu’à la garde. Elle gémit doucement, ferme les yeux, ondule du bassin, et je ressors aussi doucement puis entre à nouveau, pour ressortir mon vit et le rentrer d’un coup sec au plus profond d’elle. Je la sens vibrer, alors j’accélère et donne de l’intensité à mes coups de reins, pour que chaque coup de piston la fasse tressaillir de plaisir. Je suis comme une machine jusqu’à ce que je la voie trembler de bonheur, que ses mains se crispent, que son souffle s’accélère, que ses entrailles vibrent et que son orgasme arrive, puissant. Quand il arrive, elle s’arc-boute sur ses jambes, crie dans son bâillon et tremble de tout son corps. Appuyé sur mes mains je lui laisse de l’air, et je contemple sa frimousse aux yeux coquins ; elle reprend ses esprits doucement.

— Issam on la retourne ! Allez ma belle ! À quatre pattes, il va t’enculer maintenant.

Comme réponse, nous avons le droit à un non de la tête et quelques grognements peu convaincants ; mais nous la retournons malgré tout. Cette fois j’ai son trou du cul juste devant mon dard, je récupère de la mouille qui s’écoule d’elle avec ma bite. Je me positionne bien droit et à la bonne hauteur, je la saisis fermement par la taille, j’appuie mon gland sur son entrée et « Han ! » je rentre d’un coup. Elle se cabre et rugit dans le tissu qui lui occulte la bouche, et cette fois je la pistonne à nouveau jusqu’à ce que ce soit moi qui arrive à l’orgasme. Je vais lui éjaculer dans les boyaux alors j’y vais de bon cœur ; à chaque coup de boutoir, mes couilles pleines à bloc battent contre sa fente. Sophie s’étire comme une chatte et se contracte aussitôt, râle, rugit, serre ses poings toujours attachés aux pieds du lit par la corde.

Je sens quelque chose entrer dans son vagin, c’est Gladice qui introduit un gode vibrant ; je sens ma petite prisonnière vibrer encore et rugir plus fort. Je sens les vibrations du jouet qui paraît être directement au contact de mon chibre en furie et dont la pression interne ne fait qu’augmenter très rapidement. Quand j’arrive à l’extase, elle tremble de tous ses membres, la tête dans l’oreiller, les jambes repliées sous elle et le cul bien en hauteur. Elle se cambre comme pour me laisser encore plus de place afin de la pénétrer au plus profond d’elle, et son corps en transe indique que son orgasme est d’une puissance terrible. Elle est secouée de spasmes et quand je la libère ; elle s’effondre sur le lit, épuisée par qu’elle vient de vivre.

Le temps de la laisser souffler un peu, et de reprendre ses esprits ; nous la détachons et Gladice retourne le corps inerte qu’elle place sur le dos et les mains bien à plat sur le matelas. Elle s’allonge à côté d’elle et entame une série de caresses douces et délicates. Pendant qu’elle retire le gode, ses lèvres suçotent ses tétons et sa langue les lèche tour à tour. Le corps tout entier de notre belle petite suppliciée ondule doucement, le bâillon retiré ; Gladice va chercher les fines lèvres si appétissantes et sensuelles de Sophie. Je pense que le fougueux baiser qu’elles échangent va conclure cette belle première partie de jambes en l’air du séjour de Sophie. Eh bien non !

Gladice après avoir embrassé généreusement Sophie sur la bouche, couvre maintenant tout son corps de baisers, de léchouilles et de caresses ; elle est arrivée au pubis de la belle. Ses doigts fouillent les ouvertures encore béantes du vagin et de l’anus que je viens d’écarteler, et sa bouche ou plutôt ses dents mordillent allègrement les tout petits tétons de Sophie, puis d’un geste large, elle lui ouvre grand les jambes. Elle plonge sa tête vers l’abricot qui n’attend qu’un supplément de câlins et lèche le fruit tout juste mûr de notre jeune complice. Les ondulations de la jeune femme reprennent, et d’un geste elle invite ma chérie à lui offrir son fruit si doux que je connais bien. S’ensuit une série de gémissements dus à la gloutonnerie des succions, quelque peu bruyantes certes. Mais dont le spectacle si beau et si passionnant capte toute mon attention. Sur le moment je me demande si cette scène ne pourrait pas être incluse dans le spectacle, tellement elle est érotique et excitante.

Mais tout à coup le doute m’envahit, et si elles tombaient amoureuses ? Cette idée me glace le sang. Je réfléchis et je me raisonne en me disant que cela n’est impossible et que cette idée est complètement ridicule. Chassant au loin cette idée saugrenue, je continue à les observer. Le temps de refaire surface et elles se broutent le minou, en position du 69 et la tête enfouie dans l’entrejambe de l’une et de l’autre ; elles se font l’amour ! Le plus simplement du monde. Assister à ce genre de spectacle est extrêmement excitant pour moi et je savoure avec un immense plaisir ce moment. Quand elles ont terminé, c’est avec ravissement que je reçois les compliments de Sophie.

— Vous êtes des amours, je n’oublierai jamais cette journée ; vous rendez-vous compte que j’ai eu cinq orgasmes depuis ce matin ? Cela ne m’était jamais arrivé ! Je vous aime !— Toi aussi, tu n’es pas mal et je pense qu’on va bien s’amuser tous les trois ! N’est-ce pas chéri ?— Tu as raison, elle est sublime cette petite et je pense que les spectacles vont être particulièrement jouissifs !— Alors, nous allons les faire ces pièces ?— Oui, ma belle et nous allons demander à Jelila que tu habites ici avec nous !— Vous pensez qu’elle sera d’accord ?— Ne t’inquiète pas, je vais m’occuper de ça personnellement ! conclut Gladice. — Merci, c’est trop cool !— Bien ! Et si on mangeait car tout ceci m’a donné faim ! m’exclamé-je. — Oui et moi aussi ! Dites, on pourra recommencer après ?— Mais dis-moi, tu es une sacrée gourmande ; tu vas finir par user la queue d’Issam !— Pas de danger ! je réplique…C’est inusable !— Ça ! C’est bien un mec ! répond ma Chérie en en éclatant de rire qui devient rapidement communicatif.

Nous nous rendons dans la cuisine et ce soir, c’est « frigo ouvert », chacun mange ce dont il a envie et c’est bien plus facile et surtout pas de cuisine à faire !

— Alors Sophie, cette petite surprise, tu l’as trouvée comment ?— Géniale, sauf que je n’ai plus rien à me mettre pour rentrer chez moi ; je vais être obligée de mettre le costume pour la pièce.— Certainement pas, les tenues de scène ne doivent être utilisées uniquement pour jouer ! informe Gladice. — Mais vous n’allez pas me laisser rentrer toute nue, c’est une blague ?— Pas du tout, nous te raccompagnerons en voiture ; tu t’apercevras rapidement que traverser tout Paris nue en voiture, c’est super-excitant.— Alors tu le feras aussi !— Si tu veux, moi cela ne me pose pas de problèmes ; j’adore m’exhiber ! Pas vrai Chéri, et tu nous conduiras pendant que nous ferons l’amour ; ça te va ma belle ?— Oh, oui ; oh, oui ! Je mouille déjà d’envie…— Alors caresse-toi et masturbe-toi.— Là, maintenant, devant vous tout en mangeant ?— Oui, tu peux bien nous offrir un petit spectacle ! Non ?— OK ! D’accord, je vais vous donner envie de me baiser encore !

Elle commence alors à se caresser tout le corps, et après s’être enfilée des doigts elle s’introduit un œuf dur dans le vagin. Elle le ressort, il est tapissé de mouille, elle le lèche avec gourmandise à grands coups de langue, puis elle le mange. Alors, elle se lèche les babines et ses doigts dégoulinants de mouille. Puis elle nous fixe avec un regard à la fois provocateur et qui semble chercher quelque chose, elle se lève, grimpe sur la table saisit ma bouteille de Coca vide, la place au centre de la table et s’empale dessus en se caressant tout le corps. Elle gémit, couine, halète et soupire de plaisir quand son ventre vibre de bonheur.

Cette fille est vraiment une sacrée coquine !
[À suivre]
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