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Banquière perverse

Chapitre 26

La chasse à l'homme.

Avec plusieurs femmes
Rappel du chapitre précédent :
Sophie nous avait rejoints avec difficulté, car un nombre assez surprenant de péripéties lui étaient arrivées en chemin, qu’elle nous raconta. Après nous avoir raconté les péripéties croustillantes, elle accepta avec enthousiasme et une joie non dissimulée notre proposition d’écrire et de réaliser la fameuse pièce de théâtre. Je sais que le terme de Pièce de théâtre est sans doute un peu pompeux, mais pour le coup, on se la joue Artiste ! Puis nous nous sommes bien amusés avec elle, malgré le mauvais quart d’heure que nous lui avions fait passer en la malmenant quelque peu ; elle apprécia énormément la partie de jambes en l’air que nous nous sommes offerte.

— ooOoo —

Pendant les deux jours qui suivirent, nous fûmes très studieux et appliqués dans l’écriture du scénario et la réalisation de la mise en scène. Pour savoir à quoi ressemblera cette pièce, il vous faudra patienter jusqu’à la générale qui est programmée dans X… chapitres.
Le dernier soir, nous avions raccompagné Sophie chez elle en voiture car, souvenez-vous ; Gladice lui avait déchiré son unique robe. C’est donc à bord de la Mercedes de Madame, que les deux filles firent le trajet toutes deux entièrement nues, à les voir dans le rétro et les entendre ; je constatais qu’elles passèrent un délicieux moment. Elles gesticulaient, gémissaient et couinaient beaucoup, et c’est sans compter les râles, soupirs et bruits de succion ; que je pouvais constater qu’elles s’envoyaient en l’air avec une fougue hors du commun. Pour le trajet du retour, j’eus la joie d’avoir ma Chérie toujours aussi nue à mes côtés, elle alternait caresses sur elle et fellations sur ma queue surexcitée.
Nous nous sommes aussi offert une jolie exhibition dans le bois de Boulogne. Elle sortit nue de la voiture, me prit par la main, aborda un groupe d’une dizaine d’hommes et leur proposa de nous mater pendant que nous baiserions ; ce fut un régal de plaisirs partagés. Baiser en public est un acte qui nous plaît à tous les deux et pour la première fois, elle finit à genoux au milieu du cercle d’hommes. Quand elle en suçait un, elle en branlait deux ; tout ceci se termina par un magistral bukkake.
— ooOoo —
Aujourd’hui, Gladice et moi avons une tâche importante à accomplir, tenir notre engagement auprès de Jelila en lui trouvant un homme pour me remplacer. Après notre bonjour habituel, qui est pour ce matin une magnifique fellation, nous petit-déjeunons, puis nous nous préparons.
— Dis-moi ma Chérie, tu comptes la trouver où : la perle rare pour Jelila ?— Nous allons parcourir Paris en métro dans tous les sens, et je suis certaine que nous trouverons l’homme de la situation. Mon idée serait de tomber sur un homme un peu comme nous étions avant ; je suis certaine que Jelila appréciera, si elle aide quelqu’un une nouvelle fois. Je voudrais que la chance sourie à quelqu’un en difficulté ; comme nous l’étions, tu comprends c’là ?— Parfaitement, alors ne perdons pas de temps ; en route !
Comme il fait un temps magnifique, Gladice décide de s’habiller court et léger, ce sera donc : minijupe, un top pour le haut, pas de sous-vêtements (pour respecter la règle mais surtout par plaisir) et des Converse rose pâle pour souligner le tout. Quant à moi c’est Jeans sans rien dessous, tee-shirt, baskets ; et nous partons chasser l’homme idéal !
Pendant toute la journée, nous parcourons Paris dans tous les sens sans rien trouver. Nous avons bien vu quelques garçons, mais à chaque fois, un paramètre ne convenait pas, et nous rentrons bredouille. Force de constater que le métier de chasseur de têtes est loin d’être chose facile, nous décidons donc de changer de méthode pour demain ; en préparant un questionnaire précis.

La nuit fut courte et agitée, car ma Chérie gourmande de sexe était insatiable et m’a littéralement épuisé. Il me faut une bonne douche pour me sortir de mon sommeil. Je termine à peine de me préparer que Gladice entre en trombe dans la salle de bains.
— Chérie ! Jelila arrive demain après-midi, il faut aller la chercher à Roissy à 18 heures !— Mais elle rentre plus tôt que prévu ?— Oui, elle dit avoir tout réglé, qu’elle n’a plus rien à faire là-bas, et qu’elle est impatiente de nous retrouver ; en PS elle demande si la chasse a été bonne !— OK ! Elle rentre car elle est impatiente de voir quel genre de mec on lui a trouvé ; pour le moment c’est le fiasco ! Et que lui as-tu répondu ?— Pour le moment, je lui ai dit que c’était en bonne voie.— Donc il faut qu’on se bouge les fesses sérieusement !— Tu as tout compris, mon Amour !
Nous repartons en chasse après avoir choisi d’aller plutôt vers les grands magasins et les boîtes d’intérim ; nous espérons trouver plus facilement. Nous sommes rue Vaugirard tout près de l’agence DPS Intérim, juste en passant devant la porte un black l’air dépité en sort, et heurte Gladice ; il manque de la faire tomber ; j’ai juste le temps de la rattraper.
— Oh…! Pardon Madame, je suis désolé, dit le black au fort accent africain— Ce n’est rien, répond Gladice. En le détaillant de la tête aux pieds.— Je suis vraiment désolé, je n’ai pas beaucoup d’argent mais je peux vous offrir un verre pour me faire pardonner ! — Soit ! On va à la brasserie là-bas ?— Oui, si tu veux, mais j’espère que ce n’est pas trop cher !— Ne t’inquiète pas, on va payer ; si cela peut t’aider.— Merci, Madame.
Nous nous rendons dans la brasserie et Gladice désigne du doigt une table un peu à l’écart :
— On se met à cette table, nous serons tranquilles pour discuter, pas vrai Chéri !— Tu as raison, et j’ai le sentiment qu’il t’a tapé dans l’œil ?— Tu as tout compris, je le sens bien ce garçon ; imagine que ce soit le bon !— Ce serait vraiment un coup de bol !
Nous nous installons, Gladice et moi côte à côte et l’homme en face de nous ; le serveur s’approche :
— Bonjour Madame, Messieurs ; vous désirez … ?— Chéri, il est presque midi ; nous mangeons ici ?— Alors nous mangerons…après un apéritif, s’il vous plaît !
Sans demander l’avis de quiconque, elle commande trois Kir Royal.
— Mais Madame, je ne peux pas commander cela, c’est beaucoup trop cher ! proteste l’homme.— Je sais, mais comme c’est moi qui paye, tu …on se dit, Tu ; OK ? — C’est d’accord, merci beaucoup ; j’espère pouvoir vous le rendre un jour, conclu le black.
En parlant de l’homme, c’est un grand black d’au moins un mètre quatre-vingt-dix et sans doute de plus de cent kilos. Et si Gladice l’a choisi c’est parce qu’elle connaît bien la réputation des blacks pour la taille de leur sexe. Elle m’avait avoué il y a quelque temps fantasmer sur ce genre d’homme, et vouloir se faire prendre, un jour, par plusieurs blacks bien membrés.
— Tu ne crois pas si bien dire, car j’ai besoin de toi ! Au fait, moi c’est Gladice, et mon fiancé, c’est Issam ; et toi ?— Moi, c’est Heubi ! Vous êtes amoureux ? Je suis content pour vous, et je vous souhaite beaucoup de bonheur ! — Merci, parle-nous de toi, tu cherches du boulot semblerait-il ? — Oui, mais je n’en trouve pas, vous savez c’est difficile de vivre ici ; mais je n’ai pas le choix, alors je cherche. J’ai déjà fait des petits boulots, et je gagne juste assez pour vivre.— Et tu cherches dans quel métier ? — Tout, je suis prêt à prendre n’importe quoi, je ne suis pas difficile ; mais vous me dites que vous avez peut-être quelque chose pour moi ?— Peut-être mais il faut qu’on en parle, car c’est un peu délicat.— Ah ? C’est honnête au moins ?— Parfaitement honnête, tu peux nous faire confiance, confirme Gladice.— Alors ça va !
Le serveur nous apporte nos apéritifs, accompagnés de cacahuètes et de petits gâteaux ; il prend la commande pour la suite : ce sera entrecôte frites pour tout le monde.
— Écoute-moi bien Heubi, je vais t’expliquer mais avant je dois te poser quelques questions.— C’est d’accord, que veux-tu savoir ?— Je voudrais savoir si tu aimes faire l’amour ?— Quelle question ! Euh…oui, beaucoup !— Avec des femmes blanches ?— Oui.— Fortes ?— Oh… oui ! J’aime beaucoup quand elles sont bien grosses, avec des grosses fesses et des nichons gros comme des ballons de foot ! Ça, j’aime beaucoup !— Parfait ! Maintenant je voudrais savoir si - elle chuchote - tu as une grosse et grande quéquette ?— Elles sont bizarres tes questions, tu veux me faire jouer dans un film de cul ou quoi ? Et si tu veux savoir, oui j’ai une grosse bite et je suis sûr que tu n’en as jamais vu d’aussi grosse ; si tu veux je te la montre tout de suite.
Il se lève et commence à dégrafer son pantalon.
— Non, Heubi ! Pas ici, suis moi aux toilettes ! ordonne ma Chérie.— Euh…tu ne vas pas te le faire maintenant ? je m’inquiète.— Non, et pourtant ce n’est pas l’envie que me manque !— Ah, mais toi tu n’es pas assez grosse, t’as de trop p’tites fesses et tes nénés sont tout p’tits !— Héee…merci bien, je m’en souviendrai ! Heubi, suis-moi ! Même si je ne suis pas assez bien pour toi, du coup ; tu as intérêt d’être à la hauteur, mec !
Ils se dirigent vers les toilettes et en reviennent deux minutes plus tard, Gladice est tout sourire et notre black interrogatif. Ils se réinstallent devant leur plat qui vient tout juste d’être servi.
— Maintenant il faut m’expliquer, je n’y comprends rien de votre histoire et je demande si vous n’êtes pas en train de vous foutre de ma gueule !— Ne sois pas inquiet, Heubi ! Voilà : nous avons une amie qui travaille beaucoup et qui par manque de temps ne peut pas, se trouver un homme ; pourtant elle le mérite. Tiens, regarde, c’est elle, explique Gladice en sortant son téléphone et en y affichant la photo de Jelila.— Elle est très belle ! Tu me la présentes quand ?— Demain si elle est d’accord, elle rentre des USA et nous irons la cherche à l’aéroport.— Je vous accompagnerai ?— Attends, je lui demande.
Elle prend son Smartphone et pianote :
[SMS]> Bonjour Jelila, OK pour demain ! Nous avons trouvé un beau garçon, veux-tu le rencontrer ?
Elle l’envoie, et deux minutes plus tard la réponse arrive.
[SMS, Gladice, Jelila]> C’est d’accord, je veux bien le rencontrer ; mais envoie-moi une photo de lui !< OK !
Elle pose son téléphone et nous dit :
— Bon, elle est d’accord, mais elle veut une photo de lui.— Tout nu ? j’interroge.— Pourquoi pas, comme cela, elle saura à quoi s’en tenir !— Heubi ! Viens dans les toilettes hommes et on fait une photo, j’ordonne.
Nous nous levons et une fois arrivé dans les toilettes il se déshabille entièrement. J’ai en face de moi une espèce de colosse aux muscles saillant et admirablement bien dessinés ; une baraque du genre catcheur ! Quant à son chibre, il est tout simplement énorme ! Au repos, il lui descend à mi-cuisse.
— Dis-moi, quand tu bandes, il est comment ?— Attends !
Il se branle et en un rien de temps, l’engin grossit, se redresse pour être debout, droit comme un I, fière comme Artaban. Il affiche allègrement la quarantaine de centimètres de long et gros comme une bouteille de bière, ces Dame vont être ravies !
— Allez mec ! Prends des photos que la Dame me voit, j’espère que ce n’est pas une connerie votre truc, sinon… !— Ne t’inquiète pas mec, fais-moi confiance. Si Madame te kiffe,tu seras le plus heureux des hommes.— Tu en es sûr ?—Certain !
Tout en le prenant en photo sous tous les angles avec mon téléphone je le rassure et lui explique la situation, puis nous rejoignons Gladice.
— Putain, vous en avez mis du temps ; j’espère que vous vous êtes bien amusés tous les deux ? Puisqu’on ne veut pas de moi ! Montre !— Tiens, tu vas aimer !— Ah Ouiii… ! Putain quel morceau, Madame va être ravie ; tu peux me faire confiance. Chéri, envoie-lui.
[SMS, moi, Jelila]>Bonjour Jelila, voici les photos en PJ.
J’envoie les photos et deux minutes plus tard la réponse tombe :
[SMS, Jelila, moi]< Super, magnifique ! Il vous accompagne demain ?> Oui, si vous êtes d’accord il dormira à la maison ; il est comme nous avant.< C’est d’accord, j’ai hâte …Je vous embrasse.
Ravis de la réponse, j’en informe mes deux compères :
— Bon ! Elle est d’accord et on t’invite chez elle !— Merci, merci beaucoup ; je…
Le black semble ému, Gladice enchaîne.
— Et voilà nous avons trouvé l’homme pour Madame. Mais moi, j’ai un truc à dire ! Il vient avec nous à une condition !— Que veux-tu ma Chérie ?— Je vous veux tous les deux ce soir, trop maigre ou pas trop maigre ! N’est-ce pas, Monsieur Heubi !— C’est d’accord, mais je te préviens ; ne viens pas pleurer si tu as mal à ton petit derrière demain !
Comme réponse, j’ai le droit à un magistral éclat de rire de ma Chérie, puis nous quittons la brasserie dans la bonne humeur et nous rentrons. Pour le repas du soir nous avons acheté des pizzas, c’est bon, facile à préparer, et peu onéreux ; alors pourquoi s’en priver !
Dès notre arrivée Gladice explique à notre hôte les règles de vie ici, étonné au début, puis ravi de voir Gladice en tenue d’Ève ; il s’adresse à nous :
— Vous vivez ainsi en permanence ?— Oui, c’est la règle, et je t’invite à la suivre si tu veux plaire à Madame ; alors déshabille-toi.— Moi, j’aime beaucoup être tout nu, être regardé et voir aussi. Gladice, même si tu n’es pas mon type de femme ; je te trouve très jolie !— Merci, et toi tu es magnifique ; à un détaille près ! Ça ! dit-elle en désignant du doigt le pubis et les testicules de notre hôte, recouvertes de poils tout frisés.— Ah ! C’est si gênant que ça ?— Oui, très ; alors tu vas aller prendre une douche et raser tout cela. Viens avec moi je te montre où c’est.
Pendant que je prépare de quoi boire, et le four pour réchauffer les pizzas ; elle l’accompagne dans la chambre de Lacksimy, puis me rejoint.
— Alors ma chérie, comment le trouves-tu ?— Magnifique et je l’ai dit, ce soir je veux l’essayer, je veux sentir cette queue en moi.— Mais et nous dans tout cela, je croyais que…— Que quoi ? Que je n’allais plus coucher qu’avec toi ? Je te l’ai déjà dit : pour le moment, et même si je t’adore, je veux prendre du plaisir, beaucoup de plaisir ; tu comprends ça ?— Oui, je comprends ; je m’étais fait des idées, c’est tout. Mais tu as raison nous allons prendre du bon temps et si je peux aussi participer ; je serai le plus heureux des hommes.— Je t’adore ! Dis-moi, je voudrais savoir jusqu’où tu es prêt à aller par amour pour me faire plaisir ?— Tout, tout ce que tu voudras ; je t’aime ma Chérie ! je lui dis en l’embrassant.— Promis, et sans concession ?— Oui, sans aucune concession ; je te le jure. Tu sais que je suis un homme de parole et je ne reviens jamais en arrière.— Très bien…tu prends des risques ! Alors voilà, je voudrais que tu te comportes comme un gay avec lui et que Heubi t’encule, et que tu le suces. Je veux te voir jouer avec lui comme tu m’as vu le faire avec Sophie.— Ah, Ouiii… ! Je ne m’attendais à tout, mais pas à cela !— Alors ?— Je te l’ai dit, je n’ai qu’une parole ; mais est-il d’accord au moins ? Il n’a sans doute pas envie de jouer les pédés devant une nana, il faudra le lui demande.— Pas la peine, c’est déjà fait ; il m’a avoué avoir craqué pour toi ! — OK …! Tu vas voir ce qu’on va te mettre ce soir ma Chérie !— Tu es tout simplement génial ! Je t’aime, et je voudrais aussi que notre histoire ne s’arrête jamais.
Nous nous enlaçons et nous lançons dans un baiser interminable.
— Mais tu bandes mon Chéri, allez, pas le temps de jouer ; préparons notre soirée.
Nous préparons tout ce dont nous avons besoin pour passer une agréable soirée qui s’annonce chaude, non, bouillante !

[À suivre]
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