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Banquière perverse

Chapitre 27

Ce soir, on essaye Heubi !

Avec plusieurs hommes
Rappel du chapitre précédent :
Après avoir cherché pendant deux jours, nous avons enfin trouvé « l’homme idéal » pour Jelila. Par texto, nous lui avions envoyé des photos de Heubi ; emballée, elle veut le voir et nous demande même de le prendre à la maison. Mais Gladice décida d’essayer à tout prix ce bel étalon et m’avait demandé une chose incroyable. Pour voir jusqu’où je pouvais aller par amour pour elle, elle me demanda de me faire sodomiser, devant elle, par ce sauvage monté comme un terreau. Comme je suis prêt à tout pour elle, j’avais alors accepté ; non sans quelques appréhensions.

—ooOoo—

Gladice et moi terminons nos préparations. Heubi revient de se préparer, et se présente à nous entièrement nu. Je dois avouer que c’est un choc pour moi, le corps entièrement huilé lui donne un air de gladiateur prêt à aller au combat ; il est incroyablement beau ! Son corps reflète la puissance, son visage la douceur ; je suis persuadé que cet homme doit ressembler à un gros nounours câlin et doux. J’espère vraiment qu’il fera le bonheur de Jelila.
— Waouh… ! Quel homme tu fais ! s’exclame ma chérie.— Ma chérie, tu as raison ; il est magnifique !— Attendez les gars ! J’ai une idée : j’ai envie de changer la règle pour ce soir, habillons-nous ; et nous allons bien nous amuser.— Comme tu veux, on met quoi ?— Chacun fait comme il a envie, et on se retrouve au salon.
Pour moi c’est vite fait, un short moulant et un débardeur filet seront parfaits pour cette soirée qui s’annonce riche et sensations. Notre black n’ayant pas de tenue de rechange et trop grand et trop baraqué pour rentrer dans mes fringues remet son Jeans Lévis et son tee-shirt. Puis nous nous rejoignons dans le salon, le temps que ma Chérie arrive, je propose à boire.
— Tu veux boire quelque chose ?— Avec plaisir, tu as de la bière ; mon Poulet ?
Surpris, je ne réponds rien et je vais chercher deux bières et le rejoins.
— Tiens mon gros ! je lui dis en lui tendant sa bière. Tu deviens très familier, je trouve !— Comme nous allons nous fourrer le trou du cul, je pense qu’on peut se laisser aller à quelques familiarités ; qu’en penses-tu ?
— Tu as raison, mais dis-moi ça ne te gêne pas de…— T’enculer, pas du tout, je suis bi ! Je suis persuadé que tu vas aimer.— Je ne sais pas, mais dis-moi ; c’est elle qui t’a demandé de me faire ça ?— Oui, elle m’a tout expliqué ; t’es vachement amoureux d’elle pour accepter un truc pareil. D’autant plus que sans vouloir me vanter, j’en ai une belle.— Bon, on verra bien ! À la tienne, Mec !
Nous nous installons sur l’immense canapé d’angle convertible qui peut largement accueillir largement six personnes. Nous trinquons en sirotant tranquillement, nous discutons, et il me convint que nous allons faire à ma chérie un joli spectacle. Une fois qu’elle sera bien excitée, nous la prendrons à deux, et la « Déglinguer ! » comme elle dit. Je sais qu’elle en a très envie, ce soir je veux qu’elle soit totalement comblée et pour ce faire je suis prêt à tout.
Quand enfin elle arrive, quelle surprise ! Elle s’est magnifiquement bien habillée. Pour commencer : une minijupe noire ultracourte et gainante met en valeur le galbe harmonieux de ses fesses tout en laissant planer le mystère du : string ou pas string ? Elle a recouvert son buste d’un chemisier blanc noué sous ses seins, dont l’échancrure laisse apparaître un soutien-gorge rouge à dentelles. Sa minijupe taille basse et le chemisier laissent voir son nombril orné d’un joli brillant. Ses lèvres recouvertes de gloss rose expriment avec son regard provocateur le désir de nous allumer. Son attitude lui donne cet air d’allumeuse que j’adore. Je trouve que sa tenue à la fois jolie et suggestive m’excite énormément, je me demande même si elle n’est pas plus sexy dans cette tenue que nue. Même si je connais son corps par cœur, j’ai cette envie de découvrir ce que cache cette minijupe ; comment est-il ce dessous si bien caché, ou à peine perceptible quand elle s’assoit ?
Elle s’approche de nous avec un déhanchement qui en dit long sur ses intentions et se dirige vers la chaîne HI-FI, y insère un CD et appuie sur (Play). Le temps que la musique démarre elle se place devant nous et débute une dance suggestive dès les premières notes de :
« Sexy Lady » de Shaggy.

Dès les premiers mots du refrain :
Hey sexy Lady, I like your flow

Son corps ondule au rythme saccadé de la musique, puis les phrases se succèdent :
Your body’s bangin’, out of control (uh)
You put it on me (that’s right) ceiling to floor
Only you can make me, scream and beg for more

Même si les paroles de cette chanson disent que son corps est hors contrôle, elle maîtrise parfaitement chaque geste et nous offre un spectacle d’une extrême sensualité. Elle ondule de tout son corps, ses mains glissent sur ses seins, descendent jusqu’à la ceinture de sa jupe qu’elle fait glisser de quelques centimètres, nous dévoilant. La fine ceinture de ce que suppose être un string, rouge. Mais la découverte s’arrête là, elle défait déjà le nœud de son chemisier, s’approche de moi, se courbe en deux, pose ses mains sur mes cuisses, approche ses lèvres des miennes. Elle entre sa langue furtivement dans ma bouche. Ses mains ont quitté mes cuisses et viennent constater que mon chibre, engoncé dans la geôle de mon caleçon, est malgré tout heureux de la situation. Puis elle remonte ses mains sur mes abdos, sur mes pectoraux et surtout attrape mes tétons au travers les mailles de mon « marcel », avec un sourire presque sadique, elle me les pince et les tord très fort, la douleur devient plaisir et je bande encore plus ; c’est bon, terriblement bon !
À la fin du second couplet :
« They must believe we’re brawlin’ headboards band till early morning”

Elle se recule, défait un à un chaque bouton de son chemisier et l’ouvre en grand ; nous découvrant ainsi son soutien-gorge rouge à dentelles qui laissent deviner le rond de ses mamelons irisés. Elle s’approche à nouveau et plante sa poitrine sur le visage de Heubi qui tente de passer ces mais sous la minijupe, mais Gladice repousse cette avance d’un geste délicat et se redresse. Toujours au rythme de la musique ce sont les bretelles du soutif qui glissent le long de ses épaules et d’un geste vif, l’agrafe défaite, le sous-vêtement m’arrive sur le visage. Elle revient vers moi et m’offre sa poitrine à lécher, je suis aux anges, et je tète un à un avec gourmandise les deux bouts saillants de ses seins.
La coquine en profite pour faire passer au-dessus de ma tête mon tee-shirt tout en me caressant tout le torse, puis c’est au tour de notre black qui n’a pas perdu une miette de cet effeuillage de se retrouver, lui aussi, torse nu.
Hey sexy lady (uh) I like your flow
Your body’s bangin’ (yo) out of control (a big tune)
You put it on me (uh) ceiling to floor girl (ceiling to floor baby)
Only you can make me (uh) screamin’ back for more


Les mouvements si doux parfois, provocants à d’autres moments avec toute la sensualité qu’elle dégage renforcent en moi l’amour que j’éprouve pour elle :
« Ô mon amour ! Que j’aime ton flux, et les mouvements de ton corps me font perdre le contrôle de moi-même ! Je perds la tête, tu m’emportes doucement vers l’extase. Oui ! Je vais réaliser ce que tu m’as demandé ».
Cette pensée si forte entraîne ma main vers la cuisse de Heubi, il comprend mon geste. Tout en continuant son show, Gladice m’observe avec son regard provocateur ; elle passe sa langue avec gourmandise
Hey sexy lady you be fine drive me crazy movin’ on, and on, and on
Hey sexy lady you be fine drive me crazy movin’ on, and on, and on


Elle me rend fous, fous d’amour !
Ses mains glissent sur son corps, descendent jusqu’au bas de sa jupe puis remonte en entraînant le tissu qui remonte, remonte très haut et découvre le bas de son string. Le spectacle qu’elle nous offre me rend fou, fou de joie, d’excitation et d’Amour. D’une main, je caresse mon sexe à travers mon short et de l’autre je passe sur le Jeans de Heubi, j’extrais son membre en pleine érection et je commence à le masturber.
Je me rends compte que je suis en train de faire n’importe quoi. Avant je n’aurais jamais touché un mec, mais là c’est autre chose ; le strip-tease que fait ma Chérie me rend digue et je sais maintenant que je vais faire n’importe quoi.
“Only you can make me (only you) screamin’ back for more
Uh, moist, ha ha ha ha ha ha


La chanson se termine, mais pas la dance de Gladice ; le morceau reprend, elle continue en descendant sa jupe jusqu’au sol ; elle est en string, torse nu. Elle s’approche de nous et en se caressant partout, elle s’installe sur le retour du canapé, nue, adossée au siège, impudique, jambes grandes ouvertes ; j’ai envie de lui faire plaisir… maintenant !
Je me lève d’un bond, descends mon short ultra-moulant, mon phallus bandé à mort en jaillit ; Gladice me détaille avec des yeux pétillant de gourmandise. Alors je saute comme un mort de faim sur l’énorme bite de Heubi qui n’attend que je m’occupe d’elle ; je l’embouche avec frénésie et je suce le gland à l’odeur sauvage. Je ne sais pas si c’est l’excitation mais j’aime bien le toucher, prendre ce mandrin que mes deux mains, qui misent bout à bout, ne suffisent pas à le recouvrir. Je lui palpe les couilles et quelles paires de couilles ! Si gonflées, énormes ; l’expression : « Monté comme un taureau ! » Prends là tout son sens, presque irréelle, dans un moment je vais me laisser prendre devant ma chérie par ce monstre.
— Tu es bon, mec ! Je vais te baiser le cul, je vais t’exploser l’anus ; je vais te posséder ! m’informe notre black.— Je sais mec ! Et surtout prends ton pied, viens ; je suis prêt !
Joignant le geste à la parole, je me place à genoux sur l’assise du canapé, les mains en appuis sur le dossier ; je me cambre et présente mon cul à mon enculeur. Des doigts touchent mon anneau, ils sont fins, graisseux et entre en moi ; c’est Gladice qui me graisse le fion et le pourtour. Je sais que le moment arrive, je me prépare car je sais que je vais avoir mal ; je suis anxieux et j’ai peur ; intérieurement je me motive : 
« Allez mec, courage c’est pour elle que tu le fais, par amour, et puis tu vas aimer ; je te le jure ! »
Le gland en appuis sur mon rectum me ramène à la réalité. Le black me prend par la taille, me cramponne comme si j’étais un animal ; je ne peux plus bouger. Il commence à forcer mon entrée qui s’écarte doucement, la sensation n’est pas vraiment désagréable ; la pression augmente et je ressens une légère douleur. L’homme m’agrippe la taille très fortement et son engin s’enfonce en moi, la douleur est vive. Je transpire à grosses gouttes qui perlent sur mon front. J’ai envie de crier, qu’il arrête ; mais le gland force encore et franchit mon rectum. Cette fois, mon trou explose ; j’ai la sensation de m’ouvrir en deux, ça fait mal, très mal, des sueurs froides m’envahissent. Je transpire à grosses gouttes, mon trou du cul me fait mal ; j’ai envie de m’enfuir. Mais comment pourrais-je le faire ? Avec cet énergumène qui me tient, son gourdin planté dans mon cul comme « Excalibur» plantée dans le rocher ; et si, il ne pouvait lui non plus la ressortir de mon trou. Je ne bande plus !
Une main me saisit la bite, je reconnais celle de Gladice qui commence un mouvement de va-et-vient ; l’énorme bite avance inexorablement et envahi mon boyau. Paradoxalement, cette douleur se transforme peu à peu en plaisir et je commence à apprécier. J’ai l’impression que tout bouge en moi, c’est très étrange comme sensation.
Je tourne la tête vers ma Chérie qui me renvois l’expression de quelqu’un qui s’amuse de ma situation ; un sentiment extrêmement bizarre parcourt mon esprit. Tout se brouille dans ma tête, j’ai à la fois honte de tout cela : je me fais tout simplement enculer devant ma chérie, et je me sens soumis à elle et au black. C’est comme si je devenais, au fur et à mesure que cette bite s’enfonce en moi, sa chose, son esclave sexuel. Je sais qu’à partir de maintenant elle pourra me demander n’importe quoi et je le ferai. Il y a aussi cette impression de domination, je me sens pauvre type à la merci de cet homme plus grand et plus fort que moi, et dont la bite fait deux fois la taille de la mienne. Tout ceci forme un ensemble très étrange mais malgré tout assez agréable ; je commence même à y prendre du plaisir.
Le pilon de mon enculeur ressort de moi. Oh que ça fait du bien ! Mais il rentre à nouveau, plus vite, plus profond, et cette fois tout entier ; car ses couilles caressent les miennes. Il accélère, ce qui est très bizarre c’est que je sens mes boyaux bouger en moi. Gladice me suce le dard, me palpe les testicules. Mon mal de cul se transforme petit à petit en un plaisir étrange je transpire ; ce con de Heubi avait raison, j’aime ça ! Il ne lâche rien et me pistonne telle une machine, le haut de ses cuisses tape mes fesses tellement il me la met profond. À chaque va-et-vient ses couilles battent les miennes. Gladice m’attrape les baloches et les tritures, je sens qu’elle passe son autre main sous moi et s’empare de celles de Heubi ; aux mouvements qu’elle donne, je comprends qu’elle se sert des roustons de mon compère comme poignée. Elle tire dessus pour accompagner le mouvement de va-et-vient, ou peut-être même de donner la cadence, sauf. Quand à deux mains elle enserre le haut de nos bourses, tout s’arrête. On dirait qu’elle prend plaisir à avec nos paquets. Ils viennent de se transformer en punching-ball. Pendant cette délicieuse torture, elle avait relégué mon pénis au placard ; mais elle vient de le reprendre en bouche. Le mouvement de mon corps, provoqué par mon enculeur, fait que je baise Gladice par la bouche. Elle n’a plus besoin de faire de mouvements tout ce fait automatiquement ! Le black m’encule et moi je baise ma chérie par la bouche, nous sommes parfaitement en cadence.
Quand mon foutre vient inonder la gorge de ma Chérie, le gros derrière moi rugit. Il m’éjacule dans le troufignon en déversant à grands coups de piston un flot continu de sperme. Et moi je continue à déverser mon flot de semence que ma chérie avale d’un coup. Cet orgasme est divinement bon, certes j’ai mal au cul mais c’est super ! Mon cul crie des : Encore ! Vite ! J’en veux encore !
Mais Heubi qui n’a pas entendu ce cri de détresse se retire, laissant place à un courant d’air frais qui pénètre dans mon trou béant, et m’envoie une magistrale claque sur les fesses.
— Alors mon poulet…c’était comment ? J’espère que tu as aimé car j’ai mis le paquet !— T’es un bon …mec !
Ma chérie me prend par les joues et m’embrasse avec une fougue impressionnante, puis me susurre à l’oreille :
— Alors mon Chéri, tu as aimé ? Moi, j’ai adoré !— Oui mon Amour j’ai pris un pied terrible !— Alors ne bouge pas je te réserve une surprise, et après on fait une pause.
Je la sens déjà inspecter mon trou toujours ouvert, et sans un mot elle y plonge sa main et forçant fort, très fort ; mon sphincter s’écarte et sa main entre entièrement dans mon cul. Cette fois le sentiment de honte, de soumission est si fort que je jouis à nouveau !
Elle me libère et nous faisons la pause promise. Nous réchauffons les pizzas, nous trinquons et je fais l’objet de jolies mises en boîtes ; nous plaisantons et rions de bon cœur.
— Alors mon Chéri, tu as vraiment pris ton pied ? Me dire le contraire serait mentir !— Tu as raison, j’ai beaucoup apprécié, et je crois avoir basculé dans la bisexualité…— À la bonne heure ! Tu vas voir comment nous allons nous amuser à l’avenir !— Sans doute… — Attend ! Tout à l’heure tu vas te faire le gros ! Je te garantis que tu vas te régaler !— Eh oui mon poulet ! Toi aussi tu vas me foutre ta bite dans le cul, regarde ta Belle comment elle nous kiffe. Tu dois être bonne toi aussi. Allez, on mange ; j’ai faim !— Houai… ! Tu as raison, et je suis une grosse cochonne, pas vrai chéri ? Après bouffer, vous aller me déglinguer tous les deux ; d’accord ?— Mais avec plaisir ! nous répondons tous les deux.
Une bonne pizza, un peu d’alcool, une bonne ambiance et une nana qui, tout en mangeant, se caresse la chatte avec impudeur devant nos phallus droits comme des obélisques.
— Bon, c’n’est pas le tout les mecs, mais moi je ne tiens plus ; je ne vais pas être obligée de me faire arriver toute seule à l’orgasme ! Alors que j’ai deux belles bites à portée de main !
La phrase à peine terminée qu’elle est déjà à genoux devant notre coéquipier et embouche la matraque aux veines saillantes et au gland mastard. Totalement décalotté, mis à part la couleur, il ressemble à une prune lisse et brillante ; Gladice la tient fermement et la lèche goulûment. Je pense qu’il serait bien que je m’occupe d’elle, alors je me lève, la prends par le côté des fesses ; elle se relève tout en prenant le zguègue noir à deux mains et s’y cramponne. Pendant ce temps, j’ai attrapé le tube de lubrifiant et en dépose sur mon gland, qui une fois bien enduit rentre directement et sans préliminaires dans le fion de ma belle.
— Hmm…Hmm… !
Parler la bouche pleine n’étant pas facile, elle lâche le membre et me dit :
— Vas-y Chéri, encule-moi ! Encore…! Viteee… ! Vas-y Chéri, fais-moi mal… !
Comment ne pas résister à une telle demande, alors je la pistonne avec vigueur, chaque coup la propulse contre les abdos de Heubi et elle gémit :
— Oh… ! Ouiii… ! Oh, putain que c’est bon ! Vas-y…Encore…Enc…Stop ! Toi ! Sur le dos ! ordonne-t-elle en désignant Heubi du doigt.
Il s’exécute et s’allonge sur le canapé, et elle s’empale sur le monstre veineux :
— Oh, putain ! Que c’est gros… ! Oh Putain… ! Que c’est bon… !
Elle s’allonge sur Heubi mais en position de grenouille avec le chibre du black dans le vagin et son trou du cul encore ouvert :
— Chéri ! Encule-moi, vite… !
OK, j’ai compris ! Vite je l’empale à fond. Je sens l’autre sexe à travers le boyau de ma chérie et je bouge en me lançant dans une dance du sabre très particulière.
— Oh…Oui ! Oui…Oui…Ouieee… ! Je jouieee… ! Oh Putain que c’est bon !
À cet instant-là, je la sens vibrer de tout son corps, et le monstre du black cracher son venin dans l’antre de ma belle, son sphincter se contracte. Les spasmes du bonheur n’en finissent pas de la secouer, alors je reste là en elle, sans broncher. Elle se redresse, je me dégage, et elle se relève laissant le vit de Heubi dégoulinant de foutre et de mouille.
— Putain les mecs ! Qu’est-ce que vous m’avez mis ! Comment vous m’avez DÉ…GLIN…GUÉeeee… Graveee… ! Je suis Exténuée et j’ai soif !— Ma Chérie, champagne ?— Ah oui ! Ça mérite bien ça !
Je vais chercher une bouteille de champagne au frigo, et nous triquons à cette belle partie de cul ; les yeux de ma Chérie pétillent de bonheur et dit en plaisantant :
— En fait, ici ; il n’y en a un qui n’a pas encore eu un coup de bite dans le cul ! je m’offusque. — C’est vrai ! répond le coupable. Mais je suis prêt, mon poulet … !— Tu vas voir ce que tu vas prendre, je vais t’en foutre, moi, « du poulet » ! — En tout cas, pas dans l’état où tu es ; approche que je te la réveille ! s’exclame ma Chérie.
Elle a raison car mon zob ressemble plutôt à une nouille, alors elle me fait une belle fellation : au champagne ! Et mon engin reprend immédiatement de la vigueur !Heubi est déjà en position et m’offre son trou, alors je l’encule à sec avec l’argue de la vengeance mais aussi la curiosité de voir l’effet que va me produire cet acte. Pendant que je le lime, Gladice le suce ; il grogne, râle et rugit comme un primate en rut. Tout à coup, une idée un peu farfelue me vient à l’esprit : « Et si je m’empalais sur lui et qu’il me taille une belle pipe ? »
— Attendez, j’ai une idée ! Heubi retourne-toi, tu vas voir !
Il s’exécute, s’assoit, je m’installe bien au-dessus de lui et après avoir appliqué du gel lubrifiant sur sa bite ; je m’empale sur lui.
— Eh bien, on dirait que tu aimes ça, mon Chéri !— Attends… Heubi suce-moi !
Pendant que je monte et descends sur son membre, il tient fermement ma queue d’une main et me masse les couilles de l’autre. Cette nouveauté est un superbe moment de plaisir, une belle première expérience ; surtout au moment où je jouis dans sa bouche !
Tout à coup, le téléphone de Gladice sonne ; un SMS ?
Gladice s’en empare et :
–– Ah ! Elle arrive demain matin !— Montre !
[SMS]>Coucou les jeunes ! Changement de programme, j’arrive (pour vous) demain à 9 heures à Roissy terminal 1 ; je compte sur vous ! Bonne nuit.
— Allez tout le monde au lit !
[À suivre]
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