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Banquière perverse

Chapitre 29

La Générale

Voyeur / Exhibition
Le thème de la pièce est tout simplement un simulacre d’inceste : dans le rôle de la mère, Gladice et moi dans celui du père. Dans le rôle de la fille, jeune collégienne, introvertie et provocatrice : Sophie, qui malgré ses 21 ans, a gardé son physique d’ado et tout ce qu’il va avec.
Jelila nous avait certifiés que ce genre de sujet allait faire un carton auprès des hommes et des femmes de son entourage, car friands de ce genre de spectacle, qui, donné en privé, permettait d’aller très loin dans la perversité. Elle nous avait indiqué que si nous y mettions une scène saphique, ou une extrêmement pornographique ; nous pourrions emmener les spectateurs à l’orgie. Forts de cette information, nous avions imaginé ce qui suit.
— ooOoo—
La Pièce !
Jélila frappe les trois coups et fait l’annonce :
Toc, toc, toc, toc !…Pan !…Pan !… Pan !
«Mes chers amis ! Comme promis, j’ai le plaisir de vous présenter une pièce de théâtre très spéciale qui (je l’espère) va éveiller vos sens et vous faire passer une très bonne soirée. Cette pièce s’intitule : « Le carnet de notes ». Mettez-vous à l’aise, profitez et surtout n’ayez aucun complexe ».
Les invités applaudissent. Uniquement vêtu d’un peignoir, j’entre en scène et m’installe devant l’ordinateur sur lequel défilent les photos de nu. Je clique sur une et simule l’utilisation de mon logiciel de retouche photo.
— Bien celle-ci sera parfaite une fois un peu retouchée. Un peu plus de lumière ici, un recentrage là ; parfait ! je m’exclame.
La porte de la loge s’entrouvre et la frimousse de Sophie apparaît.
— Papa ?— Ah, tu es là ma chérie ? Tu arrives de l’école ? Alors entre !— Je ne veux pas te déranger, qu’est-ce que tu fais ?
Elle pénètre dans ce qui est censé être mon bureau. À la vue de Sophie, les regards médusés et un : « oh ! » de surprise des spectateurs accueille la gamine, l’effet attendu est là. En effet, Sophie qui joue le rôle de ma collégienne de fille se présente en tenue d’écolière, cartable sur le dos, avec : socquettes et chaussures vernies, minijupe plissée striée de bandes blanches et à carreaux rouges et noirs, un chemisier blanc fermé en haut par une cravate et pour couronner le tout, deux belles couettes partant à l’horizontale de chaque côté de son crâne et une paire de lunettes donnent à la gamine un air studieux derrière un regard d’effrontée.

— Alors ma fille, quoi de neuf ? L’école, ça va ? j’interroge tout en regardant ma progéniture avec un air sévère.— Euh… oui, ça va… répond-elle avec le regard plongé vers le sol et en se tordant les doigts des mains ; comme si elle cherchait à se les arracher.— Dis-moi nous sommes en fin de mois et tu as ton carnet de correspondance à faire signer, je crois ? je dis, en élevant la voix.— Oui Papa, mais… je… je l’ai oublié à l’école…— Montre-moi ton sac ! j’ordonne en accompagnant la parole au geste de la main cherchant à attraper ledit sac.
Timidement elle s’avance à petits pas. Commence à défaire les bretelles de son sac à dos qui semblent vouloir rester collées à son dos. Elle regarde en direction de l’écran et :
— Qu’est-ce que tu fais ? Ah, mais c’est quoi ces photos ? Je vais le dire à Maman que tu regardes des photos de fille à poil !— Occupe-toi de tes affaires ! Donne-moi ce sac ! j’ordonne.— Non ! Tu vas voir, je vais tout dire à Maman.— Donne ! je fustige en arrachant le sac que j’ouvre pour en sortir un cahier qui fait office de carnet.— Non Papa ! Je voulais le montrer à Maman avant.— Pourquoi, je suppose que tu as eu de mauvaises notes ?— Oui… répond-elle d’une toute petite voix.
J’ouvre le carnet et le feuillette.
— Effectivement, tes notes sont catastrophiques, tu ne peux pas continuer ainsi ; quand vas-tu comprendre qu’il faut travailler pour gagner correctement ta vie !— Mais je m’en fous de gagner ma vie ! Moi, je veux sortir, m’amuser…— Ah, tu t’en fous ! Alors je vais t’apprendre, viens ici ! …C’est un ordre !— Mais que vas-tu me faire ?— Te flanquer une bonne fessée, pour t’apprendre ; voilà tout ce que tu mérites : une bonne fessée, une giroflée à cinq doigts, comme le disait ta grand-mère !— Une quoi ? C’est quoi cette fleur ?— Ah, tu ne connais pas ! Alors approche un peu !
Elle s’insurge en élevant la voix.
— T’as pas le droit, et puis j’ai mes règles ! — Menteuse ! Quand tu les as, tu mets des pantalons ; alors approche et allonge-toi sur mes genoux. Sur le ventre ! — Mais…— Vite !
La position de la chaise sur laquelle nous nous installons est volontairement placée de façon à ce que les spectateurs puissent se délecter du spectacle des fesses de Sophie recouvertes d’une culotte en coton blanc.
Elle se met en position en jouant l’effrontée et en me chuchotant :
« Issam, j’espère que tu vas m’en mettre une bonne ; j’ai trop envie ! »
— Allez, installe-toi ! Tu n’as que ce que tu mérites !
La jupe très courte remonte et découvre le derrière de l’insolente. Sophie peut suivre les rections des spectateurs grâce aux psychés et moi en direct. À la vue de la petite culotte blanche de Sophie, les hommes se redressent sur leur siège et les femmes tortillent du croupion comme le font les poules pour couver.
Je relève complètement la jupe. Un « waouh ! » se fait entendre, suivi d’un brouhaha qui s’arrête net au premier claquement de ma main sur le postérieur de Sophie. Au second, le silence est total.
— Même pas mal, Même pas mal !— Même pas mal ? Attends un peu, tu vas voir !
Je baisse la culotte en coton qui engendre un nouveau « waouh ! » suivi du même brouhaha qui stoppe au premier claquement sec de ma main sur les fesses nues de Sophie. Nous avons mis au point une technique pour que les claques soient plus sonores sans être trop douloureuse. Au fur et à mesure que les fesses de l’écolière rosissent, mes doigts s’humidifient de sa mouille, elle commence à prendre du plaisir car je sens son ventre se contracter de plus en plus. Bien malgré elle, ses cris sont entrecoupés de soupirs de jouissance, et moi je commence à bander sérieusement.
Sophie, bat des pieds, gesticule, se débat et crie.
— Papa ! Arrête, je te promets que je vais bien travailler ! s’exclame Sophie en pleurnichant.— D’accord, mais je te préviens, je vais en parler à ta mère !
Elle se dégage de mon emprise et se relève d’un bond.
— Non, je t’en supplie ne lui dit rien, sinon elle va me massacrer, poursuit-elle en regardant vers mon peignoir entrouvert et dont sort mon sexe bandé.— Mais tu bandes ! Ah ! Tu aimes me fesser, c’est ça et après tu vas baiser maman ou te taper une branlette !— Je t’interdis de me parler comme ça !
Devant les spectateurs médusés, elle s’agenouille entre mes jambes, ouvre mon peignoir en grand, prend ma bitte à deux mains et avec son air de vicieuse effrontée elle dit :
— Si je te fais des trucs, promets-moi de ne rien dire à maman.— Mais tu es folle, ça ne se fait pas !— Je sais Papa, je suis une malade, j’aime le cul ce n’est pas ma faute, tu m’as faite comme ça. Et puis je vois que toi aussi tu aimes ça. Allez, dis oui ; ça sera notre secret !
Je fais mine de réfléchir, et la repousse sans conviction ; mais elle s’accroche à mon mandrin dressé comme un obélisque, pointant vers le ciel mon gland violacé de désir.
— Bon d’accord, mais juste une fois.— Merci Papa, tu ne vas pas le regretter.
Des « Oh… ! » arrivent par vague de l’assistance, les hommes ont du mal à contenir leur émoi ; les femmes gesticulent. Il faut dire que la moyenne d’âge des spectateurs dépasse largement la soixantaine et qu’à cet âge les prouesses sexuelles deviennent de plus en plus compliquées. Sauf, si des allumées comme nous leur offre un tel spectacle.
Sophie me suce à pleine bouche, et s’arrête brutalement quand des : « À poil la gamine, la gamine à poil ! » repris en chœur par tous, nous arrivent à la figure.Alors, Sophie se relève et lance un regard de défi en se caressant tout le corps à travers ses vêtements. Sur mon ordi la musique de : You Can Leave Your Hat On - Joe Cocker est prête ; j’appuie sur Play. Sophie entame un strip-tease torride.Je ne l’ai jamais vue dans cet état. Elle est déchaînée, sans doute rien qu’à l’idée de faire bander tous ces vieux mâles. Elle danse au rythme de la musique, défait un à un les boutons de son corsage, qu’elle fait glisser avec sensualité le long de ses bras puis me le jette à la figure. En minijupe, soutien-gorge en coton blanc et sans culotte, elle s’avance vers l’assistance, se trémousse. Elle s’assoit sur les genoux de l’un et l’autre, sur les vieux mâles, elle frotte son derrière sur leurs genoux ; elle leur chuchote des paroles.Arrive l’épisode du soutien-gorge. Toujours envoûtée par la musique, elle le dégrafe et fait glisser une bretelle le long de son épaule, puis la seconde ; le sous-vêtement descend et découvre en partie ses seins tout ronds. Toujours aussi provocante, elle s’assoit à califourchon sur les genoux d’un homme aux cheveux blancs et lui plante sa poitrine sur le visage. Quand elle se recule, l’homme emprisonne l’objet entre ses dents ; sournoisement Sophie lui offre un téton à lécher et récupère son bien.Cette fois c’est au tour de la minijupe écossaise à carreaux rouge et noir. Elle se redresse, tourne sur elle-même dans une valse effrénée et d’un geste vif, retire le tissu et le fait voler loin derrière elle. Mis à part les socquettes et les chaussures vernies, elle est nue ; sa prestation est accueillie par des « waouh ! » admiratifs et aussi des :« Moi, aussi je veux les tétons…Les tétons ! »Sans se démonter elle fait le tour de l’assistance et vingt fois elle se laisse lécher les seins par l’homme mais aussi les femmes. L’ambiance devient torride, je le sens. Arrivé à Heubi, elle le touche partout et surtout au niveau du sexe ; elle lui chuchote quelque chose à l’oreille puis revient vers moi.— Papa ! Baise-moi ! hurle-t-elle.Elle se place sur le ventre et pliée en deux sur la table. Les jambes pendantes, elle expose sans complexe sa moule et son petit trou à l’assistance. Sans attendre, j’enfourne ma bite dans son vagin trempé de mouille, puis je la pilonne ; elle couine, rugit et vibre de tout son corps. Maintenant elle crie (pour le spectacle) mais aussi par jouissance. Je la connais un peu et à cet instant, mon intuition me dit que son orgasme va être puissant. Tous ses muscles vibrent, son vagin se resserre sur moi ; poings fermés elle crie :
— Oh, putain que c’est bon, vas-y Papa, encore… encore… plus fort ! Oui… oui… oui… je jouieee… !
Je suis encore en elle quand la porte du fond s’ouvre avec fracas. Gladice en furie fait son apparition jetant l’assemblée dans un silence de mort. Je me retire en Sophie se redresse.
— Qu’est-ce que c’est que tout ce bouquant ? Sophie, Issam ? Mais, mais qu’est-ce que vous faites ? Issam, ne me dis pas que tu es en train de sauter ta fille !
Et la foule reprend : « Si, si ; ils l’ont fait ! Encore, recommencez, vite, du sexe, du sexe… ! »
— Pardon ma chérie, mais c’est elle qui a commencé à me brancher, je réplique.— Non Maman, c’est lui qui a voulu parce que je n’ai pas de bonnes notes !— Tu mens ! J’ai eu ton prof principal au téléphone il y a cinq minutes, et il m’a dit que tu as été surprise entièrement nue avec une fille en train de faire des saloperies dans les toilettes du collège ! C’est vrai ça ?
Sophie baisse la tête, se tortille les doigts comme si elle voulait les broyer et répond d’une voix étranglée :
— Oui Maman, c’est vrai, mais c’est elle…— Tu vas me dire que c’est de la faute de l’autre, qu’elle t’a obligé ou peut-être violée tant qu’on y est !— Non Maman… c’est qu’on avait fait un pari.— Un pari de quoi ? Vous gouiner dans les chiottes ?— Oui Maman, pardon…— Pardon de quoi ? Tu mérites une bonne correction, c’est tout !— Non j’ai déjà eu, regarde ! dit-elle en tournant ses fesses vers Gladice et les spectateurs qui écarquillent les yeux devant le cul rouge de Sophie.— Mais dis-moi, tu y as pris du plaisir dans ta partie de gouine en folie ?— Oui Maman, beaucoup ; tu veux essayer ? répond Sophie d’un air désinvolte.— Tu es folle, ma pauvre fille ! Après ton père, tu voudrais le faire avec moi ; mais ça ne va vraiment pas dans ta tête !— Mais il n’y a personne, c’est entre nous. Je vais vous dire un truc… Je vous aime très fort et je voudrais tant faire l’amour avec vous deux. Après je vous jure de super bien travailler à l’école !— Et toi Issam, tu acceptes ça sans rien dire. Tous les mêmes ces mecs dès qu’il y a une gamine bien foutue ; vous ne pouvez pas vous empêcher de la sauter. J’espère au moins qu’elle baise bien et que tu as pris ton pied ; alors tu ne dis rien !— Si, que tu devrais essayer, elle a raison, il n’y a personne ici ; et puis ce n’est pas si grave, elle est responsable, non ?
Les spectateurs se sont redressés, attentifs à la scène qui se déroule sous leurs yeux, un clin d’œil complice entre nous trois et Gladice enchaîne le dialogue :
— Soit essayons ça une fois, alors Mademoiselle l’expert que faisons-nous ; puis qu’il semblerait que tu portes plus d’intérêt à montrer ton cul que de bosser à l’école. Qu’est-ce que tu veux faire plus tard ? Pute, ou actrice porno ?— Pute, non ; mais actrice c’est une bonne idée. Allez, vient Maman, je vais te faire jouir comme jamais.
Elle prend Gladice par la main et l’entraîne sur la table Louis XIV. Gladice s’allonge sur le dos et Sophie dessus. Les deux femmes se lancent dans une dance saphique effrénée. Les spectateurs se lèvent, envahissent la scène et se placent en rond autour de nous ; ils assistent au spectacle de très près. Les hommes bavent d’envie et le long des jambes de certaines femmes, un filet de mouille coule doucement.

Les filles se sucent, se lèchent avec gourmandise, tout y passe : la minette, les tétons dressés comme des pics. Elles se frottent en ciseau, clito contre clito et leurs doigts tirant sur leurs propres tétons les font rugir de plaisir.
Les spectateurs n’en perdent pas une miette, surtout au moment où je saisis Sophie par la taille pour la faire glisser afin qu’elle se retrouve pliée en deux sur la table. Les pieds au sol et le nez dans le sexe de Gladice. Elle se retrouve dans la bonne position pour que je lui enfile mon dard dans le con. Elle gémit très fort au moment où je la pénètre, soupire en lâchant des :
— Oh que c’est bon ! Vas-y Papa bourre moi la chatte ! Ahh …Ouiiiii…. ! Encoreee… ! Plus fort… ! Je vais jouireee…. ! — Alors, tu aimes ça, petite salope ! Tu aimes te faire baiser ?— Oh, oui !— Alors relève-toi et regarde là-bas ! je dis en désignant Heubi.— Qui…lui… ? Le grand black ?— Tout à fait, il va te défoncer et pendant que la douleur s’estompe ; tu vas pouvoir te consacrer à ton travail de classe.— Promis, Papa…Promis, après je vais super-bien travailler !
Elle bouscule l’assistance qui nous entoure sur son passage et la suit dans sa course vers Heubi. Elle attrape l’homme par la main, et l’entraîne vers la scène. Notre ami black, qui au vu de la bosse de son short, en lycra hyper moulant, formée par son sexe ; semble apprécier notre spectacle. Sophie plonge déjà ses deux mains dans ledit vêtement, et en extirpe le phallus à la taille impressionnante ; sous des « Oh ! » de stupeur et des regards de convoitises.
Courbée en deux, elle saisit l’engin à deux mains et l’embouche. Tous les regards se tournent vers le cul de Sophie et la bite de Heubi, l’envie et la gourmandise se lit sur les visages ; les pantalons des hommes se déforment et certains entrejambes féminins laissent apparaître des traces brillantes. Pour attiser les gourmandises, j’ôte mon peignoir et me présente sabre au clair face à l’abricot de Sophie. Encouragé par le public avec des :
«Baise-la ! Baise cette petite dévergondée… ! Enfonce-lui ta bite dans le cul… ! »
J’attrape le petit cul à deux mains et lui enfile mon zguègue dans le fion, puis la lime avec toute la vigueur qui je peux mettre dans mes mouvements. Il faut que cette baise publique soit le plus porno possible, alors en plus de la limer, je lui claque le cul et lui lance des obscénités.
— Alors, petite dévergondée, c’est ce que tu veux ! Bouffer des bites, te faire sauter au lieu de travailler à l’école ?— Oh, oui…c’est trop bon ; Papa, tu es trop fort ; baise-moi encore.— Te baiser encore ? Certainement pas ! Allonge-toi là, sur la table ! je vais te faire passer l’envie de te faire sauter pour un bon moment ! Heubi ! Baise-la !
Sans dire un mot, il saisit la petite et lui défonce le cul à grands coups de chibre gonflé d’envie.
La foule applaudit, Gladice me suce puis s’approche d’un homme. Le regard provocateur elle lui ouvre son pantalon, attrape le phallus violacé de désir et l’embouche. Pour ne pas rester en reste, je prends une femme au hasard, lui lève sa minijupe et lui dit :
— Viens que je te baise !— Oh, oui ! me répond-elle.
Nous venons de sonner le début d’une gigantesque orgie. Les pantalons tombent un à un, les robes volent, les couples se font et se défont, les trous se remplissent, les bouches sucent, les langues s’emmêlent et les cris de plaisir résonnent dans la pièce.
Il est 4 heures du matin, nous sommes exténués. Madame nous rejoint, une bouteille de champagne à la main et le corps couvert de sperme. Pour nous faire de la place sur des canapés, nous poussons quelques corps nus et endormis qui roulent au sol. Le grand salon de Madame ressemble à ces images d’orgies romaines où tous les corps, usés par le plaisir, jonchent le sol, empilés, nus les uns sur les autres.
— Bon travail, votre prestation était parfaite ! J’ai joui et vous regardant, trinquons ! dit Madame.
Nous triquons tous les cinq, en riant de nos exploits et Sophie heureuse d’avoir vécu cette aventure, déclare :
— À la prochaine !

[À suivre]
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