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Au bar de l'hôtel

Chapitre unique

Avec plusieurs hommes
J’accompagne mon mari en déplacement professionnel. Toute la journée je me balade en ville, je fais les boutiques, je visite. Nous sommes pour la soirée et la nuit dans un établissement quatre étoiles d’une chaine haut de gamme. Je rentre à l’hôtel avant lui et me prépare pour l’accueillir comme il se doit. J’enfile une robe rouge vif on ne peut plus sexy. Deux bandes de tissu nouées derrière le cou cachent en partie ses seins, ce qui lui fait un décolleté jusqu’au nombril et, derrière, c’est ouvert jusqu’à la naissance du string. Quand je me penche un peu en avant, les seins deviennent visibles par les cotés, ce qui ne manque pas d’attirer les regards. J’enfile aussi des bas chairs auto-fixant que je remonte le plus haut possible, vu la longueur de ma robe. Je descends l’attendre au bar.Il y a deux fauteuils/canapés en demi-cercles, face au bar. Ils sont occupés, l’un par deux hommes qui doivent parler affaires car ils s’échangent des documents, l’autre par deux hommes qui encadrent une jolie femme. Je dois me résoudre à prendre place sur un haut tabouret de bar, le long du comptoir. J’ai bien du mal à me hisser sur le siège sans découvrir mes bas. Une fois assise je réajuste ma robe. Je réalise que, pour qui serait face à moi, mon string est bien visible si je ne croise pas les jambes. Mais je suis face au comptoir donc tout va bien.Les deux hommes d’affaires ne me quittent pas des yeux. Ils doivent me prendre pour une putain qui racole, c’est fréquent dans ce genre d’établissement. Leurs regards font grossir mes tétons qui deviennent très visibles à travers ma robe. Je déguste mon premier Mojito. La serveuse se penche vers moi.
·        Les deux messieurs derrière vous vous offrent un Mojito. Que dois-je leur dire ? Vous acceptez ?·        Pourquoi pas, en attendant mon mari.·        Ok, je le sers à leur table.
La serveuse a l’air surprise que je parle de mon mari. Quand à moi, je n’avais pas prévu d’aller à leur table. Il s’écarte pour m’accueillir entre eux deux. Je n’y vais pas, j’approche mon tabouret et je le place face à eux, de l’autre coté de la petite table basse. Bien sur je dois grimper dessus et malgré tous mes efforts je ne peux tout cacher et avant de croiser les jambes je montre bien mon string blanc ce qui me vaut de larges sourires.Ils ont l’air déçus quand j’explique ma présence ici et que j’attends mon mari qui d’ailleurs m’envoie un SMS. « Petit retard, je suis là dans deux heures, désolé ».
Sans l’invitation Mojito je serai remonté dans la chambre, mais là ce serait incorrect. Et puis deux verres me chauffent un peu les oreilles. Quand je me penche en avant pour attraper mon verre, j’ai les seins à l’air. Mes tétons me font mal tellement ils sont dur et tendus. Quand je décroise les jambes pour me pencher en avant, les deux gars se resserrent l’un vers l’autre pour mieux voir. C’est excitant, je sens que je mouille. L’alcool aidant, j’ai envie qu’ils me maltraitent les tétons, qu’ils passent leur mains sur mon string et qu’ils me fassent jouir. Les trois occupants de l’autre table quittent les lieux bras dessus bras dessous, la miss marche entre eux et ils lui caressent les fesses. Ils se dirigent vers les ascenseurs.  A mon avis elle va se faire sauter. Je l’envie.
Sans prévenir, je saute du tabouret, je prends mon verre au passage et je vais m’installer à la table laissée vide. Elle n’est pas vraiment face au bar et donc un peu moins visible, en retrait. Trois secondes après, mes deux comparses m’entourent. Etant sur mes cotés, ils ne voient plus mon string mais comme je reste (volontairement) penchée en avant, mes seins n’ont plus de secret pour eux. Ils se lâchent et passent des banalités à une conversation plus intime.
·        Vous avez des seins magnifiques. Vous avez toujours les bouts excités comme çà ?·        Pas toujours, mais quand on les regarde, ils réagissent.·        Vous devez aimer qu’on joue avec ?·        Oh ! Messieurs, je suis une femme sérieuse et mariée. Mais qui sait, peut-être qu’après un autre verre ?
Oups, c’est sorti tout seul, ah les effets du rhum … Un claquement de doigts et la serveuse dépose trois verres sur la table. J’aspire dans la paille et prend une bonne rasade, c’est le feu vert. Une main de chaque coté se saisissent de mes tétons et les titillent. Je soupire de satisfaction. Ils me les pincent, ils tirent dessus, ils me les tordent entre leurs doigts, ils me font mal et j’aime çà. Je sens mon abricot qui coule. Je relève l’arrière de ma robe pour ne pas faire de marques dessus. Mes fesses frissonnent au contact du cuir. Ils me caressent les cuisses en remontant vers mon sexe et moi, salope, je les écarte. Ils me branlent à travers ma dentelle, le plaisir monte, je vais jouir. Je sais que j’ai l’orgasme bruyant alors pour rester discrète j’embrasse celui qui est le plus près à pleine bouche. Mon ventre et mes cuisses sont agités de soubresauts incontrôlables l’orgasme est terrible, foudroyant. Je lui crie dans la bouche.
Nous finissons nos verres dans un silence religieux puis la vie reprend son court. J’ai tellement giclé que j’ai les fesses qui font ventouse sur le cuir du siège. Mon string n’est plus qu’un chiffon trempé. Je caresse machinalement les braguettes gonflées (et prometteuses). J’ai envie d’eux, tous les deux.
·        Et si nous montions dans la chambre pour faire plus ample connaissance avant le retour de votre mari ?·        Chers amis, sachez que je ne lui cache rien. Si nous devons faire plus ample connaissance, comme vous dites, je préfère que nous l’attendions ici et que nous montions tous les quatre. Il va certainement me punir d’avoir trop bu et de m’être laissée tripoter dans un bar comme une vulgaire catin. Peut-être vous demandera-t-il de me maintenir fermement pour me claquer les fesses comme je le mérite ? Vous aimeriez assister à une fessée magistrale ?  Connaissant mon mari et son sens de la générosité, je devrais certainement soulager les tensions que je sens sous mes mains.·        Soit, attendons-le ! On reprend un verre ?·        Non merci, je connais mes limites et je les ai déjà dépassées.
Sur ces bons mots, mon mari arrive. Les présentations faites, je raconte ce qui c’est passé avant son arrivée. Il propose une bouteille de Champagne dans notre chambre. En passant devant la serveuse du bar, j’ai une pensée pour la pauvre putain qui n’est montée qu’avec deux hommes alors que je roule des fesses avec trois. Je ne sais pas si elle me prend pour une putain ou pour une salope. Elle doit se dire « jamais deux sans trois » et que la prochaine montera avec quatre mecs et la dernière avec toute l’équipe de rugby.
Je me laisse tripoter un peu en attendant l’ascenseur. La cabine arrive et nous montons. Les portes à peine refermées mon mari saisis le bas de ma robe et remonte tout par-dessus ma tête. Je suis en string dans l’ascenseur quand la porte s’ouvre à l’étage. Je cherche à récupérer ma robe mais mon mari en a décidé autrement.
·        Pas question, tu restes comme çà, salope jusqu’au bout. Et j’espère qu’il y a du monde dans les couloirs.·        Arrête, j’ai trop honte, si on me voit…·        Et bien, ils verront une femme presque nue enter dans une chambre avec trois hommes et pourrons imaginer les pires choses.
J’essaye de me cacher derrière mes hommes quand nous croisons un groupe de quatre chinois mais ils se défilent et me laisse bien en vue. Nous marchons vers notre chambre. Les chinois se retournent sur notre passage et finalement nous suivent. Mon mari sort la carte magnétique et ouvre la porte. Il fait enter mes deux complices, entre derrière eux et me bloque le passage.
·        Ce soir, ici, on ne rentre que sans culotte. Tu me la feras voir dans l’œilleton si tu veux que j’ouvre.
Et il referme la porte me laissant dans le couloir. Une fois seule, je vois les chinois qui se rapprochent de moi. Le plus vite possible, je retire mon string. Je dois me baisser pour franchir mes chaussures. Ils doivent bien voir toute mon anatomie intime. Je me redresse et tend mon petit linge devant l’œilleton. Ce n’est que quand les voyeurs arrivent à mon niveau que la porte s’ouvre enfin. Ouf, j’ai eu peur. Je rentre, les trois hommes sont hilares. Moi, j’ai envie de jouir.
Il y a trop longtemps que ces trois cochons m’excitent. Je me jette sur mon mari, je baisse son pantalon et son boxer, je le pousse sur le lit et je le chevauche. Il bande, je saisis l’objet du délit et me l’enfile directement dans le minou. Je joue une nouvelle version de la chevauchée fantastique, une grande cavalcade.Deux sexes tendus arrivent miraculeusement dans mes deux mains, alors je les branle vigoureusement. Je crois que nous jouissons tous les quatre presque ensemble. Je sens que je me fais remplir la chatte et je reçois des jets de foutre sur les seins. J’aime être souillée comme une catin.
Après une rapide toilette, nous buvons enfin cette coupe de Champagne. Ils ont juste enfilé leurs boxers, moi je reste nue. Mes tétons me trahissent encore, ils vont exploser. Je me les caresse sous les yeux des hommes. Puis comme ils viennent de chaque coté prendre le relai, je leur abandonne mes seins. Ils me les tirent, les pincent, ils me tordent les bouts. Ma main descend entre mes cuisses et, toute honte bue, je me branle l’abricot.L’image doit plaire car les sexes se redressent. Mon mari prend le fauteuil et me fait signe de venir devant lui. J’ai compris, je le prends en bouche. Les deux autres me baisent tour à tour en levrette. Je jouis encore deux fois les yeux dans les yeux de mon mari.Après, il y a un blanc, je ne me souviens plus. Je me réveille dans les bras de mon mari. Il fait déjà jour dehors. Je n’ai pas eu de fessée mais je suis bien, apaisée, heureuse, épanouie. 
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