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Barbara à Cracovie

Chapitre 1

Jan et Brigitte

Erotique
J’ai accepté ce poste en Pologne, je me demande encore pourquoi ! Il est exact que je parle aussi bien le français que l’anglais et l’allemand et c’est pour cette seule raison que mon patron m’a "propulsée" à Cracovie."
— Tu trouveras toujours le moyen de te faire comprendre ! Et puis, culottée comme tu es …"
Il en a de bonnes le boss ! On voit bien que ce n’est pas lui qui doive se dépatouiller de ces empilages de S, C, W, Z qui s’agglutinent dans les mots au point de les rendre parfaitement imprononçables, enfin, pour moi !Et me voici donc, moi, Barbara, 22 ans, grande blonde sportive et culottée (aux dires de mon vénéré patron) dans cette gare de Kraków (Cracovie pour nous) avec ma petite valise et mon air paumé.Ils auront dû mettre la clim à fond ! Ça caille ! À Paris ce matin il y avait 19 au thermomètre. On a perdu un des deux chiffres en chemin !Cela n’a l’air de déranger personne. J’en vois qui sont même bras nus !Prévoyante, j’avais préféré un jean à la jupette qui m’aurait certainement mise plus en valeur auprès du responsable du journal où je vais devoir faire preuve de beaucoup persévérance pour me faire une petite place parmi les autochtones.
Reste à trouver le moyen de me rendre à l’hôtel que le bureau de Paris m’a trouvé, soi-disant à deux pas du journal.J’opte pour un taxi. Au moins lui, si je n’ai pas trop de malchance, il parlera l’anglais !Je ne suis pas la seule et les taxis se font rares !Soudain, un souffle chaud vient réchauffer mon cœur transit. Je viens d’entendre quelques mots de français avec cet accent si chaleureux des gens du sud de chez nous. Une fille qui doit avoir à peu près le même âge que moi s’en prend à un malheureux type qui l’a bousculée. Évidemment, l’homme ne comprend rien à ce qu’elle dit, hausse les épaules et continue son chemin.
Merci Monsieur que je ne connaîtrai jamais. Sans vous, je n’aurai jamais su que j’avais une consœur dans la file d’attente.Je la hèle. Elle me répond, sort de la file d’attente en traînant derrière elle un mec fabuleusement sexy, slave jusqu’aux yeux (bleus, mais bleus !!!), taillé en athlète de décathlon et souriant par-dessus le marché !
— T’es française ?— Ben oui ! Pas toi ?— Si, bien sûr ! Ça fait plaisir de trouver une compatriote ! — Tu sais que je n’ai pas prononcé un mot de français depuis plusieurs mois !
— Je m’appelle Brigitte. Et toi ?
Barbara.
— Lui, c’est Jan. Polonais pure souche ne comprenant pas un mot de français et bonjour, bonsoir, oui, non, merci en anglais !— Et tu fais comment ? Tu parles polonais ?— Bof ! Un peu ! Juste assez pour les choses courantes.— Et avec lui ? Fais-je un brin coquine.— Il lit sur mes lèvres… avec les siennes et parle beaucoup avec les mains, si tu vois ce que je veux dire !
Nous sommes parties à rire de bon cœur ce qui a fait rire aussi Jan qui ne savait pas pourquoi.Ce mec est trop ! Et quand il rit, c’est pire !
— Où vas-tu comme ça ? Me demande Brigitte.— Tu sais lire ça toi ? Lui ai-je demandé en tendant un papier sur lequel j’avais retranscrit de nom et l’adresse de l’hôtel.— Ouah !! C’est au diable vauvert, ton hôtel ! Viens plutôt avec moi ce soir. Demain il fera jour !— Avec toi ?— Oui ! J’ai un appartement dans le centre. Et puis j’ai tellement envie de parler français que je n’ai pas l’intention de te lâcher aussi vite, ma jolie !— Ah bon ! Soit ! Je ne suis pas attendue aujourd’hui, ni demain d’ailleurs !— Super ! Nous avons donc deux jours devant nous ! Je te ferai visiter Cracovie demain mais en attendant, allons chez moi !
Au lieu de prendre un taxi, nous montons dans un bus. Dix minutes plus tard, nous sommes devant ce que j’appellerais une usine ou quelque chose comme ça sauf que Brigitte me dit que nous sommes arrivés.Durant le trajet Jan n’a pas dit grand-chose sinon quelques mots parfaitement incompréhensibles. Je sens que je vais avoir du mal avec le polonais !Après avoir pris un ascenseur antédiluvien, nous voilà dans un loft grand comme un court de tennis !Là où devait être jadis du verre cathédrale, une baie vitrée de dix mètres de long éclaire l’appartement offrant en prime une vue incroyable sur la ville.En fait, il n’y a qu’une pièce, immense, meublée si l’on peut dire, très baba cool, un peu style indien, cachemire et tissu d’Orient, tapis suspendus çà et là, qui jouent le rôle de cloisons aériennes.
Dans un coin, un monticule chamarré d’une cinquantaine de coussins de toutes tailles doit faire office de banquette et probablement aussi de literie parce que je ne vois pas de lit à proprement parler. Une table sur deux tréteaux, quatre chaises en tôle, des lampes colorées un peu partout, généralement posées sur le sol, et c’est à peu près tout ce qui "meuble" le loft. Dès que nous sommes entrés, une musique douce et lancinante s’est mise à jouer, probablement commandée quelque part par un radar tout comme toutes ces lampes qui diffusent une lumière tamisée majoritairement rouge.
— Ça te plaît ?— Étrange mais très sympathique ! On doit s’y sentir bien !— Tu n’as pas idée !— Je pose mon sac où ?— Où tu veux ! Fais comme chez toi. Ici, c’est la liberté, l’entière liberté !
Brigitte me dit cela en me regardant bien dans les yeux. Il me semble qu’elle veut me faire passer un message mais je dois bien avouer que je ne vois pas lequel !
— Tu dois avoir soif ! Jan va nous préparer un cocktail dont il a le secret. Il est très doué, tu vas voir !
L’énigmatique beau gosse disparait derrière un superbe tapis persan toujours sans dire un mot, juste un sourire qui me donne envie de jeter ma petite culotte par-dessus les moulins ! Barbara, me dis-je presque à voix haute ! Arrête de fantasmer, tu veux bien ! Seulement voilà ! Ce mec me rend dingue, je n’y peux rien !Brigitte, comme je le supposais, s’est installée sur la montagne de coussins.
— Amène-toi ! Tu dois être crevée, non ? Viens t’allonger ! Tu vas voir comme c’est sympa !
Effectivement, ça l’est et c’est pas faux ! Je suis bien un peu fatiguée.Je me fais un trou dans cet océan de confort et je suis sur le point de m’endormir quand réapparait Jan, porteur d’un plateau contenant un grand pichet d’un breuvage d’une couleur indéfinissable et de trois verres à cocktail.Je dois faire une drôle de tête car il articule une phrase qu’il doit vouloir dire en anglais : c’est très bon, bois !Je prends le verre qu’il me tend et, prudente, je le hume.Ça sent super bon. Ça me rassure un peu.
Je trempe mes lèvres.Jamais bu un truc pareil mais, la vache, qu’est-ce que c’est bon !Je ne vois pas ce qu’il peut y avoir là-dedans ; un peu d’alcool, mais pas beaucoup. Ce n’est pas fort. Des fruits, des épices, du lait peut-être. En fait, je n’en sais rien mais je bois tout d’un trait et tend mon verre pour en avoir encore.Ça fait rire Brigitte et Jan me gratifie d’un second sourire.Si Brigitte n’était pas couchée à côté de moi, je lui aurais sauté dessus !Cette fois je prends le temps d’apprécier ce mystérieux liquide. Je ne repartirai pas d’ici sans connaître sa recette, quitte à ce qu’il fasse tout ce qu’il veut de moi ! (Ce que je suis prête à faire avec ou sans recette d’ailleurs…)
Jan est reparti. Ce type m’obsède. Je ne sais pas comment je vais faire ça mais je ne peux pas repartir sans avoir apaisé le feu qui me dévore la poitrine, le ventre, tout mon corps en vrai !C’est certainement ça qui me donne chaud, d’ailleurs ! Je bous. Quand on sait la chaleur qu’il fait dehors, c’est à ne rien y comprendre ! Peut-être aussi que la boisson de Jan y est pour quelque chose…
— Tu n’as pas chaud, toi ?— Si ! Un peu ! Mets-toi à l’aise, fais comme moi !
Joignant le geste à la parole, Brigitte fait passe son tee-shirt par-dessus sa tête.
— Attends ! Tu veux que je t’aide ?
En un rien de temps nous voici toutes les deux en soutif.
— C’est mieux, non ?— Ouais mais si j’avais mis une jupe au lieu de ce jean, ça serait encore mieux !— Eh bien, qu’est-ce que tu attends pour l’ôter ?
D’un geste de la tête, j’ai montré la direction où avait disparu Jan.
— Tu ne crois pas que…— Te souviens-tu de ce que je t’ai dit en entrant ici ? L I B E R T É !— Oui mais …— Il n’y a pas de mais ! Tu as envie d’enlever ton pantalon. Enlève-le ! Un point c’est tout !
Je ne sais pas pourquoi mais j’ai vraiment très envie de le faire. C’est assez bizarre parce que, me connaissant, ce n’est pas un truc que je ferais ailleurs que chez moi et seule, par-dessus le marché !J’ai même envie de tout enlever, tout ! Je ne dois pas être dans mon état normal. Me voici entièrement nue et je ne me suis jamais sentie aussi libre, à l’aise, décomplexée, heureuse en quelque sorte !
— Tu es belle !
C’est Brigitte qui vient de me susurrer cela à l’oreille parce qu’elle est toute proche. Elle aussi est nue. Un de ses tétons touche mon bras.Je perçois son haleine ainsi que son parfum épicé. Il doit faire nuit. Les lampes n’éclairent que chichement l’angle dans lequel nous sommes allongées.Je ne sens pas que cela ! Sa main sur mon ventre remonte jusqu’à mes seins qu’elle caresse en les effleurant à peine du bout des doigts.Je ne fais rien. Je ne dis rien. Je laisse retomber ma tête dans l’amoncellement des coussins. Je ferme les yeux. Je m’abandonne. C’est merveilleux !Je la devine qui s’approche. Je l’imagine au-dessus de mon visage.
Je n’attends pas le contact de ses lèvres sur les miennes que je pressens. J’ouvre la bouche. Sa langue s’insinue entre mes dents, rencontre la mienne, joue avec, s’active. Son baiser me submerge, m’étourdit. Ses caresses sur mon corps me font onduler, me tordre. Je m’ouvre. Je me cabre. Je m’offre. Je suis au Paradis !Consciente à cet instant, rien n’est moins sûr mais malgré tout, je ne suis pas complètement folle !Comment Brigitte peut-elle m’embrasser, me peloter les seins et, en même temps, m’écarter les cuisses, me les caresser, m’embrasser le ventre, lécher mes lèvres intimes, mordiller mon clitoris.C’est pourtant bien ce qui est en train de se passer !Pourquoi je ne fais rien ? Pourquoi je ne dis rien ? Pourquoi je veux que, quoiqu’il se passe, cela continue, que cela ne s’arrête surtout pas !
Devait pas y avoir que la pomme dans sa mixture ! Comme disait l’autre !Je ne sens plus Brigitte. Je suis comme anéantie dans cette mer de coussins avec l’étrange volonté de ne pas en avoir. Je me laisse aller, je profiter du plaisir qu’on me donne sans que j’aie à en connaître les raisons.Brigitte est de retour. Je crois comprendre ce qu’elle va me demander sans pour autant que cela m’interroge de quelque manière que ce soit. Effectivement, l’odeur de son intimité vient de me prévenir. C’est un tout autre baiser que je suis en train de faire ! C’est la première fois que je fais un cunnilingus. C’est agréable.
Je découvre innocemment le goût que nous avons, nous, les femmes.Brigitte m’a saisi les chevilles et relève mes jambes, les écarte. Je les suppose emprisonnées sous ses bras.Dans la torpeur délicieuse dans laquelle mon esprit vagabonde, j’essaie de me représenter, là, maintenant, à cet instant précis.Brigitte, sur moi, me tournant le dos est assise sur ma bouche. Elle ondule du bassin pour augmenter le plaisir que je lui donne.Elle tient mes jambes relevées sous ses bras ce qui ne l’empêche peut-être pas de se caresser elle-même les seins.
Moi, c’est ce que je ferais à sa place !Les mains puissantes de Jan posées un peu en dessous de la pliure de mes genoux maintiennent mes cuisses écartées.Je n’ai plus le contact chaud et humide de sa bouche sur ma chatte.J’ai beau avoir la tête à l’envers et le cœur prêt à exploser, je ne suis plus une petite fille ! Que peut bien faire d’autre un homme normalement constitué qui a devant ses yeux une foufoune luisante de salive, bayant aux corneilles, offerte et déjà conquise.Le contact de son sexe brulant sur mon vagin me fait pousser un cri qui se perd dans le ventre de Brigitte.
J’en rêvais ! Je le désirais de toutes mes forces.Tu es servie, ma fille ! Je n’en suis pas à ma première fois, tant s’en faut mais là, là, il se passe quelque chose d’extraordinaire !Jan s’enfonce en moi, doucement, très doucement. Heureusement d’ailleurs ! J’ai comme l’impression que mon ventre ne va pas pouvoir accueillir sa verge si ça se poursuit comme maintenant.C’est énorme !
Ce n’est pas possible ! Il va me tuer !Le monstre avance pourtant, lentement. Je n’ai pas mal. Je suis juste épouvantée par ce qui m’arrive. Je ne comprends pas ! Mon ventre ne m’appartient plus. Il est tout à lui. Il l’occupe en entier.Il vient de buter là où personne n’est jamais allé, pas même mon gynéco !
Et maintenant, j’ai la sensation de me vider. La bite phénoménale (que j’ai hâte de voir) m’abandonne aussi doucement qu’elle m’a investie. Elle s’immobilise juste avant de s’extraire totalement. C’est comme un soulagement mêlé à une déception.Mais j’ai tort de m’inquiéter. Elle repart dans l’autre sens, celui qui me comble de bonheur.Cette fois, elle me semble plus pressée et vient buter de nouveau dans le fond de mon utérus pour s’échapper aussi prestement.
La machine s’est mise en marche. Le piston va-et-vient à un rythme qui s’accélère. Je ne peux contenir mes cris qui ne passent pas le barrage du sexe de Brigitte.Jan me transforme en poupée de chiffon. Je tressaute, bondis, me tords dans tous les sens pour autant que Brigitte me le permette.L’orgasme est venu trop vite mais il ne me lâche pas. Je jouis en continu. J’en pleure.
Jan n’est pas humain, ce n’est pas possible autrement ! Rien ne semble pouvoir l’arrêter quand enfin (ou hélas, je ne sais plus bien !) il se libère en longs jets de sperme qui m’inonde le ventre et la poitrine.Tout est à l’avenant avec lui ! Je suis véritablement trempée. Je sens sa semence qui s’écoule sur mes flancs et entre mes seins.Brigitte est partie. Je suis trop faible pour relever la tête et voir ce qui se prépare car je ne doute pas un instant qu’ils s’en tiennent à ça, ces deux-là ! J’en profite malgré tout pour reprendre un peu mes esprits si tant est que j’en sois capable après cette chevauchée fantastique !Je ne sais pas combien de temps s’est écoulé mais Brigitte vient de m’attirer sur elle.
Je suis un moment surprise de me faire immobiliser la tête entre ses cuisses.OK ! J’ai compris ! Va pour un 69. Je n’en suis pas au premier mais j’ai toujours eu autre chose qu’une chatte à sucer. Aussi, suis-je un moment hésitante. Pas longtemps ! Brigitte, sans le savoir, me montre la marche à suivre ! Elle est douée, plus que moi ! Après les œuvres de Jan, ma vulve est hyper sensible. Quelques secondes et me voilà au bord de l’extase ! Je me jette alors à corps perdu dans ce cunnilingus que je découvre malgré moi.
Brigitte semble apprécier à l’entendre gémir.Soudain les mains de Jan font à nouveau leur apparition. Elles glissent sur mes flancs, sur mes hanches, vont et viennent, m’effleurant à peine. Je frissonne. C’est agréable. Ce mec est un dieu. Il suffit qu’il me touche pour que j’embarque pour Cythère !Maintenant, ce sont mes fesses qu’il pétrit, qu’il écarte, qu’il embrasse !
Sa langue glisse dans mon sillon, explore, goûte, visite, devient indiscrète et même franchement grossière !Elle insiste, opiniâtre, intrusive ! Elle obtient le résultat qu’elle espérait. Elle me pénètre, un peu, à peine.J’en oublie Brigitte qui s’empresse de me le faire savoir en grognant de mécontentement.Désolée ma vieille mais Jan vient de me mettre un doigt dans le cul !Je deviens franchement inquiète pour ne pas dire proche de la panique et cela pour deux excellentes raisons !
La première, somme toute la moins importante, est que je n’ai eu cette expérience qu’une seule fois dans ma vie. Je n’en garde pas un trop bon souvenir, du reste. Il me souvient que j’étais empalée sur un garçon dont le nom m’échappe aujourd’hui. Son copain n’a rien trouvé de mieux que de me prendre en sandwich, comme ça, à sec, sans la moindre préparation.Aie, ma mère ! Cela m’a brûlé durant trois jours !Mais mon angoisse est tout autre ! Je ne l’ai pas vue, hélas, mais, par contre, je l’ai suffisamment sentie pour que j’en aie une idée assez précise.
Il va m’éclater le derrière, ça ne fait pas l’ombre d’un doute !Je ne comprends pas pourquoi je ne mets pas fin à tout cela. C’est un peu comme si ma raison, ma volonté, ma personnalité était restée sur le palier, tout à l’heure, quand Brigitte m’a invitée à entrer dans son appartement.Je crois bien qu’elle joue un rôle parfaitement réfléchi dans ce qui se passe entre nous trois.Déjà, toute à l’heure, c’est elle qui m’emprisonnait, m’interdisant de par son intervention le moins geste de défense ou d’esquisse de ma part.Et c’est encore le cas maintenant. Ses bras entourent ma taille, ses cuisses contrôlent ma tête.
Je ne peux me soustraire aux manipulations de Jan.Si je n’avais pas tellement peur, je pourrais prendre mon pied.Entre sa langue, ses doigts et sa salive, il est en train de m’ouvrir l’anus avec, je dois bien le reconnaître, beaucoup de délicatesse et de précautions.Je ne me rends pas bien compte (je ne me rends plus compte de rien depuis que j’ai bu son cocktail, j’ai bien l’impression !) mais il me semble qu’il me branle de cul avec au moins trois doigts sinon quatre. J’entends malgré que mes oreilles soient à demi bouchées par les cuisses de Brigitte, le bruit étrange de ses doigts qui entrent et ressortent à toute vitesse de mon petit trou qui ne doit plus être si petit que ça !Brigitte s’en mêle ! Elle ne me broute plus la chatte mais me lèche le cul.
Je ne sens plus Jan. Je l’imagine, debout derrière moi, tout près, sur ses genoux, en train de se branler pour affermir son sexe.Je sais que dans les secondes qui viennent, je vais sentir le contact du gland chaud et humide. Il va probablement s’en servir pour caresser encore un peu l’orifice qu’il a méticuleusement dilaté, ajouter encore un peu de salive qu’il va laisser couler jusqu’à ce qu’elle glisse d’elle-même dans le trou béant.Avec la maîtrise et l’expérience qu’il semble avoir, je pense qu’il va juste le poser sur ma pastille et attendre, attendre que je sois prête, que je sois consciente, consentante ou même résignée à me faire sodomiser. Il va guetter ma réaction, voir les contractions de mes muscles, lire la peur sur ma peau.
Et moi, dans tout cela, hein ! Qu’est-ce que je fais, moi ? Rien, sinon de me jeter comme une folle sur la chatte de Brigitte que je dévore comme une affamée.C’est tout comme je l’avais imaginé ! Enfin presque !Jan prend effectivement son temps, me caresse du bout de sa queue pendant une minute ou plus. Ça me rend tellement folle que je n’ai plus la moindre notion du temps.Ce que je ne pouvais imaginer soudain me fait me mordre les lèvres jusqu’au sang !Jan me pénètre en faisant exactement comme tout à l’heure. Il entre, s’enfonce en moi, doucement.Ça pique ! Ça brûle !
Je ne peux faire moins que pousser un râle à faire peur. Je serre les coussins à m’en casser les ongles.L’étau des bras de Brigitte s’est affermi sur ma taille tout comme ses cuisses qui se sont refermées sur les tempes comme se ferme une huitre qu’on cherche à ouvrir.J’ai l’impression que mon ventre a gonflé, que j’abrite un alien dans mes boyaux.Jan cette fois ne bute sur rien mais c’est moi qui ressens comme une nausée quand il s’immobilise, engagé jusqu’aux couilles dans mon cul. Mes tripes semblent remonter dans ma gorge. Il faut que je me détende sinon, je vais vomir.
Ses mains nerveuses m’ont saisie un peu plus bas que les hanches, en haut des cuisses. De ses bras puissants, il me serre contre son ventre comme s’il cherchait à avancer encore plus avant !Sa verge palpite en moi et je ne sais pourquoi ni comment mais je lui réponds en contractant mes muscles comme pour le retenir.Message reçu de sa part ! Il apprécie !En guise de réponse il me claque la fesse gauche puis celle de droite sèchement.J’ai mal bien sûr mais c’est tout juste si je ne crie pas "encore !" .Un, deux, trois coups de ventre qui me font hoqueter et Jan se retire, d’un coup, entièrement.
Pendant un temps qui me semble une éternité il ne se passe rien.Brigitte me tient toujours fermement.Oh, mon Dieu ! C’est pas possible !D’un coup d’un seul et jusqu’à ce que ses couilles fouettent ma chatte, Jan m’a pénétrée sauvagement pour ressortir entièrement dans la seconde. Il recommence ! Encore ! Trois fois, dix fois ! Je hurle ! Je jouis !Brigitte récolte avec délice ma mouille que je sens couler abondamment dans sa bouche.J’ai joui par le cul ! Jamais ne n’aurais cru cela possible !
Plus câlin, Jan m’a reprise. Il navigue en moi tout en m’écartant les fesses.Son va-et-vient ravive mon désir qui s’était évanoui d’un coup. Ça revient comme une grosse vague qui va éclater sur la plage.Il me pilonne en m’agrippant par les hanches. Je sens ses ongles pas loin de rentrer dans ma peau mais je m’en fiche !Je fais des bonds en avant à chaque fois que son ventre claque sur mes fesses.Brigitte a un mal fou à me sucer, ma chatte se dérobe et sa langue lèche dans le vide une fois sur deux.J’ai chaud, très chaud. Chaud dans ma tête, chaud dans mon ventre quant à mon trou du cul, lui, il est en feu !
Comme les choses sont bien faites, Jan éteint l’incendie en giclant tant et plus sur le foyer.Je n’en peux plus de brailler de plaisir, de hurler à qui veut l’entendre que j’ai pris un pied d’enfer, de prétendre que je suis la dernière des salopes et que j’aime ça. Si je m’entendais, je me ferai honte seulement, je m’en fous et contre fous !Je roule sur le côté, évacuée par Brigitte qui doit en avoir marre que je l’écrase de tout mon poids.Je suis morte, incapable du moindre mouvement.La dernière vision que j’aurais de cette soirée c’est Brigitte qui nettoie la bite de Jan à grand renfort de coups de langue. Et puis plus rien !
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