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Barbara à Cracovie

Chapitre 2

Erotique
Je me réveille avec une vision étonnante.Déjà, je ne sais pas où je suis. Ce qui m’entoure ne me dit rien du tout.Et ce n’est pas tout !J’ai, là, sur la gauche, assez près pour que je puisse poser ma main dessus, une jolie paire de fesses.Le jour doit être à peine levé. Il fait sombre.
Ah mais ! Il n’y a pas qu’un cul ! J’ai aussi une tête, une tête blonde et bouclée.Là où elle est placée, je n’ai guère d’efforts à faire pour deviner à quoi elle s’occupe !Ça y est ! J’y suis !Cracovie, le loft, Brigitte... et le beau Jan. J’ai un peu de mal à coller les images les unes aux autres, les enchaîner, les mettre dans l’ordre.
Les coussins, la montagne de coussins, le cocktail de Jan et puis après... après ça se gâte un peu.Brigitte, Brigitte qui se fait câline, qui m’embrasse, qui me déshabille... à moins que ce soit moi qui me sois déshabillée ou qui l’aie déshabillée ?Et puis, c’est tout ! Enfin, pas vraiment !Il plane quelque part dans un coin de ma tête des instants extraordinaires, fabuleux mais tellement imprécis que je me demande si je ne les aurais pas rêvés.À côté, ça s’anime sérieusement !Brigitte couine, geint, monte dans les aigus. Jan grogne dans le ventre de sa partenaire.
Le 69 touche à sa fin !Effectivement, les deux amants se séparent. Brigitte roule sur le dos, me montrant à cette occasion une chatte légèrement poilue ouverte comme une figue dans laquelle on aurait mordu, dégoulinante de cyprine et de salive.Jan souffle comme un phoque. Il reste immobile, vidé, au sens propre comme au sens figuré !Qu’est-ce que je fous là, moi ?Je ne bouge pas. J’attends qu’ils reprennent leurs esprits.
C’est Brigitte qui, s’asseyant, me souhaite le bonjour, tout sourire.
— Bien dormi ? me dit-elle. On ne t’a pas réveillée au moins ?
Il est probable que ce soient eux qui m’aient sorti de mon sommeil mais je ne vais pas lui dire.
— Non ! Non ! J’étais déjà réveillée !— Tant mieux parce que, quand Jan me broute comme ça, je sais que je ne suis pas la discrétion même !
Tu parles ! Je ne serais pas étonnée qu’il y ait un attroupement en bas de l’immeuble !Jan se met sur le ventre et me sourit à son tour.J’espérais un temps entr’apercevoir sa queue que je n’ai toujours pas vue. Raté !Tout remonte à la surface même si cela reste encore un peu flou.Je ne peux oublier, même shootée à mort, la petite séance d’introduction de son dard dans mon pauvre petit cul ! D’ailleurs, puisque je l’évoque, je sens bien qu’il s’est passé quelque chose de pas ordinaire de ce côté-là. Ça picote encore un peu !
— On déjeune et on va se promener ? T’es d’accord ?
Je suis à peu près sûre que c’est ou la promenade ou la baise toute la journée ! J’ai rien contre remettre ça mais un petit intermède entre deux plans cul n’est pas à négliger !
— OK pour la balade !
Jan vient de se mettre debout. Non d’un petit bonhomme ! Et dire que sa queue est presque déjà entièrement au repos ! Qu’est-ce que ça doit être quand il bande !Pas gêné le moins du monde il se penche sur moi pour m’embrasser sur la bouche.J’ai une envie folle de tendre la main et de me saisir de son sexe mais si je fais cela la promenade est fortement compromise !Je me contente de le regarder partir vers la salle de bains. Son petit cul n’est pas mal non plus !
Brigitte voit mon regard suivre son mec. Elle sourit.
— C’est un bon coup, hein !
Même si je ne me souviens pas de tout j’acquiesce spontanément.Une question me brûle les lèvres et je ne peux m’empêcher de la lui poser.
— Tu sais ce qu’il met dans son cocktail ?— Rien d’illégal ! Que des trucs naturels ! On est bien après un verre ou deux, n’est-ce pas !— Qu’on soit bien, je suis d’accord mais j’aurais bien voulu garder mon self contrôle hier soir or, avec sa mixture, j’ai complètement perdu les pédales !— L’important c’est que tu étais bien, non ?
Vu comme cela ...Nous voici tous les trois à poils dans la salle de bains. C’est chaud mais ça ne dérape pas. Des caresses, une friction qui ressemble plus à du pelotage qu’autre chose mais pas plus !Jan me rend dingue ! J’ai en permanence envie de lui sauter au cou. Mine de rien Brigitte veille aux grains et s’interpose souvent fort à propos pour éviter mes débordements affectifs.
Ah ! Si elle n’était pas là !!!C’est vrai que Cracovie est une très belle ville ! En plus, il fait un temps superbe. Bêtement, il me semblait impossible qu’il puisse faire aussi chaud en Pologne. Comme quoi, les idées reçues, hein !Nous sommes sur le Rynek, cette place extraordinaire avec son marché médiéval en son centre quand soudain Brigitte nous plante là et part en courant.Elle revient deux minutes plus tard suivies de deux types plutôt pas mal pour ne pas dire mignons comme tout.Visiblement Jan les connait.Avant de me les présenter je la vois chuchoter quelque chose à l’oreille du plus grand qui me regarde immédiatement en affichant un sourire un tantinet coquin.
Bonjour jolie petite Française ! Je m’appelle Vladimir, Vlad pour les amis.S’il n’avait pas ce petit accent chuintant je pourrais croire qu’il est français tellement sa diction est parfaite.Mon ami Nikolaï, me dit-il, en désignant l’autre gars sans lâcher ma main, un blond aux yeux bleus à l’allure sportive.Brigitte recommence son manège en susurrant je ne sais quoi à l’oreille du garçon dont le regard s’illumine aussitôt.J’ai bien peur qu’elle m’ait présentée sous un angle bien particulier en lien direct avec la nuit dernière !Nikolaï me prend l’autre main. Je suis devant ces deux beaux mecs comme un lapin dans les phares d’une voiture.
Ils me regardent, m’auscultent, me calculent, me déshabillent des yeux que j’en suis toute retournée.Quand ils consentent à me libérer, mes bras retombent le long de mon corps comme des chiffons.Mon cœur cogne dans ma poitrine et je sens mes joues en feu. Ces cons m’ont fait mouiller ma culotte !
— Tu viens Barbara ?
Ouf ! Grâce à elle je retombe sur terre. Déjà qu’avec Jan j’ai tôt fait de perdre mon sang froid alors avec ces deux-là en plus ...Et nous voilà partis tous les cinq visiter la ville.Nous n’avons pas fait cent pas que Vlad à son bras sur mes épaules, sa main juste au-dessus de mon sein gauche, deux doigts introduits dans mon soutien-gorge à la recherche de mon téton. Nikolaï, me tient par la taille. Pas plus gêné que son camarade, c’est tout juste s’il ne me pelote pas le sein droit. Pas de doute, Brigitte y est pour quelque chose dans l’attitude plus que cavalière de ses deux invités surprise.Jan et Brigitte marchent derrière. Je me demande bien à quoi ils pensent ces deux-là quand ils me voient encadrée par ces deux coquins !Après le château de Wawel, la cathédrale et la basilique Sainte-Marie une halte dans un troquet du quartier juif est la bienvenue.
Les deux garçons ne m’ont pas lâché d’une semelle. Tout en restant relativement discrets ils ont bien profité de chaque occasion pour avancer leur pion.La petite jupette que j’avais renoncé à mettre pour venir avait malgré tout fait le voyage et, comme il faisait très beau ce matin, tout naturellement, c’est elle que j’ai mise.Ni Vlad ni Nikolaï ne s’en plaignent !J’ai ma cuisse gauche contre celle de Vlad, (tout contre). Nikolaï, quant à lui, profitant qu’il est moins en vue que son camarade, me caresse sous ma jupe jusqu’à en écarter ma fine lingerie.Je n’ai pourtant pas bu l’élixir de Jan. J’ai malgré tout très envie de ces caresses. Le plaisir commence à m’envahir. Nikolaï me doigte d’une main tout en sirotant son Martini. Vlad n’ose pas en faire autant mais ce n’est pas l’envie qui lui en manque !Brigitte, tournée vers le soleil, fait comme s’il ne se passait rien quant à Jan, je suis tombée dans ses yeux et je ne parviens pas à en sortir. Il sait que j’en suis au point où il n’en faudrait pas beaucoup plus pour que je jouisse. Je le vois dans son regard. C’est affreux ! Ça ne fait qu’empirer mon état !
J’ai laissé échapper un soupir qui est presque passé inaperçu mais tout doit se voir sur mon visage. Brigitte qui l’a entendu me sourit d’une drôle de façon, comme si elle avait les yeux sous la table ! Il n’est que temps de repartir avant que je commence à manifester plus bruyamment tout le plaisir que j’accumule dans ma poitrine. Ça va bien finir par sortir et là, j’aurais vraiment honte.Je pose brutalement un billet sur la table.
— C’est moi qui régale et ne discutez pas !
Et je me lève, me libérant ainsi des doigts de Nikolaï. L’élastique de ma culotte claque sur ma cuisse. J’ai l’impression que tous les gens aux alentours l’ont entendu !La journée est bien avancée.Nous sommes pratiquement revenus à l’endroit où nous avons rencontré les deux garçons.Alors que je m’attendais à dire bonsoir à nos deux amis qui s’étaient montrés tellement empressés à me montrer l’intérêt qu’ils me portaient, Brigitte leur dit quelque chose que je suis incapable de traduire mais que j’ai parfaitement compris malgré tout.Elle les a invités...! À moins qu’il était déjà convenu entre eux qu’ils passeraient la soirée avec nous, avec moi, surtout !
Ils vont venir dans le loft et il y a fort à parier, en fonction de leur comportement en public, qu’en privé ils ne vont pas s’assagir !Je ne sais pas si je dois m’en réjouir.Quelque part, au fond de moi, je trouve la nouvelle des plus intéressantes.D’un autre côté, je vais me retrouver face à trois hommes qui vont, j’en suis certaine, me faire connaître un tas de choses que je ne soupçonne même pas !J’ai beau me dire que ce n’est que du bonheur, j’ai quand même un peu la trouille !Vlad et Nikolaï m’ont reprise, bras dessus, bras dessous, et nous revoilà partis en direction du tas de coussins.
C’est, je crois, sous cette appellation que ce loft restera dans ma mémoire !Vlad n’attend pas que nous soyons arrivés pour me rouler une pelle grand format pendant que le monte-charge nous hisse lamentablement au 5e étage.Du coin de l’œil je vois Brigitte qui semble très satisfaite de la tournure des événements.Un étage de plus et j’étais morte asphyxiée !Nikolaï me tient la main pour sortir.
— La plateforme ne s’arrête pas à la bonne hauteur une fois sur deux ! Me dit Brigitte, aidée pour sa part par Jan.
Vlad en profite pour me peloter les fesses, pas simplement en me poussant mais bien en glissant ses mains sous ma jupe.Il ne peut pas ne pas avoir constaté combien ma culotte est trempée de mouille.Je vais avoir du mal à leur faire admettre que je ne suis pas chaude comme les braises !
— Installez-vous, les amis pendant que Jan et moi, nous vous préparons quelques amuse-bouches.
Je constate que les deux gars connaissent parfaitement les lieux car, sans la moindre hésitation, l’un et l’autre, me tenant par les poignets, m’entraînent vers ce qui va devenir à n’en pas douter un baisodrome dans les minutes qui viennent !Grimpée sur les fameux coussins, je suis en sandwich entre Vlad devant et Nikolaï derrière.Vlad, souriant, pose ses mains sur mes hanches. Il soulève mon haut, s’arrête un instant pour glisser ses doigts dans mon soutien-gorge puis poursuit son geste et me met torse nu en l’espace de quelques secondes. Il me serre contre lui et m’embrasse.Nikolaï n’est pas en reste ! Il trouve la petite agrafe en un rien de temps, descend ma fermeture Éclair et tire d’un coup sec sur ma jupe qui glisse le long de mes jambes.Il pose ses mains à plat sur mes fesses, à même la peau, et me soulève d’un mètre.
Vlad se saisit de ma petite culotte d’une main tout en me maintenant les reins de l’autre.Et hop ! Disparue la culotte !J’ai mes cuisses posées sur ses épaules. Il me soulève un instant en me tenant les fesses puis bloque mes hanches sur sa poitrine de ses bras puissants.Nikolaï m’a lâchée et je bascule à la renverse.J’ai sa bite à quelques centimètres de ma bouche.Il a fait vite pour se mettre à poil !
Je pousse un cri.Vlad m’embrasse goulûment la chatte. Il me mordille le clito. Je hurle !Ma bouche grande ouverte accueille bien malgré moi la queue tendue de Nikolaï qui n’attendait que ça !C’est trop bon ce que me fait Vlad !Je capitule !Va pour une pipe la tête en bas !
De toutes les manières, ce soir je vais certainement réviser l’intégralité du kâma sutra, version multi-partenaires, alors !Je n’ai d’autres prises que les fesses de Vlad.Nikolaï me caresse les seins tout en léchant mon nombril.C’est la première fois que je fais un truc aussi dingue mais si l’occasion se représente, je le referai volontiers.Je ne sais ni comment ni pourquoi mais nous nous sommes affalés tous les trois et je me retrouve sur Vlad. Dans ma chute j’ai dû faire un demi-tour sur moi-même parce que Vlad me bouffe toujours le minou mais c’est sa bite que je suce. Je ne sais pas où est passé Nikolaï.C’est pas trop le moment de faire ma curieuse mais il s’est passé quelque chose de différent entre hier soir et maintenant dans le loft.
C’est chaud entre Vlad et Moi. Il passe par-dessus et me relève les jambes pour mieux avoir accès à mes trésors cachés, principalement celui qu’il ignorait jusqu’à présent mais qui semble maintenant le captiver au plus haut point.Ça y est ! J’ai compris ! Hier, nous étions, Brigitte, Jan et moi dans une semi-obscurité, à peine éclairés par les lampes posées à même le sol.Or, maintenant, il fait plus jour que si nous étions en plein midi sur la plage !Et ce n’est pas un hasard !Là-haut, tout là-haut, dans ce plafond qui est si haut qu’on n’en voit pas le bout, quatre rectangles aveuglants illuminent ce coin du loft généralement plongé dans l’ombre.Mais ce n’est pas tout ! Ça forme un carré autour des quatre points lumineux.
D’autres lampes, des vertes et des roses, dessinent comme une guirlande dans le ciel. Ça me fait penser aux néons de mon aquarium quand j’étais gosse pour reproduire un éclairage naturel.D’un coup de reins, Vlad m’a remise sur lui. Il m’écarte les fesses, me lèche, fait entrer sa langue dans mon cul. C’est fou l’effet que ça me fait ! Du coup, je lui fais une gorge profonde. D’habitude, je n’aime pas trop et puis, je n’y arrive pas à chaque fois ou alors, ça me fait tousser comme une perdue !Je pousse un cri de surprise. Nikolaï est revenu ! Il a bien profité des soins que Vlad a apportés à mon petit trou pour s’y engouffrer d’un coup d’un seul !Il m’encule hardiment pendant que Vlad se régale de ma chatte.Je pense que Jan y est pour quelque chose si je suis en mesure de recevoir Nikolaï sans faire la grimace. J’ai encore dans un coin de ma mémoire le moment où il a commencé à me pénétrer par là. J’ai bien cru qui allait me déchirer mais alors après ...!Il n’empêche que grâce à lui, Nikolaï s’en donne à cœur joie et moi je prends un pied d’enfer !
Vlad me fait glisser sur lui. J’ai compris !Je lui facilite même la tâche en avançant sur les genoux sans perturber Nikolaï mais il me cramponne suffisamment pour que lui échappe !Je suis allé chercher à tâtons sa queue pour la présenter à l’entrée de mon vagin qui dégouline de salive.Elle rentre sans peine. Il ne lui reste plus qu’à se mettre au diapason de son pote pour qu’ils me prennent tous les deux sans se gêner l’un l’autre.Une double, je ne me souviens plus de quand date la dernière ! En tout cas, je n’oublierai pas celle-ci !Ah ! Ils s’entendent bien ces deux-là !
Un coup chacun son trou, un autre coup les voilà tous les deux dans ma chatte.Forcément, le coup suivant, c’est à deux qu’ils m’enculent !Une première en ce qui me concerne !Ils ne me voient pas mais je fais une drôle de tête. La petite séance, hier avec Jan, n’aura pas suffi pour m’élargir autant qu’il le faudrait.Je déguste, en silence, enfin, au début !Je me mets à brailler parce que j’ai mal et puis parce que je n’ai plus mal du tout !
Ah, les salauds ! Qu’est-ce qu’ils me mettent !C’est à ce moment-là juste au plus fort d’une double endiablée dans ma chatte qu’apparaît Jan, là, juste devant moi, moi qui suis à quatre pattes, secouée comme un prunier !Je voulais la voir, sa bite ! Eh bien je la vois !Ce coup-ci, elle est bien tendue, bien raide, bien dressée.Ce n’est pas humain de se trimbaler avec un truc pareil ! À mon avis, ça relève du port d’arme !30 centimètres, je suis prête à parier qu’elle fait bien 30 centimètres ! Et grosse, épaisse, énorme !
Jan est juif ce qui n’arrange rien ! Sa bite sans prépuce ressemble à une espèce de fusée pointue lisse et luisante. Et ses couilles ! Un taureau !Quand je pense qu’il m’a enculée avec ÇA !Pour l’heure, vu que de l’autre côté la place est prise (et pas qu’un peu !) Jan me la cloque dans le bec !Pas question que je lui fasse une gorge profonde à lui, pas question !Je ne suis pas avaleuse de sabre à Bouglione !Tout comme hier, ce mec est doux, prévenant, délicat.
C’est un vrai régal une pareille queue même si je n’arrive même pas à en avaler la moitié !Il s’est mis sur les genoux pour m’attraper les seins.J’ai la totale ! Je ne vois pas ce qu’on pourrait me faire de plus !Je suis tellement aux anges que j’en perds le fil. Je ne sais plus qui fait quoi, qui je suce, qui m’encule qui me baise, mais qu’importe !Pourvu que ça dure ! Je ne souhaite rien d’autre !Aveuglée par la forte lumière je distingue malgré tout Vlad en contre-jour.
C’est lui que je suis en train de sucer. Il se retire soudain juste avant que je reçoive une giclée de sperme sous le nez.Son jus est épais, filant et légèrement sucré. J’en prends une autre sur la joue. J’interviens pour recentrer sa queue sur ma bouche et recueille les suivantes sur ma langue !C’est un de mes péchés mignons ! J’adore le sperme. Ça me navre quand les mecs m’éclaboussent le dos ou le ventre sans me permettre d’en avoir une petite part !Avec Vlad, je suis gâtée ! J’ai la bouche pleine !C’est con mais je pense juste à ce moment-là à ce que ça doit être avec Jan !C’est au tour de Nikolaï de venir se branler au-dessus de mon visage.
J’anticipe l’éjaculation en m’en chargeant moi-même, conservant avec soin son gland sur ma langue tendue.Bingo ! Ça sort par longs jets qui me frappent le palais.Lui, je trouve qu’il est plutôt salé et sa semence est fluide. J’aimais mieux celle de Vlad !Jan est toujours à la peine, en train de me baiser comme un malade. Il a une résistance incroyable !Je suis impatience de goûter à son sirop !Je ne suis qu’à moitié surprise quand il vient s’asseoir sur moi et glisse sa queue entre mes seins.
Un perfectionniste, ce mec.Il me regarde toujours avec un regard tendre même si je lis l’excitation sur son visage.Avec lui et sa bite longue comme un jour sans pain, ce n’est pas compliqué. Je la gobe aisément en baissant un peu mon menton.Il va et vient, glisse de mes nichons à ma bouche, recule, reviens, crache, roule ses couilles sur mon ventre, recommence mais toujours pas de sperme en vue.Ça me gicle dans la figure avec force au moment où je m’y attendais le moi !Inondée que je suis, inondée ! J’en ai partout ! C’est à peine si j’ai pu en avaler un peu !
Jan, c’est véritablement la démesure !Parfait ! Tu as été parfaite, ma chérie !Je l’avais oubliée celle-là ! Brigitte se tient debout au-dessus de moi, habillée, souriante comme toujours.La lumière s’éteint tout à coup, nous plongeant dans une obscurité relative mais reposante.On n’a plus besoin de cela maintenant, n’est-ce pas les hommes ?J’ai du mal à suivre la conversation, tantôt en polonais, tantôt en anglais.
Mais s’il y a bien un mot que je comprends et qui revient plusieurs fois dans ce que dit Brigitte, c’est le mot "vidéo".Où j’ai la certitude d’avoir bien compris c’est quand j’attrape à la volée un autre mot qui lève le doute que je pouvais encore avoir. "Sextape". Vidéo... Sextape... Vidéo... Sextape !Ces mots s’entrechoquent dans ma tête, tournent comme dans une machine à laver.Je ne peux me résoudre à croire ce que mon esprit me crie haut et fort.La lumière, les spots, ces deux mecs qui sortent de je ne sais où, Jan qui présente des qualités fortement recherchées dans un certain genre de production, les deux autres n’étant pas en reste, soit dit en passant !Comme un diable jaillissant de sa boîte, je suis sur mes jambes en une fraction de seconde.
— Ne me dis pas que tout ça... Nous... Eux... Moi... Que tu nous as filmés ?— Bien sûr que oui, ma chérie ! C’est seulement maintenant que tu t’en rends compte ?— J’ai bien trouvé bizarre qu’il y ait tant de lumière alors qu’hier, nous étions presque dans le noir, mais heu... Non, finalement, non !— Tu es vraiment candide, mon chou ! Tu as de la chance d’être tombée sur nous !— Ah bon ! Et pourquoi ? Ça pourrait être pire ?— Détends-toi ! C’est pas parce que ces trois-là sont des professionnels du X que tu vas te retrouver sur le Net.
Je crois ne jamais avoir été plus attentive à ce que Brigitte me disait de toute ma vie !
— Je t’explique !— Hier, tu nous as montré tellement de... qualités qu’on s’est dit, Jan et moi, qu’on pourrait en profiter pour tourner une sextape avec d’autres mecs. Pour être franche, on a raisonné "Business" en premier !
Et puis on s’est dit que cela n’était pas honnête mais qu’il fallait quand même le faire, en privé !Tout ça pour te dire que cela ne sortira pas d’ici sauf dans une clé USB que tu emporteras avec toi.Ça va mieux ! Tu es rassurée ?
— OK ! Je te crois ! Je t’en veux quand même un peu mais je te crois !
Maintenant, tu vas tout m’expliquer, tout me montrer.Les hommes sont partis prendre une douche pendant que Brigitte me fait faire le tour des installations.Je n’en reviens pas ! C’est truffé de caméra ! Il y en a partout ! En haut en bas, dans les fameuses lampes, même accrochées sur les tapisseries. Elles sont minuscules et quasi invisibles.
— Suis-moi !
Je n’étais pas au bout de mes surprises. Elle ouvre, bien dissimulée, une petite porte qui conduit à un escalier.On grimpe et là, j’en reste baba ! Des écrans partout, une méchante table de mixage vidéo et une autre audio, le tout en matériel de pro.
— Pigée, Mademoiselle la candide ! Avec ça (elle me montre l’ensemble du matos), je peux te compter les poils du cul sans bouger de ma chaise !
Elle fait courir un bouton sur la table de mixage et sur l’un des écrans, la petite flaque de sperme qui commençait à se faire absorber par le tissu du coussin est devenue un lac de foutre remplissant tout l’écran.
— Zoom 60 fois ! Et c’est pareil pour toutes les caméras !
J’ai éprouvé le besoin de m’asseoir. L’idée que je fasse les belles heures de vicieux en train de se palucher devant leur écran m’obsédait.
— Tu me promets...
Oui ! Je te promets que rien ne sortira d’ici. Repasse demain dans la soirée. J’aurais fini le montage et tu pourras repartir avec ton petit cadeau.Maintenant, si tu veux rester la nuit mais sans caméra, juré, craché, ce sera avec plaisir !Je suis repassée chercher "mon petit cadeau".Je ne suis pas restée dormir au loft.Je n’y retournerai jamais.
Mais je reste intimement persuadée que Brigitte a gardé une copie de cette folle nuit !
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