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Barcelone

Chapitre 1

Hétéro
Jérémy travaillait dans une entreprise de fabrication de matériel de chantier. L’entreprise avait récemment créé une filiale en Espagne pour accroitre son activité et, en tant que responsable Recherche et Développement, Jérémy avait tout naturellement été convié à Barcelone pour vérifier l’avancement des projets et visiter les nouveaux locaux.Grand, les cheveux bruns, un visage amical, il avait le début de l’embonpoint des trentenaires qui aiment la bonne chair, ce qui ne l’empêchait pas d’avoir un certain succès auprès des femmes. Mais sa timidité et son manque d’expérience le freinaient souvent lorsqu’il était question de prendre les devants.
Arrivé à Barcelone en avion, un taxi l’avait conduit jusqu’aux locaux de l’entreprise, en dehors de la ville. Après une petite demi-heure de route, il arriva enfin et fut accueilli par Gwendoline.Gwendoline était la fille du PDG. Après quelques années en tant que secrétaire administrative, elle avait été promue à la direction de la filiale de Barcelone. Jérémy l’avait toujours trouvée très attirante, malgré son attitude autoritaire, parfois presque masculine, elle conservait une certaine féminité.Fine, la silhouette sportive, elle portait ce jour-là un pantalon de tailleur noir avec un chemisier blanc, ses cheveux bruns étaient redressés en chignon. Les talons aiguilles qu’elle avait aux pieds lui donnaient un véritable air de cheffe d’entreprise, tout en mettant en valeur son fessier, ce fessier qui ne laissait pas Jérémy indifférent.
Après l’avoir chaleureusement salué, elle lui proposa un rafraichissement avant d’attaquer la visite de l’entreprise. Jérémy la suivait, ses yeux dérivant de temps à autre irrémédiablement vers la forme rebondie dans le tailleur noir, descendant jusqu’aux talons puis remontant jusqu’à la nuque nue. Elle était devenue une vraie femme. Une fois la visite terminée, elle repartit dans son bureau, laissant Jérémy avec Michel-Ange, le responsable de la fabrication, un incompétent notoire.
L’après-midi fut long et ennuyeux. Jérémy s’exaspérait des erreurs flagrantes qui seraient à corriger dans la façon de travailler des Espagnols.A 18h, l’équipe débaucha. Gwendoline appela Jérémy pour lui expliquer qu’ils iraient dîner ensemble et qu’elle le raccompagnerait à son hôtel ensuite.
— Il y a des douches aux vestiaires, prends ton temps, j’ai encore quelques tâches à finir. Ensuite, je prendrai aussi une douche rapide dans mon bureau, tu peux monter vers 18h30.
Il entreprit donc de se doucher et de se changer. Enfilant simplement un jean et un t-shirt pour être à l’aise. Durant la douche, il avait tenté, en vain, de ne pas imaginer Gwendoline, nue dans la douche de son bureau...
Lorsqu’il frappa à la porte de son bureau, elle lui ouvrit en lui faisant signe de s’asseoir et en lui intimant le silence, car elle était au téléphone avec ce qui semblait être son père. Elle avait enfilé un top à fines bretelles ainsi qu’un jean, elle aussi semblait vouloir être à l’aise, elle avait malgré tout remis ses chaussures à talons. Un parfum floral flottait dans l’air et ses cheveux, toujours humides, tombaient en cascade sur ses épaules.
Jérémy s’assit en face d’elle, et attendit la fin de sa conversation téléphonique. Elle semblait exaspérée, ne souhaitant qu’une chose : raccrocher. Elle était assise face à lui, qui regardait autour de lui pour ne pas la dévorer des yeux.
C’est alors qu’il sentit quelque chose effleurer son entrejambe. Surpris, il sursauta en s’apercevant que c’était son pied à elle qui était posé là. Il leva les yeux, elle était toujours au téléphone, mais le regardait à présent avec insistance. Son pied commença à caresser le paquet de Jérémy, qui rougit instantanément, ne sachant que faire.
Au bout de quelques secondes, elle retira son pied, et recula légèrement sa chaise. Là, elle dégrafa le bouton de son jean et descendit la fermeture éclair, ses yeux toujours plantés dans ceux d’un Jérémy de plus en plus incrédule. Qu’était-il en train de se passer ? Elle n’avait jamais eu l’air de s’intéresser à lui et tout à coup, elle cherchait clairement à l’exciter ? Incapable de réfléchir, il resta là à la regarder.

Gwendoline glissa une main sous son jean et commença à se caresser. Elle ne le quittait pas des yeux. Ses yeux à lui alternaient entre son regard et cette main qui s’activait à lui donner du plaisir. Elle finit par fermer les yeux, penchant légèrement la tête en arrière à mesure que le plaisir naissait. L’excitation se faisait aussi sentir chez Jérémy, la bosse dans son pantalon ne cessait de gonfler.
Elle lui fit signe de s’approcher, sans réfléchir, il obéit. Il fit le tour du bureau et s’approcha doucement d’elle. Il entendait la voix familière de son patron à travers le téléphone. Elle lui saisit une main et l’entraîna vers son intimité. Jérémy eut une bouffée de chaleur. Ses doigts effleurèrent les lèvres de Gwendoline, déjà humides de désir suite aux caresses qu’elle s’était appliquées. Lui se laissa guider par sa main, ils étaient tous les deux en train de lui donner du plaisir et leur respiration s’accélérait. La bosse dans le jean de Jérémy semblait sur le point d’exploser. Elle retira sa main, le laissant s’occuper d’elle, profitant simplement du plaisir.
Il n’avait pas beaucoup d’expérience, mais, l’adrénaline aidant, il commença à la caresser de manière plus insistante, sachant exactement ce qu’il faisait. Ses doigts écartant les lèvres, pressèrent le clitoris, déclenchant des râles d’excitation chez la belle. Lorsqu’il enfonça son majeur dans son vagin, il la sentit se cambrer sur sa chaise. Il fit des va-et-vient dans son intimité qui était maintenant bien mouillée.
Il l’entendit à peine dire « Très bien, on se rappelle demain, bonne soirée. ».Elle posa le téléphone et se laissa aller au plaisir provoqué par les doigts de Jérémy. Il était placé derrière elle, sa tête près de la sienne, il entendait ses gémissements, sentait sa respiration chaude et l’odeur florale de ses cheveux.
Elle finit par tourner la tête pour l’embrasser. Un baiser long, intense, sexuel. Oubliant ce qu’il faisait, la tête tournant un peu, il se laissa faire quand elle se leva et posa la main sur cette bosse qui n’en finissait plus de gonfler. Elle caressa le jean quelques instants, puis l’ouvrit, le faisant tomber sur les genoux de Jérémy. A travers son slip, elle palpa son sexe de belle taille, plutôt large, surmontant des bourses qui ne demandaient qu’à exploser si on en jugeait par la tâche humide qu’on voyait au bout de la verge. Gwendoline le poussa à s’asseoir sur sa chaise et retira son slip, laissant apparaître son manche fièrement dressé par le désir.
Elle prit directement sa bite en main, le branlant doucement tout en l’embrassant. Lui respirait de plus en plus fort, sentant sa petite main autour de son manche. Elle se mit à genoux devant lui, entre ses cuisses et passa la langue sur toute la longueur de sa verge. Elle fit ainsi quelques aller-retour avant de s’attarder sur ses couilles. Elle donnait des coups de langue, les gobait l’une après l’autre, sa main le branlant toujours, elle semblait habituée à s’occuper d’un homme. Jérémy était aux anges. Il se laissa aller au plaisir qui n’en finissait plus de monter. La langue de Gwendoline remonta jusqu’à son gland, avec lequel elle s’amusa quelques secondes avant de l’avaler complètement.
L’instant fut divin. Elle s’activait de haut en bas à la fois avec sa bouche expérimentée et sa main. Il s’était rarement fait sucer, et jamais aussi bien. Il sentait la chaleur de sa langue, ses doigts qui montaient et descendaient, palpant par moments ses couilles gonflées pour l’exciter un peu plus. Elle sortit ensuite cette belle bite de sa bouche pour s’occuper uniquement du gland, le taper contre sa langue tout en regardant Jérémy. Il se sentait à la fois puissant devant elle, qui se comportait comme une véritable chienne affamée, et soumis à cette experte qui lui faisait découvrir de nouveaux plaisirs.
L’instinct viril l’emporta, il se leva pour la dominer de toute sa hauteur, prit ses cheveux humides dans une main et lui enfourna sa bite en bouche d’un seul coup. Elle en gémit de plaisir. Il recommença ainsi plusieurs fois avant de prendre sa tête entre ses deux mains et de lui baiser la bouche. Gwendoline se laissait faire, soumise, mais sa langue s’activait pendant les va-et-vient du bon manche entre ses lèvres. Jérémy vit que la petite cochonne avait de nouveau glissé une main dans sa culotte tandis qu’une autre, sous son top, s’occupait de ses seins. Il la fit se relever pour l’embrasser encore, ses mains descendirent sur ses jolies fesses qu’il put enfin palper pendant leur baiser. Elle le repoussa alors un peu et s’éloigna d’un pas. Là, elle commença à se déshabiller. Jérémy se rassit malgré lui, la bite en main, se délectant du spectacle. Elle enleva son haut, puis son soutien-gorge, libérant ses seins, petits, mais fermes, aux tétons durcis par l’excitation.
Après avoir ôté ses talons, elle se défit du jean. Lorsqu’elle descendit doucement son string, la queue de Jérémy, toujours dans sa main, gonfla un peu plus devant la fine traînée de poils qui descendait jusqu’à sa petite chatte.
Il se leva, n’y tenant plus, et l’embrassa à nouveau. Sa main explora enfin les petits seins de Gwendoline et sa langue ne tarda pas à y descendre. Il joua avec les tétons fièrement pointés, les mordillant par moments. Ses gémissements l’encouragèrent à continuer. Il la retourna et la pressa contre lui pour l’embrasser à nouveau, une main sur ses seins pendant que les doigts de l’autre s’activaient sur sa chatte. Sa bite, toujours aussi dure, était pressée contre ses fesses qu’il avait tant de fois désirées.
Il se recula légèrement pour les admirer. Puis, comme un réflexe bestial, les gifla avec force, l’une après l’autre. Gwendoline poussa un cri à chaque claque, entre l’excitation et la douleur. Elle posa sa tête sur le bureau, écartant légèrement les jambes, lui offrant ainsi sa croupe encore plus. Il recommença les fessées, moins violentes que les premières, mais toujours aussi viriles. Ses mains malaxaient ses fesses, les embrassaient, les giflaient. Gwendoline couinait de plaisir, soumise.
Elle se releva pour l’embrasser, toujours dos à lui. Elle prit son manche pour le taper sur ses fesses et prononça les premiers mots depuis qu’il était entré dans son bureau « Baise-moi ».A ces mots, le cerveau de Jérémy vrilla, l’homme en lui disparut, laissant place à la bête en rut. Il la repoussa sur son bureau, vérifia avec ses doigts que sa chatte était assez humide, elle suintait littéralement de désir. Il y enfonça alors sa queue, ni trop doucement, ni trop violemment, mais tout de même jusqu’à la garde. Il resta là quelques secondes, regardant le visage de Gwendoline, posé sur le bureau, se mordillant les lèvres. Il entreprit alors de la baiser, comme elle l’avait demandé. Les allers-retours, lents au début, se firent de plus en plus rapides. Jérémy n’avait que très peu pratiqué la levrette, mais il prenait de plus en plus confiance, résistant à l’envie folle de jouir. Les gémissements et les couinements de Gwendoline rendaient la tâche difficile.
Elle agrippa ses fesses pour l’encourager à continuer de la pilonner, il s’y attela avec force. Ralentissant la cadence, mais augmentant la force, une main lui caressant la chatte pendant que sa queue s’activait. Elle couinait de plus en plus, surprise et excitée par tant de virilité.
Elle se releva un peu pour prendre appui sur ses bras et commença alors à bouger son bassin, prenant l’ascendant sur Jérémy. Elle se baisait elle-même avec sa grosse queue emplie de désir, elle gémissait toujours plus fort. Il la sentait sur le point d’exploser, il la repoussa alors d’un coup sur le bureau et reprit son rôle de mâle. Ses mains agrippant les hanches de Gwendoline, il se remit à la baiser avec force.
C’est alors qu’il la sentit se contracter, elle se cambra un peu et elle poussa un cri plus puissant que les autres. Elle plaça sa main sur sa chatte, Jérémy y ajouta la sienne, et elle jouit. Poussant plusieurs râles, la tête écrasée sur le bureau.
Il fallut quelques secondes à Jérémy pour réaliser ce qu’il venait de se produire. Mais il se ressaisit et envoya encore quelques coups de boutoir avant que la tension ne le fasse exploser. Il se retira pour jouir sur ses fesses toujours tendues. Les deux premiers jets de son sperme épais et chaud atteignirent le milieu du dos de Gwendoline. Les suivants, moins puissants, sur ses fesses, dégoulinant pour glisser jusqu’à sa chatte encore ouverte et trempée. Jérémy y enfonça à nouveau sa bite pour finir de jouir en elle, sa queue gonflée palpitant encore de plaisir.

Après une minute ou deux (peut-être plus, son cerveau embrumé n’aurait su le dire), il se retira et elle put se redresser et se tourner. Elle le regarda, satisfaite, et lui dit simplement, comme si de rien n’était : « Retourne à la douche, on décolle dans 15 min », puis elle partit dans sa propre douche, le laissant là, le jean et le slip toujours sur les genoux, sa bite mollissant, encore humide.Un peu dépassé par la situation, Jérémy s’exécuta et une pensée lui vint en tête pendant qu’il se douchait... c’était seulement son premier jour à Barcelone !
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