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La baronne de Saintonge

Chapitre 1

Divers
Flore de Saintonge se leva bien avant l’aube, comme chaque matin, pour enfourcher Eclair, son pur sang. Et comme chaque matin, elle était nue pour chevaucher dans la campagne. Elle montait à cru et chaque mouvement du cheval se répercutait délicieusement sur sa vulve. Ses seins laiteux et lourds se dandinaient allègrement. Elle n’aurait pu désormais se soustraire aux deux orgasmes matinaux que sa longue chevauchée lui offrait. Elle rentrait souvent abasourdie par le plaisir et laissait volontiers la liberté de l’itinéraire à son fougueux destrier. Lorsqu’elle en descendait, elle ne manquait jamais de jeter un rapide coup d’œil sous l’animal et elle voyait parfois le membre puissant déployé. Cela lui provoquait toujours un vif émoi. Agée de 18 ans, pucelle, elle n’avait jamais vu un corps d’homme et nourrissait les plus vifs fantasmes.
Elle prenait soin d’entrer et de sortir du château par l’accès nord des écuries, très peu utilisé, mais frissonnait néanmoins, malgré l’heure, à l’idée d’avoir été aperçue. A 5h30, elle était de retour dans son lit, une demi-heure seulement avant le réveil des domestiques. La baronne de Saintonge, sa mère, veuve, la destinait à un comte de quarante ans son ainé, mais très fortuné. Et en 1760, on ne discutait pas les décisions de ses parents. Flore de Saintonge n’oubliera jamais cette soirée du 8 septembre qui célébra ses fiançailles avec le comte de Rochefort qui arriva en grande tenue d’apparat, porté par un carrosse cousu d’or. Flore qui guettait son arrivée derrière les carreaux de sa chambre, insouciante et à peine sortie de l’enfance, en fut émerveillée. Malgré ses protestations, elle fut habillée en tenue de cour, corps à baleines rigidifié par un busc et lacé dans le dos. Son opulente poitrine, bien qu’écrasée, débordait du vêtement.
Le tout était dissimulé par une robe turquoise assortie à ses yeux. La baronne, en accoutrant sa fille de la sorte, voulait subjuguer le comte, car il était hors de question que les aises de sa fortune lui échappassent. Flore ignorait tout de l’homme, hormis qu’il fut comte, et cela, durant quelques heures la charma. Comtesse à 18 ans à peine ! Sa mère, venue l’inspecter, lui fit encore de nombreuses recommandations, dont celle de se montrer soumise à son futur mari, comme toute femme, noble ou pas, doit l’être.
— Oui mère, répondit-elle.
Flore se sentait excitée... Impatiente de rencontrer le comte auquel elle prêta les plus gracieuses physionomies. Puis arriva l’heure des présentations. Flore fut conduite par la gouvernante dans le salon des portraits où le comte l’attendait. Découvrant l’homme, grisonnant, édenté et vouté, elle faillit s’évanouir.
— Ressaisissez-vous ma fille, la tança discrètement la baronne. Il n’est point temps de faire la fine bouche. Le comte est un homme de bien et il saura vous apporter l’aisance et le confort.
Flore, les yeux embués, osa répondre :
— Et pour le reste, mère ?— Vous n’aurez qu’à fermer les yeux. Avancez.
Au cours du repas, placée à la gauche du comte, elle dut supporter son haleine forte et ses regards lubriques posés sur sa poitrine. Parvenu au salon pour le dessert, le comte subitement, saisit Flore par les hanches et la hissa sur la table de jeu. L’homme était gaillard. D’un geste savamment étudié, il lui écarta les cuisses. L’époque n’imposait pas encore la culotte aux femmes et il put se repaître de la vue de la jeune chatte à peine ombrée par la toison blonde. La baronne s’approcha et murmura :
— Elle est encore vierge, mon cher baron.
L’homme se redressa :
— Ah ! j’eus préféré une fille déjà instruite des choses du sexe.— Elle apprend vite, mon cher baron. Et vous aurez grand plaisir, j’en suis certaine, à être le premier à l’éduquer.

Flore écoutait sa mère faire la réclame de sa virginité. Elle n’osait pas resserrer les jambes et le comte put encore, copieusement, se rincer l’œil. La baronne se mit à rire.
— Un homme de votre âge ne peut l’ignorer. Les pucelles, n’ayant jamais été introduites, sont particulièrement étroites, et le plaisir en est, dit-on, décuplé, mon cher comte.
L’homme se mit à rire à son tour.
— Vous avez raison baronne. Et cette jeune personne me semble avoir des appâts qu’il me tarde de découvrir.— Elle a des seins gros comme des melons avec des bouts épanouis de nature à satisfaire tout honnête homme.— Si fait baronne. Vous m’avez mis l’eau à la bouche.— Alors mon cher comte, célébrons vos fiançailles.
L’homme frotta sa longue barbe grise.
— J’hésite encore, lança-t-il. Je serais fort mari de devoir la répudier dans quelques mois.— Et pour quelle raison, je vous prie ?— Pour incompatibilité.— Incompatibilité ?— Parfaitement. Or donc, avant de sceller notre accord, j’exige de me rendre compte par moi-même de ses prédispositions.— Je vous garantis que vous n’aurez pas lieu de vous en plaindre, monsieur le comte. Elle sera prête à satisfaire tous vos caprices.— Brisons la baronne. Il n’est point d’engagement que je saurais prendre sans m’assurer du plaisir que je puis en retirer.— Et bien soit. Il sera fait selon votre volonté monsieur le comte. M’autoriseriez-vous à guider ma fille durant les ébats ? — Ma foi, cela me semble une idée des plus avantageuse. Vous pourrez ainsi mesurer l’ampleur de mes attentes et guider votre fille comme il se doit.
La baronne Saintonge regarda attentivement son hôte :
— Peut-être que si je me rendais compte par moi-même de vos attirances, me serait-il plus facile d’être de bon conseil ?
Le comte se mit à rire :
— Et pourquoi pas ? Ne dit-on pas qu’en choses du sexe, les habiletés de la mère sont souvent transmises à la fille par les voies de l’hérédité ?
La baronne se retourna.
— Veuillez nous laisser ma fille.
Lorsque Flore fut sortie, la baronne déposa son éventail sur le guéridon.
— Vous conviendrez baronne qu’il me serait céans difficile d’introduire mon valet pour me dévêtir. Je vous prierai donc de vous en charger.— J’allais vous le proposer, comte.
Ainsi la baronne dévêtit le comte et lorsqu’elle ôta les sous-vêtements en soie pourpre, elle poussa un cri d’admiration.
— Oh, monseigneur, quel appendice !
Le comte s’exclama :
— Je suis heureux qu’il vous vous siée. C’est un fidèle compagnon qui ne m’a jamais trahi et qui attend impatiemment que vous fussiez nue pour engager le combat.
La baronne commença à se dévêtir.
— Quelques petites douceurs vous siéraient-elles avant de livrer bataille monseigneur ? — Ma foi, je crois qu’un pareil gourdin mérite qu’on lui rende hommage.— Si fait ! J’ai une bouche gourmande qui convient tout à fait à pareil étendard. — Prenez garde madame, je risque fort de vous l’enfoncer jusqu’à la garde.— Permettez-moi, mon cher comte, de vous branler un peu, afin qu’en ma bouche, vous entriez droit et fier. — Soit et n’ayez peur de me sucer longuement. Je suis par nature lent à décharger.— Entendu monseigneur. Mais j’espère qu’en revanche, vous êtes de nature à recharger vite, car il est dans mon projet de vous faire jouir en ma gorge et de profiter sans trop tarder de vos assauts vaillants en ma chatte impatiente. — N’ayez crainte, madame. Avant une heure, je vous aurai saillie par tous vos orifices. — Vous me combleriez monseigneur.— Brisons là madame, mais avant de vous mettre à l’ouvrage, j’aimerais savoir combien de queues vous avez sucées depuis votre défunt mari.— Une seule mon cher comte.— Une seule ? J’exige d’en savoir plus.
La baronne lentement fit coulisser le prépuce une nouvelle fois sur le gland avant de répondre :
— Une seule, mais tous les jours, monseigneur. Celle de mon palefrenier. — Vraiment ?— Oui, monseigneur.— Et vous plaît-elle autant que celle-ci ?— Je n’ai pas encore goûté la vôtre monseigneur.— Et bien, qu’attendez-vous baronne. Sucez !
La baronne enfourna la bite épaisse et offrit au comte une récréation qui le surprit.
— Vous êtes une suceuse de premier ordre, madame.— Vous me flattez, comte.— Que nenni ! Mais je vous en prie, poursuivez et veillez à ne point oublier mes bourses, cela renforce encore ma vaillance.
Le comte se mit à gémir. Sa respiration s’accéléra.
— Dois-je vous avertir que ma semence est abondante ? — N’ayez crainte, monseigneur. Je ne vous ferai pas l’affront de me retirer.
La baronne se mit à pomper vigoureusement et le comte se répandit dans sa gorge. Elle sentit sa chatte bouillonner et regretta d’avoir soulagé le comte auquel l’âge allait imposer un long repos avant qu’il ne fut en état de poursuivre. Pourtant pas plus de cinq minutes ne s’écoulèrent avant qu’elle ne sentît le comte empoigner sa maigre poitrine.
— Je n’ai pas les appâts de ma fille, lança-t-elle.— Certes, mais leur fermeté me ravit.
Le comte plaqua ses reins contre les fesses de la baronne.
— Oh, monseigneur, déjà !— J’ai un apothicaire qui maîtrise l’art, par ses potions, de garder à la chose toute sa noblesse.— Vous m’en voyez fort aise.
Le comte flatta la croupe de la baronne.
— Quand je vous vois ainsi, de dos, tournée, j’ai pour votre fondement une attirance toute légitime.— Oh, monseigneur !— Quoi ? Prétendriez-vous être pucelle de cet orifice ?— Non, monseigneur, mais les visites en sont fort rares.— Alors je ne vous ferai pas l’affront de passer mon chemin. Mais d’abord, je crois qu’il est grand temps d’instruire mademoiselle votre fille qui n’a de cet endroit, je pense, pas connaissance de tout l’usage que l’on en peut faire. — Cela me gêne un peu, monseigneur. Je crains que ma fille n’en soit choquée. — Allons donc, je la soupçonne d’avoir ouï notre discours, et je vous gage que sa chatte est à présent mouillée à souhait. S’il en était autrement, sa froideur ne m’engagerait nullement à la choisir pour femme.— Soit, répondit la baronne. Puis d’une voix plus forte : — Entrez, entrez ma fille.
Flore de Saintonge poussa la porte.
— Venez vous asseoir ma fille. Votre futur époux tient à ce que vous preniez céans votre première leçon.
Le comte intervint.
— Vous devriez, mon enfant, adopter la tenue qui convient en vous débarrassant de ces habits, qui je le gage, ne rendent pas hommage à votre beauté.
Flore, que la vue de la verge du comte tenait en émoi, hésita.
— Ma fille, n’avez-vous donc rien retenu de mes enseignements ? Les désirs de votre futur époux sont des ordres. Otez vos vêtements, et vite !
Lorsque l’opulente poitrine de Flore jaillit, la bite du comte sursauta.
— Ne vous avais-je point parlé de deux jolis melons ? déclara la baronne.— Si fait. Et je suis fort impatient de goûter à ces melons-là !
La baronne se pencha en avant :
— La leçon monseigneur, la leçon ! lança-t-elle. — Un instant madame.
Le baron s’approcha de Flore de Saintonge. Il passa la main entre ses cuisses.
— Je suis fort aise de vous voir mouiller de la sorte, mon enfant. J’entrevois ainsi la promesse de fort bonnes dispositions.
Flore baissa les yeux. D’un geste désinvolte, le comte flatta ses grosses mamelles puis il revint vers la croupe de la baronne. Il recueillit un peu de liqueur pour lubrifier l’entrée. Elle se raidit lorsqu’elle sentit la queue du comte.
— Ne craignez rien baronne, une fois mon gland passé, tout ira bien.— C’est justement l’épaisseur de votre gland que je redoute monseigneur. — Allons allons, il n’est point temps d’effrayer mademoiselle votre fille. Je veux qu’elle constate que la chose est aisée et qu’elle n’a rien à redouter.— Permettez que je sollicite toutefois de votre part, quelques douceurs. — Avez-vous lieu de vous plaindre ? Car tandis que vous discouriez, je suis entré, fit le comte. — Oh, monseigneur, vous me remplissez l’orifice, et c’est grand plaisir.— Qu’avez-vous donc attendu que l’on vous ramonât de la sorte ?— l’oc... l’occasion comte.— Et votre palefrenier ?— Il est vaillant, mais son dard, jamais ne m’a pourfendue de la sorte.— Brisons là, madame. Je ne veux plus entendre que vos gémissements. Et regardez donc votre fille, elle se frictionne le minou de bien jolie manière.
La baronne encouragea sa fille :
— Caressez-vous proprement ma fille, cela semble plaire à votre futur époux.
Flore Saintonge n’avait pas besoin de ces encouragements. Elle s’activait vigoureusement sur son clitoris, mais ne perdait rien des assauts du comte qui emportait la baronne à composer ses gammes dans les aigus.
— C’est bien madame, continuez. Il me plaît de vous entendre tandis que je glisse dans votre fourreau.
Soudain, la baronne poussa un hurlement.
— Que se passe-t-il, mère, fit Flore ?— Elle jouit mon enfant, la rassura le comte.
Puis il déchargea dans un grognement. Il libéra les fesses de la baronne de Saintonge, et arbora toujours une belle érection.
— Oh, monseigneur. Cet apothicaire est un magicien.
Le comte éclata de rire puis il demanda :
— Avez-vous de quoi me baigner, madame ?— Bien sûr monsieur le comte. Je vais donner des ordres.
Elle se rhabilla, puis entrebâilla la porte.
— Un baquet pour le comte.
Dix minutes plus tard, les domestiques s’affairaient à verser de l’eau chaude dans le vaste récipient ovale protégé par un drap.
— Voulez-vous que j’appelle vos gens monseigneur, ou désirez-vous être baigné par une de mes domestiques ? demanda la baronne.— Vous aurez bien quelques domestiques habiles à ce genre d’ouvrage.— Certes monseigneur, toutefois je pense que si l’honneur en revenait à ma fille, elle pourrait ainsi se familiariser avec votre personne. — Fort bien. Voilà une idée qui me sied.
Le comte glissa dans l’eau. Il ferma les yeux et sentit bientôt la pâte mouille glisser sur ses épaules. Lorsqu’il souleva les paupières, il aperçut deux grosses mamelles qui gigotaient à hauteur de son visage. Il approcha la tête pour gober un téton. Flore, saisie par la surprise, s’arrêta de frictionner. Le comte téta un long moment puis il s’écria.
— Il suffit mon enfant. Cessez de me cirer le dos et prenez plutôt soin de briquer ma queue, car vous aurez avant ce soir, le devoir d’en connaître le goût. — Oui monsieur le comte.
Le comte se leva, la queue au garde à vous.
— Alors, vous plaît-elle mon enfant ?
Flore de Saintonge ne répondit pas. Le comte lui saisit le menton.
— C’est la présence de madame votre mère qui vous ôte la parole ? Pourtant je gage qu’elle vous a transmis quelques dispositions qui font de vous, bien que vous l’ignoriez encore, une vraie catin. Et c’est ainsi que je vous veux. Or donc, je vous en conjure, cessez de vous comporter comme une nonne et ayez pour ma bite, et les mots, et les gestes qui conviennent. Je vois d’ailleurs que vos tétons dressés trahissent votre émoi.
Soudain, la baronne de Saintonge se leva. Elle chargea les mains de sa fille de mousse puis les approcha de la queue épaisse.
— Savonnez-la doucement sur toute sa longueur puis descendez jusqu’à ses grosses bourses qui pendent et qui me semblent encore gorgées de foutre.
Flore de Saintonge nettoya consciencieusement le dard puissant tandis que sa mère l’abreuvait de conseils.
— Votre futur époux apprécierait, je le crois, que vous le masturbiez un peu.
Elle guida un instant la main de sa fille qui trouva vite le rythme, puis soudain, elle appuya fermement sur la nuque de Flore pour la courber en avant.
— Ouvrez la bouche et laissez monsieur le comte vous envahir.
Fore obéit et sa mère guidant sa tête, lui enseigna les bons gestes. Bientôt le comte, que le plaisir gagnait déclara :
— Je savais bien qu’une catin ne pouvait accoucher que d’une catin. Et je vous en rends grâce chère baronne.
Cette dernière ne répondit pas. Elle avança la main, et enfonça un doigt dans l’anus du comte qui s’écria :
— Ah, mesdames, je crois que je vais vous marier toutes les deux ! Vous vous complétez à merveille.
Le comte ne pouvait détacher les yeux de la chatte luisante de Flore.
— Il me vient une puissante envie de goûter mademoiselle votre fille.
Il sauta hors du baquet et la baronne de Saintonge fit allonger sa fille sur le dos. Le comte s’allongea à son tour et lécha la vulve de la jeune femme. Sa langue s’agita sur le clitoris gonflé et Flore s’enflamma. Tandis qu’il se délectait de la douceur de la chatte de sa future femme, la baronne se positionna derrière lui, et de sa langue pointue, lui titilla l’anus. Le comte sentit son ventre s’embraser et sa bite devint exsangue. La baronne, d’une main experte apprécia et abandonnant un instant son ouvrage déclara :
— Votre gourdin menace d’éclater, monseigneur. Peut-être est-il temps de la dépuceler.
Le comte ne répondit pas, mais il releva les jambes de Flore, et sans ménagement, enfonça son pieu d’acier. Flore poussa un petit cri qui rapidement se mua en des gémissements de plaisir. La baronne, soudain, fut saisie d’une envie irrésistible. Elle décrocha une bougie d’un chandelier et l’enfonça profondément dans l’anus du comte qui manifesta aussitôt son plaisir.Une heure plus tard, assis devant une collation, le comte déclara :
— Après tout ce charivari, point n’est besoin de fiançailles. C’est nos épousailles que nous fêterons, en mon château, d’ici huit jours.
Il se retourna vers la baronne.
— Madame, puisque je ne puis vous épouser toutes deux, je fais le choix de votre fille, mais je vous veux chez moi à demeure. — Chez vous monseigneur ?— Oui madame. Je ne puis laisser à un simple palefrenier le plaisir de vos orifices. Je vais dès mon retour congédier les six gourgandines que je besognais en enfilade chaque soir. Des femmes de petite vertu plus inspirées par l’argent que par le plaisir à me donner. Mademoiselle votre fille et vous-même m’aviez convaincu que vous les surpassez et je gage que bientôt par ses observations et vos conseils, ma future femme sera plus cochonne que toutes les truies de mon domaine. — Elle le sera, monsieur le comte. Je m’y engage, fit la baronne.— Fort bien.
Le comte s’adressa à Flore.
— Qu’en pensez-vous mon enfant ? Avez-vous aimé sentir mon dard en votre chatte ?
Flore baissa les yeux. Sa mère lui donna un coup de pied pour l’inciter à répondre. Elle murmura :
— Oui monseigneur.
Le comte lui saisit le menton.
— Regardez-moi dans les yeux et répétez à voix haute.
Flore s’exécuta :
— Oui, monsieur le comte. — A la bonne heure.
Le comte soupira.
— Allons, il est temps que je parte.
Il se leva, frotta sa barbe et déclara.
— Mais j’ai encore le gourdin qui me démange. Auriez-vous l’obligeance, chère baronne, de préparer votre fille. Je ne puis me résoudre à partir sans l’avoir totalement dépucelée. Je vais quant à moi, donner l’ordre que l’on préparât mon attelage.
Flore attendit que le comte fût loin pour demander :
— Qu’a-t-il voulu dire mère ?
La baronne prit les mains de sa fille.
— Je crois qu’il a l’intention de vous baiser dans les fesses avant de partir, annonça la baronne.
Flore s’écria :
— Mais, ça n’est pas possible, son membre est bien trop gros. S’il vous plaît mère...— Allons, allons, calmez-vous. Je vous assure qu’en cet endroit, sa bite m’est entrée aisément tout à l’heure, et bien que je ne sois pas vierge, c’est un lieu très intime en lequel je ne me fais jamais visiter.— Mais...— Taisez-vous ma fille ! ordonna la baronne. Vous devez laisser votre futur mari vous prendre comme il le souhaite.— Oui mère, répondit Flore d’une petite voix...
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