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La baronne de Saintonge

Chapitre 2

Divers
          Le Comte de Rochefort, que le vin avait fortement échauffé, claqua une nouvelle fois la croupe de Flore de Saintonge, qu’il venait de prendre en épousailles le matin même, puis il se retourna vers le Marquis.
— Marquis, je vous remercie d’avoir fait le déplacement.— Oh, mon cher, je suis de toutes les réjouissances et fort aise d’avoir fait la connaissance de votre jeune épouse. J’espère qu’elle vous donnera bien du plaisir.
Le Comte éclata de rire.
— N’en doutez point Marquis, d’autant que j’en ai eu deux pour le prix d’une !— Que voulez-vous dire ?— Que j’ai marié la fille à la condition d’avoir aussi la mère.— Diantre ! Comment donc avez-vous réussi cette prouesse ? La Baronne n’est pas, à ce qui se dit, bien prompte aux choses de l’amour ?— On dit trop de choses, Marquis. On dit trop de choses, et je puis, moi, vous assurer, que toutes deux sont de belles catins. — Vous m’étonnez. Vraiment ! Car je puis vous dire en confidence que j’ai tenté, jadis, de lui trousser le jupon, mais cela sans succès. — C’est que vous êtes trop romantique mon cher Marquis. Ces deux femmes là, n’ont point besoin de finasseries, mais de poigne.
Le Marquis hocha la tête.
— N’en soyez point accablé, cher ami, reprit le Comte. Je ne suis pas un ingrat et je sais ce que je vous dois, alors il se pourrait bien qu’un jour, il me prenne l’envie de vous faire goûter, et la mère, et la fille.— Ma foi, voilà une généreuse proposition qui n’est point tombée dans l’oreille d’un sourd. Et puisque nous sommes en veines de sympathies, verriez-vous, dans cette salle, quelque jouvencelle apte a égayer ma soirée ?— Jouvencelles non, mais, laissez-moi réfléchir… madame Delacroix, peut-être. Ou Jeanne Bolivard. Ce sont deux femmes de bourgeois avec lesquels je suis en affaire.— Des femmes mariées, mon cher Comte ! Je ne cherche point d’histoires.— Et vous n’en n’aurez point, je vous l’assure. Leurs époux sont pleins comme des barriques, et ces dames sont de nature très discrètes. Voulez-vous que je vous les présente ?— Si vous êtes sûr de votre fait, alors, bien volontiers.
Le Comte s’éloigna puis il revint, moins de cinq minutes plus tard, au bras des deux femmes. Elles étaient toutes deux d’une grande beauté, bien qu’un peu fanées.

— Mesdames je vous présente le Marquis de Bois d’Ambert. — Monsieur le Marquis, répondit Jeanne Bolivard, nous avons beaucoup entendu parler de vous.— En bien, j’espère ? répondit le Marquis.
Le Comte stoppa les politesses.
— Le Marquis aimerait beaucoup vous connaitre plus intimement.
A ces mots, de concert, les deux femmes portèrent leur éventail devant leur visage.
— Ne vous y trompez point, Marquis, cette attitude n’est qu’apparence car ces dames ne sont point de nature à fuir devant un solide gourdin.
Disant cela il glissa les mains sous leurs jupes.
— Et voilà deux beaux fessiers fermes et frais où, je vous l’assure, il fait bon s’aventurer. Accompagnez-les donc jusqu’au jardin d’hiver et soyez sans crainte, je garde un oeil sur leurs maris.
Lorsque le trio se fut éloigné, le Comte chercha sa femme. Il la trouva sur la terrasse, en compagnie de la Baronne.
— Ah, mesdames je suis bien aise de vous trouver. Je viens de livrer au Marquis deux belles catins et cela m’a fortement tendu le gourdin. J’ai grande envie de vous trousser toutes deux.— Ici, monsieur ? fit la Baronne.— Parfaitement !— Ne craignez-vous point que cela nuise à vos affaires si l’on vous trouve, ici, en fâcheuse posture ?
Le Comte réfléchit.
— Vous avez sans doute raison, mais je ne puis retourner au salon avec la bite qui tend ma culotte comme une voile. On pourrait penser que je ne suis plus apte à trouver femme pour me vider les bourses.— Soit, monsieur, nos bouches alors, pourraient peut-être vous soulager de manière plus discrète.— Je loue votre sagesse, madame, répondit le Comte en déboutonnant sa culotte.— Laissez-moi faire, monsieur, l’interrompit, la Baronne. Sans doute vaudrait-il mieux que l’on vous vît gesticuler comme il vous plait de le faire lorsque vous êtes en conversation. Nous aurons alors, meilleur esprit pour notre ouvrage.— A la bonne heure, madame. J’aime ce genre de raisonnement, mais il ne doit point vous faire oublier qui est le maître, céans !— Je ne l’oublie pas, monsieur.— Parfait. Alors au travail ! — Oh, monseigneur ! s’exclama la baronne en libérant la queue du Comte. — Qu’y a t-il madame, ne commencez-vous point à la connaitre ?— Si fait, monsieur, mais elle me semble avoir grossi. Qu’en pensez-vous ma fille ?
Flore, que la taille du gourdin impressionnait toujours, répliqua :
— Oui mère, je crois aussi. — Brisez-là, mesdames, et mettez-vous au travail. J’entends que vous me purgiez les bourses de belle manière. Je vous indiquerai plus tard dans quelle bouche il me siéra de gicler.
La baronne se mit au travail. Elle lécha, suça… téta le gland… puis pompa avant de passer la relève à sa fille. Le Comte gémit… grogna… puis déclara :
— Ah, mesdames je sens que j’ai de la semence pour deux. Sur ces mots il éjacula, distribuant alternativement le jet, d’un habile mouvement de hanche, dans les bouches béantes.
Lorsqu’il reparut au salon, les infortunés maris l’interpelèrent.
— Monsieur le Comte, n’auriez-vous point vu nos épouses ?— Certes, non messieurs, mais comment diable pouvez-vous perdre de si précieuses créatures ?
Les dites créatures apparurent bientôt, et se trouvèrent promptement poussées vers la sortie.
— Elles sont mariées à des sauvages, grogna le Marquis. Ils mériteraient…— Certes, le coupa le Comte mais nous ne pouvons intervenir. Contentons-nous donc des récréations que nous pouvons leur offrir. Vous ont-elles satisfait, au moins, mon cher Marquis ?— Ma foi, elles n’ont rien à envier aux catins des bordels et je vous remercie pour l’excellence du choix. Il y a bien longtemps que je n’avais pas chevauché de si ardentes pouliches, sans bourse délier.— Les femmes sont toutes des catins mon cher Marquis.— Pas, toutes… pas toutes, rétorqua le Marquis en s’éloignant.
Quant aux épouses infidèles elles ne purent aller bien loin. De concert, leurs hommes troussèrent leurs jupons dans le parc.
— Prenons-les dans le cul, mon cher, je suis sûr qu’elles en ont envie, lança le sieur Bolivar, lequel sans coup férir, s’enfonça d’un grand coup de reins.— Ah !!! cria son épouse.— Vous êtes des brutes, ajouta madame Delacroix qui venait de se faire forcer violemment la rondelle. — Taisez-vous péronnelles, hurla Bolivar. Vous n’avez rien à dire.
Tandis que ces dames subissaient les assauts de leurs rustres maris, le Comte, dans le grand salon, surprit une conversation qui se répandit rapidement en rumeur dans tout le château : la nouvelle comtesse n’était pas aussi belle qu’on le disait. Outré de ces propos qu’il jugeait injurieux pour sa propre personne le Comte de Rochefort, ordonna que l’on rassemblât dans la grande salle de bal, l’intégralité des invités et du personnel. Il était hors de questions que l’on pût penser qu’il avait choisi pour femme quelque gourgandine sans attrait. C’est que le Comte de Rochefort tenait à sa réputation !Lorsque tous furent rassemblés dans l’immense salle, le comte fit quérir Flore, son épouse.
— Madame, il est céans, de fort vilaines personnes qui prétendent que votre beauté n’est qu’illusion. Je vous prierai donc de vous mettre nue et de monter sur la grande estrade.
Bien qu’intimidée, Flore ne chercha pas à déclencher le courroux de son époux et elle se dévêtit, sous les murmures. Lorsqu’elle fut exposée sur la grande estrade, le Comte fit défiler devant-elle toute l’assistance. L’excellente tenue de son opulente poitrine suscita de nombreux commentaires… des dames et des messieurs.Après une demi-heure, le Comte pria son épouse de se rhabiller.
— Je suis désolé madame, de vous avoir infligé cette épreuve, mais il en allait de ma réputation. — Je suis votre obligée monsieur, et n’ai point à discuter vos ordres.— Et c’est bien ainsi que je l’entends. Retournez dans vos appartements, je vous y rejoindrai bientôt.
Le Comte distribua encore quelques compliments à madame de Boisjoli, une quinquagénaire blonde comme les blés dont il n’arrivait pas à percer le mystère. On la disait disposée aux frasques les plus hardies, mais jamais il n’avait rencontré de gentilhomme qui pût accréditer la rumeur. Elle était souriante, aguichante, mais s’en allait dès qu’on la pressait de trop de compliments. Ce comportement, auquel le Comte n’était pas habitué, l’excitait fortement, mais il redoutait qu’un échec se répandît comme une trainée de poudre, entachant gravement sa réputation.
— Bah, je l’aurai bien un jour, grommela-t-il avant de se rendre aux écuries pour s’enquérir de l’état de « princesse », une jument de 5 ans qui refusait de s’alimenter depuis deux jours. Lorsqu’il poussa la porte il aperçut deux pages qui remontaient prestement leurs culottes.— Morbleu ! Vous pouvez bien vous emmancher tout votre saoul que je n’aurai rien à redire à cela. déclara le Comte en éclatant de rire.
Rassuré sur l’état de « princesse » il regagna le château, et trouva madame de Boisjoli, assise sous le grand tilleul.
— Puis-je vous tenir compagnie, madame ?— Bien sûr Comte, mais n’avez-vous pas mieux à faire ? Votre jeune épouse requiert beaucoup d’attentions.— Certes madame, mais elle manque cruellement d’expérience. — Allons, Comte, vous saurez bien l’instruire à votre convenance, et en attendant, il ne me semble pas que vous manquiez de courtisanes.— Ah, madame, ce ne sont que des femmes dont l’esprit est aussi léger que leur vertu.— Des femmes mariées, Comte. — Que leurs époux délaissent, je vous l’assure. Mais, voyez-vous, madame, je suis à présent lassé de tous ces jeux inconsistants et j’ai besoin de joindre les finesses de l’esprit à la douceur de la chair.— Seriez-vous, romantique, mon cher Comte ? Je ne l’aurai pas cru.— C’est que vous me connaissez bien mal, madame, répondit le comte en lui prenant les mains. Vous avez, madame, et l’esprit et la grâce, qui siéent à la noblesse.— Vous me flattez, Comte.— Non, madame, ce n’est là que vérité.
Le Comte manoeuvra si habilement qu’il fit faiblir madame de Boisjoli.
— Oh, comte, je vous en conjure, cessez de me tourmenter de vos sournoises paroles qui n’ont, je le crains, qu’un seul dessein, et il ne me plait point de me retrouver épinglée à votre tableau de chasse.— Oh, madame, vous vous méprenez sur mes intentions. Vous n’êtes point de celles que l’on séduit pour la bagatelle.— Oseriez-vous prétendre me séduire pour autre chose ? — Oui, madame car je sais trouver en vous une oreille attentive à la poésie, à l’art, à la philosophie.— N’avez-vous donc point encore formé l’esprit de votre épouse ?— Hélas, madame, je crains que Flore n’ait pour ces choses que peu d’attrait. Elle me donnera de beau enfants. Je n’en attends pas plus.
Oh, madame, de grâce, ne me laissez point m’épancher comme une lavandière, et comprenez que je brûle pour vous d’un feu vaillant. Disant cela, le Comte posa ses lèvres sur la bouche de madame de Boisjoli… qui ne le repoussa pas. Il embrassa sa gorge puis chercha à remonter sous ses jupons.
— Non, monsieur, non… je préfère que nous en restions là.— Et moi, madame, je préfère poursuivre.— De grâce, monsieur, de grâce… Implora encore madame de Boisjoli, alors que les mains du comte glissaient sur ses cuisses.— Non, madame, non, je ne puis vous abandonner ainsi quand je vous sens en désir d’une belle et bonne queue.
Madame de Boisjoli serra fortement les cuisses lorsqu’elle sentit la main du compte ébouriffer sa toison.
— Oh, monsieur je vous en conjure, retirez votre main.— Non, madame, il est inutile de supplier car je suis résolu à apaiser vos tourments.
Le Comte chercha le passage entre les cuisses de la dame qui, peu à peu desserra les jambes.
— Oh, Comte, ne m’obligez point à trahir le serment de fidélité que j’ai fait à feu mon époux.— Après dix ans, madame, vous l’avez suffisamment respecté.— Non, Comte… je vous en prie… je vous en prie… laissez moi.— Il est trop tard, madame.— Oh, Comte, s’il… s’il vous… plait, lâcha encore la femme en s’ouvrant davantage.
Le Comte aussitôt s’empara de sa chatte.
— Vous mouillez comme une jeune vierge, madame.— Oh, Comte… je… je…
Le comte s’activa sur le clitoris dressé puis après quelques minutes il éclata de rire.
— Madame, cesser donc de mouiller de la sorte, ou votre robe aura bientôt l’allure d’une patte mouille.— Je… je… oh… Ouiiii ! Oh Comte… Comte… Ouiiii ! ah !!! Ah !!! je viens ! je viens !!!!
Puis elle poussa un cri. Le comte la laissa récupérer, puis, tout en descendant sa culotte, il lança :
— Vous avez fort bien joui, madame, mais maintenant que diriez-vous de vous occuper un peu de ceci.
Lorsqu’elle vit le gourdin, madame de Boisjoli s’exclama :
— Juste ciel, monsieur ! j’avais entendu parler de l’objet, mais…— Seriez-vous déçue ?— Certes, non, Comte, surprise, tout au plus.— Surprise ?— Assurément, car je ne m’attendais pas à la voir un jour.— Alors profitez, madame, profitez. — Mon dieu, fit madame de Boisjoli en saisissant la queue du Comte, je me croyais guérie de toutes ces choses, et tout à l’heure vous m’avez… Oh, Seigneur, comme tout cela m’a manqué !
Elle glissa la main sous les bourses du Comte.
— Doux jésus, comme elles sont lourdes !— Madame, de grâce, cessez de vous émerveiller et branlez-moi prestement.
Madame de Boisjoli astiqua un moment la bite du Comte puis celui-ci la bascula sur la pelouse pour la baiser. Lorsqu’il l’abandonna, madame de Boisjoli était ébouriffée… mais elle avait dix ans de moins.En arrivant dans ses appartements le Comte était encore émoustillé.
— Vous avez l’air bien joyeux, monsieur, fit Flore en l’apercevant.— C’est que je viens de réaliser un vieux projet.— De quel projet parlez-vous monsieur ?— De quelque chose dont je vous prie de ne point vous mêler. Donnez donc des ordres afin que l’on me fasse couler un bain et demandez à la grosse Amélie de m’y venir laver.
Lorsque le Comte entra dans la pièce dédiée, le baquet était fumant. Il retira ses haut-de-chausses et lorsqu’il fut nu, Amélie détourna les yeux. Le comte éclata de rire.
— Et bien quoi ? Est-ce donc la première fois que tu la vois ?
La servante trempa la main dans l’eau du bain.
— Et bien réponds !— Non, monsieur le Comte. — Alors ne joue pas les pucelles et frotte-moi.
Lorsqu’il fut assis dans l’eau chaude, le comte appuya le dos contre la paroi, tandis qu’Amélie lui frottait la poitrine. Alors qu’elle se penchait sur lui, il lui tripota les seins.
— Tu as toujours de bien belles mamelles et il y a fort longtemps que je ne les ai point vues.
Amélie, qui savait ce qu’il pouvait en couter de déplaire au Comte, dégrafa son corset et libéra sa poitrine.
— Foutre dieu ! s’exclama le comte, tu pourrais abreuver au moins trois veaux avec ces nichons là.
Il les prit à pleines mains et les pelota un long moment.
— Cesse de me frotter le torse et descends un peu la main pour me laver le gourdin.
La servante obéit. Elle saisit la bite, dressée comme un étendard, et la savonna consciencieusement.
— Ton mari court-il toujours les tavernes ?— Hélas, monsieur.— Depuis quand ne t’a-t-il point honorée ?— Ça fait plus d’un an, monsieur le Comte, répondit Amélie en astiquant la queue de marbre.— Morbleu ! s’exclama le Comte. Je n’aime pas que l’on néglige les femmes ! Viens me voir tantôt, je te ferai un bon ramonage qui apaisera tes hormones pendant un mois au moins. En attendant, frotte donc ma bite entre tes gros nichons.
La servante s’exécuta et le comte ne fut pas long à décharger.Il rejoignit son épouse pour une collation dans la galerie des portraits.
— Où donc est votre mère ?— Je l’ignore, monsieur.— Serait-elle sortie sans mon autorisation ?
Flore, ne sut comment couvrir l’absence de la Baronne.
— Heu… je…— Chercheriez-vous à me mentir ?— Non, monsieur.— Alors, où est-elle ?— Elle… elle est allée chez madame Crespeau.— Cette conspiratrice qui se croit l’égale des hommes ?— Je ne sais pas monsieur.— Allez la chercher et ramenez-la, ici, dans cette pièce.
Flore sortit en courant et moins d’une heure plus tard elle était de retour avec sa mère.
— Vous ai-je autorisée à sortir, Baronne ? maugréa le Comte.— Je ne vous ai point trouvé, monsieur pour vous en demander l’autorisation.— Alors vous auriez-dû attendre et ne point pousser votre fille à couvrir vos frasques.
Soudain le comte bondit de son fauteuil.
— Déshabillez-vous complètement, toutes les deux, et mettez-vous à quatre pattes l’une à côté de l’autre, ordonna t-il avant de décrocher du mur, une large lanière.
Lorsqu’elles furent en position, le Comte abattit la bande de cuir sur les fesses de la baronne… puis de sa fille.
— Je vois qu’il est nécessaire de vous rappeler les règles en vigueur dans cette maison et peut-être vous reviendront-elles plus clairement lorsque vos fessiers vous cuiront. Et je vous déconseille de geindre si vous ne voulez pas prolonger ce châtiment.
Il fouetta, alternativement, les fesses des femmes dix fois de suite puis raccrocha la lanière. Il allait leur demander de se relever lorsque les postérieurs, ainsi exposés à sa vue firent lever sa queue. Il baissa culotte, se positionna derrière la baronne et lui pénétra le cul à sec sans aucun ménagement.
— Aie ! cria la Baronne de Saintonge.— Taisez-vous madame, et subissez votre punition.
La Baronne, bien que grimaçant, laissa le comte la besogner puis lorsqu’il se retira pour se positionner derrière Flore elle supplia :
— Non monsieur, pas comme ça, Flore est beaucoup plus étroite que moi. Vous allez la déchirer.— Et bien ça lui servira de leçon.
Le Comte, néanmoins, ne pénétra pas sa femme d’un seul coup de reins. Il appuya son gland contre l’anus et poussa lentement.Flore serra les dents, mais n’émit aucun cri. Le Comte la laboura puis lorsqu’il eut éjaculé, hurla :
— Et maintenant, sortez, je ne veux plus vous voir !
Une heure plus tard, un serviteur vint avertir le comte qu’Amélie attendait dans le couloir.
— Fais-la patienter. Et vois si le Marquis est toujours dans les parages. — Bien monseigneur.— Et si tu le trouves, amène-le moi.
Un quart d’heure plus tard, le Marquis était annoncé.
— Ah, mon cher Marquis j’aurais un service à vous demander.— Bien volontiers.— Il s’agit d’une servante.— Une servante ?— Parfaitement. Elle n’est point des plus fines ni des plus aimable à l’oeil, mais elle est d’une fidélité et d’une honnêteté qu’il me plairait de récompenser.— Je crains de ne ne rien entendre à vos propos, mon cher.
Le Comte offrit un siège au Marquis puis il s’assit.
— Son mari est un soudard, aviné du matin au soir, poursuivit-il, et il ne l’a point honorée depuis plus d’un an.— Diable ! Est-elle donc si laide ?— Ni belle, ni l’aide, mais point n’est là le propos. Je lui ai promis de la recevoir tantôt pour un grand ramonage.— Voilà qui est fort aimable à vous, mais je ne saisis pas mon rôle dans l’affaire.— J’aimerais que vous vous joignez à moi.— Pour…— Parfaitement ! Je crois que deux belles queues ne seront pas de trop pour déboucher les conduits, lança le comte en éclatant de rire.— Ma foi, je cherchais justement quelque accueillant fessier dans lequel me glisser avant de retourner chez moi, en vieux célibataire.— Et bien ne cherchez plus, Marquis. Mais je ne tiens pas à ce que cette servante vous reconnaisse.— Je n’y tiens pas non plus.— Bien, je vais faire le nécessaire. Dissimulez-vous derrière le paravent et demeurez silencieux. Votre voix pourrait vous trahir.
Le Marquis se cacha donc et le Comte sonna son valet.
— Fais entrer Amélie puis laisse-nous.
Le comte observa sa servante un moment, puis il ordonna :
— Enlève tous tes vêtements et approche.
Lorsqu’elle fut nue, Amélie fit un pas vers le comte. Celui-ci retira le foulard qu’il avait au cou et en masqua les yeux de la servante.
— Que… qu’est-ce que vous allez faire, monsieur ?— Ne t’inquiète donc point. Il me plait juste que tu aies les yeux bandés.
Le marquis fit du bruit en approchant.
— Vous… vous n’êtes pas seul… monseigneur ?— Cela ne te regarde pas. Et si jamais tu t’avises de retirer ce bandeau, je te chasse !
Le Comte, rapidement imité par le Marquis, se débarrassa de sa culotte, ne gardant que le haut du corps couvert. Il ne résista pas longtemps avant de saisir les lourdes mamelles dont les tétons se dressèrent aussitôt.
— A la bonne heure, je vois que tes mamelles sont pressées d’être tripotées.
Il passa derrière Amélie, saisit les nichons à pleines mains et elle se mit aussitôt à ronronner. Après dix minutes le comte ordonna :
— Allonge-toi !
Amélie se positionna sur le dos et le comte lui replia les jambes. Il les écarta puis fit un signe au Marquis qui prit place entre les cuisses de la servante. Il la pénétra aussitôt, et celle-ci poussa un cri de surprise :
— Ho, Seigneur !— Silence, laisse-toi faire ! la tança le Comte.
Le Marquis commença à accélérer la cadence et Amélie se mit à gémir. Le Comte regarda la scène encore un moment puis il prit place au dessus de la tête de sa servante et appuya son gland sur ses lèvres. Elle frémit de surprise et le Comte lui mit une tape sur la joue.
— Ouvre la bouche et suce ! et ne t’occupe pas de ce qui se passe ailleurs.
Emportée par la fièvre de son ventre que le marquis entretenait par de savants coups de boutoirs, Amélie se mit à sucer vigoureusement son maître.
— C’est bien, mais ne vas pas trop vite.
Les râles de contentement d’Amélie furent étouffés par l’immense gourdin qui emplissait sa bouche. Le Comte, qui voulait l’entendre, se retira un instant et apprécia la vigueur du Marquis qui la besognait consciencieusement.
— Oui… ho !!… Ha !! Ouiiii ! ne cessait de s’exclamer Amélie.
Satisfait, il replongea dans la bouche chaude. Soudain le Marquis fit comprendre au Comte, à force de gestes, qu’il avait l’intention de changer d’orifice et ce dernier jugea prudent de se retirer de la bouche de sa servante, qui, lorsque le Marquis s’enfonça dans ses fesses, sursauta.
— Oh, non… non… ! cria-t-elle.— Oh que si, et concentre-toi plutôt sur ce que tu fais répliqua le Comte qui venait de s’enfoncer à nouveau dans sa bouche. Aller, pompe-moi bien !
Mais la position d’Amélie ne lui permettait pas de s’activer comme le désirait le Comte. Lorsqu’il s’en aperçut, celui-ci déclara :
— Ne bouge plus et laisse-moi faire.
Il prit solidement appui sur les mains et baisa vigoureusement la bouche de sa servante qui reçut sa semence au fond de la gorge au moment précis où le marquis abandonnait son étroit fourreau pour décharger..
— Voilà un ramonage rondement mené, déclara le comte en riant. Et une révision mensuelle ne me semble pas déraisonnable.
Le marquis acquiesça de la tête.
— Aller, tu peux te rhabiller, ordonna le comte, à Amélie. Il lui retira le bandeau lorsqu’elle franchit la porte.— Mon cher, déclara le Marquis, ces petites galipettes ne m’ont pas déplu. Cette fille n’est certes pas très belle mais elle a un cul des plus avenant et m’a agréablement contenté. — Et moi, ce qui me contente c’est de savoir son soudard de mari, cocu. Le comte s’étira avant de poursuivre : Ah Sacrebleu ! je me sens en veine de bontés, et disposé ce soir à tenir ma promesse. Alors mon cher Marquis je vais vous faire préparer une chambre et je vous enverrai ma femme cette nuit.— Mais, et vous, comte ?— Moi ? et bien j’ouvrirai mon lit à la Baronne. Elle vaut bien deux catins à elle seule, et si l’envie vous prend, renvoyez-moi Flore quand vous en aurez fini, je vous enverrai sa mère. Vous pourrez ainsi les comparer à votre aise.
Le Comte se leva puis il se dirigea vers un petit secrétaire d’où il retira une minuscule fiole.
— Je vous suggère d’avaler ceci dès à présent. C’est une potion qui vous assurera la fidélité de votre gourdin, toute la nuit.— Mon cher ami, ne craignez-vous pas, qu’après toutes ces gourmandises, il me prenne l’envie de demeurer céans, en pension ?— Si cela vous tente, je n’y vois aucune objection répondit le Comte, puis, alors qu’il tendait la fiole au Marquis, il lança encore : — Il me vient une idée, que j’ai quelque réticence à vous livrer.— Point de cela entre nous, mon cher, vous m’offenseriez.— Alors soit. Je pensais que plutôt que d’utiliser ces dames chacun en nos appartements, nous pourrions le faire, ici, ensemble. Qu’en dites-vous ?
Le marquis fit mine de réfléchir avant de répondre :
— Vous avez des idées, Comte, qui ne manquent pas de piquant, et je crois en effet qu’il s’agirait là d’un amusement des plus savoureux.— A la bonne heure, Marquis, je vais distribuer mes ordres pour le repas car il nous faut la panse pleine et le sang bien chaud pour satisfaire ces dames.
A suivre…
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