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La barrière de la langue

Chapitre 1

Le charme discret des naturistes d'Europe de l'Est

Voyeur / Exhibition
Voici quelques mois maintenant qu’Amaury est célibataire. Étudiant en lettres et incorrigible romantique, il est inconsolable, malgré les efforts sans relâche de son meilleur ami Augustin pour le dérider. De guerre lasse, Amaury a fini par accepter la proposition de son ami pour partir avec lui en club naturiste, histoire de se changer les idées et de tenter un truc totalement différent de ce à quoi il est habitué. Augustin est un naturiste "expérimenté", de la 3e génération: ses grands-parents maternels ont commencé dans les années 70, sa mère a initié son père dans les années 90, et il pratique lui-même depuis sa naissance il y a 20 ans.
Cette expérience fait de lui une référence sur le sujet, et Amaury lui fait toute confiance pour choisir le meilleur lieu pour s’initier à la pratique. Il a écarté les lieux français, jugés soit trop libertins, soit au contraire trop conservateurs, et pas assez fréquentés par des gens de leur âge. Son choix s’est porté sur un grand centre naturiste en Croatie: beaucoup de jeunes, dépaysant (beaucoup de gens d’Europe de l’Est et quasi pas de français), possibilité de faire des activités sportives ou de faire des visites culturelles. Niveau sexualité, c’est le juste milieu: pas de scènes glauques comme au Cap d’Agde, mais en même temps, les gens ne vont pas te lancer un regard noir si tu pelotes un peu ta copine a la plage.
Après deux jours de route depuis Paris, les deux potes arrivent enfin ! Amaury ne sait pas où donner de la tête: planqué derrière ses lunettes de soleil, il regarde toutes les femmes nues qui croisent leur chemin entre l’accueil du camping et leur emplacement. Très vite cependant, il s’habitue. Chacun mène sa vie comme il le ferait dans un camping normal. Une fois leur tente montée, Augustin se fout à poil sans gêne, en toute décontraction. Il n’en va pas de même pour Amaury, qui s’isole à l’abri des regards pour se mettre nu, et effectue sa première sortie jusqu’aux toilettes, tête baissée, en rasant les murs. Peu à peu, il prend de l’assurance, redresse la tête et finit par oublier qu’il se balade, bite à l’air.
Amaury aime bien son pote, mais il n’a pas non plus envie de passer toutes les vacances en tête à tête avec lui. D’un naturel assez introverti, il n’est pas du genre à accoster des inconnues, que ce soit à la plage ou ailleurs. Il s’inscrit donc à un cours de voile, d’une part parce qu’il a toujours eu envie d’en faire, d’autre part pour se faire quelques copains.
A sa grande joie, il est mis en binôme avec Mateja, une ravissante Slovaque de 18 ans. Blonde aux yeux bleus, fine, aux petits seins et à la toison bien taillée, c’est surtout son regard pétillant de malice et d’intelligence qui retient l’attention d’Amaury. Il est subjugué. La communication est un peu difficile au sein de l’équipage: elle parle bien tchèque, son russe est très correct, mais son anglais très rudimentaire. Ils se parlent beaucoup par gestes, ça la fait rire. Voilà longtemps qu’il n’avait pas rencontré une fille aussi naturellement joyeuse ! Il est sous le charme. Les échanges de regards sont nombreux et de plus en plus intenses.
Lorsque le cours s’achève, elle lui fait un petit bisou sur la commissure des lèvres, auquel il répond par un sourire hébété.
Un peu plus tard dans l’après-midi, Amaury est assis seul au bord de l’eau. Deux mains se posent sur ses yeux. "Kto som ?" lui demande-t-on d’une voix rieuse.Il se retourne. "Mateja ?"Accroupie derrière lui, elle le regarde avec un grand sourire.
— Máš priateľku ?— Sorry, but I really don’t understand.— You... with girlfriend ?— Oh... no, no girlfriend.— Yes : me ! lui répond-elle en écrasant un gros smack sur ses lèvres avant de se relever en lui prenant la main.
Toujours assis, ses yeux sont au niveau du pubis de Mateja. Il n’a jamais vu de si près le sexe d’une femme qu’il connaît si peu. Elle a un beau sexe charnu, le renflement de son abricot et sa fente sont clairement visibles sous son petit triangle de poils clairs. Il ne sait pas si c’est mignon ou obscène. Sans doute un peu des deux.Elle le tire par la main pour qu’il se relève à son tour, et l’entraîne dans une petite balade le long de la plage. Elle sautille, tourne autour de lui, l’asperge d’eau, commence à courir, revient vers lui... c’est une petite pile d’énergie positive, elle ne tient pas en place ! Parfois, elle s’arrête pour l’embrasser.
Ils quittent la plage main dans la main. Il se laisse mener jusqu’à la porte de son bungalow. Elle lui fait signe de rentrer.
— Are you sure ? I don’t want to disturb.— Come !
Elle le tire par la main et l’entraîne jusqu’au canapé. Tournés l’un vers l’autre, ils se roulent une grosse pelle. Il caresse ses cheveux, sa joue. Descend le long de la ligne de son corps, effleure ses seins, passe la main sur la courbe de ses fesses. Leurs yeux sont clos, leurs mains cherchent leurs sexes. Elle ne tarde pas à le trouver. Il est droit, fin, dur. Du bout des doigts, elle en presse doucement le gland, le décalotte, le recallote, le décalotte encore... Elle le câline amoureusement, tendrement.
Le bout du majeur d’Amaury suit le pli de l’aine de Mateja, jusqu’à son sexe. Il frotte son doigt contre sa fente, et se concentre sur son clitoris. Il replie son doigt, le fait vibrer sur le clito, tourne autour, passe et repasse dessus.
Elle caresse la pine d’Amaury avec tendresse et fermeté, calmement, mais sans faux-semblants : elle la serre assez fort dans sa main si délicate, la fait coulisser à un rythme régulier, en accentuant légèrement la pression autour du gland.
Lorsque les parents de Mateja rentrent dans le bungalow, portant les sacs des courses qu’ils viennent de faire à la supérette du camping, Amaury tressaille. Un coup de stress comme il en a rarement éprouvé : promptement, il retire ses mains du corps de la jeune fille en s’excusant. "Sorry !" leur dit-il, la mine déconfite, pendant que son érection retombe légèrement.
Mateja, elle, ne semble pas décontenancée le moins du monde ! Elle garde la bite d’Amaury à la main tout en s’adressant à ses parents sur un ton enjoué:
— Tu je Amaury, Francúz, s ktorým som sa stretol plachtársky klub.— Dobré popoludnie Amaury ! Ste tu vítaní!
Et comme si c’était la chose la plus naturelle du monde, elle lui roule une grosse pelle en reprenant la lente branle du jeune homme. Un peu décontenancé et ne comprenant pas vraiment ce qui se passe, il lui faut quelques instants avant de se remettre dans l’ambiance et de nouveau oser toucher les seins et la chatte de celle qui est désormais, semble-t-il, sa petite amie.Les parents les ignorent, rangeant les provisions dans le placard et le frigo de la cuisine. La bite d’Amaury est de nouveau raide. Mateja décolle ses lèvres des siennes :
— Speak French ! Please !— Now ? But you don’t understand French !— Please ! Please, please !— OK... Tu es très belle, tu sais... Je ne suis jamais sorti avec une fille aussi belle...
Elle lui sourit, en accélérant le rythme de la branlette. Il reprend :
— Tu m’excites, tu sais... Tu vas me faire gicler si tu continues...
Il n’aurait jamais imaginé prononcer un jour de telles paroles devant les parents d’une copine. Il enfonce deux doigts en elle. C’est chaud, humide, serré. Elle bouge son bassin pour mieux sentir ses doigts, des petits mouvements secs, saccadés. Bouche entrouverte, elle laisse échapper des petits couinements. Ses petits seins tressautent au rythme des mouvements de son corps. Les parents passent devant eux pour aller sur le balcon. Elle s’en fout. Il s’en fout. Il continue à lui parler, sur un ton qui trahit qu’il n’est plus vraiment dans le registre romantique :
— T’es vraiment une petite salope pour te faire branler la chatte comme ça devant tes parents... Continue, secoue-moi bien la queue comme une bonne chienne.
Elle donne maintenant des grands coups de bassin en gémissant. Amaury pousse un râle sonore en éjaculant. Les giclées retombent les unes après les autres sur son ventre puis, moins puissantes, s’écoulent de sa bite et sur la main de Mateja. Il reprend aussitôt ses esprits et jette un regard inquiet du côté des parents. Ils lisent des magazines sur le balcon, imperturbables.Mateja est sur un petit nuage.
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