Le lendemain matin, Amaury passe devant le bungalow de Mateja. Ils ont pris leur petit déjeuner dehors et Mateja est en train de débarrasser la table. Si ce n’était pour les trois tasses posées sur son plateau, elle sauterait de joie à la vue d’Amaury. Il lui adresse un grand sourire:— Do you need help?— Come! Il la rejoint et l’embrasse. Elle lui fait signe de la suivre. Il marche derrière elle jusqu’à la kitchenette du bungalow, en fixant son petit cul. Elle pose son plateau et l’embrasse de nouveau en l’enlaçant. La mère est restée au soleil sur la terrasse, le père est assis à la table du salon cuisine, occupé sur une grille de mots croisés. Amaury roule une grosse pelle a Mateja en lui pelotant le cul. Il se sent durcir contre le pubis de la jeune femme. La présence du père à quelques dizaines de centimètres d’eux le perturbe moins que la veille. Il profite pleinement du corps de Mateja, malaxe ses jolies fesses à pleines mains en la galochant bruyamment, comme un ado qu’il n’est plus. Il passe une main entre ses fesses, en direction de la fente de son sexe. Il la frotte, la pénètre. Il enfonce son majeur en elle sans difficulté. Elle mouille bien. Il va et vient par derrière dans son charmant petit con poilu.Mateja ne sait pas trop pourquoi elle s’est tellement attachée à ce nouveau petit copain, mais elle l’adore! Elle a envie de jouer avec lui, avec sa bite. Elle la tripote entre ses doigts, masse le gland à travers le prépuce. Il bande dur pour elle, ça l’excite. Elle a envie de le branler pour de bon. Elle aime branler ses petits copains, la sensation de toute puissance, l’impression de les avoir à sa merci. Elle aime leur gêne quand elle leur secoue la bite pour les vider sans rien attendre en retour, leur air de ne pas comprendre ce qui leur arrive.Elle tire sur l’épaule d’Amaury en lui faisant signe de se tourner. Il s’exécute, un peu perplexe. Elle se colle à lui, seins contre son dos, pubis contre ses fesses. Elle passe ses mains devant lui, caresse son torse, lui fait un petit bisou dans le cou en passant la main sur ses couilles.Elle caresse sa pine lentement, des couilles vers le gland, en tire doucement la peau pour le mettre a nu, le presse un peu sous son pouce. Elle perçoit toutes les variations de sa respiration, et sourit. Elle referme sa main sur cette queue qui lui plait tant, et commence à le branler, tranquillement, comme il pourrait le faire lui-même. Mais c’est elle qui contrôle, mène le jeu, manipule le jeune homme a sa guise. Amaury se découvre homme-objet, soumis aux caresses et à la volonté de cette fille d’apparence si angélique. Il ne s’est jamais retrouvé dans une telle situation, totalement passif et pourtant au centre de toutes les attentions. Il ne sait pas trop quoi faire de ses mains, il en pose une sur le plan de travail, l’autre reste ballante le long de son corps.Assis à table devant eux, le père de Mateja n’est plus trop concentré sur ses mots croisés. Il a beau être habitué à voir sa fille nue, et l’avoir éduquée dans un esprit de liberté ou rien de ce qui concerne le corps et la sexualité n’est tabou, il est de plus en plus sensible à l’impudeur et à la sensualité de sa fille. Il les voit de profil, il la regarde faire du bien a ce garçon qu’elle connaît à peine, avec l’assurance la détermination et la maîtrise d’une femme qui assume pleinement sa part d’érotisme. Sous la table, il est raide. Il n’ose pas se masturber ostensiblement en les regardant, par peur de perturber ce moment, d’en gâcher la spontanéité et d’en souiller la beauté par une attitude excessivement perverse. Mais il bande, et discrètement se frotte la bite contre le dessous du plateau de la table. Mateja augmente progressivement le rythme des va-et-vient de sa main, elle le branle frénétiquement sous les yeux de son père qui n’en perd pas une miette. Amaury a de plus en plus de mal à se maîtriser, il commence à pousser des petits couinements. Sa branleuse pose sa tête sur l’épaule de son chéri. Elle voit son père, qui la fixe avec une lueur étrange dans le regard. Elle sourit. Instinctivement, elle accompagne sa branlette de petits mouvements de bassin. Amaury sent ses petites pressions cadencées du pubis de Mateja contre son cul. Il regarde sa bite et voit la jolie main qui la serre si fort et la secoue si vite. "Haaan"... Il éjacule bruyamment. Il décharge sur le sol. Elle continue à le vider sans faiblir. Giclée après giclée, une traînée de foutre se forme sur le carrelage. Ses couilles finissent par se tarir. Elle lui fait un petit bisou dans le cou, radieuse, joyeuse, fière. Fier, Amaury l’est beaucoup moins! Il regarde penaud le sol souillé de sa semence et marmonne quelques excuses à destination du père : — I am so, so sorry! I don’t understand what happened, I’m going to clean it up! Le père répond par un gros rire. — Nie je to vážne. Amaury prend quelques feuilles de sopalin et s’accroupit pour essuyer son sperme. Sa chérie fait de même.Le paternel a toujours la bite raide. Il regarde sa fille à genoux par terre, en train d’éponger le sperme de son amant. Il se lève et empoigne son solide braquemart, qu’il masturbe nonchalamment en se rapprochant de sa fille. — Pobehlica! robíš ma ; ažkým! Elle entend son père la traiter de salope et lui dire qu’elle le fait bander. Elle regarde sa grosse queue dure. Elle en a envie.
