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Barronerie (partie 2 - Préparatifs et entrée en matière)

Chapitre 1

Orgie / Partouze
Il avait fait patienter sa soumise dans la chambre réservée à ce genre d’invité. Nue sous un peignoir de satin rouge, au milieu de la pièce, elle avait les genoux sur un coussin de soie et était attachée par le cou, les yeux bandés. Il était venu la nourrir, d’un plat aux truffes et d’un fondant au chocolat, qu’il lui avait fait déguster avec une grande délicatesse, dans un climat de tension érotique intense. Nourrir ses soumises était un de ses grands plaisir. Le sentiment de domination était puissant pour lui. Pour le dessert, il avait trempé sa queue dressée dans le chocolat dégoulinant et encore tiède. Puis il l’avait enfourné dans la bouche de son esclave afin qu’elle se délecte de ce fondant merveilleux. Le soir arriva doucement, avec sa lumière teinté de tendresse. Il s’était préparé, en costume noir, chemise blanche et cravate vermillon. Ses chaussures étaient impeccablement cirées. Il mit son masque, noir aussi. Sobre, sans fioritures, ce loup vénitien lui couvrait jusqu’au bas du nez. Il l’avait fait faire sur mesure, à partir de ses propres dessins. Sa soumise eu le droit également à une toilette bien particulière. Après un bain parfumé, il lui avait fait mettre une robe blanche à dos nu sur son corps vierge d’autres tissu. On profitait ainsi parfaitement de ses magnifiques courbes. Il lui choisit un masque violet en dentelle. Autour du coup, il lui mit un collier de cuir, sur lequel était gravé son nom et auquel il attacha une laisse. Il lui enfila des talons. Une coiffeuse vint tout particulièrement faire à la demoiselle un chignon sophistiqué et élégant. Certains rasait les cheveux de leur soumise mais il trouvait cela de mauvais goût. Pour couronner les préparatifs, il inséra un petit plug anal avec un véritable diamant 10 carats dans le cul de sa soumise puis glissa, par gourmandise, deux boules de geisha dans la chatte de la belle. Il la parfuma une dernière fois, ajusta sa cravate, s’assura d’avoir son invitation. Tout était parfait, ils étaient fin prêt pour la "barronerie".
Elle ne vit rien du trajet derrière les vitres teintées. Il fut assez long. Par les secousses de la voiture, elle devina qu’ils passaient sur des chemins caillouteux, à la campagne sûrement, dans un endroit isolé des regards. Sous l’influence des objets qui la remplissait, ses orifices se contractaient avec les vibrations. Elle sentait qu’elle humidifiait le cuir des fauteuil et cela lui procura un sentiment étrange de honte et d’excitation. A côté d’elle, son maître se contentait par moment de lui caresser le haut de la cuisse. Une fois seulement, il frôla le sexe de son esclave d’un doigt satiné et délicat, ce qui la fit frissonner de bonheur. La berline noir pénétra dans la domaine d’un grand château Renaissance. Le véhicule passa un imposant portail noir et roula dans l’allée gravillonnée avant d’aller se garer devant le château avec les autres véhicules du même calibre. Le maître fit le tour de la voiture pour aller prendre sa soumise par la laisse et la sortir du véhicule. Ils montèrent l’escalier désert. A l’entrée, il montra son invitation puis on le laissa passer. Un vieux majordome élégamment habillé leur servit de guide. Elle fut surprise de ne voir personne dans le hall. A la vue du chemin qu’ils empruntaient, elle comprit que tout se passait ailleurs, en dessous du sol, auquel on accédait par une porte dérobée. Déjà dans l’escalier étroit éclairé par des chandeliers, on entendait des voix et d’autres sons indistincts. Arrivé à la porte, d’où filtrait un halo de lumière, la majordome sortit une clé et la mit dans la serrure. Le maître glissa alors à sa soumise :"Le baron voudra sûrement vous essayer. Soyez prête".Elle frémit à cette idée. La porte s’ouvrit et un autre monde avec.
C’était une grande salle à l’influence baroque. Sur le mur, une tapisserie bordeaux avec un liserai or composé de fleur de lys et autres arabesques. Cette couleur donnait le ton. Un ton de décadence et de dépravation teinté d’élégance. Le mobilier était du même style. Des canapés et des fauteuils de cuir rouge et noir, de meubles à tiroirs blanc et or puis au fond, une cheminé dans laquelle crépitait un feu vif et irradiant. Il y avait du monde."C’est un petit comité ce soir." lui dit l’homme à l’oreille. Les gens étaient masqués, tous très chics, assis en train de boire ou de discuter. De jeunes et élégants majordomes portaient et amenaient des plateaux avec des verres de champagne, des cocktails et des amuses bouches. Elle remarqua que leur pantalon étaient troués au niveau de l’entre jambe et ils arboraient tous une vaillante érection. Étonnant. "Assoyons nous. les festivités ne commencerons qu’en présence du baron et de la baronne. Pour l’anecdote, elle met du viagra dans la nourriture de ses majordomes, ce qui les poussent à bander non stop. Ce sont ses jeux sexuels. C’est une femme très étrange. Quand à lui, c’est le maître des lieux. Il a tous les droits. Mais il ne manque pas de gâter ses hôtes et de les faire profiter de ses installations."L’homme voulait sûrement parler de l’autre mobilier. La croix de St André, le divan d’examen, les miroirs au plafond, les deux lits à baldaquins, les sangles de suspensions et le sling en cuir. La porte s’ouvrit et les gens firent silence. Un homme imposant entra dans la pièce, suivit d’une femme d’une cinquantaine d’année, les cheveux teintés en roux et coupés courts. Elle portait une voilette de dentelle devant le visage. Lui était gros, le crâne dégarni. Il portait un costume cravate sobre et fumait un cigare. Il l’ôta de sa bouche grasse pour prononcer les premières paroles de la soirée. "Messieurs dames bonsoir. Bienvenu à la cinquantième barronerie. Pour fêter ça, un petit cadeau."Il claqua des doigts et deux serviteurs entrèrent dans la salle avec une offrande un peu particulière. Une femme, une belle brune aux cheveux ondulés, était suspendu entre deux tubes de bois, ficelée de manière à ce que ses jambes soient bien écartées. Elle était bâillonnée et entièrement nu. Les deux homme la portait comme on porte un cochon de lait. Ils l’apportèrent sur une des tables. Elle était alors mise en pâture à qui voudra, les jambes écartées, le sexe et l’anus luisant. "J’annonce la baronnerie ouverte !" fit le baron d’une voix grasse.
Les gens commencèrent à se sourire, à s’embrasser. Les cuisses des jeunes femmes de levèrent, les mains se firent baladeuses. Un couple alla discrètement vers la croix de saint andré. L’homme y attacha la jeune femme et alla chercher une cravache. Eux ne bougèrent pas. Mais elle vit le baron s’avancer et l’examiner de plus prêt."Messieurs dames, nous avons une nouvelle ! Vous permettez ?"Le baron prit la jeune femme avec lui et la positionna devant l’assemblée de nouveau attentive."Alors belle créature, tu es chez moi ce soir. Tu sera mon œuvre."Il passa derrière elle et lui fit tomber sa robe. Ses deux mains imposantes prirent la poitrine de la jeune femme et la soulevèrent, comme pour la sous-peser. Il tira sur son cigare en plissant les yeux. Puis les mains glissèrent le long du bassin et vinrent se poster en haut des cuisses. Tout le monde était très attentif au geste du baron."Jeunes gens, je suis inspiré ce soir"Il se tourna et ouvrit un tiroir. De là, il y extirpa quelques objets qu’il fit poser sur un plateau que lui amena un des valets. Il revint se poster devant la jeune femme. Tout d’abord, il lui fit ouvrir la bouche avec un bâillon écarteur métallique. Elle avait la mâchoire grande ouverte et ne pouvait plus émettre que des sons gutturaux. Sur le plateau, il prit ensuite deux étaux en métal. Cela lui servit à enfermer les deux seins de la jeunes femmes, si fort qu’elle gémit et émit un filet de bave qui resta attaché à sa bouche et pendouillait jusqu’au en haut de sa poitrine. Enfin, il attacha deux pinces sur les grandes lèvres de la soumise, deux pinces reliées par une chaînette à laquelle était pendu un petit poids. Il finit par lui attacher les mains avec un ruban."Le baron a du goût" vint lui dire le maître de l’esclave.— Elle est à vous alors ? "Oui monsieur le baron— Je m’amuse, vous n’y voyez pas d’inconvénient ?"Aucun monsieur le baron— A la bonne heure. Venez, approchez, touchez cette magnifique créature, elle n’attend que ça."Alors chacun vint entourer la femme, comme une meute de loup affamé. Il la touchèrent plus que de raison et pour cela lui retirèrent les objets dont ces orifices sexuels étaient pourvus. Des doigts inconnus passèrent sur et à l’intérieur de son sexe, dans son anus, à l’intérieur de ses cuisses et même au fond de sa gorge. On la lécha. Elle se sentait faiblir. Alors le maître donna un petit coup sur sa laisse et les gens se dispersèrent. Le baron sourit et alla voir sa femme. Elle était assise sur la femme donnée en offrande, de manière à ce que son séant dénudé soit sur le visage de la soumise offerte. Elle y était assise en buvant une coupe de champagne de manière dédaigneuse tandis qu’un invité était en train de pénétrer la même soumise, la bousculant de coups de reins régulier. L’homme emmena sa soumise au fond de la pièce. Il la fit installer dans le slang, elle avait les jambes écartées. Il lui laissa le bâillon métallique et les étaux mais enleva les pinces sur les grandes lèvres. Il mit un gant de latex et le plongea dans le lubrifiant. "Le sexe ou l’anus ?"Elle ne pu que gémir en guise de réponse. "Je vais tirer à pile ou face"Il prit une pièce dans sa poche et la lança en l’air. Il la rattrapa et la retourna sur la face supérieur de sa main. "Face. Ca sera l’anus."Il posa la pièce puis se mit face à l’orifice de sa soumise.
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