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La bascule

Chapitre 2

Lesbienne
L’amour
— Continue, s’il te plaît, continue.— Ne t’en fais pas, j’arrive.

Le vide est comblé par des doigts en pointe qui se faufilent entre mes lèvres. Ils s’enfoncent lentement, mon vagin s’ouvre, il ruissèle de ma cyprine, la main de Julie s’enfonce en glissant doucement dans mon sexe jusqu’à ce que je le sente se refermer sur son poignet. J’hallucine, j’ai une main entière dans le vagin, elle est rentrée comme une lettre à la poste, comment est-ce possible ? Elle ferme son poing et l’enfonce jusqu’à toucher mon col. Je ne sais plus où je suis, mon bassin se lève pour offrir encore plus de place à ce bras, mais il s’est enfoncé au maximum. Elle commence des va-et-vient dans mon puits d’amour, je dois dire que c’est l’engin le plus énorme que j’ai eu entre les cuisses, mais j’adore. Je sens ce poing fermé aller et venir dans mon antre, je veux qu’elle me défonce le con, qu’elle me déchire la couenne, qu’elle me fasse monter là où je ne suis jamais allé.
— Oh oui, j’aime, j’aime.

Je sens que mon corps m’échappe, il est aux ordres de Julie, elle en fait ce qu’elle veut, il ne réagit qu’à ses stimuli, je suis en attente de la conclusion que je pressens magnifique. Son bras s’active dans mon sexe de plus en plus vite et profondément, je suis déjà dans un état d’excitation que je n’ai jamais connu. Mon corps se prépare à une apothéose dantesque, je me laisse aller, je ne veux pas influer sur la suite des évènements. Mon corps se tend, l’onde du plaisir commence à s’emparer de lui, elle s’étend et finit par en prendre entièrement possession, il s’envole. Je jouis comme jamais je n’ai joui de ma vie, c’est un déchaînement d’ondes de plaisir parcourant mon corps dans tous les sens. Je m’abandonne complètement à ce bras qui me perfore. Julie ralentit ses aller-retour pour accompagner ma redescente sur terre.
Son bras me quitte lentement, je reste allongée, les jambes ouvertes, je veux profiter au maximum de ce moment merveilleux, je sens que mon vagin se referme lentement. Mon corps m’envoie des ondes de plaisir, je suis bien.
— Tu as aimé ?— J’ai adoré tu veux dire, jamais je n’ai ressenti une telle émotion, merci Julie, merci.— De rien, mais ce n’est pas fini, tu dois connaître autre chose, d’accord ?— Fais ce que tu veux, je te fais confiance.

Une langue vient lécher mon vagin, je ne réagis pas, je la laisse faire, je suis dans un autre monde que je ne connais pas, je veux aller jusqu’au bout, je veux connaître cet autre aspect de ma sexualité. La langue me lape, elle se glisse entre mes lèvres, je sens qu’elle récupère ma cyprine. Pour l’instant, je ne ressens rien de particulier, mais la langue descend sur mon périnée, là, quelque chose se passe, un violent frisson parcourt mon corps. Je commence à réagir, la langue s’enfonce dans mon vagin pour redescendre sur le périnée. Mon bassin bouge, Julie le sent, elle sait qu’elle a gagné. Je décide de jouer le jeu à fond, je soulève mes fesses pour lui faire comprendre que je m’abandonne totalement, qu’elle peut faire de mon corps ce qu’elle veut. Elle pose ses mains sous mes fesses et me plaque contre sa bouche. Sa langue parcourt mon sexe de haut en bas, aucun millimètre carré ne lui échappe, mon corps réagit encore.
Une onde commence à l’envahir, elle se répand de la tête aux pieds, je sais que c’est elle qui va me faire jouir. Mon corps se tend de plus en plus, mes muscles commencent à me faire mal, cela fait plus de cinq minutes qu’elle se délecte de ma cyprine en évitant mon clitoris et que mon corps est tendu. Je sais que je vais jouir comme jamais je n’aurais joui, encore plus fort que tout à l’heure, mais je commence à tétaniser, je n’en peux plus. Elle doit le sentir, car lentement, sa langue remonte vers mon clitoris, je sens mon corps se tendre à l’extrême, l’onde devient de plus en plus présente jusqu’à exploser en une gigantesque explosion atomique. Je ne suis plus moi, je suis un nuage dans l’atmosphère, une aurore boréale illuminant la nuit, une boule de plaisir incommensurable. Sa langue s’affole sur mon clitoris entretenant mon plaisir. Elle s’abreuve de ma cyprine, mais en même temps, elle me maintient en extase, elle le fait durer au maximum.
Lentement, mon corps se détend, mes fesses atterrissent sur sa serviette, elle dégage ses mains pour les faire glisser sur mon corps. Je ne peux pas lui refuser ce plaisir après la merveilleuse expérience qu’elle vient de me faire vivre. Ses mains parcourent mon corps pour finir sur mes seins. Je me laisse caresser, c’est en définitive extrêmement agréable, beaucoup plus qu’avec un homme, plus doux, plus sensuel. Je sens son corps sur le mien, ses seins se posent sur mon bas-ventre, je ne bouge pas, où va-t-elle s’arrêter ?
— Je peux ?— Vas-y, je suis à toi.— Merci, je te promets que tu vas aimer.

Son corps monte lentement sur le mien, ses seins sont maintenant sur mon nombril, ils glissent vers les miens. Sa bouche se pose sur eux, elle me titille les tétons qui s’érigent. Je suis bien, j’adore ce qu’elle me fait, tant pis si c’est une femme, j’aime, c’est tout. Je ferme les yeux, je veux vivre au maximum l’instant, je veux la laisser libre de faire ce qu’elle veut. Mon sexe réagit en coulant de plus en plus, il est inondé. Ses seins remontent et arrivent sur les miens. Je suis électrisée par ce contact, savoir que des seins caressent mes seins m’excite comme jamais je n’aurais cru. Mais je réalise que si ses seins sont sur mes seins, sa tête est au niveau de la mienne, que va-t-elle faire, je reste les yeux fermés, je ne veux pas la déranger. Je sens son souffle sur ma figure, je me laisse aller à rêver d’un contact plus physique, mes lèvres s’entrouvrent à peine.
Une seconde plus tard, je sens les siennes sur elles, une langue vient les toucher, elle se glisse entre elles, mais mes dents sont toujours serrées.
Elle insiste, je desserre un peu ma mâchoire, une langue vive s’introduit dans ma bouche, elle vient titiller la mienne qui se rétracte un peu, elle a peur. Elle a peur d’aimer ce qu’on va lui faire, elle a peur de reconnaitre que ce geste est celui qu’elle attendait depuis toujours sans le savoir, elle a peur de se laisser aller et de participer. La langue insiste encore plus, elle vient jusqu’à elle, elle la câline, la caresse, la titille jusqu’à ce qu’elle cède et se jette sur l’autre. C’est une bataille homérique de deux langues qui veulent se faire plaisir, et qui finissent par s’aimer. Je me surprends à caresser ses fesses et à y prendre un immense plaisir, je laisse glisser mes mains sur ces magnifiques globes de chair douce et ferme, je sens que mon corps réagit de nouveau, est-ce qu’elle le comprend ? Mais elle redescend le long de mon corps en l’embrassant constamment pour finir sur mon sexe qui n’attend qu’elle.
— J’ai soif, je vais boire à la source.— Vas-y, c’est ma tournée.

Elle s’abreuve de ma cyprine, je commence à me tortiller dans tous les sens, ses mains viennent caresser mes seins, mon ventre, se glisser sous mes fesses pour me plaquer sur sa bouche vorace. Mon corps me transmet les premiers signaux de plaisir, elle continue de s’abreuver de mon élixir d’amour, elle semble y prendre un immense plaisir. Je ne tarde pas à jouir une nouvelle fois, mon corps est submergé de feux d’artifice, je suis au nirvana, je viens de jouir trois fois de suite comme jamais je n’avais joui, serait-ce le fait que ce soit une femme qui me procure ce plaisir, ma libido est-elle plus adaptée au saphisme, je crois que oui, et je n’en suis pas plus étonné que ça. Il faut que je l’accepte, mais je ne sais pas si je renoncerais aux hommes. Quand je suis complètement revenu à moi, elle s’allonge à côté, son corps touche mon corps, elle ne bouge pas, elle semble attendre quelque chose.
Je reste un bon moment immobile, je sens son corps contre le mien, mon cerveau tourne à fond, que dois-je faire ? J’ai envie de lui faire plaisir, elle m’a rendue tellement heureuse, mais je sais que ça implique un investissement de ma personne que je ne crois pas possible. Il faudrait que je pose mes lèvres sur son sexe, impensable !!
— Je dois dire que jamais je n’aurais cru ce qui vient de se passer possible, tu es une merveilleuse amante, mais je ne sais pas si je pourrais te rendre le bonheur que tu viens de me donner.— Je n’attends rien en retour, tu ne peux imaginer le bonheur que ça a été pour moi de faire vivre et jouir un corps tel que le tien, ça me suffit.— Tu en es sûre ?— Pour l’instant oui.

Je me tourne vers elle, elle a les yeux fermés, elle semble sereine, détendue. Je vois ses seins monter et descendre au rythme de sa respiration, comme son ventre. Ma main s’avance toute seule et se pose sur son ventre, je sens un énorme frisson parcourir son corps. Elle remonte un peu vers ses seins, ils m’aimantent, j’ai envie de promener ma main dessus, elle arrive en dessous. J’hésite, si je commence à lui caresser les seins, ça veut dire que je peux aller plus loin, et je ne sais pas où ça va s’arrêter. Mais l’envie est trop grande, Julie reste imperturbable, son corps ne bouge pas, ma main enveloppe son sein gauche, je sens qu’elle réagit un peu, ça me plaît de sentir un corps réagir sous ma main, ça ne m’est jamais arrivé, mes mecs ne se laissaient pas caresser, ça faisait trop fille. Julie réagit à ma main sur son sein, mais ce qui m’étonne le plus, c’est que moi aussi je réagis, ma main sur son sein a déclenché un énorme frisson chez moi.
J’adore sentir cette boule ronde vibrer sous ma main, j’adore la texture de sa peau. Mon sexe coule, je suis excitée, mais que m’arrive-t-il ? Ma main caresse ce magnifique sein, il est doux, ferme, souple et tonique, un sein de fille de dix-huit ans. Elle va sur l’autre, mêmes sensations, je mouille de plus en plus, j’aime ce que je fais.
— Tu aimes passer ta main sur mon corps ?— Oui, j’adore sentir ta peau sous ma main.— En particulier mes seins.— Oui, ils sont magnifiques et tellement doux.

Je me penche pour poser mes lèvres dessus. Je les titille, les lèche, les embrasse, ma bouche descend sur son ventre pour s’arrêter sur son pubis. Je ne veux pas aller plus loin, mais mon sexe me confirme le plaisir que j’ai eu à promener ma bouche sur sa peau. Son bassin ondule, elle attend que j’aille plus loin, mais je ne suis pas prête, je crois que j’ai fait le maximum. Je sens une odeur suave, elle vient de son sexe, c’est sûr, mais ce qui m’intrigue, c’est de voir son clitoris pointer sa tête en haut de ses lèvres. Il est gonflé, bien rose, il semblait m’appeler, je le regarde, fascinée, elle ouvre un peu ses jambes, elle aussi m’appelle, mais je ne veux pas lui répondre favorablement. Ma bouche est toujours sur la peau de son pubis. Je descends un peu, je me trouve à un centimètre de son clitoris toujours aussi magnétique. Je m’avance un peu, ce n’est pas ce que je veux faire, mais ma bouche avance toute seule, elle finit par tomber sur ce petit bouton gonflé.
Ma langue le lèche, le bassin de Julie se soulève, ma bouche appuie un peu plus dessus, ma langue descend un peu, elle glisse sur le haut de ses lèvres intimes. Je me redresse, le sexe de cette fille a un goût, et il n’est pas déplaisant. Je n’ai jamais eu envie de goûter ma cyprine, je ne suis pas une gouine, ça me paraissait complètement débile de faire ça. Je comprends un peu mieux pourquoi les lesbiennes aiment lécher le sexe de leurs amantes.
— Tu aimes ce que tu viens de goûter ?— Ça n’est pas désagréable.— Goûte plus franchement.— Ne t’en fais pas, j’y retourne avec plaisir.

Je me positionne entre ses jambes, je repose ma bouche sur son sexe, cette fois, bien au milieu, juste entre ses lèvres, elles ruissèlent de cyprine, ma langue lape cette crème onctueuse, je la regoûte, c’est spécial, mais j’aime. Je recommence, elle bouge de plus en plus, je glisse mes mains sous ses fesses et la soulève, elle m’aide, ce qui me permet de plaquer son sexe sur ma bouche. Je disjoncte, je me jette sur ce sexe comme si ma vie en dépendait. Je le suce, le lèche, l’aspire, remonte sur son clitoris, redescends sur son périnée, le mordille, j’ai envie de le bouffer. Son bassin ondule au rythme de mes coups de langue, son corps se tend, je sens qu’elle est au bord de l’orgasme, je remonte sur son clitoris pour l’aspirer et le lécher. Elle explose dans un orgasme hors norme, son corps est un bout de bâton raide tendu vers un plaisir suprême.
Je la laisse se détendre lentement, quand ses fesses retrouvent sa serviette, je me couche sur elle, ma bouche se pose sur la sienne, nous échangeons un baiser sensuel, ses mains glissent sur mes fesses et mon dos. Je suis dans un état que je ne connais pas, j’embrasse une femme et j’en suis heureuse, jamais je n’aurais pu imaginer ça, il n’y a pas une heure. Je m’allonge à côté d’elle, elle me prend la main.
— J’ai adoré ce que tu m’as fait, tu vois que ce n’est pas difficile de donner du bonheur aux autres, et je peux t’assurer que tu m’en as donné, beaucoup même.— J’avoue que moi aussi j’ai aimé, j’ai aimé poser ma main sur ton corps, j’ai aimé le caresser, j’ai aimé poser ma bouche sur ton sexe, j’ai aimé me goinfrer de ce qui en sortait, j’ai aimé sentir ton corps exulter, j’ai aimé poser mes lèvres sur les tiennes et que nos langues s’aiment. — Tu deviendrais lesbienne ?— N’allons pas trop vite, la seule chose que je te dis, c’est que ce que j’ai fait avec toi m’a plu.— Et tu aimerais recommencer ?— C’est sûr, j’aimerais bien recommencer, mais il faut me laisser le temps d’assimiler ce qui vient de se passer, je n’avais jamais touché une peau de fille avant toi, je n’en reviens pas.— Et tout cas, moi, j’ai beaucoup aimé, j’ai rarement joui avec une telle intensité, même avec des copines expérimentées et je suis prête à recommencer avec toi quand tu veux, c’était trop bon.— On recommencera c’est sûr, maintenant, je ne peux pas te dire quand.

Mon téléphone sonne, c’est mon amie de toujours Lola, elle passe chez moi dans une heure, je lui dis que j’y serais. Je suis très heureuse de la revoir, c’est un peu comme ma sœur, on se connaît depuis très longtemps, le CE un. Je me lève, Julie semble un peu triste. Elle veut donner le change en souriant, mais je vois bien qu’elle est triste de me voir partir.
— Si tu le désires, tu peux venir avec moi Julie, ça ne me dérange pas.— Tu es sûre ?— Bien sûr, sinon je ne te le proposerais pas.— OK, j’aime bien être avec toi.— Oui, mais là, il faudra oublier le sexe, c’est une amie de toujours, pas une copine de sexe.— Il n’y a pas que le sexe dans la vie, quoi que !!

Nous enfilons nos fringues, elle est comme moi, jupe courte et tee-shirt ample et c’est tout. Nous arrivons chez moi, elle n’a pas pu s’empêcher de me caresser les fesses de temps en temps, ce qui ne m’a pas gêné. Il fait de plus en plus chaud, le chemin nous a fait suer à grosses gouttes, j’ai envie de prendre une douche. Je me déshabille dans le salon et me précipite dans la salle de bain. Je suis sous l’eau quand je sens une main sur ma fesse gauche, c’est Julie qui est venue me rejoindre nue. Je n’ai pas le temps de réagir qu’elle est déjà accroupie devant moi, ses mains sur mes fesses, sa langue sur ma vulve. Je suis tétanisée par l’onde de plaisir qui traverse mon corps, je me laisse faire, j’ai encore envie de jouir avec cette merveilleuse jeune fille qui fait chanter mon corps comme personne. Quand j’ai joui, je veux lui faire la même chose, mais elle m’en empêche.
— Non, pas le temps, ta copine va arriver, habille-toi.

Je réalise qu’elle a raison, je suis juste séchée que la sonnette retentit. Mes fringues sont dans le salon, pas le temps, je m’entortille dans une grande serviette et vais ouvrir. J’ouvre la porte, c’est Lola, elle me regarde, ouvre ses bras et me saute dessus en me poussant. Elle m’enlace et donne un coup de pied dans la porte pour la fermer. Elle n’a pas changé, toujours aussi explosive.
— Bonjour ma chérie, ça fait si longtemps.— Bonjour Lola, tu m’as l’air bien excitée.— C’est la joie de te revoir, tu ne peux pas savoir comme tu m’as manqué, nos coups de fil ne me suffisaient pas. Et comme je suis de passage pour la première fois depuis trois ans, je tenais à te voir.— Tu as bien fait ma chérie, entrons.

Elle s’écarte de moi, mais un bouton de son corsage s’accroche à ma serviette, ce qui a pour effet de la faire tomber à terre, je me retrouve nue devant elle, mais elle m’a déjà vue nue à Agde, mon corps n’est pas une surprise pour elle. Elle semble toutefois perturbée, elle se recule et me regarde, je reste immobile, ses yeux parcourent mon corps en s’attardant sur les seins et le pubis. Je lui souris et tourne sur moi-même.
— Tu te souviens de lui ?— Oui, comment l’oublier, mais que tu es belle Yasmine, que tu es belle !!— OK, OK.— Tu es encore plus belle que dans mon souvenir, maintenant, tu es plus femme, une merveilleuse femme. Tu t’épiles maintenant ?— Oui, j’aime avoir mon mont de Vénus lisse et doux.— Pour tes copains ?— Ils n’en ont pas profité, ils sont trop nuls, non, c’est pour moi.— Comme moi, je l’ai fait pour moi.

C’est à ce moment qu’apparaît Julie, enveloppée dans une serviette. Elle nous regarde avec un petit air moqueur, elle vient vers nous pour prendre la serviette qui est à terre, elle m’enveloppe dedans.
— Couvrez ce corps que nous ne saurions voir bel enfant, cela me fait venir de coupables pensées.

Je la regarde en riant, je me tourne vers Lola.
— Lola, je te présente mon amie Julie, j’ai fait sa connaissance il y a à peine deux heures au bord d’un ruisseau.— Bonjour Julie.

Elle va vers Lola, l’enlace et l’embrasse très fort sur les joues.
— Bonjour belle Lola.

Lola la regarde complètement déstabilisée, elle ne s’attendait pas à ce genre d’accueil. Je remarque que Julie regarde Lola d’une drôle de manière, son regard est très intense, inquisiteur. Elle la met à bout de bras.
— Tu es très jolie et très belle, j’espère que j’ai une chance.

Lola me regarde, elle semble un peu gênée, elle se tourne vers Julie et la regarde droit dans les yeux.
— Pourquoi, tu es lesbienne ?— Oui, pas toi ?
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