- Histoire érotique écrite par Henry_Danger
- Fantasme
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Simon, mon mari, et moi, Mia, étions sortis en cette fin d’après-midi ensoleillée avec la ferme intention de faire un peu d’exhibition histoire de faire monter l’adrénaline. Simon avait choisi pour moi une robe blanche très sage, boutonnée sur toute la hauteur devant, sans décolleté, mais assez moulante. Bien sûr, absolument rien dessous...
Il m’emmena dans un quartier résidentiel avec beaucoup d’immeubles. Il y avait deux jeunes hommes qui jouaient au basket sur un terrain grillagé, entouré de plusieurs barres d’immeubles. Les deux gars jouaient torse nu et je dois avouer que ça me faisait de l’effet. Alors que nous longions avec Simon le terrain de basket, Simon s’est foutu de moi parce que je les matais et à commencer à me peloter à travers ma petite robe, déboutonnant au passage deux boutons pour ouvrir généreusement mon décolleté.
Les deux basketteurs ne manquèrent pas de remarquer mon décolleté et surtout l’absence manifeste de soutien-gorge puisqu’ils pouvaient voir le profil d’un sein nu par l’entrebâillement de mon décolleté. Ils s’arrêtèrent de jouer quelques secondes alors que l’on passait près d’eux. Simon les salua :
— Belle journée pour jouer !
Les gars ne répondirent pas, se contentant tous les deux d’un signe de tête, trop absorbé par mon décolleté.
Nous nous installâmes sur un banc à proximité du terrain, derrière le grillage, à seulement quelques mètres des deux hommes. Nous les regardions jouer mais ils semblaient ne pas être vraiment concentrer sur ce qu’ils faisaient. Les gars nous jetaient des regards en coin et rataient de plus en plus de paniers. Sans la moindre pudeur, Simon recommença à me caresser les seins à travers ma robe. Sans la moindre pudeur, je le laissais faire. Un nouveau bouton sauta et les caresses appuyées de Simon laissaient parfois mes tétons se dégager.
Les deux garçons jouaient de moins en moins et regardaient de plus en plus dans notre direction sans trop se dissimuler. Simon me demanda :
— Tu crois qu’ils bandent ?
— Je pense que ça se verrait.
Les shorts ne semblaient pas encore déformés. Simon l’avait bien vu mais sa question lui servait juste à formaliser le challenge auquel il voulait me soumettre. Il tira sur mon décolleté, dégageant presque toute ma poitrine.
— Hey, n’exagère pas !!
Je le grondais assez fort, pour la forme, mais surtout pour m’assurer que nos deux jeunes voyeurs n’allaient pas manquer ce spectacle. Après quelques secondes, j’allais rajuster mon décolleté mais Simon se mit à me peloter ouvertement :
— Comment résister à tes seins, ma chérie ?
Je laissai échapper un petit gémissement de plaisir, même pas feint. Simon y mettait tant de cœur que deux autres boutons sautèrent encore. Simon s’écarta et dit :
— Ma chérie, tu es délicieusement indécente !
Il s’écartait surtout pour que les deux gars puissent bien voir ma poitrine nue.
Ils ne jouaient plus du tout et appuyé contre le grillage, à quelques mètres de nous, ils me regardaient sans se priver. Le plus grand des deux gars murmura quelque chose à l’oreille de son copain et ce dernier quitta le terrain pour regagnant l’immeuble qui nous faisait face. Je me demandai pourquoi il ne restait pas pour profiter du spectacle et je crains un instant qu’il ne parte chercher des copains à lui. Après avoir laissé mes seins à l’air quelques longues secondes, je reboutonnai ma robe en ne laissant qu’un sage décolleté. Simon me demanda :
— Déjà finit ? Tu as pourtant encore un admirateur...
Il me retroussa le bas de la robe sur le ventre et m’écarta les cuisses pour exhiber ma fente. Je le laissai faire. Il m’obligea à m’installer bien dans le fond du banc pour bien exhiber mon ventre. Assis à côté de moi, Simon faisait attention à ne pas se mettre dans le champ de vision de notre voyeur qui, enfin, commençait à avoir une érection qui lui déformait le short. Simon observa ma moule et dit :
— Je t’aurais cru plus excitée que ça...
— Ah oui ?
— Tu ne mouilles même pas.
— Pourtant, je t’assure que j’ai le ventre en feu.
— Voyons cela...
Simon avança sa main entre mes cuisses et glissa son majeur dans ma fente pour me masturber. Moi, je me contentais d’entretenir sa bosse en le caressant à travers son jeans. Je retenais mes gémissements mais mon bassin ondulait pour aller à la rencontre de son doigt. Quand il le ressortit après quelques secondes, le doigt dégoulinait effectivement de cyprine. A haute voix pour être entendu du voyeur, il me dit :
— Oui, tu mouilles bien... Regarde, ça coule tout seul maintenant.
Je sentais effectivement que ma mouille coulait et je pus voir, ainsi que mon voyeur, un petit filet de cyprine s’échapper de ma fente et goutter sur le banc. Simon me fit un clin d’œil et ajouta :
— Ma pauvre chérie, je ne vais pas te laisser dans cet état-là.
Il replongea son majeur et recommença à me masturber. Il prit aussitôt un rythme plus soutenu et on entendait, dans le silence du quartier, les "flop, flop" de ses pénétrations. Je gémissais de plus en plus. Simon finit par me donner un orgasme et je me retrouvai à me tortiller de plaisir sur le banc, sous l’action de ses doigts agiles.
Les convulsions provoquées par mon orgasme avaient eu raison de quelques boutons de ma robe et mon décolleté baillait à nouveau largement sur mes seins nus. Le basketteur n’avait pas perdu une miette de notre petite exhibition osée. Il bandait maintenant franchement mais ne semblait pas se formaliser du caractère indécent de sa tenue.
Je mis quelques minutes à retrouver mon calme. Ces quelques minutes, j’avais gardé les cuisses écartées et notre voyeur ne semblait pas se lasser d’admirer ma petite fente trempée de cyprine.
En rajustant ma jupe, je regardai tout autour de nous, pour voir si d’autres voyeurs avaient aussi profité de notre manège. J’aperçus alors la tête du second basketteur, à une fenêtre du quatrième étage de l’immeuble : ce coquin nous photographiait avec son téléphone portable (à moins qu’il n’était en train de faire un film ?). D’où il était, il ne devait pas voir grand chose, en tout cas moins que son copain. Simon surprit mon regard et commença à se tourner en tous sens pour essayer de voir ce que j’avais vu. Je lui fis signe de rester discret et lui murmurai :
— Le copain du gars est là-haut en face en train d’immortaliser nos petits jeux...
Nous nous étions bien amusés et il me semblait que notre petite exhibition prenait fin. Le basketteur, le short tendu par son érection, s’éloigna du grillage et reprit son ballon pour refaire quelques paniers. Pendant que je rajustais le décolleté de ma robe, Simon se leva en rangeant un stylo dans sa poche. J’étais surprise :
— D’où tu sors ce stylo ?
— Il était sous le banc...
Je terminai de reboutonner ma robe. Le basketteur nous regarda partir. Simon me dit à l’oreille :
— Je suis certain qu’il va aller se branler en pensant à toi.
Pourtant, quand je me retournais, il ne repartait pas mais il avait rejoint le banc où on s’était installé et semblait l’examiner. Sans doute regardait-il les gouttes de cyprines que j’y avais laissés.
Après cela, nous sommes allés au restaurant avec Simon. Il passa un peu de temps pendant le repas à pianoter sur son téléphone, chose dont il s’abstenait habituellement :
— A qui tu écris ?
— Je réponds à un SMS.
Je n’en sus pas davantage. Vers la fin de repas, il se pencha vers moi pour me murmurer :
— Ta petite exhibition m’a bien chauffé. J’aimerais bien que tu t’occupes de moi dans les toilettes du resto.
— Pars en éclaireur. Je te rejoins dans deux minutes.
J’avoue que je ne pus pas attendre plus d’une minute... Quelle ne fut pas ma surprise, en entrant dans les toilettes, de découvrir le jeune basketteur appuyé au lavabo, discutant avec Simon. Les deux hommes souriaient, lisant probablement sur mon visage l’étendue de mon étonnement. Simon vint me rejoindre :
— J’avais laissé mon numéro de portable écrit sur le banc pendant que tu te remettais de ton orgasme. J’ai ensuite donné rendez-vous à notre ami ici-même...
Simon referma la porte des toilettes à clé. Il vint ensuite me retrouver et déboutonna intégralement ma robe, m’exhibant nue aux yeux du jeune homme. Puis, il me retira ma robe et m’embrassa. Je voyais le basketteur commencer à se déshabiller derrière Simon. Quand nos bouches se séparèrent, Simon s’écarta et me dit :
— Voici ta récompense pour ta jolie séance d’exhibition de tout à l’heure. Il s’appelle Thomas.
Thomas terminait de retirer son caleçon. Il était nu et en érection. J’en mouillais d’avance. Thomas s’approcha, un peu intimidé, me sembla-t-il. Simon le mit à l’aise :
— Dans la longue liste de ce que je t’ai dit que Mia accepte, j’ai peut-être oublié de te dire que tu pouvais l’embrasser.
Le jeune homme vint contre moi pour m’embrasser et, tandis que nos langues se cherchaient, j’en profitai pour saisir sa queue et ses couilles et les caresser. Quand nos bouches se séparèrent, je lui demandai :
— Tu as bandé en me regardant tout à l’heure ?
La question était sans intérêt puisque je l’avais observé, mais je voulais l’entendre me répondre :
— Carrément. C’est pas tous les jours qu’on voit une femme aussi belle s’amuser à se dévoiler ainsi.
— Tu t’es masturbé ensuite ?
— Non, j’avais le numéro de votre mari... J’ai tout de suite envoyé un SMS.
— Parfait, je suis contente que tes couilles soient bien pleines.
Je m’accroupis à ses pieds et, tout en le masturbant, je commençai à lui sucer les testicules. Il ne semblait pas avoir l’habitude de ce genre de caresses. Il se tendit et me dit :
— Hola, doucement ! Vous allez me faire éjaculer en dix secondes avec un traitement pareil.
Je m’interrompis et me relevai en lui tournant le dos, m’amusant à frotter mes fesses contre son érection. Il m’embrassa et en profita pour me caresser les seins. Je sentais sa virilité entre mes fesses et j’avais de plus en plus envie qu’il me la fourre entre les cuisses :
— Mmmm, tu as l’air prêt...
Je me cambrai pour lui présenter ma croupe bombée. Il m’embrassa le dos en demandant :
— Et vous ?
Simon répondit à ma place :
— Accroupis-toi quelques secondes et tu verras à quel point elle est impatiente que tu la prennes.
Thomas se baissa et regarda ma moule. Elle était probablement luisante de mouille. Le jeune homme se redressa et fit un signe de tête. Mon excitation devait être manifeste. Je me cambrai pour l’attendre. Simon l’invita à commencer :
— Ne la fais pas trop attendre sinon elle va se jeter sur moi...
Thomas guida sa queue tendue dans ma fente et commença à me pénétrer. C’était déjà délicieux et je ne retins pas mes gémissements même s’ils risquaient d’être entendus dans la salle du restaurant :
— Ooooh ouiii. C’est boooon...
Thomas commença à aller et venir lentement en moi. Simon ne se contentait pas de regarder. Il était en train de se débarrasser lui aussi de ses vêtements :
— Ah, ma chérie ! C’est si bon de te voir prendre du plaisir ainsi.
Simon, nu et en érection, vint se positionner devant moi, avec l’envie manifeste que le suce. Cambrée comme je l’étais, j’eus à peine besoin de me pencher pour atteindre sa queue et la prendre en bouche. Cela sembla stimuler Thomas qui accéléra la cadence de ses pénétrations, me faisant gémir de plus en plus. Simon l’encourageait :
— Vas-y, Thomas ! Elle a l’air de bien aimer ce que tu lui fais, cette salope...
Me saisissant par la taille, Thomas accélérait encore le rythme et déclencha mon orgasme. Tandis que mon corps état pris de convulsion, il me semblait que Thomas n’allait pas mettre longtemps à jouir lui aussi. Simon dut s’en rendre compte lui aussi et, dès que mon orgasme s’estompa, il suggéra de terminer autrement :
— Thomas, tu as vu ma femme mouiller tout à l’heure. Je crois qu’elle aimerait te voir éjaculer.
Comprenant ce qu’il attendait de moi, je me redressai pour échapper à l’emprise de mes deux amants. M’agenouillant entre eux, je saisis les deux magnifiques érections et entrepris de les sucer alternativement.
Thomas ne fut pas long à venir. J’eus à peine à le sucer dix secondes que je sentis ses couilles se contracter. Je maintins alors mes doigts serrés sur la base de son sexe tandis que ma langue continuait de tourner autour de son gland. Il se mit à râler de plaisir mais j’empêchais sa semence de jaillir.
Ma manœuvre sembla exciter Simon qui se mit à éjaculer sans crier gare. Il m’inonda la joue et les seins de sa sève épaisse. Pendant qu’il giclait sur moi, je relâchai enfin la pression à la base du sexe de Thomas, tout en le masturbant lentement. Le sperme se mit à jaillir avec puissance dans ma bouche grande ouverte. Thomas se trémoussait sur place en gémissant alors que les jets de sperme se succédaient dans ma bouche. Je n’avalais rien et laissais la semence s’écouler de mon menton et goutter en flaque sur le sol des toilettes.
Quand il eut terminé, Thomas me gratifia de son enthousiasme :
— Putain, quel pied !
Je me redressai et attrapai quelques essuie-mains en papier pour me nettoyer le visage et les seins. Simon et Thomas se rhabillaient :
— Merci, les gars. Voilà une soirée resto comme je les aime !
Thomas me tendit ma robe et désigna une traînée de sperme sur ma cuisse :
— Je crois qu’il vous en reste un peu là...
— Ah ? Peu importe, ça partira à la douche tout à l’heure...
J’enfilai ma robe sans me soucier de ce détail. Thomas semblait fasciné par ma désinvolture. Simon lui serra la main :
— Merci de ta participation et bravo pour ton éjaculation.
— Wahou, c’est la première fois qu’on me dit ça et, venant d’un mec, ça me fait bizarre...
Simon rigola et alla rouvrir la porte. On ressortit ensemble et il alla payer pendant que je l’attendais dehors. Je vis sortir Thomas qui passa devant moi et me fit un sobre mais poli "Bonsoir, Mia" avant de disparaître au coin de la rue. Un vrai gentleman dont la discrétion était appréciable.