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La bastide provençale

Chapitre 1

Le début des vacances

Erotique
Avec ma copine Marie et notre ami Nicolas, nous avions décidé de fêter dignement l’obtention de notre diplôme en louant une maison dans le sud de la France pendant une semaine d’été. Nous avions en effet travaillé dur pendant l’année, et souhaitions profiter de ce dernier été avant l’entrée dans le monde du travail. Aussi, pour profiter au maximum, nous avions économisé durant l’année, mais Marie et Nicolas m’avaient laissé le choix de la maison. Ils allaient donc découvrir ce lieu que j’avais trouvé pour notre escapade varoise.
Après un long trajet depuis la région parisienne, nous arrivâmes enfin face à l’entrée de la maison. J’avais pris le volant sur la totalité de la route et mon corps commençait à me signifier qu’il était temps de s’arrêter. Une fois le portail dépassé, nous garâmes la voiture sous l’ombre d’un arbre, et sortîmes pour découvrir ce lieu. Marie et Nicolas étaient ébahis par la beauté du lieu. J’avais en effet décidé de placer la barre très haute, et avais réservé une bastide typique de la région. La maison en pierre pouvait accueillir au moins six personnes. Autant vous dire qu’à trois, nous ne risquions pas de manquer de place. A l’avant de la maison s’ouvrait une large terrasse à l’abri du soleil, face à laquelle s’étendait une piscine aux dimensions respectables.
En poussant la porte d’entrée, nous découvrîmes un intérieur finement décoré, la dalle de pierre au sol garantissait la fraîcheur de la maison malgré le soleil extérieur, la pierre des murs renforçait l’élégance du lieu, et le mobilier avait été choisi avec goût.
Ainsi, il nous fallut un bon quart d’heure pour découvrir les différentes pièces de la maison. La cuisine, les chambres et les salles de bain, tout était raffiné. Alors que Marie et Nicolas pensaient avoir fait le tour, je les regardai et dis :
— Il y a encore une petite surprise dans la maison.

Sans leur laisser le temps de répondre, je les emmenai dans une des chambres, et poussai une porte qui ressemblait à s’y méprendre à celle d’un placard. Cette porte donnait sur un escalier menant au sous-sol de la maison, d’où s’échappait une odeur de bois fraîchement coupé.
— Ne me dis pas que ?

Sans même laisser le temps à Marie de terminer sa phrase, je l’invitai à descendre l’escalier en posant ma main sur sa fesse et en la poussant doucement vers les marches. Nicolas connaissait notre complicité et ne nous avait jamais tenu rigueur de ces gestes. A vrai dire, je soupçonnais même que cela ne le dérange pas. Arrivés en bas des marches, nous rentrâmes dans un magnifique spa. Le propriétaire avait dû y dépenser un budget considérable. En effet, sur une surface équivalente à celle du rez-de-chaussée, il y avait un jacuzzi, un sauna, une piscine, et plusieurs tables de massage. Le lieu était magnifique, une odeur douce s’en dégageait, il était clair que nous allions y passer du temps.
— Je vous propose que nous allions sortir les affaires de la voiture et que nous nous installions, dit Marie. J’ai hâte de pouvoir profiter de ce lieu, merci mon amour de nous avoir trouvé un endroit si fabuleux. — Avec grand plaisir. Maintenant, allons sortir nos affaires et commencer les vacances.

Marie remonta l’escalier, et Nicolas et moi marchions côte à côte quelques marches après elle. En levant la tête, je vis que sa jupe s’écartait de son corps, et laissait voir le bas de ses fesses, ainsi que la naissance de ses cuisses. Si je pouvais voir ça, il était évident que Nicolas aussi. Je jetais un discret coup d’œil vers lui, et vis que son regard était clairement tourné vers les fesses de Marie. Néanmoins, il était impossible de lui en vouloir, j’aurais eu le même comportement que lui. De plus, nous allions passer la plus grande partie de notre séjour en maillot de bain. Je ne pouvais décemment pas lui ordonner de ne rien regarder chez Marie. Je décidai donc de ne rien dire et de le laisser profiter de la vue.
Après avoir choisi nos chambres respectives, nous convînmes de nous retrouver à la piscine d’ici une demi-heure, afin de nous laisser le temps de nous installer. Nicolas était déjà rentré dans sa chambre, et Marie et moi finissions de sortir nos affaires de la voiture. Alors que j’attrapais le dernier sac, elle me prit par le cou et me murmura à l’oreille :
— Encore merci mon amour. Tu as trouvé une perle, et j’ai hâte que tu me fasses l’amour dans toutes les pièces de cette maison. — Avec plaisir Marie, je suis vraiment heureux qu’on soit là tous les deux, et que Nicolas soit avec nous. En revanche, ce n’est pas lui qui va m’empêcher de te prendre où on veut, quand on veut. Ca va d’ailleurs commencer maintenant.
A peine avais-je terminé ma phrase que je glissai une main sous sa jupe. J’attrapai fermement ses fesses, et l’embrassai tendrement. Je l’amenai contre la porte d’entrée, et relevais son chemisier pour venir embrasser sa poitrine. Après plusieurs années ensemble, je connaissais son corps par cœur et je savais à quel point ses tétons étaient sensibles. Je prenais donc un malin plaisir à passer ma langue autour d’eux, avant de les mordiller. En jouant avec ma langue sur ses seins, je commençais à glisser mes deux mains sous sa jupe. Je reconnaissais au toucher son tanga rouge qui me faisait craquer. Marie et moi utilisions très souvent ses sous-vêtements dans nos rapports, et j’avais développé une certaine expertise. Je le fis glisser le long de ses jambes et lui enlevai complètement. Elle était maintenant nue sous sa jupe, la poitrine à l’air libre, et je tenais dans ma main son tanga déjà trempé par son excitation.
— Mmmmmhhhh que c’est bon, gémit-elle. — Reste discrète ma chérie, nous ne sommes pas seuls ! — C’est très compliqué ce que tu me demandes, répondit Marie entre deux souffles.
Bien décidé à rester discret, je saisis son tanga que j’avais dans la main, et commençai par le faire glisser entre les lèvres de son sexe. De cette manière, j’étais sûr qu’il serait trempé par sa mouille. Alors qu’elle entrouvrait la bouche pour gémir, j’introduis le tanga entre ses lèvres, et lui murmurai à l’oreille :
— Puisque tu ne veux pas être discrète, je vais être obligé de t’aider. Tu vas maintenant garder ton tanga dans ta bouche, et profiter ainsi du goût de ton sexe. Je pense que cela te permettra d’être plus discrète.
J’obtins un gémissement étouffé pour seule réponse, et pus redescendre jouer avec ma langue sur sa poitrine. Alors que nous étions depuis plusieurs minutes dans cette position, j’entendis soudainement Nicolas nous appeler. Il venait de sortir de sa chambre, et, ne nous voyant ni à la piscine, ni dans notre chambre. Il était parti à notre recherche. Nous n’avions que quelques secondes pour agir avant qu’il nous découvre dans cette position sans équivoque...
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