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La bastide provençale

Chapitre 3

La première soirée

Erotique
(Après quelques minutes, nous étions tous deux si excités que nos orgasmes vinrent très vite. Elle jouit la première, en se mordant les lèvres pour ne pas crier, et cette vision me fit éjaculer en elle quelques secondes après. Nous étions heureux d’être là, et ce n’était que le début d’une très belle semaine.)
Après ce premier orgasme, Marie et moi étions allongés l’un sur l’autre, nos maillots maladroitement replacés. Nous profitions de la douceur si caractéristique de l’été dans le midi.
— Les amoureux, le repas est bientôt prêt, rejoignez-moi à la cuisine !
Tombés dans le calme de ce début de soirée, nous avions presque oublié la présente de Nicolas. Cependant, impatients de découvrir le repas qu’il avait préparé, nous nous levâmes sans demander notre reste. Nicolas se tenait à quelques mètres de nous, nous ne l’avions pas entendu approcher. Soudain, je vis passer dans son regard une forme de lubricité, mais également de gêne. En me tournant vers Marie, je vis qu’un de ses seins sortait à moitié de son maillot. Son téton gauche pointait fièrement hors du tissu et elle ne s’en était pas rendu compte. Ma raison me suggérait de lui dire immédiatement, mais je me souvenais de ses paroles avant que nous fassions l’amour.
— Peut-être que je suis volontairement remontée avant vous...
Et si, derrière ce qu’elle avait présenté comme une blague, il y avait une once de vérité. Nous ne nous connaissions pas particulièrement exhibitionnistes, mais cela faisait tout de même deux fois que nous étions en plein acte hors de notre chambre. Pour couronner le tout, cette coquine m’avait annoncé ne plus mettre de sous-vêtements du reste du séjour. Elle pourrait être amenée à subir les conséquences de cette provocation, n’étant plus à l’abri qu’un de ses seins glisse hors d’un débardeur un peu trop large lors d’un petit-déjeuner, ou qu’un coup de mistral s’engouffre sous sa jupe et la fasse remonter, nous dévoilant ainsi ses fesses bronzées. Alors je décidai de ne rien lui dire, et d’observer la réaction de notre ami. Nicolas n’avait pas vu que j’avais remarqué son regard, trop absorbé par le globe de chair de Marie. C’est seulement lorsqu’elle se mit à marcher après quelques secondes d’étirements qu’elle vit son sein à l’air libre, et s’empressa d’ajuster son maillot de bain.
Elle ne regarda pas Nicolas et vint me prendre la main pour que nous allions tous les trois vers la cuisine.
— Dites donc, je veux bien m’occuper de faire la cuisine, mais ce n’est pas le camping ici. Et puis on fête quand même notre diplôme, ça mérite de plus beaux habits qu’un simple maillot de bain. Je vous propose qu’on se retrouve d’ici vingt minutes, le temps de se préparer.
Nicolas avait raison, je dois reconnaître que nos maillots de bain étaient très élégants, mais ne convenaient tout de même pas à un dîner. De plus, je pensai dans un coin de ma tête au défi qu’avait lancé Marie plus tôt. Cela allait être la première occasion de vérifier si elle tenait ses paroles. Lorsque nous rentrâmes dans la chambre, nous nous déshabillâmes tous les deux. J’en profitai pour l’admirer nue, cela faisait longtemps que je la voyais ainsi, mais mon amour pour son corps ne faiblissait jamais. Elle prit un ensemble d’habits dans la valise et se dirigea vers la salle de bain. Pendant qu’elle se préparait, j’en profitai pour enfiler ma tenue de la soirée. J’étais habillé d’un pantalon blanc en lin, ainsi que d’une chemise de la même matière, mais d’un bleu très clair. Je me dirigeai vers la porte de la salle de bain pour prévenir Marie que j’allais descendre, lorsqu’elle ouvrit la porte. Elle était munie d’une magnifique jupe bleue, et d’un chemisier en soie, blanc.
Elle était magnifique dans cette tenue. Marie me regarda avec un air satisfait. Elle attrapa ma main, et la guida directement sous sa jupe. Elle était bien nue en dessous, je sentis ses lèvres lisses sous mes doigts, mais avant que je n’aie pu faire un seul mouvement, elle retira ma main et déposa un baiser sur ma joue.
— C’est tout pour maintenant mon amour. J’espère que tu pourras te contrôler pendant le dîner.
Marie passa devant moi en me souriant, fière de son effet, et de sa provocation. Je la vis sortir de la chambre et se diriger vers la cuisine, tandis que je devais rester seul quelques minutes pour faire redescendre la pression, et plus particulièrement calmer le début d’érection qui venait de naître.
Le dîner se passa merveilleusement bien. Nous connaissions Nicolas depuis plusieurs années, mais nous étions toujours émerveillés par la qualité de sa cuisine. Derrière son tablier de chef, il avait enfilé une chemise plus formelle, mais avait également opté pour un pantalon en lin. Marie et moi avions toujours apprécié la beauté et l’élégance de certaines personnes, et Nicolas en faisait partie. Nous passâmes le dîner à discuter, de tout et de rien, nous échangions sur nos avenirs respectifs. Lui voulait travailler le plus vite possible, Marie et moi pensions prendre une année sabbatique pour randonner en France avant de commencer le travail et de ne plus avoir de temps disponible. De mon côté, je n’oubliai pas que Marie était nue sous sa jupe, et une idée me vint.
— Nicolas, peux-tu attraper une bouteille de vin dans le cellier derrière s’il te plaît ? lui demandais-je.
A peine avait-il tourné le dos que je passai ma main sous la jupe de Marie, remontant rapidement jusqu’à l’intérieur de ses cuisses. Elle poussa un léger gémissement, tandis que je glissai mon majeur entre ses lèvres. Je commençai ainsi à la caresser doucement. Elle me regardait avec des yeux pleins d’excitation, je sentis du défi dans son regard. Alors lorsque nous entendîmes notre ami revenir du cellier, je ne me retirai pas. Marie me foudroya du regard alors que Nicolas revenait vers la table, mais je sentis son sexe se mouiller de plus en plus. La large table de la cuisine permettait de cacher ma main. Notre ami se rassit en face de nous, et nous reprîmes notre discussion. Marie racontait toujours ses envies de suivre le GR5 des rives du Léman jusqu’à la Méditerranée, mais son discours était ponctué à intervalles irréguliers d’expirations légèrement plus marquées, lorsque j’introduisais délicatement le début de mon doigt dans son vagin.
J’admirai néanmoins son stoïcisme face à la situation. Ne pouvant probablement plus tenir, elle se leva soudainement et annonça son état de fatigue avancé. Elle souhaitait aller se coucher, mais nous proposa de continuer la soirée de notre côté. Cependant, j’étais également éreinté par la route, et je souhaitai m’endormir avec elle. Nous prîmes quelques minutes pour faire la vaisselle et décidâmes d’aller nous coucher.
Nos deux chambres étaient adjacentes, et, c’était bien là le seul défaut de la maison, car nous partagions une salle de bain munie de deux portes, donnant de part et d’autre sur chacune des chambres. Ces portes ne fermaient pas à clé, il était donc important que nous fassions attention à ce que la salle de bain ne soit pas occupée. Nous fîmes Marie et moi un brin de toilettes, avant de laisser la salle de bain à Nicolas. Il avait cuisiné et cela lui faisait une bonne excuse pour réclamer la baignoire. Marie sortit en premier de la salle de bain, elle alla directement se glisser sous la couette. Quant à moi, je terminai quelques minutes après. J’appelai Nicolas pour le prévenir que j’avais terminé avec la salle de bain et qu’il pouvait en profiter. N’obtenant aucune réponse, je toquai à la porte de sa chambre. Comme celui-ci ne disait toujours rien, je décidai d’ouvrir la porte.
C’est alors que je le vis, allongé sur son lit, il avait un livre entre les mains et surtout ses écouteurs dans les oreilles. Il était nu sur son drap, et ne m’avait pas entendu entrer. Lorsqu’il vit le mouvement de la porte, il redressa les yeux. Je m’excusai platement de l’avoir dérangé et le prévins que la salle de bain était libre. Je refermai la porte rapidement, sans prendre le temps d’écouter sa réponse. Je m’en voulais de l’avoir surpris ainsi, mais j’étais aussi interpellé par ce que je venais de voir. Je décidai de ne pas en parler à Marie et allai la rejoindre sous le drap. Elle était allongée sur le ventre, nue. Je pensai en entrant dans la chambre plongée dans l’obscurité qu’elle dormait. Mais après quelques secondes, j’entendis une vibration continue, mais étouffée. Il était évident qu’elle ne comptait pas dormir tout de suite.
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