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La bastide provençale

Chapitre 5

Erotique
— On a explosé de rire car quand je suis allé me laver les dents, Nicolas a remarqué quelque chose au coin de ma lèvre. Je lui ai dit que c’était surement du dentifrice mais il ne voulait pas me croire. Alors j’ai passé ma brosse à dents dessus, et ai commencé à me laver les dents avec. A ma tête, il a tout de suite compris ce dont il s’agissait. Mais j’ai tenu bon, je me suis brossé les dents avec, c’était si absurde qu’on a éclaté de rire. A mon avis il n’est absolument pas dérangé par ce qui s’est passé. Si j’étais même un peu coquine, je dirais que c’était tout le contraire, vu son regard lorsqu’il a vu ce que j’avais sur les lèvres. Je pense qu’on pourra continuer à s’en donner à cœur joie. Bonne nuit mon amour.

Sur ces mots elle m’embrassa et posa sa tête sur mon torse sans me laisser répondre. Quelques secondes après, elle dormait déjà, et ce ne fut pas plus long pour moi.Le lendemain matin, j’ouvrais les yeux et Marie dormait encore. Je sentais son corps chaud contre le mien, et il ne me fallut que quelques secondes pour sentir monter une grande excitation. Mon sexe durcissait à vue d’œil, et quelques instants plus tard, je sentis Marie commencer à bouger. En se retournant, elle attrapa mon sexe de sa main et me fit le plaisir de se glisser sous les draps. Je sentis alors les lèvres de sa bouche entourer mon gland et elle fit glisser mon sexe bandé entre ses joues. Ce traitement dès le matin était particulièrement plaisant, d’autant que nous étions particulièrement excités depuis notre arrivée. Alors que je sentais mon sexe disparaitre de plus en plus profondément dans sa gorge, Nicolas toqua à la porte.
— je peux entrer ? demanda-t-il à travers la porte.
Alors que je m’apprêtais à lui demander d’attendre pour laisser le temps à Marie de sortir de la couette, celle-ci glissa la tête hors de la couette.
— bien sûr, entre ! répondit elle, avant de disparaitre à nouveau sous la couette.
Je n’avais définitivement pas imaginé qu’elle soit aussi coquine… car à l’instant où la porte s’ouvrit, elle glissa sa langue de la base de mon sexe jusqu’en haut, et le fit disparaitre entre ses joues. Je vis Nicolas se glisser dans la chambre et atteindre le bord du lit. Il était habillé d’un t-shirt, et d’un caleçon qui lui servait de pyjama. Cependant dans l’obscurité de la chambre, il lui était difficile de distinguer la forme de Marie sous le drap.
— Le petit déjeuner est prêt, annonça-t-il. — Merci, on te rejoint dans quelques minutes.
J’eu du mal à lui répondre naturellement car je sentais mon sexe entre les lèvres de Marie. Elle m’avait mis dans une situation compliquée à gérer et je sentais que cela l’excitait. Alors je décidai de la prendre à son propre jeu.
— ça va, on ne t’a pas trop dérangé hier soir ? — ça serait te mentir de te dire que je ne vous ai pas entendu, le mur de la salle de bain est assez fin je pense. Mais bon, j’ai connu des sons plus désagréables à entendre.
A l’instant où il prononça ces mots, je sentis les lèvres de Marie enserrer mon sexe. Elle le prenait fermement en bouche, comme pour m’indiquer que cette dernière remarque lui avait procuré de l’effet. Alors je pris les devants.
— Si c’est le cas, on fera d’avantage de bruit ce soir, rien que pour tes beaux yeux.
— Attention, je vais finir par croire que je suis dans le même lit que vous à ce rythme là.
Les mouvements de Marie étaient de plus en plus longs, elle semblait terriblement excitée par la situation.
— Si tu es sage, peut être que l’on t’invitera alors ! lui dis-je en rigolant.— Allez, ça suffit les bêtises, je vous attends en bas pour le petit déjeuner.
Sur ces mots, Nicolas tourna les talons. J’eu cependant le temps d’apercevoir que son caleçon était légèrement déformé. Était-ce la teneur de notre discussion ou simplement une traditionnelle érection matinale ?
Quelques secondes après la sortie de Nicolas de la chambre, Marie écarta les draps de sa tête. Elle avait les joues rouges, elle semblait avoir eu chaud. Elle fit glisser mon sexe hors de ses lèvres, et sans même réfléchir, vint positionner son bassin au-dessus de moi. Il ne me fallu que quelques instants pour me retrouver au chaud, en elle. Son sexe était particulièrement mouillé, et elle commença à faire de rapides mouvements de bassin. Elle semblait si excitée, les yeux fermés, elle bougeait son corps de plus en plus vite, de plus en plus loin, son bassin ondulait, et surtout, je l’entendais pousser des gémissements de plus en plus forts. Elle transforma ses timides gémissements en puissants sons, elle n’avait plus aucune retenue. Nous vîmes alors l’écran du téléphone se Marie s’allumer sur le bord du lit, et le prénom de Nicolas s’afficha. Elle s’en saisit alors et déverrouillât l’écran
[SMS]< Finalement vous n’avez pas attendu ce soir…Alors que j’allais reposer le téléphone, Marie se mit à taper sur le clavier. Elle avait toujours mon sexe au plus profond de son vagin, et en remuant le bassin, elle se lança dans une conversation avec Nicolas [SMS]< Finalement vous n’avez pas attendu ce soir... > Non en effet, on avait déjà commencé le petit déjeuner...< C’est ce que j’entends... moi qui vous en avais préparé un, je me retrouve seul avec> Promis on n’en a plus pour très longtemps. Mais n’hésite pas à nous écouter pour juger la qualité du nôtre< Pour l’instant cela semble être un 10/10. Mais je vais peut-être retourner dans ma chambre pour pouvoir d’avantage en profiterLa discussion prenait un air de plus en plus inattendu. Nicolas venait clairement de nous annoncer qu’il allait retourner dans sa chambre pour nous écouter. Nous n’avions que très peu de doute sur ce qu’il allait faire. Mais d’un regard, nous décidâmes de continuer cette expérience qui nous excitait au plus au point. [SMS]< Pour l’instant cela semble être un 10/10. Mais je vais peut-être retourner dans ma chambre pour pouvoir d’avantage en profiter> Dans ce cas là, peut être devrait tu t’installer dans la salle de bain. Apparemment l’acoustique y est meilleure. Tu feras attention cependant, il y a mon maillot de bain sur la poignée, ne le salit pas… < Vous avez raison... j’arrive. Mais je ne garantis rien pour ton maillot. Je pris alors l’initiative pour la suite des évènements. Je demandai à Marie de se lever, et d’aller se positionner debout face à la porte de la salle de bain. Se faisant, elle avait les mains de part et d’autre de la porte, les fesses fièrement dressées vers l’arrière. Je n’eu aucune difficulté à la prendre d’un coup, profondément, et je voyais mon pénis disparaitre entre les lèvres de son sexe grand ouvert. Je commençais à la prendre dans cette position lorsque nous entendîmes la porte de la salle de bain s’ouvrir du côté de la chambre de Nicolas. Plus aucun doute, il était dans la salle de bain, probablement nu, prêt à nous écouter faire intensément l’amour. Alors nous reprîmes nos mouvements, et il ne fallut que quelques secondes pour que Marie gémisse de plus belle. Chaque mouvement lui faisait pousser un cri de plaisir, elle était transportée, à chaque mouvement je sentais mon bassin claquer contre ses fesses.
Je fis une pause de quelques instants, caressant de ma main droite sa fesse, tandis que je cherchais à attraper dans le tiroir de la table de nuit de ma main libre son sextoy. Je lui mis alors une intense fessée qui lui tira un gémissement de plaisir, avant de glisser le vibromasseur entre ses joues.
— Suce le fort ! lui murmurai je à l’oreille.
Elle s’appliqua alors à passer le vibromasseur entre ses joues comme s’il s’agissait de mon sexe. Et pendant ce temps, je continuais à la prendre intensément, toujours debout face à la porte. Et derrière cette porte se tenait probablement Nicolas, en train de se masturber tout en nous écoutant. Nous n’avions jamais eu ce type de comportement elle et moi, et voilà qu’en 24 heures, nous nous retrouvions presque exhibitionniste. Que serait-ce à la fin du séjour…
Durant de longues minutes, nous continuâmes à faire l’amour tandis que Marie s’amusait à passer le sextoy entre ses joues, et à l’emmener loin dans sa gorge. Proche de l’orgasme, elle décida alors de le glisser entre ses cuisses, et le mit sur son clitoris. C’était instantané, et elle poussa un grand cri de jouissance qui me fit également venir. C’était l’apothéose d’une scène tellement excitante qu’il nous fallu quelques minutes avant de reprendre nos esprits. De l’autre côté de la porte, nous entendîmes la porte de la chambre de Nicolas se fermer. Il avait probablement été transporté lui aussi.
Marie la première reprit ses esprits, elle alla dans la salle de bain pour se laver avant d’aller prendre le vrai petit-déjeuner. J’entendis l’eau rapidement couler, et Marie sortit quelques minutes après de la salle de bain. Elle était toujours nue, avec un grand sourire aux lèvres. Au bout de son indexe, elle tenait sa culotte de maillot de bain. Et tout l’entrejambe était couvert de sperme.
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