Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 98 J'aime
  • 4 Commentaires

La bastide provençale

Chapitre 6

Erotique
Marie la première reprit ses esprits, elle alla dans la salle de bain pour se laver avant d’aller prendre le vrai petit-déjeuner. J’entendis l’eau rapidement couler, et Marie sortit quelques minutes après de la salle de bain. Elle était toujours nue, avec un grand sourire aux lèvres. Au bout de son index, elle tenait sa culotte de maillot de bain. Et tout l’entrejambe était couvert de sperme. Elle semblait intriguée, excitée, et amusée par cette découverte. Je lui glissai alors à l’oreille
— Tu m’avais dit que tu ne porterais plus de sous-vêtements… mais les maillots de bain, ça ne compte pas.
Alors, me regardant droit dans les yeux, Marie fit passer le maillot entre ses chevilles, en faisant attention à ne pas renverser le contenu, et le fit glisser le long de ses jambes jusqu’à ce qu’il soit autour de sa taille. Nous venions de franchir une nouvelle étape, et non des moindres, puisqu’elle portait maintenant une culotte de maillot de bain couverte du sperme de notre ami, qui avait éjaculé dedans en nous écoutant faire l’amour… vous parlez d’un programme.
Lorsque Nicolas vit Marie franchir la porte de la cuisine en portant le maillot de bain dans lequel il venait de jouir, il fut à deux doigts de s’étouffer avec son café. Le regard dans ses yeux avait changé, nous sentions qu’il y avait maintenant une excitation difficilement dissimulable entre nous trois. Cependant durant le petit déjeuner, nous n’abordâmes pas le sujet. Il s’agissait davantage de préparer le programme de la journée. Piscine et farniente étaient au programme et nous passâmes le reste de la journée à bronzer et à nous rafraichir dans l’eau.
Au cours de l’après-midi, Marie était allongée sur le ventre, le haut de son maillot de bain posé à ses côtés. C’est alors qu’une guêpe vint tourner autour d’elle, jusqu’à se poser près de son oreille. Elle se leva alors d’un coup, et couru se mettre à l’abri quelques mètres plus loin. Après avoir vérifié que l’indésirable était parti, elle retourna s’allonger sur sa serviette, l’air de rien, elle semblait avoir complètement oublié qu’elle avait la poitrine à l’air libre. En revanche Nicolas lui n’en ratait pas une miette. Nous étions tous les deux accoudés au rebord de la piscine, et Marie passa seins nus devant nous. Je vis alors Nicolas suivre du regard cette magnifique paire de fesses, jusqu’à ce que Marie soit allongée. Sous l’eau calme, je voyais une bosse se dessiner. Son sexe semblait vouloir jaillir hors de ce maillot de bain, et il devait probablement être à l’étroit.
Le reste de l’après midi et de la soirée se passa sans évènement majeur. Nous étions tous les trois heureux d’être ensemble, et il flottait dans l’air un parfum d’insouciance. Après le diner, nous décidâmes de regarder un film ensemble. La télévision était installée dans notre chambre, face au lit. Plutôt que de déplacer l’ensemble jusqu’au salon, il était bien plus simple de s’installer tous ensemble dans le lit. Habillé d’un simple caleçon, je fus le premier sous les draps. Nicolas me rejoignit quelques minutes plus tard, il portait un bas de pyjama. A côté du lit, il posa ses vêtements propres pour le lendemain matin. Quant à Marie, elle fut la plus longue à se préparer. Lorsqu’elle sortit de la salle de bain, elle vint se glisser au milieu du lit, entre nous deux. Elle était vêtue d’un short de pyjama sans rien en dessous, et d’un vieux t-shirt ample qui lui servait de haut de pyjama. D’habitude nous dormions nus, mais nous n’étions pas seuls.
Au bout d’une heure de film, Nicolas semblait dormir. Nous entendions ses bruits de respiration réguliers, et c’est le moment que Marie choisit pour se redresser.
— J’ai beaucoup trop chaud avec ça, je l’enlève pour dormir, sous le drap on ne verra rien.
Et elle retira son t-shirt qu’elle jeta au bout du lit. Elle se tourna sur le côté, face à moi, et commença à m’embrasser. Je connaissais par cœur la signification de ce baiser, et sans crier gare elle glissa une main dans mon caleçon, et commença à caresser mon sexe. Elle était douce, et il ne me fallu que quelques secondes pour sentir mon sexe durcir entre ses doigts. Je glissai à mon tour mes doigts entre ses cuisses, et je sentis qu’elle était déjà particulièrement mouillée. Je mis alors mes doigts sous l’élastique de son short de nuit, et le fis glisser le long de ses jambes. Elle était complètement nue. Elle enleva également mon caleçon, et prenant nos deux habits, elle les jeta au bout du lit.
Marie s’allongea alors sur le dos tandis que je venais m’installer entre ses jambes. Je glissai ma langue entre les lèvres de son sexe, et la fis pénétrer dans l’entrée de son vagin, avant de remonter jusqu’à son clitoris. J’alternai ainsi entre un mouvement de ma langue rapide et intense sur son clitoris, et lent et profond dans son sexe. Elle adorait ça, et elle ne pouvait pas y résister. Mais cette fois, hors de question de faire du bruit. Nicolas dormait à côté de nous, et nous n’étions jamais allé aussi loin. Alors elle se retenait, mais sa respiration se faisait de plus en plus forte. Il ne fallait pas qu’elle aille plus loin dans son bruit. Je me redressai alors, abandonnant ses cuisses, et vint présenter mon sexe à l’entrée du sien. En un mouvement, j’étais au fond d’elle. Je la pénétrai doucement pour ne pas faire de bruit, tout en jetant un œil régulier sur Nicolas à nos côtés. Il n’avait pas bougé et sa respiration était toujours la même.
Je pris le risque d’accélérer légèrement, tout en venant caresser le clitoris de Marie à l’aide de mes doigts. Rapidement, je sentis ses jambes se serrer, sa respiration se couper. Elle était en train de jouir, et elle devait rester silencieuse. Ce fut compliqué mais elle y parvint du mieux qu’elle le pouvait. Son orgasme me conduisit rapidement à jouir. Je dus également garder le silence alors que j’éjaculais de puissants jets de sperme entre les lèvres de son sexe. Pour la première fois, nous venions de faire l’amour à côté d’une personne, endormie certes, mais tout de même…
Alors que je venais m’allonger à ses côtés, Marie se leva. Non pas pour aller se doucher, mais elle alla attraper le caleçon de Nicolas qu’il avait préparé pour le lendemain. Elle me glissa à l’oreille
— il n’y a pas de raison que je sois la seule à me faire salir mes vêtements.
Et sans un mot de plus, elle posa le tissu sur le lit et se positionna au-dessus, les jambes écartées. Je vis couler hors de son sexe un mélange de sperme et de cyprine, qui tomba sur l’intérieur du caleçon de Nicolas. Elle descendit jusqu’à ce que ses lèvres soient en contact avec le caleçon et frotta ainsi son sexe sur le tissu. A chaque passage, la trace était d’avantage visible. Nicolas aura une belle surprise au réveil. Après plusieurs mouvements de bassins, elle se leva et remit le caleçon en place comme si de rien était. Sans réfléchir, elle vint se lover dans mes bras, nue, et nous nous endormîmes paisiblement, à côté de notre ami, sans penser au lendemain
Diffuse en direct !
Regarder son live