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La bastide provençale

Chapitre 8

La dernière ligne

Avec plusieurs hommes
(Ses gémissements trahissaient un plaisir immense, et Nicolas semblait lui aussi être proche de l’orgasme. C’est alors que nous vîmes sa main dépasser de l’ouverture de la porte. Il ne devait être qu’à quelques centimètres. Je pris alors le bras de Marie et le guida vers sa main. Elle lui attrapa, à travers la porte, et ce premier contact lui fit l’effet d’une bombe. Presque instantanément, elle eut un orgasme puissant, elle jouit et je sentis les mouvements de son sexe autour du mien. Sa main serrait celle de Nicolas qui semblait également avoir atteint l’orgasme. Cette vision, et ces sensations, m’achevèrent également. Dans un dernier mouvement de bassin, j’éjaculai de puissants jets de sperme dans son vagin, et cet orgasme clôtura ce qui venait de se passer.)
Nous restâmes de longues minutes dans cette position. Marie avait retiré sa main de la salle de bain, et Nicolas semblait en être sorti. Après m’être retiré de son sexe, Marie se tourna vers moi et me chuchota dans l’oreille :
— Je t’aime mon amour.
Ce que nous avions fait à l’instant dépassait notre imagination. Nous venions de faire l’amour contre une porte derrière laquelle se trouvait notre ami, et Marie lui tenait la main en même temps. Et nous avions tous les trois joui ainsi. Nous avions été transportés dans un état d’excitation tel que la suite pouvait être difficile à gérer. Mais ces quelques mots glissés dans mon oreille me confirmèrent qu’elle et moi avions simplement écouté nos pulsions, et que cela était une envie partagée, sans regret.
— Moi aussi je t’aime.
Marie me regarda avec des yeux remplis d’amour. Et sans un mot, elle se leva pour se diriger vers la salle de bain. En revenant, elle portait son maillot de bain que Nicolas avait à nouveau couvert de sperme. L’intérieur et particulièrement l’entrejambe étaient couverts, et de larges traces étaient visibles sur l’extérieur. Mais visiblement, Marie n’était pas dérangée. Bien au contraire, un large sourire s’étalait sur son visage.
En descendant l’escalier qui menait au salon, nous croisâmes Nicolas qui remontait l’escalier. Il nous jeta un regard, mélange de gêne et d’excitation. La situation devait probablement l’intimider, peut être se demandait il si nous étions allés trop loin. Mais le regard lancé par Marie calma probablement toutes ses craintes. En même temps, elle portait un maillot de bain couvert de traces de son sperme, et ses yeux traduisaient le plaisir qu’elle venait de prendre. Ce rapide croisement sans parole suffit à me confirmer que nous n’allions probablement pas nous arrêter là.
Le déjeuner et le reste de la journée se passèrent sans encombre. Il flottait dans l’air une étrange atmosphère, mais nous faisions comme si de rien était. La tenue de Marie entretenait un rappel de ce que nous avions vécu. Seul son passage dans l’eau de la piscine fit disparaitre certaines traces, mais Nicolas et moi-même profitâmes de sa sortie de l’eau pour nous rincer l’œil. Elle passa devant nous, l’air de rien, mais la vue de l’eau coulant sur son dos jusqu’à rouler sur ses fesses et descendant le long de ses jambes fut un plaisir partagé.
L’atmosphère du soir s’était rafraichie, et nous décidâmes de diner à l’intérieur de la maison. L’heure du repas approchant, Marie et moi avions décidé de nous habiller pour l’occasion. Au sortir de la douche, elle se dirigea vers le tiroir à sous-vêtements. Je la devançai, et attrapai un tanga noir en dentelle ainsi qu’une paire de bas de la même couleur.
— Je ne devais pourtant plus porter de sous-vêtements cette semaine ? — En effet, mais j’ai une idée qui mérite une entorse à cette règle. Pendant le diner, je voudrais que lorsque je t’en donnerai l’ordre, tu ailles chercher du vin dans le cellier. En revenant, tu ne porteras plus de culotte. Je m’absenterai alors de la pièce après ton retour, et tu en profiteras pour la glisser dans sa main. — C’est une idée très excitante… et vos désirs sont des ordres, monsieur.
Nous adorions nous adonner à des jeux de rôles où je jouais le rôle de dominateur. Nous restions relativement soft, mais cela nous excitait au plus au point.
— Enfile cette robe, lui dis-je en lui tendant le vêtement.

Elle se glissa dedans. L’arrière de la robe était largement ouvert sur son dos. A l’avant, une large ouverture épousait l’intérieur de sa poitrine et laissait nues ses épaules. L’ensemble qui remontait au-dessus de ses genoux était très sensuel, et laissait libre court à l’imagination de quiconque la verrait dedans.
— A genoux mademoiselle, lui dis-je fermement.— Bien monsieur.
Marie s’installa à genoux face à moi. J’étais encore nu, et allai éteindre la lumière. Je tirai les rideaux pour que l’obscurité de la pièce soit la plus parfaite, et attrapa un bandeau que je glissai autour des yeux de Marie. Se faisant, elle n’était plus en mesure de voir quoique ce soit.
— Tu as aimé ce que nous avons fait tout à l’heure mon amour ?— J’ai adoré. J’ai vraiment adoré.— Voudrais tu que nous recommencions ? — Avec grand plaisir, me répondit elle. — Alors à une condition. Tu vas t’occuper de mon sexe avec ta main, et ta bouche, et me raconter ce qui t’a excitée, et ce qui t’excite encore.
Elle se saisit alors de mon sexe et commença à me masturber doucement.
— J’adore quand tu me prends. Quand tu me prends dans de nombreuses positions, et que tu me fais crier de plaisir. Et j’avais peur que je ne puisse pas laisser libre court à mes cris cette semaine. Mais depuis que nous sommes arrivés, nous ne nous sommes presque pas privés. Et surtout, nous sommes allés plus loin. Beaucoup plus loin. Nous avons partagé un moment intime avec Nicolas, il a couvert de sperme mon maillot, et je n’en ai pas raté une goutte. J’ai même frotté mon sexe avec son sperme. Et tout à l’heure, quand tu me prenais en levrette contre la porte, le contact avec sa main m’a transporté. C’était réel, et quand j’ai senti sa main se fermer sur la mienne, j’ai été transportée.
En me disant ces mots, Marie glissa mon sexe entre ses lèvres. Elle le fit coulisser entre, et avança jusqu’à faire disparaitre mon sexe au fond de sa gorge. Je mis alors ma main derrière sa nuque et la maintint ainsi durant plusieurs secondes. En relâchant la pression, elle recula la tête et un filet de salive coula le long de son menton, jusqu’à sa robe.
— J’ai envie de sentir son sexe au fond de ma gorge, rajoutât elle en me regardant droit dans les yeux.
Et elle glissa à nouveau mon sexe entièrement en elle. Elle accéléra ses mouvements, son mouvement était intense. Il ne fallut pas longtemps pour que je sente mon orgasme arriver. Sa phrase suivie de ses mouvements allait m’achever. Elle retira une dernière fois mon sexe de sa bouche, et me fixa
— J’ai envie de sentir son sperme au fond de ma gorge.
Et elle refit disparaitre mon sexe entre ses lèvres. Une dizaine de secondes plus tard, j’éjaculai au fond de sa gorge, en sentant sa bouche enserrer fermement mon sexe, pour ne pas perdre une goutte. Elle avala mon sperme et se redressa pour venir m’embrasser sur la joue.
— Vos désirs sont des ordres, mademoiselle. Et elle ria avant de s’enfermer dans la salle de bain pour se refaire une beauté.
Quelques minutes plus tard, j’étais assis dans le canapé du salon avec Nicolas. Nous discutions l’air de rien, sans faire aucune allusion à ce qui s’était passé plus tôt. Nous vîmes soudain Marie franchir la porte du salon. Elle était dans sa robe, habillée de ses bas qui remontaient sous le tissu. Elle s’était maquillée, elle était vraiment resplendissante. Nicolas et moi étions bouche bée devant elle, et elle partit dans un éclat de rire en nous demandant de rebrancher nos cerveaux. Marie s’installa sur un fauteuil face à nous, les jambes croisées. Il ne fallait mieux pas qu’elle bouge trop, sinon la vue changerait en un clin d’œil.
Nous commençâmes la soirée au champagne. La première bouteille disparût rapidement, et nous arrivions au bout de la seconde. Nous étions très joyeux, l’alcool aidant, et la discussion très légère. Nicolas lançait de temps en temps des remarques sur le bruit que nous faisions, nous sentions que l’atmosphère était chargée d’une tension sensuelle intense. Mais aucun mot sur l’évènement de la journée.
— Mon amour, pourras-tu s’il te plait aller chercher une autre bouteille ? — Avec plaisir, je reviens.
Marie s’éloigna, et nous reprîmes notre conversation avec Nicolas. A son retour, elle tenait une bouteille dans la main droite, mais son poing gauche était serré.
— J’ai oublié ma pilule dans mon sac là-haut, me dit-elle. Peux-tu monter me la prendre s’il te plait ? — Ah oui c’est une bonne idée, je n’ai pas encore très envie d’être parent, lui dis-je en rigolant.
Cette diversion n’était qu’un prétexte pour m’éloigner, conformément à ce que nous avions prévu. Je montai alors dans la chambre, ne pouvant qu’imaginer ce qui se tramait en bas. Je me demandai comment Nicolas allait réagir. Après avoir cherché la pilule de Marie dans son sac (elle l’avait vraiment oubliée), je descendis l’air de rien. En franchissant la porte du salon, je vis que Marie était assise sur son fauteuil. Face à elle, Nicolas, toujours sur le canapé, mais légèrement plus rouge qu’avant. Et surtout, je distinguais clairement au niveau de son entrejambe le dessin de son sexe. Le pauvre, il portait un pantalon en lin, cela devait être difficile de dissimuler quoique ce soit. Il avait posé son verre et sa main au-dessus mais cela ne suffisait pas. Marie l’avait donc fait. Quelle coquine… L’air de rien, je lui tendis sa pilule et retournai m’asseoir sur le canapé à côté de Nicolas. Marie avait les jambes toujours croisées, mais j’imaginais que son sexe était probablement trempé.
Nous poursuivîmes la soirée au champagne tout en grignotant un apéritif – diner. De temps en temps, Marie décroisait ses jambes pour les croiser dans l’autre sens. Un court instant, la démarcation de ses bas était alors visible et je voyais le sexe de Nicolas se tendre à travers le tissu de son pantalon. Arrivé au milieu de la bouteille, nous regardâmes l’heure, était presque minuit. Marie se leva alors, et proposa un bain de minuit. Nous étions tous emballés, malgré le froid, et alors que Nicolas se dirigeait vers l’escalier pour aller prendre son maillot, Marie ajouta
— Un bain de minuit c’est un bain de minuit. Maillots interdits.
Elle éteignit alors toutes les lumières et se dirigea vers la piscine à l’extérieur. Après avoir posé la bouteille et les coupes sur le rebord du bassin, elle se tourna face à l’eau et fit glisser ses bas le long de ses jambes, sensuellement, puis enleva sa robe. Soudain, elle était nue, de profil, et sa silhouette se découpait dans la nuit. Elle plongea tête la première dans l’eau et émergea quelques instants plus tard.
— Venez les garçons, j’ai froid, cela ne va pas durer très longtemps.
Alors Nicolas fit glisser son pantalon le long de ses jambes. Il enleva sa chemise, il ne lui restait plus que son caleçon. J’en étais au même stade que lui, et je sentais son hésitation. Alors, instinctivement, je glissai une main sous l’élastique et fit descendre son caleçon jusqu’à ses pieds. Il me regarda avec étonnement, mais son sexe était dressé si haut qu’il devait presque avoir mal. A son tour, il glissa la main dans mon caleçon et l’attrapa pour le faire descendre à mes pieds. Nous étions nus l’un en face de l’autre, et Marie nous attendait dans la piscine. Alors, nous plongeâmes également pour la rejoindre. Elle était accoudée au bord de l’eau, le dos tourné au bassin. Nous nous plaçâmes de part et d’autre d’elle et elle nous tendit à chacun une coupe de champagne.
— A nos vacances ! Et à nous trois. Dit-elle à la volée. Et nous trinquâmes à ses paroles.
A l’endroit de la piscine où nous nous trouvions, la poitrine de Marie sortait de l’eau. Ses seins se dessinaient parfaitement dans la lueur de la lune, et ses tétons fièrement pointés indiquaient que la température extérieure n’était pas très encourageante. Je voyais à travers l’eau le sexe bandé de Nicolas. Marie était maintenant tournée face à la piscine, et lui comme moi pouvions admirer sa poitrine. Elle ne s’en cachait d’ailleurs aucunement. Au contraire, elle se tournait vers l’un puis l’autre, et était de plus en plus tactile avec moi. Elle tenait sa coupe dans une main, mais son autre main lui servait à me caresser la cuisse, sous l’eau. De la position de Nicolas, il était probablement difficile de dire exactement ce qui se passait. Et je sentais la main de Marie de plus en plus proche de mon sexe. Elle finit alors par l’attraper et s’écria en même temps.
— Les garçons j’ai vraiment trop froid. A la douche ?
Et sans nous laisser le temps de répondre, elle lâcha mon sexe, se tourna dos à l’eau, et se hissa hors de l’eau. Nous vîmes alors ses fesses sortir de l’eau, sous notre nez. Elle s’arrêta dans son mouvement une seconde, et parvint à sortir de l’eau. Sans attendre, elle se dirigea vers l’intérieur de la maison. Je pris alors l’escalier de la piscine pour en sortir également, mais en me tournant vers Nicolas pour lui demander s’il sortait, il me répondit :
— Vu mon état, il vaut mieux que j’attende un peu.— Tu as vu le mien ? Lui dis-je en rigolant, et en me tournant vers lui. Il vit alors mon sexe en érection. — Bon d’accord mais pas de remarque alors, me répondit il. Et il sortit.
Son sexe avait l’air si dur. Il était fièrement dressé, symbole de l’excitation de la vue du corps nu de Marie, et de l’érotisme de ce court bain de minuit. Sans échanger d’avantage, nous nous dirigeâmes vers l’intérieur de la maison. Nous entendions déjà couler l’eau de la douche. Arrivé à l’étage, Nicolas ouvrit la porte de sa chambre et je lui emboitai le pas. Etonné, il se tourna vers moi mais je ne lui laissai pas le temps de protester. J’avais fermé la porte derrière lui, et devant nous, la porte de la salle de bain était grande ouverte. Je passai alors devant lui, et lui prit la main pour l’emmener avec moi. Nous franchîmes ainsi le seuil de la salle de bain, Marie avait laissé la porte de la cabine ouverte. Je me glissai alors à l’intérieur et après un court moment d’hésitation, ce fut au tour de Nicolas de nous y rejoindre. L’obscurité rendait la vision compliquée, et il fallut de longues secondes pour s’y habituer.
Mais nous arrivions à distinguer les contours des corps de chacun.
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