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La bastide provençale

Chapitre 9

La douche dérape

Avec plusieurs hommes
Je me glissai alors à l’intérieur et après un court moment d’hésitation, ce fut au tour de Nicolas de nous y rejoindre. L’obscurité rendait la vision compliquée, et il fallut de longues secondes pour s’y habituer. Mais nous arrivions à distinguer les contours des corps de chacun.
Marie se tourna vers moi et m’embrassa. C’était un baiser intense, passionné. J’avais passé mes mains autour de sa taille, et les avais glissés sur ses fesses. Sous les yeux de Nicolas, je caressai ce fessier si excitant, et Marie avait glissé sa main contre mon sexe tout en m’embrassant. La douche était suffisamment large pour nous trois, elle et moi étions d’un côté, et Nicolas de l’autre. L’eau chaude coulait sur nous, l’atmosphère était extrêmement torride. Je voyais son sexe dressé tendre vers les fesses de Marie. Il était à une vingtaine de centimètres de nous, adossé au mur de la douche. Avec Marie, nous nous embrassions de plus en plus intensément. Je l’attrapai alors fermement et la tournai vers le mur de notre côté. Nous étions donc d’un côté de la douche, elle dos au mur, et moi dos à Nicolas, qui se tenait contre le mur de l’autre côté. Je me mis alors à descendre sur mes genoux et plaça ma tête entre ses cuisses.
Son sexe était déjà trempé, je voyais ses lèvres gonflées par l’excitation. Je mis ma langue sur son clitoris et commençai à faire de lents mouvements avec, de bas en haut, et de haut en bas. Instantanément, elle se mit à gémir de plaisir, et son regard était tourné vers Nicolas. Elle le regardait dans les yeux alors que j’étais en train de lécher son sexe avec intensité, la scène devait être particulièrement agréable à regarder. Je tournai la tête un instant dans sa direction et vis avec plaisir qu’il avait commencé à se masturber. Le mouvement de son sexe dans sa main était hypnotisant, mais la main de Marie glissée derrière ma nuque me rappela à ma tâche entamée. Je repris de plus belle les caresses buccales et son plaisir augmentait de minute en minute.
J’avais maintenant glissé trois doigts en elle. Elle était si excitée que son vagin les accueillait avec une simplicité déconcertante. J’avais pu les glisser sans aucune résistance, et je la masturbais ainsi de plus en plus intensément. Derrière moi, j’entendais la respiration de Nicolas qui continuait à se masturber ainsi. Je décidai de retirer ma langue quelques instants et de décaler ma tête sur le côté afin de lui faire profiter du spectacle. J’introduis sans réfléchir un quatrième doigt. A l’instar des trois premiers, Marie l’accueilli avec autant de facilité. Quelques instants plus tard, je glissai un cinquième doigt. Nous n’avions jamais fait ça. Mais elle gémit encore plus fort, et je la vis soutenir du regard celui de Nicolas. Je commençai ainsi à la masturber avec tous mes doigts dans son vagin. Je pris le temps de l’habituer à la présence de mes doigts avant d’accélérer le rythme.
Elle faisait bouger son bassin de haut en bas, de sorte à aller de plus en plus loin sur ma main. Je vis alors ma main s’enfoncer en elle, jusqu’au haut du poignet. Elle eu le souffle coupé un instant, et se remit à bouger. C’était elle qui contrôlait le rythme, et elle accélérait petit à petit. Avec de plus en plus d’assurance, elle ondulait son bassin, et je sentais les parois de son vagin sur chaque centimètre de ma main. Elle caressait ses seins avec ses mains, et soutenait avec toujours autant d’intensité le regard de Nicolas. Soudain, elle se redressa et ma main sortit de son vagin. Je me redressai, et elle m’emmena contre le mur où se trouvait Nicolas. Il se décala légèrement pour nous laisser de la place, j’étais debout à côté de lui, et Marie face à nous deux. Elle se mis à genoux, et prit mon sexe entre les lèvres. Elle le fit disparaître jusqu’au fond de sa gorge. Elle ne me regardait pas dans les yeux.
Elle regardait Nicolas avec des yeux de coquine, tout en faisant d’intenses vas et viens avec mon sexe, de l’entrée de sa bouche au fond de sa gorge. Ma jambe était collée à celle de Nicolas, et je sentais les muscles de ses cuisses contractés. Il se masturbait toujours, le sexe tourné vers Marie. Elle prenait un malin plaisir à rouler les yeux en arrière en le fixant intensément et en faisant disparaitre mon sexe au fond de sa bouche. A chaque mouvement de sa bouche, elle faisait en sorte que mon sexe sorte de ses lèvres avant de le reprendre entièrement. Puis nous alternions la cadence, en plaçant ma main derrière sa nuque. Je pouvais alors accélérer à ma guise, ou au contraire ralentir le rythme, sous le regard de Nicolas, qui semblait de plus en plus proche de l’orgasme. C’est alors que Marie retira son sexe de ma bouche.
— Les garçons il va falloir choisir. Mes seins, mes fesses ou mon sexe, dit-elle avec une voix pleine d’excitation. — Je laisse le choix à notre invité, répondis-je en me tournant vers Nicolas. Ce dernier semblait confus, il ne s’attendait sûrement pas à devoir faire un choix si compliqué. — Tes fesses alors, décida Nicolas.
Marie se releva alors. Elle vint se mettre les mains sur le mur en face, dos à nous, son petit cul fièrement cambré vers nos sexes tendus. Elle se mit avec une main à se masturber le sexe, tandis que Nicolas et moi nous positionnions à égale distance d’elle. Et tous les trois, nous nous mirent à nous masturber. Chacun regardait les autres, l’excitation était à son comble. Je vis Marie qui remuait les fesses de plus en plus vite, comme si elle nous appelait à venir s’en occuper. Ses fesses étaient maintenant tournées vers le sexe de Nicolas, qui était dressé à quelques centimètres. Ne tenant plus, je pris son sexe dans ma main et le rapprochai des fesses de Marie. Le contact encore inconnu avec le sexe d’un autre me fit l’effet d’un électrochoc, et je me mis à le masturber au-dessus d’elle. Un peu hésitant au départ, je pris rapidement mes marques et me mis à intensifier mes caresses. Marie avait tout vu et avait accéléré sa cadence.
Elle remuait toujours les fesses face au sexe de Nicolas. J’avais envie de le faire jouir. Alors je vins me placer derrière lui, et glissa mes mains le long de sa taille. Je sentais mon sexe tendu contre son dos, et le sien bandé entre mes mains. Je le posai alors sur la raie des fesses de Marie. Je sentis les mouvements de contraction du sexe de Nicolas entre mes doigts. Le contact de la peau des fesses de Marie semblait avoir procuré un plaisir inégalable. Quant à elle, elle poursuivait ses mouvements de fesses, sentant ce membre posé sur elle. Elle se redressa légèrement, de sorte que le sexe de Nicolas couvre l’intégralité de la zone où il l’avait posé. Il était collé à elle, ses testicules devaient probablement toucher le sexe de Marie. Et glissé derrière lui, je le masturbai tandis que Marie continuait à se doigter devant nous. La scène était d’une indécence totale.
Il ne fallut que quelques minutes de ce traitement à Nicolas pour jouir. Il poussa un gémissement fort, et je vis jaillir de son sexe trois puissants jets de sperme. Ils atterrirent sur Marie, du milieu de son dos jusqu’à la naissance de ses fesses. Elle se redressa ce qui eut pour effet de faire glisser le sperme présent sur et entre ses fesses. Quelle vision parfaite… Cet orgasme eut pour effet de déclencher celui de Marie. Elle poussa un cri incontrôlable alors qu’elle avait ses trois doigts en elle. Le contact du sexe puis de sperme de Nicolas avait eu un effet aphrodisiaque puissant sur elle, et l’intensité de son orgasme était à l’image de ce que nous venions de vivre. Il lui fallut plusieurs minutes pour s’en remettre, et elle avait les jambes tremblantes. Mais l’action de l’eau et la fin de ce que nous venions de faire la calma petit à petit. En reprenant nos esprits, nous nous rendîmes compte de la situation et partîmes dans un immense fou rire.
Toutes les barrières ou presque avaient sautées, nous étions tous les trois nus sous la douche. Marie venait de jouir, Nicolas aussi. Elle vint alors m’embrasser, tendrement, puis se tourna vers Nicolas et lui déposa un baiser sur la joue. Il y avait une complicité presque attendrissante, malgré la situation.
Marie attrapa le gel douche et le tendit à Nicolas :
— Tu en as mis partout, maintenant tu assumes mon grand, dit-elle en rigolant.
Il versa alors du gel douche sur son dos et commença d’une manière hésitante à le passer sur elle. Je m’étais mis légèrement en retrait pour observer la scène. Elle l’encourageait en rigolant à être plus impliqué. Petit à petit, il prit confiance et commençait à passer toute sa main sur son dos. Il lui massait le dos avec le savon. Mais alors qu’il allait s’arrêter, Marie n’était pas de cet avis
— Tu ne m’en as pas mis que sur le dos, nettoie bien le reste s’il te plait.
Alors Nicolas obtempéra. Il passa sa main sur les fesses de Marie, et se mit à lui masser avec du gel douche sous les doigts. Il avait l’air beaucoup plus à l’aise, libéré, et ses caresses allaient bien au-delà du simple acte de se nettoyer. Il massait intensément son petit cul dressé, je vis ses doigts caresser la raie de ses fesses, jusqu’à venir au niveau de son anus. Marie était très sensible de cette zone, et elle gémit instantanément. Nous semblions partis pour une nouvelle aventure sous la douche, mais soudain nous sentîmes de l’eau froide couler. Nous étions restés beaucoup trop longtemps sous l’eau et avions vidé le ballon. Nous dûmes sortir en vitesse de la douche. Tous les trois nus, nous prîmes le temps de se sécher, et de se préparer à aller au lit. Et naturellement, nous nous dirigeâmes tous les trois vers notre chambre, où un grand lit nous attendait.
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