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Bastien

Chapitre 1

Gay
Armand a 45 ans, il est grand, musclé et plutôt avenant. Il est masseur-kinésithérapeute et ostéopathe, diplômé d’état. Marié à Isabelle depuis vingt-deux ans, ils sont parents de Laura, âgée de 20 ans et de Bastien, un garçon de 18 ans. Armand est très amoureux de sa femme et le lui prouve plusieurs fois, tous les soirs et matins. Mais, comme il a de très gros besoins sexuels, il conserve une manie héritée de son adolescence : il se masturbe cinq à six fois par jour et éjacule dans des mouchoirs en tissu qui n’ont pour seul objet que de recevoir son sperme et d’essuyer sa bite.
Isabelle est une belle femme de 43 ans comblée par la vie. Elle aime son mari et sa famille et n’a pas un besoin de sexe aussi intense qu’Armand. Elle n’est absolument pas gênée par son onanisme maladif et va même jusqu’à l’encourager. Elle sait parfaitement qu’elle ne pourrait jamais le satisfaire et se contente largement des deux ou trois orgasmes quotidiens qu’il lui offre tous les soirs et matins dans l’intimité de leur lit.Pendant leurs premières années de mariage, face à la boulimie sexuelle d’Armand, Isabelle a eu peur d’être cocue, mais son mari lui est resté fidèle et, maintenant, elle serait heureuse de l’être car elle rêve d’un jour où, comblé par ailleurs, il ne lui ferait pas l’amour, mais juste un tendre câlin.
Laura est très volage, elle plait beaucoup aux garçons et change de copain comme de culotte. Elle n’a jamais eu aucun scrupule pour ramener ses conquêtes chez elle et Isabelle et Armand ont arrêté de faire le compte de ses amants. Ce ne sont que des plans cul qu’elle drague en boite, mais comme ils habitent dans une petite ville, elle retombe souvent sur les mêmes personnes. Elle préfère les hommes de quarante à cinquante ans, mais elle est très ouverte et rentre rarement seule, si bien qu’Armand et Isabelle ont déjà croisé chez eux des vieux beaux de plus de soixante ans.Ils avaient arrêté de s’en formaliser et s’étaient juste assurés que leur fille ne se prostituait pas malgré ce qu’affirmaient certains ragots. Un fois rassurés sur ce sujet, ils laissèrent faire en se disant qu’elle se calmerait sans doute un jour. Par contre, leur inquiétude se reporta sur leur fils, Bastien, qui semblait n’avoir aucune vie sexuelle.
Bastien a un corps assez fin, des cheveux roux coupés court, des yeux verts et un visage constellé de taches de rousseur. Il est studieux, réservé en société et ne s’intéresse pas aux filles. Il est homosexuel, l’assume tant bien que mal, mais il était incapable de le dévoiler à sa famille. Malheureusement, comme ils vivent dans une très petite ville de province, il a du mal à rencontrer des garçons comme lui et les dragues sur le net ne l’intéressaient pas. Il n’y a ni sex-shop, ni sauna ou boite gay à moins de 100 km à la ronde et les quelques lieux de drague extérieurs, inaccessibles sans voiture, qu’il a pu tester malgré tout, l’ont profondément déçu. Il n’y a pas trouvé la sensualité qu’il espérait et il prit donc son mal en patience. Cependant, il s’amuse parfois avec Éric, un ami de son âge, homosexuel comme lui, mais comme ils sont tous deux plus passifs qu’actifs, ils n’ont essayé de s’enculer qu’une seule fois.Pour satisfaire son besoin de plaisir anal, Bastien a commandé sur internet un jouet de latex avec lequel il se masturbe l’anus en se branlant la bite devant des vidéos pornographiques gay. Depuis quelques temps, il fantasme sur un genre un peu particulier qui met en scène de jeunes minets avec des hommes matures de trente à cinquante ans. Les films ont des titres évocateurs qui laissent imaginer que les deux acteurs sont père et fils. Le plus souvent, il est évident que ce n’est pas le cas, mais certaines vidéos d’amateurs semblent franchement réelles. Ce sont de loin ses préférées et Il les regarde en boucle en s’enfonçant son gode dans les fesses.
A départ de cette histoire, Bastien avait fait de sa masturbation anale devant des vidéos de « Daddy and Son » une activité quotidienne qu’il pratiquait aux heures où il se savait seul chez lui. Ses parents et sa sœur ne rentraient jamais avant dix-neuf heures, et lui finissait les cours à seize heure. Il disposait donc d’un long moment de tranquillité pour fantasmer devant son ordinateur.Jour après jour, il ne pensait plus qu’à ça et vivre une relation incestueuse avec son père était devenu une véritable obsession. Voulant connaitre son odeur intime, il est allé, un jour, avant de s’adonner à ses plaisirs solitaires, prendre dans la panière à linge un caleçon sale d’Armand bien imprégné de ses parfums charnels. C’est ainsi qu’il fit également la découverte de ses mouchoirs empesés de sperme. Depuis, il ne s’en passe plus et il va toujours chercher un caleçon sale et un mouchoir séché en boule pour l’accompagner par leur goût et leur odeur dans ses masturbations anales.

I. – Éric –
Bien que son cabinet fut accolé à sa maison et qu’il n’eut qu’à traverser un couloir pour rentrer chez lui, Armand ne profitait pas tellement de ce luxe. Il avait des journées extrêmement chargées qui le faisaient rentrer tard. Néanmoins, c’était un confort appréciable à l’heure du déjeuner.En tant que masseur-kinésithérapeute, il recevait tous types de patients et il ne s’intéressait à leurs corps que d’un point de vue médical et professionnel. Cependant, il s’occupait, depuis quelques semaines, d’un jeune homme de presque 19 ans qui le troublait étrangement. Il lui faisait des manipulations des jambes et des massages des lombaires qui nécessitaient que l’adolescent se mette en slip ou en caleçon pendant ses séances. Pour étaler convenablement ses huiles, Armand avait l’habitude de descendre un peu le haut du sous-vêtement. Il dégageait ainsi son coxis jusqu’à découvrir le départ de la raie de ses fesses et, alors qu’il n’avait jamais eu d’attirance pour les hommes, ce jeune cul se mit à le faire fantasmer. Il bandait en massant le jeune homme et, sans s’en rendre compte tout de suite, d’une séance à l’autre, il baissait le slip toujours un peu plus et se mettait à approcher des zones qui n’étaient normalement pas concernées par ses massages.
Le jeune homme n’était visiblement pas dupe ; il le laissait faire et, généralement, il avait une érection bien visible en se relevant de la table de massage. La bosse qui déformait son slip soulignait parfaitement le volume de son sexe érigé et comme il prenait son temps pour se rhabiller, Armand pouvait se rincer l’œil en s’asseyant derrière son bureau. Afin de ne pas avoir l’air trop voyeur, il en profitait pour se renseigner sur les disponibilités du jeune homme et fixer la date et l’heure des rendez-vous suivants. Le garçon lui répondait en enfilant ses vêtements et remettait toujours son pantalon en dernier. Il faisait tout avec une grande lenteur pour bien exhiber son excitation. Armand lui-même était dans un état inavouable et plus ça allait et plus il se posait de questions à ce sujet. Ils ne se disaient rien d’autre que des banalités et la situation s’éternisait. Le jeune homme avait deux séances hebdomadaires et, par chance, Armand réussit à lui fixer des rendez-vous en dernier le mardi matin et le jeudi soir. Il bandait tellement pour ce jeune éphèbe qu’il était devenu incapable de recevoir décemment un autre patient après lui.
Comme à chaque fois, il baissait le slip un peu plus bas, il arriva un jour où il finit par découvrir totalement les deux globes charnus du garçon et son anus brunâtre. Ce jour-là, il étendit son massage sur toute la surface offerte, ses doigts parcoururent sans vergogne l’intégralité du sillon fessier et son majeur après avoir tournés autour du pot quelques instants s’enfonça dans le petit trou détendu. Les fesses de son patient se mirent à bouger, Armand rajouta son index. Ce jeune cul qui s’offrait, l’attirait tellement qu’il aurait bien voulu baisser son pantalon et son caleçon pour y fourrer sa bite, mais, en entendant le garçon gémir, il réalisa ce qu’il était en train de faire et mit fin à son massage. Il remit en place l’arrière du slip et se réfugia derrière son bureau.Le garçon se redressa et lui adressa un sourire. Son sous-vêtement portait une tâche humide à l’extrémité de sa déformation. Le kinésithérapeute l’avait amené très près de l’orgasme et son slip s’était imprégné de liquide séminal. Il plongea sa main droite à l’intérieur de sa culotte, empoigna sa queue et, après l’avoir sortie, finit le travail commencé. Il éjacula en très peu de temps sous le regard impressionné d’Armand qui fit de même. Il ouvrit sa braguette, sortit sa longue bite qu’il exhiba pour la première fois à un patient et se masturba rageusement. Le garçon gardait sa bite en main et ne se rhabillait pas. Il avait l’air fasciné par l’organe du masseur. Armand avait sorti de sa poche un mouchoir en tissus qu’il plaça au bout de sa queue juste au moment d’éjaculer. Il poussa un râle qui accompagna chacun des jets de foutre et quand se fut fini, il rangea sa queue juteuse dans son caleçon.
Cet incident s’était produit un mardi et, en quittant son cabinet pour aller manger chez lui, Armand se sentait honteux. Il se précipita sous la douche et repensa à ce qu’il venait de se passer. Il avait baissé totalement l’arrière du slip de son patient et avait osé lui caresser et lui branler l’anus de ses doigts huileux. Le garçon s’était laissé faire ; il avait même joui de l’attouchement et ils s’étaient masturbés ouvertement l’un devant l’autre. Son jeune patient avait tout récupéré dans ses doigts qu’il avait léchés avant de ranger sa verge. Quant à lui, il avait tellement éjaculé dans son mouchoir propre du matin qu’il était bon à mettre au sale. Les images du cul soumis à ses caresses profondes le hantèrent tout l’après-midi. Le soir, il décida d’en parler à sa femme en espérant trouver une aide pour se sortir de cette situation scabreuse, mais elle en rigola. Elle ne voyait pas où était le problème et lui dit qu’il ne serait pas le premier homme de plus de quarante ans à tester une relation homosexuelle.
— Parce que toi tu trouves ça drôle !— Je ne vais pas en pleurer quand même. En, plus tu m’en parles ; c’est donc que ton intension n’est pas de me tromper. Je ne vais pas non plus te dire que ça m’enchante d’apprendre que mon mari bande pour un petit minet, mais bon… Tant que tu bandes pour moi aussi.— Tu te rends compte qu’il est à peine plus âgé que Bastien ?— Ça ! Par contre, c’est ce qui me choque le plus. Tu me verrais, moi, courir après un adolescent ?— Parce que tu cours après les hommes ?— Non, ce n’est pas ce que j’ai dit, même si j’en croise parfois que je trouve mignons. Mais ce ne sont pas des gamins, c’est ça ce que je veux te dire.— Tu crois que je le fais exprès ? Je te dis, c’est plus fort que moi. Je… je lui ai branlé le cul.— Et tu m’as dit qu’il avait aimé ça, alors lâche toi vraiment ! Que veux-tu que j’y fasse ? Jeudi quand tu lui feras son massage, enlève-lui son slip, fous-toi à poil et encule-le. D’après ce que tu me racontes, je pense que ton petit jeune n’attend que çà, lui aussi.— Tu me proposes de te tromper avec ce jeune garçon ? T’es vraiment sérieuse ?— Bien sûr ! Je préfère largement ça à te voir frustré. En plus, ça te changeras de tes branlettes, ça aura le mérite d’être clair et puis, tu me raconteras.— Parce que tu veux que je te raconte en plus ?!— Oui, Chéri, je veux que tu me racontes tout… Ça m’excite.
Armand n’en revenait pas ; il avait la bénédiction de sa femme pour abuser du corps gracile de son jeune patient et ce n’était pas pour le rassurer sur son attitude. Il allait craquer, faire l’amour à ce jeune minet. Peut-être même qu’il goûterait aussi à son jeune sexe ; tout son jeune corps à peine sorti de l’adolescence l’excitait. Il allait jouir de son corps lisse au fesses et au sexe parfaitement épilé. Il ne pouvait plus se retenir. Il en bandait rien que d’y penser et Isabelle n’eut pas à s’en plaindre car ce soir-là, il lui fit l’amour trois fois.
— Eh bien mon Chéri ! Tu m’as tuée ; ça te réussit de fantasmer sur les petits minets. J’espère que, quand tu passeras à l’acte, tu conserveras la même vigueur pour moi le soir.— Tu es mon seul amour, Isabelle, et j’aurai toujours envie de toi.— J’espère bien parce que moi aussi, je t’aime ! Ça ne me gêne pas que tu te tapes ce garçon et tu pourrais même te taper tous les jeunots de la terre tant que tu ne trahis pas notre amour.— Je ne ferais jamais une chose pareille, je te le promets.
Armand attendit le jeudi soir avec une telle impatience que le lendemain, il se masturba deux fois plus que d’habitude. Il se vida les couilles en solitaire une première fois après avoir fait l’amour à Isabelle, au réveil, et une seconde juste avant de se rendre à son premier rendez-vous. En milieu de matinée, il s’octroya une petite pose pour se soulager les couilles et il se branla encore deux fois durant sa pause déjeuner. Il fit une pause vers seize heures trente pour se branler vite fait entre deux patients et lorsqu’il rentra chez lui, il passa directement aux toilettes avant d’aller embrasser sa femme et ses enfants. Le soir, comme la veille, il se montra très performant, mais après avoir fait jouir sa femme trois fois, ses rêves de jeunes minets reprirent l’ascendant sur son corps et il fut contraint de se branler au lit.
— Eh bien, cochon ! Tu n’as pas honte de te branler comme ça à côté de moi ?— Aaah… Si, pardon… Je… n’arrête pas de bander, aaah…— Tu penses à ton petit pédé, c’est ça, hein ? Alors vas-y Chéri, astique-toi bien le manche. Si tout va bien, demain tu vas te farcir son petit cul.— Ooooh… oh oui, je… aah… Je vais le prendre. Mmmm… Oui.— Oui, Chéri, tu vas l’enculer. Mmm, oui, je sens que tu viens. Pense bien à son cul quand tu vas jouir.— Aaaah !... Aah oui !— C’est ça… Mmm, salop ! Tu t’en fous partout, constata-t-elle en le voyant éjaculer.— Aaaah ! Ah, encore… Oui ! Aaaah oui !— Eh bien mon cochon, t’en avais à évacuer ! Tu ne t’es pas branlé aujourd’hui ? Demanda Isabelle en lui essuyant le corps avec ses doigts.— Si, au contraire, je n’ai pas arrêté… Je me suis branlé sept fois, enfin, huit avec celle-ci.— T’es quand même un phénomène ; tu te vides les couilles dix fois dans la journée et tu trouves encore le moyen de te branler et d’éjaculer. Tu veux goûter ? Parce que si tu sors avec des petits minets, il va bien t’arriver de les sucer, au moins.— J’ai déjà goûté, tu sais, répondit Armand en léchant les doigts de sa femme. Mais j’n’ai pas dit que j’allais sortir avec des petits minets, comme tu dis. Je ne pense pas qu’il y en ait autant et j’ai eu de la chance avec ce jeune car mes gestes déplacés pourraient me coûter cher autrement.— Ça c’est sûr, ça mériterait une radiation par le conseil de l’ordre et tu aurais dû avoir beaucoup plus de retenue ! Mais je ne crois pas que ce garçon soit le seul. Même dans une petite ville comme la nôtre, statistiquement, il doit bien y avoir quelques dizaines d’hommes homosexuels et même entre 18 et 25 ans, ils doivent être plus nombreux qu’on ne le croit.— Oui, sans doute, mais j’imagine que ça ne doit pas être évident à assumer et à vivre pour eux.— C’est sûr que ça ne doit pas être facile ; raison de plus pour faire plaisir à ce petit jeune et, si ça se trouve, il te présentera à ses copains…— Tu veux vraiment faire de moi un satyre, ma parole ! Ah ah !— Puisque, depuis qu’on est marié et même avant, tu as besoin de te vider les couilles dix fois par jour, autant que tu te prennes des petits amants que tu rendras heureux. Tu sais parfaitement que moi je ne peux pas suivre.— Mais tu vas en souffrir…— Non, plus maintenant. Ça fait quelques temps que j’y pense… Pendant des années, j’ai eu peur que tu me trompes, surtout avec ton métier qui t’amène à manipuler et à masser des corps de tous âges…— Je ne l’ai jamais fait ! C’est bien la première fois qu’une telle chose m’arrive. Se défendit Armand.— Je sais, mon amour, et je t’en aime que d’avantage, mais maintenant, nos enfants son grands, notre amour est intact alors si je suis cocue, je crois que j’en serais soulagée. Et, si c’est avec des hommes où des garçons comme lui, c’est encore mieux. Je me sentirais moins en concurrence comme ça.— Je n’ai pas vraiment l’intention de te tromper tu sais ; ce sera sans doute une aventure sans lendemain.— Je ne pense pas, Chéri ; je crois au contraire que ce n’est qu’un début. Je suis heureuse d’avoir eu un mari fidèle pendant plus de vingt ans et je ne doute pas de ton amour pour moi, mais tu dois te laisser aller maintenant sinon, un jour, tu me quitteras pour une autre.— Je ne te quitterai jamais, ma Chérie, je t’aime trop pour ça.— Alors prouve le moi ! Trompe-moi autant que tu peux et avec qui tu veux, mais ne me cache rien.— Je te promets de tout te dire si ça arrive.
Le jeudi matin, il se masturba avant d’aller à son cabinet, se masturba encore vers dix heures et trois fois à midi. Jamais il n’avait été aussi excité et il trépignait d’impatience au point d’expédier rapidement son avant dernier rendez-vous dès qu’il sut que le jeune homme avait pris place dans la salle d’attente.Lorsque ce fut à son tour, il accueillit son jeune patient dans son cabinet avec beaucoup d’amabilité et, après quelques échanges classiques sur les questions de santé, il lui demanda de se déshabiller comme d’habitude pour faire les manipulations et massages prévus par l’ordonnance. Le jeune homme, qui se prénommait Éric, ôta tout sauf son slip et s’allongea à plat ventre sur la table de massage.
— J’ai hésité à tout enlever, avoua-t-il très honnêtement. Ça vous aurait facilité la tâche pour les massages.— J’ai été un peu loin, mardi… Je n’aurais jamais dû ; c’est indigne d’un professionnel.— Je… Non ! Pas du tout. J’aurais même aimé que vous alliez encore plus loin, Monsieur. Déclara-t-il en rougissant.— Moi aussi, je voudrais aller beaucoup plus loin, dit Armand en caressant les fesses du jeune homme. Tu es très beau, tu sais.— Merci, c’est gentil. Mais vous aussi, vous êtes très beau.— Hum ! Merci, toi aussi, tu es gentil. Ça t’ennuie si, je me mets comme toi, un peu plus à l’aise ?— Non, je… Enfin, je m’attendais à ce que ça arrive un jour, surtout depuis mardi. Vous faites souvent l’amour avec des garçons ? Demanda Éric en se mettant sur le côté.— Non, c’est la première fois, répondit Armand en approchant ses lèvres de la bouche du jeune homme. Et toi ? Tu vas souvent avec des hommes ?— Je ne l’ai fait qu’une fois avec un copain, mais comme il est plutôt passif comme moi, ça n’a pas super bien marché. En plus, on fantasme sur les mêmes personnes, mais on fait quand même des petits trucs ensemble avec des jouets et, surtout, on s’épile mutuellement. Autrement, je me touche et je me branle en regardant des vidéos.— Oh, je vois… Mais tu es quand même actif parfois ?— Vous savez, ici, c’n’est pas le meilleur endroit pour rencontrer des hommes. Les gens sont plutôt homophobes alors on évite de dire qu’on est gay. Le seul lieu de drague sauvage que je connais est inaccessibles sans voiture… et plutôt nul. Alors, je n’ai pas assez d’expérience pour savoir si je ne suis que passif. Je voudrais poursuivre mes études à Paris pour rencontrer du monde et tout essayer vraiment.— Mmm, je comprends ; en plus dans une petite ville comme la nôtre, tout le monde se connait et les ragots vont vites.— C’est pour ça que, même avec mon copain, on ne se montre pas trop ensemble.
Ils continuèrent leur discussion tandis qu’Armand manipulait la colonne vertébrale et les articulations du bassin de son jeune patient. Il n’avait conservé que son caleçon et les prises étaient plus charnelles. Le contact du jeune corps imberbe contre le sien titillait les sens et les deux hommes bandaient très fermement.
Armand, après avoir fait craquer quelques vertèbres à remettre en place et avoir fait travailler tout le dos et les hanches d’Éric, attrapa les bords de son éternel slip blanc et le retira complètement. Il n’était pas question, pour lui, de ne pas suivre le protocole ordonné par le corps médical même s’ils savaient tous deux que cela se poursuivrait par d’autres exercices moins conventionnels. Il retira lui-même son caleçon pour libérer son sexe tendu avant de prendre son huile de massage. Il commença par les épaule et le haut du dos en se plaçant devant le visage d’Éric qui ne demanda pas l’autorisation pour le prendre en bouche. Il se faisait sucer le gland pendant qu’il opérait dans les règles de l’art et obligea le garçon à abandonner sa sucette quand il fallut qu’il s’occupe de son dos et de ses reins.Ses mains passèrent sur les fesses et descendirent le long des cuisses qu’il écarta légèrement pour mieux les masser puis elles remontèrent vers l’objet de ses désirs. Pour mieux en profiter, il grimpa lui aussi sur la table de massage en les écartant davantage pour s’agenouiller entre elles. Il massait les fesses à deux mains, les écartaient ; le fessier d’Éric se soulevait et appelait à des attouchements plus précis. Armand se rapprocha et glissa sa verge tendue dans le sillon écarté. Il se masturbait doucement entre les deux masses charnues et sa verge huileuse massait l’anus de son jeune amant.
Éric gémissait de désir et d’impatience en soulevant ses fesses pour appuyer le gland sur sa rondelle, alors Armand saisit sa queue et la pointa sur le petit orifice. Il le massa longuement du bout du gland, sans chercher à le pénétrer tout de suite. Le garçon était totalement détendu et offert ; son petit trou s’ouvrait tout seul et réclamait la pénétration alors le gland s’enfonça de lui-même. Armand le ressortit puis il l’appuya de nouveau sur l’anus excité qui le laissa passer entièrement. Pour la première fois de sa vie, il enculait un garçon et il en éprouva tout de suite un sentiment de plaisir. C’était chaud et bien serré, l’huile de massage avait bien aidé et en plus, Éric semblait mouiller du cul. Il coulissait facilement et son plaisir grandissait en même temps que celui de son jeune patient.Après quelques minutes de ramonage dans cette position, il eut envie de voir le visage de son amant. Il se retira pour lui permettre de se retourner. Il avait envie de prendre son temps et Éric aussi, alors ils s’embrassèrent longuement. Le sexe du garçon qui avait débandé durant sa première sodomie, reprenait de l’ampleur sous les caresses d’Armand et ce dernier ne résista pas à l’envie de le prendre en bouche un petit peu. C’était pour lui une grande première, mais il se montra vite très gourmand de ce sexe d’homme qui palpitait dans sa bouche. Éric gémissait en lui caressant les cheveux et cherchait à attraper sa queue pour lui donner un plaisir équivalent. Armand ne le laissa pas faire et se plaça entre les jambes écartées du garçon pour lui lécher aussi le petit trou. Il était certain qu’Éric s’était préparé à fond pour ce rendez-vous car son fondement était parfaitement propre. Il se redressa après quelques instants, souleva les deux jambes de son amant et appuya de nouveau son gland épais sur la rosette dilatée. Le trou du cul s’ouvrit une nouvelle fois de lui-même et Armand eut le plaisir de voir le visage d’Éric s’illuminer de plaisir sous ses coups de reins. Il avait ses deux pieds sur les épaules et, de ses mains libres il pinçait les tétons de son amant passif.
Éric gémissait et jouissait de cette sodomie interminable ; il avait passé ses deux mains derrière le cou de son baiseur et cherchait à attirer sa bouche à lui. Sans cesser son ramonage, Armand approcha ses lèvres de celles du jeune homme qui se retrouva plié en deux sous son poids. Le garçon gémissait de plus en plus fort et ses doigts caressaient le dos velu de son amant puissant. Les mouvements s’accéléraient, le dénouement approchait et, subitement, il sentit le sexe imposant se planter au plus profond de lui et tressauter de plaisir.Armand se vidait les couilles dans ce jeune trou du cul, il venait de balancer cinq bonnes giclées et sa queue en rajouta deux autres tout aussi puissantes. Il resta allongé sur Éric dont il libéra seulement les jambes. Leurs bouches ne se lâchaient plus et sa bite restait encore plantée dans le cul du jeune homme qui attendit de se sentir véritablement écrasé pour lui demander de se soulever.La séance de kiné qui durait normalement une demie heure avait duré une heure et demie et il était grand temps pour eux de ses séparer.
— Tu es libre certains midis ? Demanda Armand en enfilant son caleçon ; on pourrait peut-être se revoir chez moi de temps en temps… Enfin, si ça te dis, bien sûr.— Bien sûr que ça me dit ! Je peux me libérer tous les midis, si tu veux. Et presque tous les soirs jusqu’à dix-neuf heures. Là, je dirai à Maman que t’avais pris du retard dans tes rendez-vous.— C’est vrai qu’il est tard… Peut-être que je devrais arrêter mes rendez-vous plus tôt le jeudi, comme ça on aurait plus de temps pour nous et j’ai aussi un créneau qui va se libérer le lundi soir où tu pourrais aussi venir…— À la place du mardi ?— Non, en plus de tes séances de kiné ; ce sera uniquement pour faire l’amour…— Cool, répondit Éric enjoué, si je pouvais, je viendrais tous les midis et tous les soirs, même le samedi et le dimanche !— Moi aussi, j’aimerai bien pouvoir te voir durant le week-end… Je sens que je vais avoir du mal à me passer de toi. Tu viens demain midi ?— Oh oui, avec plaisir, répondit Éric en embrassant son amant.
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