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Bateau avec ma tante

Chapitre 3

La traversée

Inceste
Résumé des autres chapitres :

Ma tante et moi avons construit un jeu sexuel évident mais qui n’a abouti qu’a des paroles et des contacts ambigus frisant sur les limites de l’inceste. Mais tout s’était interrompu très brutalement sans raisons apparentes. Bref, à ce stade-là, je suis dans le flou complet et je n’ai aucune idée ce que pense ma tante.
Nous rentrons au port et après avoir déposé ma tante sur le sable, je retourne accrocher le bateau à sa bouée. Quand je reviens, à la nage, ma tante m’accueille avec une serviette.
Pendant que je me sèche, elle m’annonce :
— Les autres sont tous encore à l’accrobranche donc il n’y a personne encore chez toi comme chez moi.— Ah merde, je n’ai pas les clés de chez moi… je mens bêtement du tac au tac. 
Cette bonne vielle technique à deux balles pour rester dormir chez quelqu’un…
— Bon ben viens prendre l’apéro à la maison en attendant que tes parents me déposent mes enfants.— Très bien, faisons comme ça..

Nous remontons depuis la plage jusqu’à chez ma tante et je me gare dans l’allée.
— Vas en premier dans la douche (La fameuse) (voir chapitre 1), pendant que j’étends les serviettes, me dit ma tante.

Je m’exécute et me déshabille. Je me savonne et guette ma tante depuis l’intérieur de la douche. Je vois cette belle femme en train d’étendre les serviettes puis à ma grande surprise, elle retire sa robe légère en un coup. Alors ça je n’y attendais pas, la voilà nue, qui se dandine en direction de la douche. Je me retourne vers le bord de la douche et fais mine de pas la voir en mimant quelqu’un qui se savonne mal le dos.
— Tu as besoin d’aide pour te savonner ? me demande ma tante.

Mon excitation tressaille et mon cœur commence à battre d’un rythme puissant.
— Oui, éventuellement, pour mon dos.

Je sens ses mains douces se poser sur mon dos et entreprendre des mouvements circulaires. Mon sexe est bandé au maximum et commence même à remonter un peu.
— Tu es drôlement baraque mon grand, ronronne ma tante en me massant les épaules et les pectoraux par derrière. — Oh pas tant tu sais, c’est juste que j’aime bien le sport rien de plus, me défends-je comme je peux.— Grand modeste va. Bon tu me fais une petite place ?

Afin de laisser une place à ma tante sous l’eau de la douche, je me retourne vers elle pendant qu’elle s’avance. Mon sexe, en pleine érection, vient donc buter contre son ventre et se retrouve vers le haut entre nous deux. Ma tante me regarde droit dans les yeux et me dit :
— Encore au garde à vous celui-là ? Ce n’est pas possible tu vas avoir un mal de chien aux couilles toi.

Elle se saisit de mon sexe et commence à le branler doucement. Le savon encore présent dessus agit comme un lubrifiant et dégage une sensation incroyable. Sur un réflexe que j’aurais pu avoir avec n’importe quelle fille, je baisse la tête embrasse ma tante. Je plonge ma langue dans sa bouche qu’elle accueille chaleureusement. Mon cerveau disjoncte complètement. Julie n’est plus ma tante à ce moment, c’est simplement une fille qui m’a allumé toute la journée et qui va prendre mes pulsions d’homme sans retenue. Je suis hors de contrôle, je ne réfléchis qu’avec mon sexe et enserre ma tante tout en lui roulant des pelles. Je passe mes mains sur son cul et le pétris de toute mon âme. Je remonte sur son dos et la serre contre moi. Elle continue son travail acharné sur ma bite en jouant sur des rotations de poignets. Elle sait y faire et me procure un plaisir monstrueux. Toujours de manière téléguidée, je passe ma main le long de son corps et commence à frôler son entrejambe.
Je la fais languir en caressant tantôt son pubis nu, tantôt ses cuisses puis ses fesses fermes. Je continue ce travail quelques instant et quand je sens qu’elle s’excite un peu plus, je passe enfin mes doigts sur son coquillage. Ma tante ondule du bassin sur doigts et me dévore la bouche désormais. Je lui laboure son bouton avec mes trois doigts et descend parfois sur sa chatte. Je prends un bon rythme qui commence à lui arracher quelques gémissements camouflés par nos respirations effrénées. Je dois avouer qu’elle s’y prend bien mieux que moi et je me sens déjà arriver au bout de mon excitation. En effet, je suis au bord de la jouissance et je le fais savoir à mon étonnante amante.
— Julie, je vais bientôt jouir…. Je grogne.

Elle ne dit rien et m’embrasse de plus belle en accentuant le rythme sur mon sexe. Toute la pression accumulée par notre jeu sexuel de toute la journée s’échappe et c’est une batterie de sperme qui gicle depuis mon gland en s’écrasant sur la belle cuisse de ma tante. Mon éjaculation dure quelques secondes puis le jeu se calme. Ma tante ralentit le massage et ce sont des petits bisous que l’on s’échange comme un couple amoureux.
Soudain, c’est la panique. On entends se garer au loin le bruyant Range Rover de mon père puis des portes qui claquent.
— Putain les voilà, me dis ma tante, rhabille-toi moi je file dans la maison.

J’enfile mon maillot à toute vitesse et me passe une serviette autour de la taille. Ouf c’est pas passé loin…
*******************************
J’ai le sommeil agité cette nuit-là. Je suis ultra excité en me repassant la folle journée que je viens de passer. Je m’endors après m’être frénétiquement masturbé en pensant à ma tante Julie. L’image de ses beaux petits seins bronzés reste fixée dans mon imagination. Ma tante est rapidement devenue l’objet d’un fantasme qui doit se réaliser.

Je me réveille le lendemain, bien réveillé et en forme. Ma bonne humeur est rapidement calmée par une nouvelle plutôt pénible. Mon stage en entreprise qui devait commencer dans une semaine et demi a été avancé d’une semaine car l’ancien stagiaire venait de se faire virer. Ayant passé un bon nombre d’entretien pour ce poste, je ne pouvais pas refuser de venir travailler une semaine plutôt. Je m’en voulais à mort de m’être vendu comme « flexible sur les dates » durant le dernier entretien…
Bilan des courses, il fallait que je sois à Paris dans trois jours pour pouvoir commencer le lundi matin, raccourcissant mes vacances en Corse d’une semaine. Cerise sur le gâteau, cela réduisait considérable mes occasions pour baiser ma tante (Dis comme ça, ça c’est vraiment énervant comme situation).
Mon père vient me consoler un peu plus tard d’une nouvelle qui allait tout changer.
— Fiston, bonne nouvelle ! On n’a pas besoin de te payer cet avion pour Paris à 230 balles ! Ta tante Julie avait prévu de rentrer en ferry samedi soir pour arriver à Paris dimanche. Tu auras juste à diviser le coût pour la cabine !— C’est vrai !? Ouah c’est la fête !

Mon père doit me trouver très radin pour autant jubiler de cette nouvelle car bien sur, il ne sait pas ce que représente cette nouvelle. Je vais partager une cabine de bateau avec ma tante pour une nuit. Mais quelle aubaine ! En fait, je n’avais pas été tenu au courant mais c’est prévu depuis longtemps que ma tante rentrerait seule ce jour-là sur Paris pour reprendre son travail.
Les derniers jours passent vite et rapidement, je dois faire ma valise et faire mes adieux à ma famille. Je me retrouve rapidement sur la route qui mène à Bastia, dans la voiture de ma tante.
Comme nous avions été brusquement interrompu lors de notre dernière folie sous la douche, il n’y a pas eu de débrief immédiat. Nous parlons de tout et de rien comme si rien ne s’était passé. De plus, ma tante est un peu stressée car nous sommes un peu en retard pour le départ du ferry. Pendant qu’elle conduit, je ne peux pas m’empêcher de la mater. Elle est vraiment belle ma tante. Ses cheveux ont blondi et sa peau est plutôt mâte à cause du soleil corse. Elle porte une robe légère qui est formée d’un débardeur très large. Il m’excite car il donne l’impression qu’il peut dévoiler sa poitrine à chaque mouvement. Ce genre de robe qui donne une vue plongeante sur les seins par l’ouverture pour les bras. Quelques fois sur la route, quand ma tante tournait le volant, sa robe laissait apparaitre un sein discret. Je la soupçonne d’avoir bien choisi sa robe pour m’allumer…
Nous embarquons sans encombres sur le bateau et garons la voiture dans le garage géant du ferry. Nous montons à la réception et l’employé tend la carte de la chambre à ma tante.
— Voici votre carte madame, vous avez la cabine 708, pont 7, à l’avant du ferry, dit platement l’employé.— Je vous remercie, répondit ma tante.

Nous montons jusqu’à la cabine et insérons la carte pour ouvrir la porte. Je suis agréable surpris, je m’attendais à une cabine avec des lits superposés mais là, je dois reconnaître que ma tante a quelques goûts de luxe. Un grand lit fait face à un bureau et nous avons une grande fenêtre qui donne sur le flanc tribord du navire. La salle de bain est convenable avec une douche plutôt grande.
— J’espère que ça ne te dérange pas de partager ton lit avec moi, sinon, tu prends le canapé, me dit ma tante, hilare.— Je pense opter pour le lit avec toi, je serais plus au chaud, je réponds innocemment.

J’aime ce petit jeu entre ma tante et moi qui revient peu à peu. Je commençais un peu à avoir une petite pression. Tout s’accordait à laisser deviner qu’il allait forcément se passer un truc cette nuit.
— Bon, ces deux heures de route m’ont bien fatiguées, je vais aller prendre une bonne douche, m’annonce Julie.

Disant cela, elle rentre dans la salle de bain mais laisse la porte très entre-ouverte. Autant dire que je vois tout ce qui s’y passe et ce geste ne peut qu’être volontaire. Je décide de prendre mes couilles à deux mains et de faire un truc ultra osé. Je me déshabille totalement et vais dans la salle de bain et entreprend de me raser le peu de barbe que j’ai (ce qui rend l’initiative un peu absurde). Je fais comme si ma tante n’est pas là et commence à me tartiner de mousse. Ma tante fais aussi comme si je suis pas là ce qui rend la chose complètement excitante ou on s’exhibe mutuellement de manière gratuite. Je suis ultra excité et voilà que je suis en grosse demi-molle. Savoir que ma tante peut tout voir à cause du miroir du lavabo m’excite encore plus d’autant que je peux aussi la voir dedans.
— Tu peux venir me frotter le dos s’il te plaît comme tu es déjà nu ? me demande ma tante.— Oui attends, j’arrive, je dis d’une voix bizarre, pris au dépourvu.

Je pousse la porte en verre de la douche et la referme derrière moi. Ma tante Julie m’attend de dos et me présente ses magnifiques fesses charnues bien bronzées avec une fine trace de bronzage. Le faible éclairage de la douche rend sa peau très bronzée qui contraste fortement avec les murs blancs. Je prends une inspiration pour me calmer me colle à elle exprès pour que ma bite légèrement pendante vienne se glisser entre ses deux fesses fermes. Je la sens qui sursaute un peu et j’entreprends directement de lui frotter le dos puis les fesses. Elle se laisse totalement faire puis remet l’eau de la douche pour se rincer. Elle se retourne vers moi et ma queue frotte tout son côté le temps qu’elle se tourne puis fini sa course contre son pubis. Mon gland se tient à l’entrée de sa chatte contre son clitoris. L’excitation provoquée par cette situation plaque donc mon sexe contre le sien.
Contre toute attente, ma tante me sourit et me dit avec un large sourire coquin.
— Bon, tu finis ta douche et on va boire un verre au bar ?— Euh ouais ça marche, je réponds, dans un état second.

Je suis absolument abasourdi par son comportement. Elle me contrôle avec une aisance déconcertante. Elle joue sur mon excitation à sa guise et cela me rend fou. Le fait que je sois son neveu lui donne tous les droits de faire ainsi car je ne suis pas en position de me plaindre pour ça. Je ne suis pas son copain…
Elle sort de la douche et part se rhabiller. Je finis la mienne, frustré et sur ma faim. Il faut que je trouve un moyen de la faire craquer, qu’elle me voit comme un homme qui peut la posséder et qu’elle doit satisfaire. Je décide donc de me mettre en bombe pour ce soir et de l’inviter au restaurant. Elle me prendra peut-être un peu plus au sérieux et ça cassera un peu l’ascendant sur moi du fait qu’elle soit ma tante. J’opte donc pour une chemise stylée, un peu déboutonnée et un pantalon bleu marine.
Ma tante, elle, a changé de robe et est plutôt parti sur du moulant sans bretelle sur les épaules. La robe épouse les formes de son cul à merveille et ses petits seins pointent légèrement. J’en déduis qu’elle est sans soutif ce qui me plait à mort. On se complimente mutuellement et on prend le chemin du restaurant « chic » du ferry et on se commande un cocktail. Je vous passe les détails mais nous mangeons des repas passables et ouvrons une bouteille de vin en plus. Désinhibés légèrement, je converse jovialement avec ma tante. Je la fais rire maintes fois et je la vois se boucler les cheveux dans ses doigts quand elle me regarde. Je ne suis pas un as de la séduction mais j’imagine que c’est bon signe.
Je paye la note et nous partons, vers les ponts supérieurs pour une petite ballade. Ma tante se tient à mon coude et je marche fièrement à côté. L’alcool m’a gonflé de confiance et je tiens Julie comme si c’était une fille de mon âge avec qui je venais d’avoir un rendez-vous amoureux.
Nous nous posons à l’abri du vent au pont arrière et voyons les côtes corses disparaître dans le crépuscule. Le cadre est idéal pour embrasser la personne qu’on espère conquérir. On échange d’autres banalités puis je commence à la remercier pour ce voyage plus qu’agréable.
— Je suis content d’avoir découvert cette facette de toi Julie. — Qu’est-ce que tu veux dire ?— J’ai vraiment passé un super moment ce soir, je trouve que j’ai une connexion émotionnelle avec toi que je ne retrouve avec aucune femme d’un âge comparable au tien. — Donc tu insinue que pour une vieille, je ne suis pas si chiante ? demande ma tante.— Ouais exactement, tu as mis les bons mots, je réponds narquois.— Ben toi pour un jeune tu es bien insolent, répond-elle hilare. — Donc je ne suis pas comme tous les jeunes du coup ?

Ma tante, pas idiote, a rapidement flairé là ou je voulais l’emmener.
— J’ai pas dit ça mais tu es surement plus ambitieux et fou que la moyenne déjà, dit-elle plus doucement, sourire en coin. — Toi en tout cas tu es largement plus intéressante que la moyenne déjà.— Oooh tu trouves ?

Je commence à sentir que je prends l’ascendant dans notre conversation et il ne faut pas que je le perde avec une pluie de compliments non réfléchis et inutiles. Je décide donc de profiter de ma lancée et je passe une main dans son dos qu’elle ne repousse pas.
— J’ai l’air de plaisanter ? dis-je, d’une voix plutôt assurée alors qu’à l’intérieur je commence à un peu à stresser.

On se regarde longtemps dans les yeux puis ma tante me dis doucement.
— T’es qu’un beau parleur…— Laisse-moi passer aux actes alors.

Sans lui laisser le temps de répondre, je l’embrasse sur la bouche en l’enserrant tendrement. Elle est immédiatement réceptive et me le rend bien. On se galoche comme un jeune couple pendant de longues minutes. Je commence à être excité à me sentir collé à elle. Elle commence à frissonner puis je lui propose de rentrer. Main dans la main, nous prenons la direction de la cabine. La nuit est tombée, la mer se confond désormais avec le ciel. Seule la lune qui se reflète dans l’eau sera spectatrice ce qui va advenir.

Dans le corridor, je suis tout de même anxieux. Bien que je marche avec ma tante sous mon bras, je n’ai pas la garantie qu’elle ne va pas se défiler dans 10 minutes. Mes doutes se dissipent rapidement dans la porte de la cabine se referme. En effet, ma tante se jette littéralement sur moi et commence déjà à déboutonner ma chemise. Elle m’en débarrasse pendant que je défait ma ceinture. Julie me descend mon pantalon et mon caleçon qu’elle dégage aussitôt de sa vue. Je me jette sur le lit et l’attends sur le dos.
Ma tante me fait face et se dandine sexuellement jusqu’au lit. Elle se met à quatre pattes et s’avance lentement telle une tigresse qui va éclater une pauvre proie pour son goûter. Elle me fixe droit dans les yeux et s’empare de mon chibre qu’elle branle lentement.
— Alors mon salaud, on aimerait de se faire sucer par sa tante ?— …

Je ne réponds rien tellement je suis pétrifié par le personnage. Ce n’est décidément plus ma tante devant moi mais une magnifique cougar qui va me faire passer un bon moment.
Toujours en me fixant, elle commence à doucement passer sa langue sur mon gland déjà bien dur. Elle ferme délicatement ses lèvres dessus et commence à me prodiguer, sans mentir, la meilleure pipe que j’ai reçu dans ma vie. Sa langue lèche, tournoie, va, revient, joue, titille chaque parcelle de mon sexe. Tantôt elle lèche une glace ou elle suce une sucette. Je lui baisse le haut de sa robe et découvre ses beaux petits seins et ses tétons qui pointent dur. Tout en me regardant d’un air que je ne lui connaissais pas, elle s’affaire sur mon chibre de manière quasi-professionnelle.
Après de bonnes minutes de ce traitement, j’ai déjà envie de jouir donc je lui fais savoir. Je me redresse, l’embrasse et la place sur le dos. Je me place au-dessus d’elle et lui embrasse le cou. L’odeur de son parfum redouble mon excitation car je sens à plein nez son odeur que je lui ai attribuée toute ma jeunesse. Ce parfum me rappelle qui j’ai sous mes pectoraux et cela me rend fou. Elle continue de me masturber d’une main pendant que j’embrasse son cou puis encore sa bouche. Je descends sur ses tétons que je suce avec mes lèvres, que je titille avec ma langue et que je roule avec mes doigts. Elle respire fort et me caresse tout le long de mon dos.
— Tu me rends folle…. Hummmmmmm, je l’entends soupirer.

Je décide d’enlever définitivement sa robe et je découvre avec surprise qu’elle ne portait pas de culotte de toute la soirée. Une main toujours sur son sein, je commence à embrasser son pubis bien épilé et l’intérieur de ses cuisses.
— MMMMMHH... oui Vas-y mon grand.

Bien décidé à la faire un peu attendre, je tournoie avec ma bouche autour de sa chatte sans vraiment y aller pour la rendre dingue et que ce soit elle qui me réclame. Elle avait assez usé de cette technique sur le bateau en Corse (Voir chapitre 1 et 2).
— Mais tu veux que je meure ou quoi ? Allez, bouffe-moi le minou ! T’attends quoi ?

Sans crier gare, je passe ma langue sur son clitoris, lui arrachant un grand gémissement. Ma tante est complètement trempée, surement surexcité par cette situation folle. Je suis aussi dur comme un âne et suis obligé de me mettre sur mes genoux tant ma bite me faisait mal étant sur le ventre. Je focalise toutes mes forces sur son bouton et descendant de temps en temps sur sa vulve. Ma tante souffle et pousse des petits gémissements en me comprimant la tête dans son entrejambe. Ses mains passant dans mes cheveux m’encouragent à lui brouter le con. Je joue avec ses lèvres, je passe le bout de ma langue dans son vagin et remonte sur son clitoris. Quand je sens que la tension est encore montée, je glisse un doigt dans son antre. Je frotte la partie haute et rugueuse de son vagin et je coordonne les mouvements avec ma langue. Ma tante a vraiment l’air d’adorer ce qui me fait plaisir. J’attrape son sein avec ma main qu’elle presse avec la sienne.
J’ai le temps d’attraper son gros téton bien dur que je fais rouler dans mes doigts. Je suis donc sur trois front en même temps et il me faut un peu d’effort mental pour coordonner mes mouvements sur sa chatte que je doigte, son clito que j’aspire et son sein que je masse.
Cette stratégie a du bon car je sens ma tante accélérer son rythme de respiration, elle me compresse la tête et la main de plus en plus et ses gémissements se font de plus en plus entendre. Soudain, je sens que c’est la jouissance et je me sens arroser de son jus et elle est prise de petits spasmes. Je monte vers sa bouche et je l’embrasse goulument, lui partageant son propre jus. On se roule des pelles comme un jeune couple fou et je sens ma bite qui pend sur sa chatte. Ce contact humide m’électrise et mon sexe reprend la vigueur qu’il avait un peu perdu.
— Bravo mon grand, ça faisait des lustres que je n’avais pas joui comme ça, me dit ma tante en souriant.

Sans me laisser répondre, elle me repousse en me poussant les pecs et je me dresse sur mes genoux. Elle passe à quatre pattes et se remet à me sucer. Quand elle trouve que ma bite est bien dure, elle se retourne et me présente son cul bien ferme et bombé de femme mature que j’adore.
— On ne se protège pas Julie ? — Ne t’en fais pas, je ne peux plus être enceinte.— Alors j’y vais.

Sur ce, je commence à enfoncer mon gland dans sa chatte. Celui-ci rentre facilement grâce à nos préliminaires bien entamés. Je commence donc à la baiser sur un rythme tranquille. Ses bonnes fesses rebondissent sur mes cuisses et je ne peux pas m’empêcher de les peloter comme un dingue. Je les secoue, les écarte tout en voyant coulisser ma bite dans son sexe. Je commence à réaliser que je suis en train de prendre la cousine de ma mère en levrette alors qu’elle a plus de vingt ans de plus que moi. Je deviens donc enivré par cette pensée et commence à accélérer le rythme. Ma tante commence a gémir bien plus fort à la cadence de mes coups de butoir.
A un moment, je me lasse de cette position et renverse ma tante sur le côté. Sans presque même me retirer de sa chaude chatte, je m’allonge derrière elle et passe une de ses jambes par-dessus les miennes. Je lui tourne la tête et commence à l’embrasser tout en lui assénant des coups de bite. Je me saisis de ses seins que je malaxe et passe dans mes doigts. Elle passe son bras autour de ma tête et me chatouille l’arrière du crâne. On continue à s’embrasser tout en baisant comme des fous.
Au bout d’un petit moment, ma tante prend l’initiative de se lever, instinctivement je me mets au milieu du lit sur le dos et la laisse s’empaler sur mon chibre et voici qu’elle mène la danse. Je vois ses petits seins bouger verticalement au rythme de ses mouvements. Je suis en extase, je n’aurais jamais imaginé que l’excitation ressenti pendant l’acte allait autant dépendre de la personne. Ma tante se penche au-dessus de moi alors que ses gros tétons pendants frottent sur mon torse. Cette sensation incroyable est celle qui va me faire arriver au bout de mon endurance. Pour calmer le jeu une dernière avant le l’acte de non-retour, je me redresse et l’allonge à ma place afin de la prendre en missionnaire.
— Je vais bientôt éjaculer Julie, je grogne.— Ok donne tout mon grand je vais jouir aussi.

Je la domine de par ma position et commence à vachement accélérer la cadence de coups. Nos regards sont vissés l’un dans l’autre et ma tante se titille son clitoris pendant que je lui bourre la chatte. Ses cris se font de plus en plus vite et elle commence à m’ordonner :
— Jouis sur moi mon chéri, crache sur ta salope de tante.

Ce vocabulaire soudain et grossier a un effet immédiat sur moi et commence à accélérer la cadence de manière effréné et soudain c’est la jouissance. Je relâche la pression de mon sexe et c’est une journée d’excitation qui s’en échappe. Je gicle une quantité phénoménale de sperme sur le ventre de ma tante et une partie atteint même le haut de son buste. Les giclées se font de plus en plus faible et Julie étale ce qui coule sur ses seins et se lèche goulument les doigts. Je continue de me masturber jusqu’à l’orgasme disparu. Dans mon extase, je n’ai pas pu voir si Julie a joui aussi mais je m’en doute en voyant la couette humide devant sa chatte ruisselante. On se regarde longuement en reprenant notre souffle. Je brise le silence en premier.
— Ce qui s’est passé sur le bateau, reste sur le bateau on a qu’a dire.— Je suis d’accord, la terre n’a pas besoin de savoir que j’ai couché avec mon neveu de vingt ans.

On rigole doucement en s’embrassant. Le sperme sur ma tante commence à coller ce qui devient plus très excitant.
— Bon, à la douche sinon on va le regretter, dit-elle finalement en sautant du lit.

Je la regarde marcher. Qu’est qu’elle est belle, ma tante que je viens de posséder comme si c’était ma copine. Il faudra vraiment que je garde les pieds sur terre si je veux garder cette proximité sans briser la relation familiale qui nous unit depuis ma naissance. Je m’enfonce dans une courte rêverie et voilà que Julie est déjà revenue, toute propre.
— Allez, active-toi, demain on a 8 heures de route, faut qu’on se couche là.

Je coopère et file dans la douche. En ressortant, je commence à enfiler un caleçon quand je me fais stopper net.
— Eh ho pas de sous-vêtement à bord, me fais-je rappeler à l’ordre par Julie. — Vous désirs sont des ordres capitaine, je m’exécute en rigolant.

Je me glisse nu dans le lit en lovant contre le corps de ma tante. Une fois bien installés en cuillère, nous voilà pris dans les bras de Morphée.

SI voulez une suite (qui n’aura surement rien à voir avec les bateaux) mettez un like et je pourrai imaginer une suite de leur relation incestueuse…
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