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La Béance

Chapitre 1

Une curieuse légende

Divers
Toutes les villes ont leurs mythes et leurs légendes urbaines. Celles-ci naissent souvent d’un évènement réel, qui est raconté à quelqu’un d’autre, puis déformé, et plus elle est racontée, plus cette histoire circule dans des milieux variés ; dans les cours de récré, les restaurants, les bars/PMU, les magasins de proximités, les bureaux. Quoi qu’il en soit, une bonne légende urbaine peut circuler jusqu’à un milieu très éloigné de celui où elle est née, et devenir un véritable phénomène de société.
Chez moi, dans la petite ville de banlieue où j’ai grandi, la légende la plus tenace est sans doute celle de La Béance. En quelques années, cette figure étrange est devenue connue dans tous les milieux, toutes les tranches d’âges, et toutes les classes populaires de la ville, et même de quelques villes alentours. Mais pour la plupart des habitants, il est difficile de savoir véritablement où et quand est née cette légende, qui l’a racontée en premier. Elle s’est répandue comme une traînée de poudre, à une vitesse stupéfiante. La Béance serait une femme, dont l’âge varie selon les versions, qui ne se refuserait à aucun homme. On dit que son cul serait une boussole indiquant systématiquement la bite la plus proche. Qu’elle aurait des capacités d’endurance et de contenance surhumaine, qu’elle pourrait recevoir, chaque jour, un nombre incalculable de bites dans n’importe quel trou, une quantité illimitée de sperme sur son corps et à l’intérieur d’elle, et toujours en redemander après.
On la trouverait dans certaines toilettes, publiques ou non, dans certains parkings le soir, dans des restaurants. Mais si vous avez la chance de la croiser, il vous suffirait de déboutonner votre braguette, et vous pourriez vous vider les couilles avec elle comme vous le voulez, et autant que vous le désirez. Son cul, sa bouche, sa chatte sont avides, mais si elle ne se refuse à aucun homme, elle ne se refuse à aucune pratique non plus. On l’imagine et la décrit comme se prêtant aux pratiques les plus extrêmes et mystérieuses. Mais La Béance ne serait pas une travailleuse du sexe, mais une simple passionnée. Gratuitement, vous pouvez la démonter, la ramoner, la ravager, et elle vous remerciera à la fin. Certains la surnomment d’ailleurs la Déssecheuse, la draineuse, ou plus sobrement, l’avaleuse. Mais le surnom le plus populaire reste La Béance.
On l’appelle comme ça, car il paraîtrait qu’après autant de fourrages intensifs, quand on écarte ses fesses et regarde sa chatte, on ne voit qu’une béance noire et délabrée, qui nous attire irrémédiablement.
Beaucoup prétendent l’avoir croisée, d’autres la voir régulièrement. Même certaines femmes prétendent l’avoir déjà fréquentée et baisée, mais assez peu, car l’un des traits indéfectibles de La Béance, est son appétit insatiable pour la bite. Elle est dite absolument addict au sperme, et l’on prétend qu’elle cherche constamment à maintenir un niveau élevé de sperme dans sa bouche, dans sa chatte, et dans son cul, ce serait pourquoi elle ne se refuse à aucun homme. C’est pourquoi elle dégagerait également, en permanence, une forte odeur de semence et de sueur de couille. C’est une des manières de la reconnaître quand on la croise ; personne ne sentirait autant le foutre qu’elle. Sa large chatte, et son cul délabré font que la majorité des hommes qui la tringleraient, auraient un simple rôle de fournisseurs de sperme pour elle (bien qu’elle ne leur refuse rien), mais que seuls les hommes extrêmement bien membrés peuvent prétendre à lui donner du plaisir.
Bien sûr, on dit qu’elle prend dans tous les cas un plaisir à sucer où à se faire démonter par n’importe quelle bite, mais le plaisir physiologique vient de ceux qui ont des bites assez larges pour remplir ses grands trous.
Les descriptions, également, varient selon les versions. Elle est tantôt très jeune, tantôt quarantenaire, parfois une personne âgée. On la décrit très mince, obèse, pulpeuse comme une pin up des années 50. On la dit blonde, brune, rousse, aux cheveux frisés, lisses, bouclés, crépus. On la voit avec des seins lourds, en poire, tout ronds, tout petits, titanesques, des tétons roses bonbon, bruns, timides ou larges comme des soucoupes. Un seul élément reste invariable dans toutes les descriptions: c’est son cul. Son cul, qu’on dit être si massif, qu’il aurait son propre champ gravitationnel, et qu’il attirerait toutes les couilles pleines alentour.
La plupart des gens la décrivent comme une femme drôle, au fort caractère, et à la sympathie désarmante. Si personne ne sait véritablement qui elle est, on ne la décrit pas comme ayant une personnalité mystérieuse, mais au contraire comme quelqu’un d’assez bavard, quand elle n’a pas une ou plusieurs bites dans la bouche, bien sûr. Si on lui pose des questions sur elle, elle y répondra honnêtement. Mais ceux qui ne l’auraient jamais rencontrée, doivent se fier aux témoignages et paroles rapportées des hommes qui l’auraient fourrée ; témoignages souvent confus ou délibérément déformés.
Beaucoup de choses sont dites sur La Béance, et c’est une légende qui occupe et fascine nombre de gens d’ici, hommes ou femmes. Pour quelqu’un qui ne serait pas d’ici, et qui découvrirait l’histoire de La Béance, il serait extrêmement difficile de savoir s’il s’agit d’une véritable personne, d’une histoire complètement inventée, ou d’une extrapolation extrême autour d’une véritable personne un peu libidineuse. Mais moi, je sais beaucoup de choses sur elle. Je sais ce qu’il y a de faux, ou d’extrapolé, mais je sais aussi, et surtout, tout ce qu’il y a de vrai, et il y a énormément, dans cette légende urbaine, d’éléments véridiques. La Béance existe. Je le sais parce que, La Béance, c’est ma copine.
Et il faut que je vous en parle.
A suivre...
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