2- la folle après-midi Après notre petite aventure forestière, Béatrice m’a invité à déjeuner avec elle. Son époux étant à un colloque dans le Sud de la France, nous avons pratiquement carte blanche jusqu’à ce soir. Nous faisons tout de même attention aux potentiels regards des voisins puis nous entrons dans la maison. Ma voisine me propose de m’installer sur le canapé du salon et me demande si je souhaite boire quelque chose. Je réponds par une affirmation indiquant que je veux un grand verre d’eau fraîche. Elle prend la même boisson puis me propose de l’accompagner à la douche. Il est vrai que les odeurs de transpirations me mettent rapidement mal à l’aise. Je suis cette belle femme dans une grande salle de bains. Il y a une baignoire d’angle, un lavabo et une cabine de douche. Nous nous déshabillons, puis nous entrons dans la cabine de douche. L’eau chaude coule abondamment sur nos corps, s’ensuit un jeu de séduction ou nous nous savonnons le corps. Je ne reste pas insensible à cet amusement corporel et me retrouve avec une érection qui pointe entre ses fesses. Lorsque je promène mes mains sur la poitrine de Béatrice, je sens que ses tétons durcissent. Je prends même le temps de les masser avec la paume de la main, ce qui fait cambrer ma partenaire suite aux chatouilles. Ma verge est collée sur ses fesses. Et plus je titille ses seins et plus sa cambrure est importante. Par un petit coup de reins, je pénètre son puits d’amour, en levrette sous la douche avec l’eau chaude, l’instant est unique, au bout d’une dizaine de minutes l’excitation est à son comble. Mon érection est tellement importante que j’en aie presque mal, et dans un cri commun, nous jouissons ensemble. Mon sperme coule le long de ses jambes. Nous essayons de reprendre nos esprits, puis quittons la douche. N’ayant pas de vêtements de rechange, je reste nu dans la maison. Béatrice de son côté s’est munie d’une robe légère sans sous-vêtement. Je retourne m’asseoir sur le sofa, tandis que ma partenaire prépare un repas léger. Au bout de quelques minutes, elle revient avec deux assiettes composées de crudités, de crevettes et de bâtonnets de crabe. Nous en profitons pour discuter. Ma voisine me dit qu’elle est satisfaite d’avoir fait ma connaissance, et qu’elle éprouve du plaisir à chaque fois que nous faisons l’amour. Elle souhaite que notre aventure continue. Elle rajoute même qu’elle en a parlé avec sa meilleure amie, qui est tout simplement une autre de mes voisines qui est en couple avec un footballeur professionnel. Stupéfait, je lui fais part de mes inquiétudes quant à la capacité de cette fille à garder un secret. Elle comprend mes doutes et me rassure tout de suite en m’indiquant qu’il n’y a aucun risque. C’est la première et la seule fois qu’elle ouvre son cœur à mon égard signe que je suis important pour elle. Nous nous échangeons un sourire, puis nous terminons le repas. Elle me propose de boire un café puis nous nous câlinons sur le canapé. Le temps semble s’arrêter, la passion amoureuse qui plane dans l’air contribue à cet effet. Nous somnolons même quelques instants. Puis nous sommes sortis de ce moment de quiétude par le bruit de la sonnette de la maison. Inquiet, je me lève, tourne la tête à droite à gauche, je me demande comment je vais faire pour sortir de la maison discrètement. Béatrice me signale que je ne dois pas avoir peur, et qu’elle ne fera peut-être pas entrer la personne dans la demeure. Elle se dirige vers la porte d’entrée, l’ouvre, j’entends alors plusieurs pas dans le couloir et en quelques secondes, j’enfile mes vêtements qui étaient restés sur le sofa. Je vois apparaître une sublime créature. Une fille aux cheveux noirs, taillée comme un mannequin. Béatrice fait les présentations, il s’agit de Sonia sa meilleure amie, elle a vingt-six ans, et travaille dans la photo, elle est modèle pour des marques de cosmétiques. Elle me fait la bise et un clin d’œil par la même occasion. Elle s’assoit à côté de moi, puis se fait servir un café. Les filles discutent entre elles. Dans son sac, la jeune fille a apporté des produits de beauté à Béatrice. Sonia lui propose de faire un essai dans la salle de bains, puis de me montrer le résultat. Je patiente un bon quart d’heure et je vois revenir les filles. J’ai la bouche bée, ma compagne est magnifiquement maquillée par la jeune fille. Je dirais même qu’elle est excitante. D’ailleurs avec mes deux mains, j’essaye tant bien que mal de cacher une légère érection pointer le bout de son nez, mais je ne peux m’empêcher de me lever pour embrasser tendrement Béatrice. Je lui fais des éloges sur sa beauté, elle rougit puis baisse les yeux. Ma bosse ne peut pas passer inaperçue. Elle s’approche de mon oreille et me le signale. Mes joues changent aussitôt de couleur. Je détourne brièvement le regard, et je vois Sonia assise sur le canapé le visage à hauteur de ma taille, elle a l’air de regarder en direction de mon pénis. Je décide alors de me poser sur le sofa, Béatrice aussi. Elle met sa main sur ma cuisse, puis avec le bout de ses doigts me fait des chatouilles. Je ne peux empêcher ma jambe de bouger à chaque caresse. Ce qui semble faire sourire ma partenaire ainsi que son amie. Petit à petit, sa main monte de plus en plus haut en direction de ma verge. L’excitation commence à monter d’un cran, de mon côté, j’entreprends de faire de même avec la cuisse de Béatrice. J’entends alors son souffle accéléré. Dans le même temps, je détourne le regard et je m’aperçois que les filles se caressent aussi le haut des cuisses. La chaleur devient de plus en plus intense. Les corps transpirent de désirs. Je prends alors l’initiative d’effleurer avec mon petit doigt les lèvres de ma compagne. Ce qui lui procure des frissons à chaque passage. Au bout de quelques instants, je sens la main de Sonia qui s’égare sur les parties intimes de Béatrice. Quand subitement, celle-ci se lève et soulève le bas de sa robe. Elle est brillante de plaisir et nous invite à aller plus loin. Elle se dirige vers moi, me déshabille, se met à genou, puis commence à me faire une fellation. Les allers-retours sont agréables, j’en ai la chair de poule. Son amie se rapproche de moi, elle m’embrasse sur la bouche, me caresse le torse. Je n’hésite pas, je profite de ce moment unique. Je commence à enlever le haut de cette nouvelle partenaire, lui défais son soutien-gorge, elle a des seins magnifiques, les tétons roses pointent. Je lui caresse la poitrine, l’avale. Ma suceuse lève, la tête, c’est maintenant Sonia qui prend ma verge en bouche. Béatrice se dirige sous la jupe de sa meilleure amie, lui soulève, puis lui enlève un string blanc en dentelle. Elle plonge la tête entre ses fesses. Je devine par les bruits de succion qu’elle lui lèche son clitoris. Après ces préliminaires excitants, Sonia quitte sa jupe, puis se met à califourchon sur moi, présente sa vulve à ma verge, puis s’empale d’un seul coup sur mon membre. Les vas et viens sont intenses, puis les filles échangent leur place, me voilà avec Béatrice les allers-retours sont toujours aussi puissants, à la fois lents et rapides. Après cette position fort excitante, les filles se mettent à genou sur le canapé, les fesses à l’air. S’ensuit une série de levrettes chacune leur tour. Quand une vulve est libre, j’en profite pour y faire coulisser mes doigts. Puis soudain, Sonia saisit mon membre et le positionne à l’entrée de son anus, elle veut se faire sodomiser. Béatrice s’aperçoit de la scène et ensemble, nous léchons la croupe de notre partenaire sexuelle. Petit à petit, le trou s’écarte, j’enfile un doigt puis deux et rapidement, je présente mon sexe à l’entrée de cet anus dilaté. Je pousse légèrement, et je ressens une sensation que je ne connaissais pas. Pour le coup, Sonia paraît beaucoup plus experte que moi en la matière. Je fais de lent aller-retours puis j’accélère le mouvement. Je propose à Béatrice de lui faire la même chose, mais celle-ci refuse, elle explique qu’elle n’a jamais fait cette pratique. Dans le même temps, je continue de pilonner le cul de Sonia. Je sens alors mes jambes tremblées. Je sors alors mon sexe grossir, puis les deux filles ouvrent leurs bouches pour recevoir la semence de mon plaisir. Mon gland explose, j’essaye tant bien que mal de partager les giclées de sperme avec mes deux partenaires. Elles s’amusent même à se l’étaler sur le corps puis à le lécher. De mon côté, je m’assois épuiser par tant d’efforts, les filles font de même. Au bout d’un quart d’heure, nous reprenons nos esprits puis Béatrice m’avoue qu’elle voulait me faire cette surprise notamment en ce qui concerne la sodomie, car elle n’a jamais pratiqué cette activité. Je lui indique qu’il n’y a pas d’âge pour apprendre des choses et que peut être à l’avenir, je serais son professeur. Hésitante, elle laisse échapper de sa bouche un pourquoi pas qui peut être veut dire pas mal de chose. Sa meilleure amie lui indique qu’elle perd une sensation qui peut être très jouissive. Je lui dis par la même occasion que sa présence et que son corps est pour moi un cadeau formidable qui me suffit amplement. Sonia de son côté, me remercie pour cette partie de jambes en l’air, s’habille et rentre chez elle. Avec Béatrice, nous décidons de prendre une douche, je me rhabille. Nous discutons de tout et de rien. Elle m’indique que peut être que notre trio se retrouvera quelques fois pour des parties de jambes en l’air, mais que se sera assez rare, elle veut me garder en exclusivité. Je valide ses propos. Puis je l’embrasse une dernière fois avant de rejoindre mon domicile. Je vais dans ma chambre, je repense à ce que je viens de vivre. Pour la première fois de ma vie, je viens de faire l’amour à deux femmes en même temps. C’est un plaisir intense. En tout cas, il me tarde de devenir le professeur de Béatrice en ce qui concerne la sodomie. Rare sont les fois où les filles prennent le temps d’apprécier cette pratique. Je sens que la suite de mes vacances vont être mouvementées.
