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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Béatrice

Chapitre 1

Trash
Souvent l’amie de ma mère venait prendre le thé chez nous, ainsi petit à petit mes sens d?adolescent découvrirent l?érotisme de Béatrice, sa beauté, sa classe, ses 40 ans face à mes 18 ans représentaient une barrière tellement importante que mes pollutions nocturnes n?avaient jamais conduit mon poignet avec ses traits, je me masturbais pensant à des vedettes du petit écran.     Ma mère partit vers 14 heures avec mon père faire des achats ; le moment des soldes trompetait ses ardeurs me laissant seul gardien de la maison, j?avais entrepris quelques révisions pour la rentrée, histoire de remettre les neurones en ordre de bataille.     Dix minutes n?acquittèrent pas ma solitude quand retentit la sonnette de l?entrée. J?y allais bougon dérangeant mon plan pour dégripper mes synapses encore en vacances.     Ouvrant la porte tête baissée, je tombais sur des chaussures vernies noires genre escarpin, remontant les yeux, des jambes nues bientôt coupées d?une robe chemisier rose pâle boutonnée très sagement vinrent à ma vue ; je détaillais un visage harmonieux, ses lèvres aux couleurs roses plus soutenues que sa robe donnaient aux yeux noirs un velouté incroyable et les cheveux blonds tirés en arrière donnaient toute la quintessence d?une femme blonde.     - ? Béatrice ? dis-je surpris de cette visite en cet après-midi brûlant de fin août.     - Tu m?offres un thé, dit l?amie de ma mère découvrant par la même un sourire désarmant.     - Maman est partie faire les soldes, affirmais-je.     - Je sais dit-elle, en passant son index sur mon menton, elle m?a dit de l?attendre en ta compagnie !     Son index sur ma peau fut d?une volupté inimaginable tant il était le prolongement de sa brillance mélange oculaire et sourire désarmant    - Avec moi dis-je en écho, la laissant pour faire frémir l?eau, un peu étonnée ...    Je revins où elle s?était assise avec un plateau d?où s?élevait le fumet du Darjeeling.     - Assis-toi j?ai à te parler lança-t-elle cillant ses cils de concert !    Après avoir mis le plateau sur la table puis mettre assis je faillis avaler de travers Béatrice venait de croiser ses jambes laissant apparaître un mollet digne du ventre d?un bateau de l?américa cup lorsque ce dernier opère un passage de bouée : immarcescible splendeur du pan de robe s?évanouissant sur le rivage ordré de son épiderme, mignardise d?un blanc angelot et chérubin !    Béatrice me dit :     - Lise (c?est ma mère) veut que je t?apprenne ce qu?est une vraie femme, enfin d?être la première relation sexuelle de ta vie !    A dix-huit ans je n?avais connu que les baisers des filles trop vierges    Pour franchir le pas, ce pas enlevant le I du mot vierge, ce pas des sens interdits ; il y avait toujours un ardent extraverti qui les poussait à ôter leur refus ; trop timide c?était mon handicap !    - C?est maman qui t?a dit de venir ! m?empourprant quelque peu.     - Oui elle veut pas que tu fasses ça avec préservatif ou risquer d?attraper une MST ou le sida, je suis divorcée alors... et je suis saine de trois ans d?abstinence !    -Si mon âge te dér...     ?videmment les jolies filles fraîches, rose en bouton sont un appel du regard masculin, qui oserait nier l?évidente subjugation de la beauté faite de jeunesse, mais chez Béatrice le temps pour s?être écoulé avait laissé des ridules d?expression d?une rare force esthétique, ainsi nanan, et délicieuse, je soupçonnais l?âge de Béa de n?être que le résultat optime d?une beauté de jeunesse partielle, voilà autrement dit, elle était plus désirable avec que sans ses rides !    Je ne généralise pas ce charme à toutes les femmes, n?en offusque celles qui luttent contre, Béa avait son aura décuplé de cet outrage du temps qui sur elle n?en était que quintessence !    Ma timidité n?attendait qu?une occasion, le lien offert par ce trésor de féminité me libéra !    Je me jetais sur ses mains les embrassant, tirais des mèches de son chignon impeccable, constellais son visage de baisers, mes mains tremblantes hésitèrent puis déboutonnèrent deux boutons de sa robe... puis ma main troublant le mur de la retenue, je pulpais de mes doigts l?embarcation au galbe classe ? J ? comme joliesse des navigations dont rien ne tend à l?empêcher, si ce n?est un assentiment souriant de celle où s?épand la fougue pâmée d?une main libérée !    - Viens dit-elle en chuchotant.
    Elle m?entraîna à l?étage dans la chambre de mes parents dont le lit préparé sentait le propre de la Soupline.     - Déshabille-toi, mon sexe était à l?étroit, je reviens... sa voix perlée d?aménité fut si suave que j?en perdais la réalité du temps !    Nu je me glissai sous le drap cachant ma virilité brûlante par pruderie.     Soudain elle apparut dans une robe plissée, non une chemise longue plissée en batiste juste resserrée par un élastique sous la poitrine laissant son corps libre, simarre pour sa longueur, chiton pour le plissé grec, nue sans l?être tout à fait elle jouait des plis avec adresse candide, puis referma la porte à clé ! la perversité innocente me rendait si petit face à la Femme presque démesurément Femme, simplement Femme !    Tout doucement venant s?asseoir sur le lit je devinais qu?elle n?était pas blonde, ses seins libres ondulant sur une transparence laissaient voir, indicible seconde, un téton rose.     M?approchant d?elle à genoux sur le lit je glissai mes doigts dans sa chevelure, la repoussait derrière ses omoplates, ma bouche couvrit ses lèvres, ses joues, son cou, me relevant pour atteindre ses paupières je la fis sursauter : ma turgescence en feu sentit son sein gauche faire barrage le contact du tissu plus la résistance de son sein lourd me durcit un peu plus !    Elle défit un petit cordon noué découvrant son sillon mammaire, une main tremblante, la mienne, vint sous le plissé se posé sur le haut du sein là où les soutiens-gorge pigeonnants n?ont plus de maintien, c?était moelleux comme jamais, sa peau de pèche me fit éjaculer à petit flot sur son déshabillé, j?eus un regard sur Béa qui se troublait : la sueur perlait en gouttes vers son décolleté ; sa main pour dire -ce n?est rien- chercha et flatta mes testicules. Ce faisant ma main tourna sous le sein qu?elle avait pommé au moment du téton elle serra mes bourses, je coulais sur elle et sa robe mon flot poisseux.
    Nullement affectée de mes épanchements elle s?allongea en travers du lit sa robe par endroits jouait les tee-shirts mouillés !    Elle souriant, écarta les jambes, j?ai alors pris place entre ses jambes juste au niveau des genoux où le textile s?arrêtait. La regardant, je passais mes deux mains sous le tissu puis les remontais symétriquement sur ses cuisses, mes sens décuplés furent en émoi : j?avais la caresse d?un tissu usé sur le dessus des bras tandis que sous mes doigts et paumes sa peau se révélait de soie, est-ce moi qui remontai toute les deux jambes sentant sur mes ongles sa toison, je l?ignorais, poussant mes mains sur son ventre, le torse, mon torse toucha sa robe doudou d?enfant, je redescendis mes libertés digitales très lentement à ses genoux !    Dans un souffle rapide, je soulevais sa robe m?engouffrant la tête et le haut du corps sous le dôme ainsi constitué !    La lumière se tamisa comme un abat-jour, la chaleur exhala son parfum de femme subtil, fortement enivrant, légèrement épicé, musqué d?un peu d?urine.     Au plus près des lèvres, je lançais ma langue roulée au plus loin que je pus, mon entrée linguale fut vigoureuse comme un agneau tétant sa mère ! Un gémissement se fit entendre une vraie surprise ! ses mains vinrent bloquer ma tête ; elle hésitait entre l?acceptation ou le refus de cette visite insolite, les lèvres sur les siennes je retirai ma langue sans cesser notre lèvres à lèvres qui n?avait pas pour but la réanimation ! quoique...    Je refis onduler ma langue au plus chaud que je pus, exhalant de ce corps intimement exploré un cri de perdition d?une obscène incitation !     Lentement je gagnais millimètres sur millimètres rétractant ma langue, je refis mon caméléon puis retirais à nouveau ma langue, à ce moment ses mains indécises glissèrent avalisant mes audaces ; un mon dieu BaaasstienNNN vint ponctuer un spasme de son bassin jetant son puits langué vers mon visage tout à son jeu de hanche je remontais des sécrétions vaginales de plus en plus abondantes et sucrées, trois fois de suite son fessier décolla du lit c?était à ne pas croire ce qu?elle perdait mon application à la boire n?y suffisait pas !    - Aaaalllonge-toi dit-elle avec fièvre de ses feux onyx.     Elle vint m?enjamber à croupetons, elle souleva sa robe qui se gonfla en retombant sur nos, mon intimité tendue à sa nudité. Elle ressemblait avec cette pose à une communiante dont l?aube est sagement éployée autour d?elle pour une photo la montrant assise sur le vert d?une pelouse. Elle finit par se bloquer contre la hampe verticale de mon érection suintante, ses lèvres humidifiées presque inondées suivirent mon dard jusqu?au sommet, elle le fit en appui sur mes pointes de sein écrasant ses deux éminences contre mon corps, levant son séant ses cheveux se libérèrent sur mon visage, je sentis alors ma formation roidie se napper comme un coulis enrobe un fruit ; son liquide plus le mien cernèrent englobèrent ma tige mignotée au ange de sa vulve !    Que dire quand elle se décala d?un centimètre pour glisser ses muqueuses de part et autre de mon vit c?était chaud aqueux son vagin se contracta d?un mouvement de constriction réflexe ; l?étranglement par son antre de ma petite chose décupla s?il se put mon pulsionnel ? clocher ?    Pubis contre pubis elle remit ses blonds cheveux d?un geste de la main des plus sensuels reprendre place dans son dos, j?eus alors vision panoramique de l?échancrure du plissé laissant ivre ses formes maternelles ; cent fois plus jouissif était sa tenue cachant par moment sa chair elle ne bouda pas son plaisir de me voir regarder ce spectacle mammaire, elle se dégagea petitement, croyant devoir abandonner ses liquidités presque amniotiques c?est moi qui poussai mes hanches vers ses fuites ; j?eus la force en six secondes d?aller et venir trois fois, dont deux qui se traduisirent par et à la fois un gémissement de ma partenaire, un mouvement de tête dicté par une sorte de tête à queue, un clignement fermant ses yeux, tout en laissant sa langue dépasser tel un petit chaton !    Lorsqu?elle bascula sur le dos, mon membre qui obturait sa caverne laissa ses eaux comme barrage cédant m?inonder, elle se troussa en agglomérant sa tenue sur son estomac laissant mes yeux voir sa féminité ruisselante... voir là où j?étais enfoui il y a peu... voir, mais elle tendit ses bras vers moi !    - Viens viens sur moi, disaient ses mains.     - Se faisant mon sexe était contre posé tout raide sur son ventre     - Tu bandes encore pour moi mon trésor...    C?est elle de sa main tremblante qui dirigea la vilaine raideur en elle je m?introduis avec précaution : elle tremblait !    - Prends moi le haut des bras, je ferai pareil, dit-elle !    Le berceau de nos bras constitué elle me dit ? va et vient ? en moi... Je le fis en la regardant me sourire et gémir son cri un seul trahi sa volonté intérieure d?être maîtresse d?une équivoque démontrant un plaisir irrépressible.     Soudain ses yeux coulèrent !     - Tu pleures dis-je ému je t?ai fait mal.     Ce disant j?avais stoppé mon voyage intérieur elle vint me serrer avec force de ses bras nous étions liés au plus près assis, moi encore la traversant. Je sentis ses larmes glisser sur mon dos imperceptiblement, mon phallus redevint Verge, je débandais en elle !     Sûr de ne pouvoir plus lui donner aucune satisfaction, je pensais d?un baiser nous désaccoupler, mais Béatrice fut à ce moment victime d?un ? accouchement ? ; enfin d?une perte des eaux nous en étions presque inquiet, mais cette source n?était pas pérenne !    Elle dit sa stupeur tout en remarquant que me sentir débander sous ses muqueuses l?avait interdit de la voix et menée au plaisir !    Nous nous douchâmes ensemble malgré ses caresses je restais inerte, la bête n?en pouvait, mais !    Puis nus, appréciant son galbe nous parlâmes sur le lit. Je m?excusai pour mes maladresses...    Un hooo ! de regrets attendris, ses larmes, une gifle filtra de son corps.     - Tu viens de me faire l?amour, je pleure sur mes 22 ans ou l?on ne m?a que Baisée ! Je suis jalouse de celle qui tombera sous tes caresses... D?ailleurs dit à Lise que rien ne s?est passé : tu me trouves trop vieille pour toi ! Sans cela je ne pourrais pas te revoir, c?est pas possible, pas comme ça, j?ai encore envie de tes mains sur moi !     - C?est toujours comme ça avec une femme, toujours aussi délicieux, dis-je !    Elle eut le visage qui se mit à la cardinalice !    - Tes cheveux pourquoi tu les nattes pas à la scandinave dis-je, lui embrassant le poignet.     - Les natter ? dit-elle surprise     - J?aime bien dis-je     L?heure passant elle partit.     Quand trois jours plus tard elle revint, je la vis nattée !
E-mail: echevrard@aol.com
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